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(22/03/2007 17:38:20)
Sun et AMD soutiennent l'ICM
Depuis l'automne 2006, l'Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (ICM) a créé à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière (Paris) un institut de recherche en imagerie médicale. Cet institut travaillera autour de trois axes : une cartographie 3D du cerveau pour préparer des opérations ; une amélioration de l'imagerie pour faciliter le diagnostic, effectuer un suivi des traitements et comprendre comment le cerveau récupère après un traumatisme ; et des études pour comprendre comment fonctionne le cerveau lors de l'exécution de tâches plus ou moins complexes. Sun et AMD ont décidé d'apporter leur soutien à cette fondation reconnue d'utilité publique en lui fournissant gratuitement le matériel informatique nécessaire à l'évaluation des résultats, à savoir 13 stations de travail et un serveur dotés de processeurs Opteron, un espace disque commun et un robot d'archivage pour une capacité respective de 20 et 80 To. Le tout pour un total estimé de 300 000 euros. Pour Christian Binelli, directeur général de Sun Microsystems France, ce prêt est une évidence. « Nous partageons avec le Centre une culture commune de R&D qui trouve désormais sa consécration dans ce partenariat », estime-t-il. Un point de vue partagé par Jerôme Carpentier, PDG d'AMD France. « L'apport d'une technologie de pointe, via nos processeurs AMD Opteron, va de pair avec le niveau des recherches théoriques et appliquées qui sont développées au sein de l'ICM. » (...)
(22/03/2007 17:36:08)Annuels Cegid : l'éditeur met l'accent sur la rentabilité opérationnelle
Résultats exercice 2006 : Chiffre d'affaires : 228,2 M€ (+1,7%) Résultat net : 16,2 M€ (+65,3%) Cegid a réalisé sur son exercice 2006, clos le 31 décembre dernier, un résultat opérationnel courant de 29,1 millions d'euros, en hausse de 36,6% par rapport à l'exercice 2005. La rentabilité opérationnelle courante s'établit ainsi à 12,8% du chiffre d'affaires contre 9,5% en 2005. Rappelons que le chiffre d'affaires 2006 de Cegid, déjà communiqué en janvier dernier, s'est établi à 228,2 millions d'euros, avec une modeste progression de 1,7% par rapport à 2005, à périmètre courant, c'est-à-dire en incluant les rachats effectués dans l'année (PMI Soft, GTI Industries et I&C). L'éditeur lyonnais de progiciels de gestion pointe l'amélioration de sa marge brute et la maîtrise de ses coûts fixes qui ont contribué à multiplier par deux, en deux ans, son résultat opérationnel, à périmètre courant, par rapport aux 12,7 millions d'euros enregistrés fin décembre 2004. Sur la même période, il souligne l'augmentation de quatre points de sa rentabilité opérationnelle. Quant à son résultat net, en augmentation de 65,3 % par rapport à l'an dernier, il s'élève à 16,2 millions d'euros. Rappelons que si le chiffre d'affaires de Cegid n'a que modestement progressé en 2006, cela tient principalement à la baisse de son activité de vente de matériel, en diminution de 10 millions d'euros sur l'exercice. Souhaitant se recentrer sur son métier d'éditeur et réduire ses coûts fixes, Cegid a donc annoncé, en février dernier, qu'il cédait à la société SCC cette activité de vente directe de matériel et de prestations associées. Celle-ci a généré en 2006 un chiffre d'affaires de 4,9 millions d'euros et concernait 120 collaborateurs de Cegid. Dans le même mouvement, l'éditeur a également confié à SCC la sous-traitance de l'installation et de la maintenance de matériel. Pour 2007, Cegid table sur le développement de ses trois catégories de solutions : ses progiciels de gestion intégrés (Cegid Business déclinés à la fois pour les petites structures et pour les moyennes et grandes entreprises), ses progiciels verticalisés par métiers (mode, distribution, industrie, négoce, BTP, services et professions comptables), ainsi que la mise à disposition de ses offres en mode hébergé (Cegid On Demand). (...)
