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(30/03/2007 00:00:00)

Interview vidéo de Jérôme de Vitry, Président et Chief Executive Officer de Completel

Propos recueillis par Olivier Coredo, Rédacteur en chef de Réseaux & Télécoms (...)

(29/03/2007 18:02:28)

Photoshop en ligne, ce n'est pas pour tout de suite

Une version gratuite du logiciel de retouche d'images Adobe Photoshop accessible en ligne ? Cette perspective plutôt alléchante a semblé être récemment évoquée par le PDG d'Adobe, Bruce Chizen, au cours d'une interview accordée à nos confrères de CNET News.com. Robert Raiola, directeur marketing EMEA d'Adobe, a tempéré, à l'occasion du lancement français des Creative Suite 3, mardi dernier, l'enthousiasme que cette annonce avait pu susciter chez les aficionados du logiciel vedette de retouche photographique. S'il est exact qu'Adobe travaille sur la fourniture de fonctions d'édition d'images en ligne, les outils proposés s'apparenteront davantage à des fonctions issues de Photoshop Elements, version légère du produit, destinée au grand public. Même Google, champion des services en ligne, livre Picasa, son logiciel de gestion et de modification de photos, « sous la forme d'une application à télécharger et à installer localement sur un poste », a fait remarquer Robert Raiola, soulignant la complexité que représentait la mise à disposition d'une application professionnelle telle que Photoshop sur le Web. Le PDG, Bruce Chizen, avait expliqué que sa société posait les fondations d'une offre de fonctions en ligne par le biais d'un partenariat engagé avec PhotoBucket, sur le site duquel l'éditeur allait effectivement proposer gratuitement certaines de ses fonctions d'édition video, en se rémunérant par des revenus publicitaires. Le site de PhotoBucket, qui permet de partager des photos et des vidéos en ligne, compte quelque 35 millions d'utilisateurs. Dans un communiqué datant de février dernier, Adobe précisait d'ailleurs qu'il comptait annoncer prochainement d'autres partenariats de ce type et proposerait des passerelles intéressantes pour évoluer vers ses logiciels Adobe Premier Elements et Adobe Photoshop Elements. (...)

(29/03/2007 17:53:25)

Intel dévoile son futur : des processeurs à 45nm et des doubles quadri-coeurs

Intel a levé le voile sur ses futurs processeurs. La première génération à venir, connue sous le nom de code Penryn, est attendue pour la fin de cette année. Il s'agira de reprendre l'architecture des Core 2 et des Xeon actuels, mais en réduisant la finesse de gravure de 65 nanomètres à 45 nanomètres et en utilisant un nouveau matériau pour l'isolation, le « high-k metal gate ». Grâce aux économies de consommation électrique ainsi générées, Intel veut produit des puces Penryn cadencées au delà de la barrière des 3 GHz - Intel avait levé le pied sur la cadence à cause des problèmes d'échauffement, préférant multiplier les coeurs pour accroître les performances. Autre amélioration par rapport aux Core 2 Duo, la taille de la mémoire cache de niveau 2 devrait augmenter de 50%. Soit 6 Mo pour les double-coeurs et 12 Mo pour les quadri-coeurs. Pour l'instant, six types de processeurs sont prévus : des processeurs bi-et quadri-coeurs pour ordinateurs de bureau, un processeur bi-coeur pour portables, des processeurs bi-et quadri-coeurs pour serveurs et un dédié aux serveurs haut-de-gamme. Nehalem : 16 threads simultanés pour un double quadri-coeur La deuxième génération de puces, baptisée Nehalem, est attendue pour sa part en 2008. Ici, il s'agira de refondre complètement l'architecture des processeurs multi-coeurs en s'inspirant de ce qu'a fait AMD avec ses Opteron. Profitant également de la technologie à 45 nanomètres, Nehalem permettra de faire tenir jusqu'à deux processeurs quadri-coeurs sur un même socket, et chaque coeur pourra exécuter deux tâches de traitement (threads) indépendantes en simultané. Soit 16 threads simultanés pour un double quadri-coeur, une aubaine pour les applications parallèles. Comme chez les Opteron d'AMD, ces processeurs pourront communiquer « point à point » avec leurs voisins, et auront un lien plus rapide avec la mémoire, grâce à des contrôleurs de mémoire embarqués. Certains processeurs Nehalem auront également un contrôleur graphique intégré. Au final, selon Pat Gelsinger, directeur général du groupe Digital Enterprise chez Intel, les processeurs Nehalem seront extrêmement modulables pour s'adapter aux besoins des clients. Au lieu de « variations de chipsets avec des coeurs communs », Pat Gelsinger promet « des chipsets standardisés avec des coeurs personnalisés ». (...)

