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(18/10/2011 09:51:22)
Les marques peinent à informer les consommateurs sur les réseaux sociaux
La majorité des marques a beau s'afficher sur les principaux réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, l'étude montre que les consommateurs préfèrent s'informer sur les produits récents en consultant les critiques rédigées par leurs pairs.
La majorité (63%) des utilisateurs de médias sociaux ont désigné les « notes des consommateurs » comme leur source préférée pour obtenir des infos sur un produit ou un service. Viennent ensuite les « critiques des consommateurs », qui sont la source préférée de 62% des membres des réseaux sociaux.
Impact des réseaux sociaux relativement faible
A titre de comparaison, des méthodes de marketing plus modernes, comme la publicité en ligne, ne parviennent pas à convaincre les internautes. Seulement 15% des utilisateurs de réseaux sociaux les citent comme leurs sources d'information préférées, et les comptes Twitter et les publicités en ligne ne séduisent que 8 et 7% des personnes interrogées pour s'informer sur des produits particuliers.
Une étude du mois d'août par Polaris Marketing Research montre que les marques dotées d'une page Facebook montent « quelque peu » dans l'estime de 33% des Américains, et pour 51% d'entre eux, « le fait d'avoir une page Facebook pour une entreprise signifie qu'elle s'intéresse à ce que les consommateurs pensent ».
Mathon modernise sa relation client avec les solutions SaaS d'Eptica
Mathon est un spécialiste de la vente à distance de matériel de cuisine. Depuis trois ans, il met l'accent sur le e-commerce via le site à son enseigne. Mais ce développement a entrainé une multiplication des demandes des clients, notamment sous forme d'e-mails entrants.
Or le distributeur gérait ses mails au travers d'une messagerie traditionnelle (Outlook en l'occurrence). Il avait donc besoin d'installer une solution plus pertinente pour assurer un suivi global des contacts clients, en les insérant dans le flux multicanal, et d'accroitre la pertinence et la rapidité des réponses faites.
Début 2010, Mathon a d'abord envisagé de réaliser un développement spécifique interne. Mais il a finalement choisi deux outils en mode SaaS fournis par Eptica : Eptica Email Management et Web Selfservice. La capacité de reporting de pilotage a été un argument important.
Les avantages des deux solutions
Eptica Email Management permet de router les demandes vers le bon interlocuteur puis d'aider à une réponse de qualité avec des aides en ligne et un suivi de l'historique client. De plus, un système d'alerte vérifie que les mails ont bien obtenu des réponses dans les délais impartis. La moyenne de traitement des e-mails était auparavant entre 3 et 5 jours. 80% des e-mails sont aujourd'hui traités en moins de 48 heures, l'objectif étant de descendre, avant la fin 2011, ce chiffre en dessous de 24 heures.
Eptica Web Selfservice, quant à lui, contribue à diminuer le volume des mails entrants en guidant les internautes pour trouver par eux-mêmes sur le site les bonnes réponses à leurs interrogations posées en langage naturel. Le volume global des contacts entrants a grandement diminué, le nombre des e-mails étant même divisé par deux.
Les deux solutions vont être prochainement intégrées à la GRC interne pour améliorer la prise en compte des contacts clients dans la gestion commerciale, notamment pour personnaliser au mieux celle-ci.
Le coût du projet n'a pas été révélé.
La CNIL consulte sur les données dans le cloud
La Commission Nationale Informatique et Libertés a décidé de lancer une consultation des professionnels, prestataires comme clients, sur le cloud computing. Cette consultation se déroule du 17 octobre au 17 novembre 2011. Pour y participer, il convient de télécharger le document de consultation, de répondre aux questions posées et de le renvoyer à l'adresse indiquée (mail ou courrier postal).
Le document de consultation fixe les raisons de l'inquiétude de la CNIL sur le sujet, redéfinit brièvement le concept de cloud et demande l'avis du répondant sur l'analyse de la CNIL.
Quels sont les champs de compétences de la CNIL?
En l'occurrence, la CNIL ne s'intéresse qu'à un seul aspect de la problématique du cloud, celui en rapport avec sa compétence : qui est responsable du traitement de données personnelles hébergé dans un système d'informatique dans les nuages ? Autrement dit : qui doit veiller aux intérêts des personnes faisant l'objet des traitements cloudifiés ? Et qui doit être, le cas échéant, sanctionné en cas de problème ?
L'avis provisoire de la CNIL adopte une logique proche de celle de la LCEN sur les hébergements web : l'entreprise utilisant un service en ligne est responsable sauf à démontrer l'implication du prestataire.
Lefebvre Software change de structure capitalistique
L'éditeur Lefebvre Software entame une nouvelle étape. En 2007, Viviane Ribeiro arrivait aux commandes de la filiale des éditions Lefebvre-Sarrut (Francis Lefebvre, Dalloz etc....). Ces derniers détenaient, avant la dernière opération, 92% du capital, le management 6%, d'autres actionnaires 2%. Comme prévu en 2007, ce tour de table change et Lefebvre-Sarrut passe la main.