(22/03/2007 17:16:31)Michel Rocard planche sur l'IT pour Ségolène Royal
Michel Rocard vient de se voir confier, par Ségolène Royal, une mission sur « les enjeux du numérique ». L'ancien Premier ministre aura en charge la rédaction d'un rapport dans lequel il devra fournir une série de propositions à la candidate sur les thèmes du numérique et d'Internet, des sujets pour l'heure peu évoqués dans la campagne. Entouré de neuf personnalités, dont Vincent Feltesse, le monsieur IT du PS, Aziz Ridouan, président des audionautes, François Pellegrini, fondateur les Rencontres mondiales du logiciel Libre, ou du journaliste et écrivain Frédéric Martel, Michel Rocard s'interrogera notamment sur les moyens nécessaires pour « relancer l'innovation dans le numérique et le logiciel en France et en Europe ». L'ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine planchera également sur l'informatique comme levier de la réforme de l'Etat, une réflexion qui devrait toucher aux logiciels Libres. Rappelons que Ségolène Royal avait rencontré Richard Stallman, le président de la Free Software Foundation, en juin 2006. Une rencontre au cours de laquelle la future candidate avait rappelé son opposition à la loi Dadvsi et partagé, avec le dogmatique Stallman, son attachement aux principes du Libre. Michel Rocard, qui s'était vigoureusement opposé aux brevets logiciels lors des discussions au Parlement européen, ne disposera que de quelques jours pour rendre son devoir : Ségolène Royal ramassera les copies début avril. (...)
(22/03/2007 17:09:21)SOA : vers une standardisation par l'Oasis des spécifications SCA
Chose promise, chose due. Les éditeurs de logiciels qui s'étaient réunis et avaient annoncé en décembre 2005 vouloir plancher sur un modèle de programmation standard pour les architectures orientées services (SOA) viennent non seulement de remettre leur copie, SCA v1.0, mais annoncent en outre leur intention de porter le tout à l'Oasis, afin que cette spécification devienne vraiment un standard. SCA (Service component architecture) a été initié par plusieurs éditeurs impliqués dans les SOA, tels IBM, Oracle, SAP, Iona, Xcalia... Ils ont été rejoints par d'autres acteurs, dont Sun (les tractations ont été délicates) et Red Hat (alors qu'à l'époque, Marc Fleury, le patron de JBoss, avait vivement critiqué l'initiative), gonflant le nombre à 18. Leur but était d'établir un modèle de référence, afin de faciliter l'intégration entre des produits de différentes provenances. Il y a en effet pléthore de petites spécifications standards pour réaliser des architectures orientées services, et rien ne dit que ces spécifications et les méthodes pour les employer soient compatibles entre elles. Dans le même ordre d'idées, le groupe, qui s'est appelé Osoa (pour Open SOA), s'est aussi attelé à SDO (Service data object), un moyen d'exploiter de façon homogène des données provenant de sources diverses. Des implémentations ont été proposées pour C et Cobol (l'Osoa continuera de plancher dessus), et définies pour C++, PHP et Java. Cette dernière sera soumise au JCP, l'organisme qui gère les spécifications liées à Java, tandis que la version C++ sera soumise à l'Oasis. L'Oasis a déjà planifié la création de plusieurs comités techniques chargés de ces questions ; ils devraient débuter leurs travaux en juin. Un cadre de référence plus large que la pléthore de spécifications WS-* La spécification SCA prend en compte le support du langage pour l'exécution de processus BPEL (Business process execution language), le gestionnaire de cinématique en Java Spring, ainsi que deux langages : Java et C++. Le travail sur C++ s'explique probablement par le fait que l'Osoa voulait éviter d'apparaître comme un organisme strictement orienté Java, donc en réaction face à Microsoft. Vice-président pour les standards de l'industrie chez SAP, Michael Bechauf indique aussi que SCA comporte un modèle d'assemblage décrivant la façon dont les différentes briques SOA doivent interagir, afin que les développeurs, architectes ou autres personnes intervenant sur des briques individuelles s'accordent sur un modèle cohérent. Les premières annonces sur SCA avaient suscité beaucoup d'interrogations. Un standard de plus, qui plus est défini par des industriels et non par un organisme de standardisation, pouvait rendre le tableau de la SOA encore plus complexe à décrypter. Mais, comme le souligne Mariano Boni, directeur technique de la SSII et société de conseil Dreamsoft (groupe Solucom), « chacun cherche à faire un peu plus que le standard, du 'BPEL++', ce qui se traduit par du '--' par rapport à la standardisation. La démarche SCA est donc très intéressante, elle donne une dimension de composant d'architecture de services. Et le fait que cela entre à l'Oasis lui donnera probablement un cadre plus clair ». Avis partagé par Marc Boullier, son homologue chez le concurrent Vistali. « A la différence de Microsoft, qui s'appuie sur une multitude de standards Ws-*, SCA offre un cadre plus global, qui améliore la lisibilité. C'est en outre une garantie de compatibilité. » Et la soumission à l'Oasis est bien un gage de maturité, « un signe de stabilisation, qui donne un niveau de confiance plus important, et peut amener à des recommandations plus favorables sur le terrain ». Face à des projets de SOA qui se multiplient dans une même entreprise, explique Marc Boullier, « il faut maîtriser la manière dont les architectes vont travailler, il faut donc un cadre de référence simple et lisible ». Seule inquiétude, formulée par Mariano Boni : que cette soumission à l'Oasis ne se traduise par un ralentissement des travaux sur le sujet. (...)
