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(23/03/2007 16:28:54)
Des entreprises du secteur informatique se mobilisent pour le don d'organe
Pour une fois, la concurrence n'est que sportive ! Oracle, SAP ou HP sont réunies autour d'une cause que ces entreprises défendent : la 21e course du coeur Paris-Courchevel. L'événement organisé par Trans-Forme (Association Fédérative Française des Sportifs Transplantés et Dialysés) débute le 28 mars pour se terminer le 1er avril. Ainsi, certains transplantés de cet organe vital, ainsi que des salariés, effectuent 750 km de course en relais, et traversent 200 communes pendant quatre jours et quatre nuits. Le but des 19 équipes engagées est d'interpeller les hommes et les femmes transplantés de tous âges et de leur démontrer que la pratique d'une activité physique, adaptée à leurs contraintes médicales, les aide à reconquérir une qualité de vie après une greffe. L'autre objectif est d'attirer l'attention sur le don d'organes. Après un décès en effet, le prélèvement d'organes reste une décision extrêmement difficile à prendre pour les proches, et les participants à cette course veulent sensibiliser chaque personne à cette question individuelle et collective. Dans certaines entreprises, le message semble être entendu puisqu'en 20 ans la course est passée d'une cinquantaine de participants à près de 300 aujourd'hui. Un « challenge de la communication » centré sur le don d'organes En s'engageant dans ce challenge sportif et humanitaire, les entreprises ont pour obligation de diffuser un message de sensibilisation auprès de tous leurs collaborateurs, et de leurs publics externes à partir de cette année. Ainsi, elles se mesurent, non seulement sur les routes de France par les performances obtenues lors de la course elle-même, mais aussi au travers d'un « challenge de la communication » centré sur le don d'organes. Le plus original est peut-être de découvrir des entreprises comme HP, SAP ou Oracle s'investir dans ce combat. Et surtout une « fusion des efforts autour de la cause », comme l'indique Françoise Nové-Josserand, responsable communication France pour SAP. « Chez nous, le premier capitaine a transmis le virus à toute l'équipe constituée de 14 coureurs, hommes et femmes. Pour notre 6e participation, les valeurs véhiculées par la course du coeur sont soutenues en interne, y compris par la direction générale. » Premier miracle en amont de la course : SAP et Oracle seront partenaires. « Cet événement dépasse la concurrence que nous avons avec les autres entreprises pour faire place aux choses importantes de la vie, » conclut Françoise Nové-Josserand. (...)
(23/03/2007 16:18:15)Object Direct propose des séminaires techniques gratuits à Paris et en région
Objet Direct, filiale de Homsys Group propose un intéressant programme de séminaires techniques gratuits sur l'ensemble des technologies qui font l'actualité des DSI : comment construire l'architecture d'une application JEE5 ? Les applications les plus utilisées de .Net ? Est-il pertinent de démarrer un projet Ajax aujourd'hui ? Ces présentations dressent, lors d'un petit-déjeuner d'1h30, un état des lieux des concepts, des applications et des technologies. Elles sont animées par des consultants seniors d'Objet Direct et s'adressent à un public de directeurs et responsables informatiques, de directeurs de projet, d'architectes techniques et de chefs de projet. Directrice communication et marketing chez Objet Direct et Homsys, Gaëlle Dumur décrit les priorités de cette opération de marketing technologique : « Objet Direct est une société spécialisée dans le conseil objet et Web avec un positionnement « haut de gamme ». Son but est de montrer en amont les différentes opportunités qui s'offrent aux décideurs. Nos consultants très expérimentés leur expliquent sur quels critères faire un choix entre Java ou .Net par exemple. En abordant Java EE 5, nous passons à l'étape qui suit J2EE. L'autre objectif de ces rencontres est de montrer notre savoir-faire dans ces technologies et de proposer en aval le renforcement d'équipes avec des consultants confirmés. » Beau succès pour la première rencontre qui s'est déroulée ce 23 mars à Paris sur le thème : « Java EE 5 : évolution ou révolution de J2EE ? » Un autre rendez-vous est prévu à Grenoble, le 24 avril, autour de la même question. D'autres sujets sont prévus à Paris et en province jusqu'au mois de juillet : « Appliquer le Processus Unifié (UP) sur un projet de 1000 jours » : le 24 avril à Grenoble, le 26 avril à Lyon. « Tests automatisés : processus, outillage et environnements cibles » : le 25 mai à Paris. « Ajax dans vos projets Web, aujourd'hui et demain » : le 12 juin à Lyon, le 19 juin à Grenoble, le 6 juillet à Paris. « Microsoft .Net : une plateforme de développement ouverte ? » : le 19 juin à Grenoble. (...)