(29/03/2007 17:28:40)

HP sort un serveur AMD à moins de 500 $

Dernier élan de HP vers les PME, le constructeur vient d'annoncer, en plus d'une douzaine d'autres produits, un serveur à base de processeurs AMD, pour moins de 500 $. Une première pour la marque, qui commercialise habituellement des serveurs AMD avec deux ou quatre puces. Le ProLiant ML 115, façonné pour s'insérer sous un bureau, doit supporter les applications communes aux PME. Soit un serveur de fichiers, d'impression ou encore d'email. Le modèle sera décliné en version Opteron bi-coeur ou Athlon 64. Il faudra compter 730 $ pour une version bicoeur. A titre de comparaison, le ML 110, équipé d'un Xeon, est commercialisé environ 1 000 $. La configuration Athlon 64 embarquera un disque dur ATA de 80 Go et 512 Mo de mémoire vive. Il sera vendu à partir de 499 $. HP explique que le ML115 peut être couplé avec une carte de contrôle à distance Lights-Out 100C. (...)

(29/03/2007 17:28:15)

Sondage flash : un certain pessimisme sur la capacité d'Oracle à tout digérer

Vous avez été exactement 400 à répondre à notre 'sondage flash' sur la capacité d'Oracle à intégrer les technologies de ses acquisitions. Si l'on en croit ses résultats (qui ne prétendent pas être scientifiques), en plus de son travail technique d'intégration de tous les produits et modules technologiques dont il est maintenant propriétaire, Oracle devra faire attention à savamment expliquer sa démarche à ses clients et aux entreprises clientes d'une façon générale. Car 61,3% d'entre vous se déclarent « plutôt inquiets », contre 38,8% « plutôt confiants ». Nous avions publié ce sondage à la suite du dernier rachat d'Oracle, Hyperion, que Larry Ellison s'est approprié pour 3,3 Md$ au début du mois. Cette vingtième acquisition en moins de deux ans portait le montant total des rachats effectués par Oracle à plus de 20 Md$. Oracle est donc engagé dans un énorme travail d'intégration. Même si à l'instar de ce qui se fait chez SAP, l'intégration repose sur un socle middleware et des standards et protocoles ouverts (les services Web), le travail de fusion opéré par Oracle (le programme Fusion) sera évidemment de longue haleine. Ce qui semble inquiéter nos lecteurs. (...)

(29/03/2007 16:50:02)

Informaticiens demandés au salon de l'emploi public

Le salon de l'emploi public se déroule jusqu'à samedi 31 mars au Palais des Congrès (Paris) mais d'ores et déjà se dégage une tendance nouvelle : les informaticiens et les nouveaux métiers liés à l'informatique sont les bienvenus ! Monster Public et Acteurs Publics ont réalisé une étude qui montre qu'en raison du papy boom, de la diminution prévue des cadres dans le secteur public, et de l'augmentation des nouveaux systèmes d'informations dans les administrations, les collectivités ne peuvent plus se permettre de faire l'impasse sur les compétences liées à tous les nouveaux métiers de l'informatique en se contentant d'avoir exclusivement recours à l'externalisation. La révolution du numérique touche l'administration Jusqu'à présent en effet, les pouvoirs publics avaient eu recours aux systèmes informatiques pour moderniser ministères et administrations et quelques-unes des plus grosses SSII de Paris ont joué le rôle de conseil et de prescripteur depuis quelques années. De nombreux informaticiens travaillent donc régulièrement pour le secteur public ou même en son sein mais avec un statut de salarié de leur entreprise. Il semble qu'aujourd'hui un nouveau cap soit franchi par l'administration avec le recrutement, pour ses propres besoins, d'un personnel du monde informatique, habitué aux sites d'emplois. L'étude Monster Public/Acteurs Public confirme cette évolution : « pour la première fois, un état comparatif chiffre les usages de l'Internet en matière de recrutement public parmi les 27 pays membres de l'union européenne. Les Pays Bas, le Royaume-Uni et l'Allemagne arrivent en tête de ce classement, la France est en septième position. » (...)