(22/03/2007 17:02:11)Atlanpole et Sophia Antipolis : deux technopoles en relatif stand-by pour la création d'emploi
Selon les relevés barométriques, pour 2006, de l'emploi sur les zones d'Atlanpole à Nantes, et de Sophia Antipolis sur la Côte d'azur, la dynamique des technopoles continue d'agir en termes d'attractivité, d'implantation et de création d'entreprises. Non sans un certain essoufflement que la mobilisation R&D, autour des projets de pôles de compétitivité notamment, n'a pas encore surmonté. Ainsi pour Atlanpole, en comparaison avec le rythme moyen annuel de 1235 emplois créés depuis six ans, l'année 2006 a été plutôt généreuse en création d'emplois (un total de 19739 emplois pour 264 entreprises, soit 2025 emplois de plus qu'en 2005). Et ce, avec 19 entreprises supplémentaires recensées sur la zone (implantations et créations), dont 8 start-up nées en 2006. Mais ce nombre d'entreprises créées est deux fois moindre que la moyenne des cinq années précédentes (17 en moyenne), et loin du score de 2001 avec 27 start-up lancées. Néanmoins, avec la hausse sensible du nombre de projets en incubation, de 39 recensés à fin 2005 à 51 recensés à fin 2006, tout espoir est permis pour une relance plus nette en 2007. Sachant qu'ici, comme pour la plupart des technopoles de l'Hexagone, le secteur informatique/télécom/électronique est nettement majoritaire (62% des emplois d'Atlanpole). Un tiers des emplois R&D nouvellement implantés en France Pour Sophia Antipolis, le bilan 2006 des implantations et décisions d'extension des entreprises accompagnées par l'agence de développement économique du département (Team Côte d'Azur) présenté début mars, fait état de 1400 emplois supplémentaires à l'horizon de trois ans, pour 41 entreprises implantées ou à venir sur la zone Nice-Sophia. Un indicateur d'autant plus suivi que, selon le relevé national de l'AFII (agence française pour les investissements nationaux), la Côte d'Azur (Alpes-Maritimes) compte pour le tiers des emplois R&D nouvellement implantés en France par des entreprises étrangères. Pour autant, en termes de chiffre d'affaires, le bilan 2006 présenté par la CCI niçoise en février, montre que le secteur des technologies de l'information et de la communication peine à franchir le cap des 4 milliards d'euros de chiffres d'affaires (3959 millions en 2006, 3999 en 2005, 3883 en 2004). Tandis que le pôle des sciences du vivant progresse (1815 millions d'euros en 2006). Plus inquiétant, comme pour Atlanpole, c'est surtout pour la création d'entreprises innovantes que les clignotants ont viré au rouge. Selon l'étude Dynamis présentée par Michel Bernasconi, professeur au Ceram (la Sup de Co locale) à l'initiative du cycle Entrepreuriat, en 2004, le solde de start-up était négatif avec 47 fermetures ou délocalisations pour 45 créations de jeunes pousses. Un léger mieux est enregistré en 2005, et surtout dans le domaine des technologies de l'information, avec un solde de 40 projets d'entreprises innovantes. Mais avec un effectif moyen (deux salariés) reflétant une ambition en net retrait par rapport aux années 1997-2000. La dynamique générée par les pôles de compétitivité régionaux - dont le pôle SCS (Solutions communicantes sécurisées) - et soutenue par les associations d'entreprises dont Telecom Valley (15 années d'existence, 100 entreprises dont 25 PME ayant rejoint l'association en 2006), n'a pas encore produit son effet. Mais un coup de pouce de l'Europe vient par ailleurs d'être obtenu, pour les Alpes-Maritimes comme pour 5500 communes de France (comme le précisait le ministre de l'Aménagement du territoire et président du Conseil général du 06, lors de la présentation du bilan 2006 de Team Côte d'Azur), avec l'adoption par Bruxelles d'une extension des « territoires éligibles aux aides à finalité régionale » (AFR). Ce qui permet à 14 communes du département (proches de la technopole de Sophia Antipolis), de bénéficier du dispositif de prime d'aménagement du territoire (pour 2007-2013) dont cette partie de la Côte d'Azur était jusque là exclue. (...)