(23/03/2007 15:36:05)Palm remonte la pente grâce au Treo
Palm vient d'annoncer les résultats de ses ventes pour son troisième trimestre fiscal, qui s'est achevé le 2 mars. Celles-ci on atteint 738 000 unités, soit une hausse de 30% par rapport aux chiffres de l'année dernière et de 20% d'un trimestre à l'autre. Le chiffre d'affaires de 410 M$ est quant à lui en hausse de 5,6% sur un an. Le bénéfice net s'élève à 11,8 M$, contre 30 M$ un an plus tôt, et est supérieur aux prévisions du constructeur. Palm estime que son 4e trimestre devrait se situer dans la même fourchette. Cette embellie s'explique par le succès remporté par la gamme Treo, qui représente plus de 85% des ventes. Ces bons chiffres relancent plus que jamais les spéculations quant au rachat de Palm par Motorola, lequel vit de son côté des moments difficiles. Après avoir connu un 4e trimestre 2006 dramatique, le constructeur de Schaumburg va réviser à la baisse ses prévisions pour le premier trimestre 2007. Le directeur financier ainsi que le directeur général viennent d'ailleurs d'être remplacés. Chez Palm on se refuse toutefois à commenter les « rumeurs » de rachat. (...)
(23/03/2007 15:05:44)La Commission juge "inacceptable" l'attitude de Microsoft
La Commissaire européenne Neelie Kroes sort une nouvelle fois de ses gonds, et qualifie d'"inacceptable" le fait que Microsoft poursuive sa quête de parts de marché en usant de stratégies condamnées par la Commission en 2004. A l'époque, Microsoft avait dû verser la somme de 497 M€, pour abus de position dominante sur le marché des OS. "Microsoft gagne constamment des parts de marché et c'est ce qui est inquiétant sur le marché des serveurs professionnels", a-t-elle déclaré devant un parterre de parlementaires. Et de leur préciser que les parts de marché de Microsoft sur ce segment ont continué de croître depuis le procès de 2004. Selon elle, quand la Commission a commencé à enquêter sur l'éditeur de Redmond en 1999, il détenait entre 35% et 40% du marché. En 2004, ses parts de marché s'élevaient à 60% et maintenant il en détient entre 70% et 75%. En juillet dernier, la Commission européenne avait de nouveau condamné Microsoft à verser une amende de 280,5 M€ pour ne pas s'être conformé au jugement de 2004. Neelie Kroes, excédée, indiquait déjà ne plus tolérer qu'une telle conduite illégale se poursuive indéfiniment. (...)
(23/03/2007 15:03:31)Oracle poursuit SAP pour le vol de milliers de logiciels
La rivalité entre Oracle et SAP s'exacerbe avec la plainte déposée, ce jeudi, par le premier contre le second. Selon Oracle, le groupe allemand se serait rendu coupable de vol « à grande échelle » en procédant à des « accès systématiques et illégaux » au système de support informatisé destiné aux clients Oracle. Des accès dont le plaignant se serait rendu compte à la fin novembre 2006. Dans sa plainte de 44 pages déposée en Californie, Oracle vise SAP, sa division américaine et sa filiale TomorrowNow, une entité qui fournit notamment le support technique pour les applications Oracle des familles de produits estampillées PeopleSoft, Siebel et JD Edwards. Oracle estime que SAP a violé plusieurs dispositions légales en « copiant et récupérant sur ses serveurs des milliers de logiciels et de données confidentielles » afin de constituer « une bibliothèque d'applications Oracle soumises au droit d'auteur ». Au total, la plainte porte sur onze éléments, dont la concurrence déloyale et le vol de propriété intellectuelle. Oracle explique avoir réalisé en novembre 2006 que les accès et les téléchargements sur ses serveurs ne correspondaient pas au volume d'activité habituellement constaté. Selon le plaignant, des employés de SAP auraient, à ce moment, utilisé les identifiants de clients Oracle pour télécharger des centaines de logiciels et de données. Et Oracle de citer l'exemple de quatre journées consécutives au cours desquelles « SAP a téléchargé en moyenne 1800 éléments par jour (alors que le nombre de téléchargements est en moyenne de 20 par mois) ». Selon Oracle, les téléchargements illégaux provenaient originellement d'une adresse IP attribuée à la filiale de SAP TomorrowNow. Une adresse directement reliée au réseau SAP, explique la plainte. Quand Oracle a suspendu l'accès de cette adresse IP, une autre a pris le relais pour reprendre les téléchargement. La seconde IP émanait également de SAP. SAP n'a, pour l'heure, fourni aucun commentaire, se contentant d'indiquer avoir été avisé du dépôt de plainte et examiner les griefs qui lui sont faits. Des griefs qui, en plus de lister de supposés agissements illégaux, s'attardent sur la rivalité opposant les deux groupes et les stratégies mises en place. Le plaignant indique ainsi que « SAP n'a pas de réponse aux nouvelles propositions faites aux entreprises par Oracle à travers ses nouvelles offres (...) Non seulement de nombreux clients de SAP utilisent les bases de données d'Oracle, qui sont supérieures, mais Oracle propose en plus une gamme de produits pour entreprise plus large afin de concurrencer SAP ». Et de poursuivre « plutôt que d'améliorer ses propres produits, SAP a réfléchi à la façon de miner Oracle. (...)