(29/03/2007 16:09:09)

Sondage flash : pour qui votent les informaticiens ?

A l'occasion des élections présidentielles, Le Monde Informatique publiera le 13 avril prochain un dossier détaillant les programmes des candidats en matière de technologies de l'information. Le site www.lemondeinformatique.fr a décidé de s'associer à cette initiative, en interrogeant ses lecteurs sur leurs intentions de vote. Ce 'sondage flash' n'aura, rappelons-le, aucune valeur scientifique, mais il devrait donner un instantané plutôt juste des grandes tendances politiques dans la sphère des informaticiens - au sens large, puisque vous qui nous lisez êtes aussi bien développeurs ou administrateurs, que chefs de projets, architectes, RSSI ou encore responsables de services ou chefs d'entreprise. Pour y répondre : il suffit de cliquer sur la case de votre choix dans le module 'sondage flash', sur la droite de votre écran. De la même façon, nous avons commencé à recueillir les avis des patrons de l'industrie informatique en France. Ces entretiens filmés sont accessibles à cette adresse. (...)

(29/03/2007 15:53:01)

Oracle et IBM s'associent pour créer une université du service

Rivaux plutôt que partenaires, IBM et Oracle vont cependant participer ensemble au lancement du consortium Service Research & Innovation (SRI), véritable « université du service ». Cisco, EMC, Hewlett-Packard, Microsoft, Xerox, plusieurs facultés américaines, ainsi que deux associations américaines, la Technology Professional Services Association (TPSA) et la Service & Support Professionals Association (SSPA), participent également à cette création. Manquent encore à l'appel les SSII. Un des buts du SRI est d'apporter, année après année, sa contribution à l'amélioration des services IT, a expliqué Jim Spoher, chef de service au centre de recherche d'IBM à San José en Californie. Selon lui, les services peinent à suivre l'évolution significative des produits et des technologies. Le consortium souhaite associer à ses travaux les 39 universités travaillant sur le même sujet dans le monde, notamment en Chine, en Finlande et au Japon. Il va d'ailleurs solliciter de nouveaux membres à le rejoindre à l'occasion de son premier symposium, qui se déroulera le 30 mai à Santa Clara en Californie. Le SRI espère également tisser des liens avec d'autres organisations actives dans le domaine des services, notamment avec la Networked European Software and Services Initiative (NESSI). Comptant en sein quelques grandes pointures comme BT, Nokia, Thales, Siemens ou Telecom Italia, NESSI développe officiellement des architectures logicielles pour les entreprises et les administrations européennes. Officieusement, il est surtout destiné à barrer le passage aux solutions et aux plates-formes venues d'outre-Atlantique ou d'Asie. (...)

(29/03/2007 15:29:13)