(22/03/2007 16:59:18)Jacques Chirac séduit par le projet de Bibliothèque numérique européenne
Le président Jacques Chirac a présidé hier, mercredi 21 mars, une réunion depuis le Palais de l'Elysée sur le projet de Bibliothèque numérique européenne (BNE), en compagnie du ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres, et du président de la Bibliothèque nationale de France, Jean-Noël Jeanneney. Et "s'est félicité que ce projet se traduise par des développements concrets". La BNE devait être présentée au grand public lors du Salon du Livre qui ouvre ce 22 mars à Paris. Le projet d'une BNE a été lancé en 2005 par Jean-Noël Jeanneney, en réaction à l'initiative très controversée de Google, Google Print (désormais Google Books). A terme - en 2010 -, la BNE devrait permettre de visualiser sur Internet un fond documentaire de quelque six millions d'oeuvres. Et combinera pour cela les ressources mises en ligne de 25 universités européennes. Seule la partie développée par la France, baptisée Europeana, était présentée à Jacques Chirac. Dans un communiqué, l'Elysée souhaite "accélérer le rythme de numérisation de ses fonds patrimoniaux, avec pour premier objectif d'intégrer 100 000 volumes dans la BNE dès 2007" et "que les négociations engagées avec les ayants droits soient intensifiées afin que la BNE puisse s'ouvrir rapidement à des documents sous droits, dans le strict respect de la propriété intellectuelle." Serge Eyrolles, président du Syndicat national de l'édition et membre de la commission " Politique numérique " du Centre national du Livre, était par ailleurs présent lors de la présentation. L'Elysée rappelle également que "la Bibliothèque nationale de France a été dotée d'emplois supplémentaires et d'un budget spécifique de 10 millions d'euros par an pour ce projet". (...)
(22/03/2007 16:54:28)Dell lance des PC à très bas prix en Chine
Dell vient de lancer un PC à bas prix destiné aux consommateurs chinois. Soucieux de gagner des parts de marché dans un pays qui constitue un gigantesque réservoir de clients, le constructeur texan a choisi d'équiper sa machine - l'EC280 - de Windows XP, d'un Celeron à 1,2 GHz et d'un écran CRT 15', pour un prix équivalant à environ 250€. Dell propose également aux acheteurs chinois le Dimension C51-n, doté d'un Athlon64 3200, d'un OS Linux et d'un écran LCD 17', pour moins de 400€. L'idée de Dell est de profiter des opportunités de croissance qu'offre la Chine et, plus généralement, l'ensemble des marchés émergents. Comme le soulignait récemment l'institut Gartner, ces marchés doperont la progression mondiale des ventes de PC en 2007, comme ils l'ont déjà fait l'année dernière. William Amelio, l'ancien patron de la branche Asie-Pacifique du constructeur, indiquait ainsi, en 2006, que son groupe souhaitait cibler les "pays en voie de développement" comme la Chine, le Brésil, l'Inde et la Russie. (...)