Arrivent aux commandes trois nouveaux actionnaires : Viviane Ribeiro et le management 16%, le CIC LBO Partners et Women Equity Partners. Ce changement d'actionnaire est réalisé sous forme de LMBO , leverage management buy out. Viviane Ribeiro et le management pilotent donc cette opération, après avoir réussi le développement de l'éditeur. « Je pensais avant 2007 qu'une fenêtre de développement s'ouvrait pour le mid market, le parcours de Lefebvre Software nous a donné raison », commente Viviane Ribeiro. Pour la nouvelle étape, elle s'est engagée à doubler de taille, l'éditeur devrait réaliser 41 millions d'euros de CA cette année et atteindra entre 80 et 100 millions d'euros dans les cinq ans à venir.
Lefebvre Software gardera son nom. Le CIC LBO Partners devrait l'accompagner plus longtemps qu'un fonds d'investissement classique, puisqu'il garde ses participations entre 8 et 10 ans. L'autre actionnaire, le Women Equity Partners réalise là sa première opération, Lefebvre Software veut être le modèle d'un développement rentable de PME dirigées par une femme.
Illustration: Viviane Ribeiro, PDG de Lefebvre Software
Crédit photo: D.R (...)
Les TPE restent sous-équipées en IT
Les chiffres de cette étude (*) sont on ne peut plus parlants. « On pourrait avoir la gueule de bois en parcourant ces résultats » confesse Etienne Astruc, directeur marketing d'EBP, et maître d'oeuvre de l'opération. Sur l'aspect logiciels, qui intéresse le plus directement EBP, 24% des entreprises déclarent disposer d'un logiciel de comptabilité, 17% un logiciel de facturation, 6% un logiciel de GRC, 6% également un logiciel de paye, 52% ont un logiciel de bureautique. Il reste de la marge.
L'équipement n'est guère mieux loti. 21% de ces entreprises se refusent à posséder un ordinateur, 36% se passent de téléphone portable, 82% ignorent le smartphone, 95% la tablette. Les chiffres de connexion à Internet rejoignent ceux déjà connus, comme l'étude de Scholé Marketing. 87% de ces entreprises sont connectés à Internet, 57% via une box Internet 3G+.
S'il y a usage il y aura équipement
Ce qui intéresse le plus Etienne Astruc tient aux usages. S'il y a usage il y aura équipement. Or, 44% seulement de ces entreprises effectuent des opérations par Internet, 17% seulement télédéclarent. Autre sujet, la présence sur Internet, 33% se déclarent visibles, 4%possèdent une boutique en ligne. Celles qui possèdent un smartphone (18%) s'en servent essentiellement pour des SMS, ensuite les emails et enfin la recherche sur Internet. Les relations bancaires (44% en font) se répartissent entre la consultation de compte, les virements, le rapprochement.
Conclusion, si l'équipement matériel et logiciel est faible, l'usage est également réduit. C'est pourtant par l'usage et sa compréhension que se débloquera l'équipement des TPE. EBP en est persuadé. C'est pourquoi, il lance un site pour développer les usages numériques professionnels.
L'UIT lance un concours pour le développement des TIC
L'Union internationale des télécommunications a lancé une série de prix pour des projets consistant à améliorer la connexion aux TIC, en particulier au sein des communautés mal desservies. Ces projets doivent s'inscrire dans la dynamique des objectifs du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI).
Les prix couvrent 18 catégories, allant de l'infrastructure aux applications en passant par le rôle des pouvoirs publics dans le développement des TIC, et font désormais partie intégrante du Processus d'inventaire des activités du SMSI.
Date limite le 29 janvier 2012
Les 18 prix apporteront une notoriété et une reconnaissance internationales à leurs gagnants, qui seront présentés lors d'une manifestation spéciale organisée pendant le Forum 2012 du SMSI.
Selon Hamadoun Touré, Secrétaire Général de l'UIT, «Le processus du SMSI est l'un des piliers des activités de l'UIT en faveur du développement. Nous sommes très heureux de pouvoir reconnaître publiquement l'excellent travail réalisé par des parties prenantes dans le monde entier pour faire des TIC le moteur du progrès socio‑économique».
La compétition est ouverte à tous. Les personnes intéressées sont invitées à soumettre un projet d'ici au 20 janvier 2012.
NEC prolonge la durée de vie des batteries Lithium-Ion
La technologie présentée par NEC vise à augmenter sensiblement la durée de vie des batteries Lithium-Ion. Le constructeur vise plusieurs marchés dont celui des smartphones et des tablettes. Lors des tests réalisés, les prochaines batteries pourraient tenir 83% de leur charge d'origine après 23 500 cycles, ce qui équivaut selon l'entreprise à 4 ans d'utilisation dans des conditions normales. Les tests ont été réalisés à 25 degrés Celsius.
33 ans pour 50% de charge d'origine
NEC estime que sa technologie permettrait la création de batteries pouvant maintenir 50 % de leur charge d'origine pendant environ 33 ans, soit plus du double des batteries actuelles (15 ans). Elles utilisent un composé organique de soufre pour prévenir les accumulations sur les résistances internes, qui obèrent progressivement la puissance et la durée de vie des batteries, explique le constructeur.