Retour à la vieille garde pour SAP après la démission de Shai Agassi

Les dents longues de Shai Agassi, qui se voyait déjà patron de SAP, se sont heurtées à un os. Hasso Plattner, fondateur de l'éditeur et président du Conseil d'administration, a demandé au directeur général (CEO) Henning Kagermann de rester en poste jusqu'en 2009, alors qu'il devait partir dès cette année. Shai Agassi a donc préféré annoncer son départ du groupe, un départ fixé au 1er avril. « J'avais partagé avec Shai mon plan, explique Hasso Plattner. Il devait succéder à Henning Kagermann en tant que co-CEO de SAP. Avec l'extension à 2009 du contrat d'Henning, il est devenu évident que cela ne plaisait pas à Shai de consacrer [à SAP] une période de 10 à 15 ans, cela ne coïncidait pas avec son plan de carrière. » Intervenant dans une conférence de presse téléphonique afin de préciser ce communiqué, Hasso Plattner a ajouté : « Il [Shai Agassi] m'a dit que ce n'était pas la dernière chose qu'il comptait faire dans sa vie. » Néanmoins, les deux se seraient quittés en bons termes, Shai Agassi disant qu'il se consacrerait à des projets personnels en rapport avec les problèmes d'environnement, les sources d'énergie renouvelable et le futur d'Israël (son pays natal), et Hasso Plattner expliquant combien la société lui était redevable. Agassi à la tête du développement technologique dès 2003 De fait, c'est Shai Agassi qui, en tant que président du Product & Technology Group de SAP, a élaboré et mené la stratégie de transformation du groupe. Sous son impulsion, SAP est passé d'un éditeur de progiciel à la structure monolithique à un éditeur d'une solution respectant les principes d'une architecture orientée services (SOA, ou ESA, Enterprise services architecture, dans le jargon SAP). Shai Agassi est entré chez SAP à l'occasion du rachat de sa société TopTier en 2001, un éditeur d'outils de création de portails. Il a rapidement monté les échelons, Hasso Plattner lui abandonnant dès 2003 son dernier rôle opérationnel dans SAP : la direction du développement technologique. C'est donc Shai Agassi qui a piloté l'élaboration de Netweaver, la plateforme middleware qui sert aujourd'hui de socle technologique à l'offre SAP. C'est également lui, jeune et brillant orateur, qui a parcouru le monde pour expliquer ce changement de stratégie afin d'inciter les clients et les partenaires à s'engager de nouveau avec SAP. Outre Netweaver, c'est lui aussi, plus récemment, qui a porté la stratégie On Demand, de fourniture d'applications en ligne, rappelle Denis Pombriant, analyste principal de Beagle Research. « Ces deux éléments sont absolument critiques pour le succès de SAP, dit-il. S'il n'est pas là pour pousser ces initiatives, je me demande si quelqu'un d'autre pourra le faire. » Leo Apotheker devient co-CEO immédiatement Le pire qui puisse arriver, indique de son côté David Bradshaw, analyste principal chez Ovum, est que Shai Agassi décide maintenant de s'impliquer chez un concurrent : « Interrogé afin de savoir si le contrat de Shai Agassi contenait une clause de non-concurrence, Hasso Plattner a fait une réponse qui semble vouloir dire qu'il n'y en a pas. » En revanche, le fondateur de SAP a insisté sur le fait que Shai Agassi conservait un bureau dans les locaux de R&D du groupe à Palo Alto, et serait dorénavant « consultant spécial » pour le conseil de surveillance. Le départ de Shai Agassi profite en tout cas à Leo Apotheker, président du groupe 'solutions & opérations clients' qui devait devenir co-CEO avec Shai Agassi. Il est immédiatement nommé CEO adjoint, en charge du marketing, des PME, et de la politique envers les partenaires. Henning Kagermann dirigera les équipes de développement du logiciel (Netweaver, CRM, Business Suite...). Pour Denis Pombriant, « on dirait que la nouvelle garde se fait mettre dehors par la vieille garde ». (...)

(29/03/2007 15:15:19)

La FSF publie le troisième jet de la GPL3

La Free Software Foundation (FSF) vient de publier la troisième ébauche (discussion draft) de la version 3 de la licence Open Source GPL. Et contrairement au processus classique d'approbation, cette version ne sera qu'une version intermédiaire avant la version finale. Dans un communiqué, la FSF explique que ce troisième jet sera suivi d'une période de 60 jours, ouverte aux débats. Puis sera publiée une version dite "last call" de la GPL3, suivie d'une période de 30 jours pour d'autres débats. Avant, enfin, l'approbation du texte final par le conseil d'administration de la FSF. La version finale de la GPL 3 devrait donc être disponible en juin 2007. Selon Peter Brown, directeur de la FSF, cette version intermédiaire est motivée par "les modifications à réaliser et le besoin de consulter de nouveau la communauté". Il faut préciser que l'accord passé entre Novell et Microsoft, une des grosses modifications de ce troisième volet, avait bouleversé la feuille de route de la licence Open Source. Et poussé certains membres de la FSF à retarder la sortie de la GPL3 pour modifier le texte pour museler à l'avenir ce type d'accord. Cette antépénultième ébauche doit ainsi intégrer cette problématique. "Dans ce brouillon, nous avons travaillé dur à empêcher que de tels accords se moquent du logiciel libre", lance Richard Stallman, président de la FSF, dans un communiqué. Depuis sa première ébauche, la GPL 3 s'est notamment efforcée de résoudre les problèmes de DRM (Digital Right sManagement - Gestion des droits numériques), à renforcer la protection des utilisateurs contre les brevets logiciels. Et enfin à empêcher des alliances du type Microsoft / Novell. (...)

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