(22/03/2007 14:10:20)Une vague de formations branchées systèmes d'information dans les écoles de gestion
Avis aux informaticiens. Une vague de renfort, du côté de leurs interlocuteurs en maîtrise d'ouvrage, est en train de se préparer, à en croire divers cursus annoncés pour la prochaine rentrée ou déjà lancés dans les écoles de gestion. Ainsi, le 28 mars prochain, le centre de recherche en management et organisation (Crepa) de l'Université Paris Dauphine et l'intégrateur CSC signent un partenariat pour l'organisation d'un master «Consulting & ERP» dont la première promotion sera accueillie en septembre 2007. A la clé, pour les étudiants, une garantie de débouché immédiat parmi les équipes de déploiement de progiciels de gestion intégré de CSC en France ou ailleurs. A Grenoble Ecole de Management, qui organise déjà, avec l'EMSI (Ecole de management des systèmes d'information), plusieurs mastères spécialisés (informatique décisionnelle, conduite de projets SI), a été lancé le 27 février dernier le réseau français de Discontinuous Innovation Lab (DIL) : un réseau international de chercheurs et de managers branchés sur l'innovation de rupture (modèles économiques, procédés et services nouveaux, etc.). Au sein du même groupe, Sup de Co Grenoble propose un mastère spécialisé « Manager agile » (management de la performance, management de la ressource organisationnelle, etc.) en formation à temps partiel (trois jours par mois, pendant quinze mois). De plus, la formation d'ingénieur en management technologique organisée en collaboration avec l'INPG (Institut National Polytechnique de Grenoble) et en formation continue (accès en VAE, validation des acquis de l'expérience) a reçu le 16 janvier 2007 un avis favorable pour habilitation par la commission des titres d'ingénieur. A Nancy, l'ICN lance en septembre 2007 un « master of sciences » accrédité par la conférence des grandes écoles, préparant au métier de l'audit, et fondé sur une collaboration transfrontalière avec les écoles de gestion de l'Université de Liège et du Luxembourg. L'ESC de Toulouse qui, de même, s'était alliée le soutien de Syntec Conseil en Management pour ouvrir en septembre dernier, un MBA de Consulting, s'est également dotée cette année d'une chaire en « e-management », avec le soutien actif d'IBM. Enfin, la plupart des Sup de Co pratique désormais plus ou moins largement la formule de l'apprentissage (ouverte pour les trois années du cursus à l'Inseec de Bordeaux et de Paris, à l'ESC Montpellier). De quoi donner aux futurs cadres une vision du fonctionnement de l'entreprise, notamment dans sa composante système d'information et usages des SI. A Reims, cette volonté d'innovation pédagogique (Reims Management School) est tout aussi manifeste avec notamment 350 étudiants en apprentissage (en seconde année d'étude) et autant d'entreprises partenaires du CFA (centre de formation par apprentissage), ainsi que trois chaires d'enseignement et de recherche (Auchan, Champagne, Crédit Agricole Nord-Est). Cette dynamique d'ouverture trouve prolongation, le 29 mars 2007, avec l'officialisation du lancement de la Fondation RMS qui devrait, grâce aux avantages de ce statut, permettre le lancement de nouvelles chaires et l'extension de l'attribution de bourses, notamment pour les étudiants étrangers. (...)
(22/03/2007 13:28:39)Gartner liste les principaux acteurs mondiaux de l'externalisation
A l'occasion de l'Outsourcing Summit de Dallas, la grand messe organisée par Gartner du 19 au 21 mars à Dallas, l'institut estime qu'environ 60 pays sont impliqués dans l'externalisation IT dans le monde. Gartner classe ces acteurs en trois catégories : ceux qui dominent le marché (Inde, Argentine, Russie), les participants actifs (Vietnam, Egypte, Chili, etc.) et les pays qui commencent seulement à s'engager dans cette voie. Parmi les nations que Gartner classe comme étant susceptibles de devenir des acteurs de l'externalisation IT, citons l'Algérie, le Kenya, Madagascar, Malte, l'Arabie Saoudite ou l'Ouganda. A ces pays, on peut ajouter Cuba : selon Frances Karamouzis, analyste au Gartner, Cuba, avec ses 11 millions d'habitants, constitue un candidat intéressant grâce à ses programmes éducatifs axés sur les mathématiques et l'informatique. Autant de compétences susceptibles de fournir au pays les clés de l'industrie IT externalisée. Subsiste cependant un obstacle de taille. Selon Eric Driggs, chercheur à l'Institut d'études cubaines et cubano-américaines de Miami, le gouvernement cubain considère l'IT comme une menace pour la sa sécurité. La récente nomination de Ramiro Valdes, ancien responsable de la sécurité, au ministère de la Communication confirme que les dirigeants cubains n'entendent pas lâcher du lest sur le contrôle du Web et des nouvelles technologies en règle générale. (...)