(23/03/2007 14:15:51)Roaming : les députés européens moins exigeants que la Commission
Les membres de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs du Parlement européen ont adopté un texte fixant les tarifs du roaming (itinérance d'un réseau à l'autre) entre opérateurs mobiles. Le coût d'un appel passé depuis l'étranger, que ce soit vers le pays d'origine ou à l'intérieur du pays visité, ne devrait plus dépasser 0,5 € la minute hors taxe tandis que le montant facturé pour un appel reçu ne franchirait plus la barre des 25 centimes. Ces tarifs sont en phase avec ce qu'avait laissé entendre la commissaire européenne Viviane Reding la semaine dernière à Hanovre à l'occasion du Cebit. Toutefois, ces mesures ne s'appliqueraient automatiquement qu'aux nouveaux clients. Les autres devront en faire la demande pour en bénéficier. On est donc loin du projet de réglementation initial qui plafonnait pour tous les clients les appels de l'étranger vers le pays d'origine à 0,49 €, les appels à l'intérieur du pays visité à 0,33 € et les appels reçus à 0,16 €. C'est ce qui explique que le texte amendé n'a bénéficié que d'une très courte majorité (22 voix contre 21), le rapporteur du projet, le socialiste maltais Joseph Muscat, votant même contre. Il n'est donc pas exclu que les eurodéputés, qui devront se prononcer sur ce sujet le 10 mai, n'adoptent pas le texte en l'état. On attend aussi avec intérêt l'avis de la Commission de l'industrie qui va se prononcer sur le projet le 12 avril. Le Bureau européen des unions de consommateurs, qui regroupe 18 associations dont l'UFC-Que Choisir, déplore que l'Europe s'apprête « à laisser la majorité des consommateurs européens sans protection et à la merci des opérateurs télécoms ». L'association française, très active sur le sujet, a de son côté publié un communiqué de presse. « Si personne ne conteste la légitimité des opérateurs à faire des gains importants, comment justifier qu'un règlement européen les autorise à pratiquer des marges de 357% », peut-on y lire. Rappelons que la France, par la voix du ministre délégué à l'Industrie François Loos, s'est prononcée contre une baisse drastique des tarifs, adoptant ainsi le point de vue de la GSM Association, qui regroupe l'ensemble des opérateurs mondiaux ainsi que les équipementiers. Cette dernière n'a pas hésité à accuser la Commission européenne de violer les principes de proportionnalité, de subsidiarité et de non-discrimination et de ne pas avoir réalisé d'étude d'impact. (...)
(23/03/2007 12:22:18)Microsoft, IBM et d'autres soumettent SML au W3C
Un groupe de constructeurs et d'éditeurs, dont Microsoft et IBM, a décidé de soumettre les spécifications du langage SML (Service Modeling Language), auprès du W3C, organisme en charge des standards du web. On y retrouve également BEA, Sun, BMC, CA, Cisco, Dell, EMC, HP et Intel. SML repose sur XML et définit une méthode d'expression du fonctionnement et de la modélisation des ressources impliquées dans une application, un réseau ou un serveur. Son objectif est de faciliter alors la manipulation et la gestion de ces ressources. En gros, simplifier le pilotage de systèmes. Outre SML, ce même groupe d'industriels a également soumis SML-IF (SML Interchange Format) auprès du consortium. SML-IF doit définir comment s'échanger les modèles SML. Ces acteurs s'étaient regroupés en août 2006. (...)
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