(22/03/2007 11:21:54)SugarCRM ajoute la gestion de projet à son offre de GRC
Depuis la création de SugarCRM, en juin 2004, le logiciel de gestion de la relation client (GRC) que l'éditeur développe en Open Source a été téléchargé un million et demi de fois (trois millions de téléchargements au total, en incluant les mises à jour et les nouveaux modules). La base installée de l'offre payante regroupe 1 200 entreprises et l'éditeur entend défier des spécialistes de la GRC, comme Salesforce.com (30 000 clients dans le monde). Clint Oram, l'un des trois fondateurs de la société, directeur général du siège européen tout juste implanté, en veut pour preuve les cinquante clients qu'il a déjà repris à cet emblématique concurrent. Pour renforcer sa solution, actuellement dotée des fonctions requises pour gérer les ventes, le marketing multicanal et l'assistance aux clients (les trois piliers de la GRC), l'éditeur vient d'annoncer un module de gestion de projets. Intégré aux autres modules, Project Management permet de suivre les actions menées sur les clients. Il assure le partage d'informations entre les collaborateurs (avec visualisation de l'historique des échanges), apporte des outils de planification, des modèles de projets pré-définis, des vues sous forme de diagrammes de Gantt (pour figurer graphiquement les différentes étapes d'un projet) et des tableaux de bord pour le contrôle d'indicateurs clés. Il est possible d'exporter ces données vers le logiciel Microsoft Project. Des versions sur site, en ligne ou packagées clé en main Le module Project Management est inclus dans l'abonnement aux versions commerciales de SugarCRM. L'éditeur propose en effet deux produits, parallèlement à Sugar Open Source, son offre gratuite allant jusqu'à cinq utilisateurs. Au-delà de cinq postes, on trouve Sugar Professional et, pour les grandes structures, Sugar Enterprise. Ces déclinaisons peuvent s'installer en interne, de façon classique (version On-Site), ou s'utiliser à partir d'une connexion Internet (version On-Demand). Sugar Professional On-Site est vendu 210 euros par utilisateur et par an, et Sugar Enterprise, 340 euros par utilisateur et par an. En mode hébergé, l'abonnement mensuel à ces versions coûte respectivement 40 ou 75 euros par utilisateur. Il est intéressant de noter que SugarCRM a également mis au point une version « clé en main » de son offre, livrée avec le matériel. Baptisée Sugar Cube, elle comprend le serveur, la base de données (MySQL ou Oracle 9i, au choix) et un outil de déploiement rapide, Sugar FastStack. A partir de cinq utilisateurs (Sugar Cube 1005) et jusqu'à 250 (Sugar Cube 3005. La communauté SugarCRM regroupe 7 000 développeurs dans le monde, dont 200 sont impliqués au quotidien sur le projet (le logiciel est entièrement développé en langage PHP). A l'instar de Salesforce.com, SugarCRM a également créé sa place de marché, SugarExchange, sur laquelle des éditeurs indépendants peuvent proposer des outils complémentaires à son offre de GRC. Parmi ces partenaires figure notamment l'éditeur de solutions décisionnelles en Open Source JasperSoft qui a également apporté des outils d'analyse à l'offre de Salesforce.com (sur le site AppExchange.com). Sur le même sujet : -GRC en Open Source : SugarCRM ouvre un siège en Europe -Forrester distingue quatre logiciels pour moyennes entreprises - SugarCRM se rapproche de JasperSoft -SugarCRM propose de nouveaux services de support -SugarCRM devrait adopter la licence Microsoft Shared Source (...)
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