Un porte-parole de NEC a indiqué qu'aucun plan pour la commercialisation de cette technologie n'avait encore été arrêté.
Dell World 2011 : Virtualisation, cloud et secteur public à l'honneur
Lors de la première édition de Dell World se sont succédé sur scène : Michael Dell bien sûr, Paul Maritz (VMware, en illustration principale), Marc Benioff (Salesforce), Steve Ballmer (Microsoft) et Paul Otellini (Intel) et Vivek Kundra, l'ancien CIO des États-Unis. Ce dernier a dressé un auto-bilan très élogieux de ses trois années passées au poste de DSI du gouvernement américain. Un poste fédéral qui lui a permis de mettre de l'ordre dans les systèmes d'informations américains, avec une réduction drastique du nombre de datacenters en service (de 2000 à 1200), une mise en cloud de nombreux services, l'amélioration de l'interopérabilité et la mutualisation des ressources.
Une tâche ardue quand on sait que les dépenses informatiques des États-Unis s'élèvent à 80 milliards annuels et que certains programmes ambitieux comme un ERP fédéral doté d'un budget de 34 millions de dollars n'a jamais fonctionné. Après trois ans et de nombreux aller-retour dans le pays pour sensibiliser les directions informatiques à son projet de créer « une démocratie plus ouverte et plus transparente », M.Kundra a finalement jeté l'éponge pour rejoindre l'Université de Harvard et donné de fructueuses conférences dans tout le pays. Le premier DSI américain voulait ainsi protester contre les coupes budgétaires qu'il avait dû subir.
Virtualiser pour mieux passer au cloud
Après la prestation de Vivek Kundra, les autres interventions étaient pour ainsi dire plus convenues. Paul Maritz, CEO de VMware, a toutefois réussi à captiver son auditoire avec sa présentation sur l'évolution de la virtualisation dans les datatcenters pour aller vers le cloud privé, sur les terminaux mobiles pour bien séparer vie professionnelle et vie privée, et sur le développement et le déploiement d'application sur le cloud. Pour Paul Maritz, «Oracle et Microsoft ne proposent que des environnements fermés qui obligent les clients à piocher dans le catalogue d'un des éditeurs pour développer ses projets». Avec ses solutions (Spring, Cloud Foundry...) et fort de sa position leader dans le domaine de la virtualisation, le CEO ambitionne de proposer la première Open Platform as a Service. Un acronyme de plus dans la jungle cloud donc.

Juste après Paul Maritz, Marc Benioff, le CEO de SalesForce (ci-dessus), n'a pas guère forcé son talent en reprenant presque mot pour mot - petites anecdotes comprises - la présentation effectuée à l'occasion de DreamForce 2011. Une petite déception surtout après les annonces Fusion du dernier OpenWord d'Oracle. Invité de Dell, le bouillonnant Benioff est resté dans les clous pour ne pas froisser le Texan, un des nombreux partenaires d'Oracle.
Migration de VM avec Windows 8 Server
Nouvelle déception avec Steve Ballmer, le CEO de Microsoft (ci-dessous), qui n'a pas dit un mot sur les tablettes Windows 8. L'explication est peut-être tout simplement que Dell n'avait pas de produits basés sur ARM à montrer. Et il n'était bien sûr pas question de promouvoir les produits d'un concurrent. Voilà pourquoi Steve Ballmer s'est concentré sur Windows 8 Server et Hyper-V 3 qui intègrent certaines fonctionnalités aujourd'hui disponibles chez des éditeurs tiers comme Quest Software. Et pour promouvoir les capacités en virtualisation d'Hyper-V 3, un technicien est venu montrer qu'il sera possible de supporter 32 processeurs virtuels avec plus de 100 Go de RAM. La préversion de Windows 8 Server supporte aujourd'hui jusqu'à 512 Go en mémoire et peut gérer un volume de stockage virtuel de 16 To. Une des démonstrations effectuées sur scène consistait à migrer en temps réel et sans interruption de service une machine virtuelle d'un serveur à un autre. Après la keynote, certains responsables informatiques dans la salle se sont montrés très intéressés par cette fonction.
Windows 8 vital pour les ultrabooks
Dernier invité de marque de ce Dell World, Paul Otellini est venu réaffirmer que l'interface tactile allait s'imposer sur les PC au détriment du clavier et de la souris. Mais l'essentiel de ses propos portait bien sûr les ultrabooks, ces portables plus minces et plus légers fortement inspirés du MacBook Air. Le problème reste aujourd'hui les prix de ces PC portables qui reste supérieurs à 1 000 dollars. Le CEO d'Intel espère réussir à baisser le ticket d'entrée des principaux composants pour accompagner le lancement de cette nouvelle plate-forme qui ne sera toutefois jamais aussi bon marché que les netbooks. L'arrivée des tablettes tactiles a laminé le segment de ces petits portables bon marché et bon à rien.
Paul Otellini a indiqué que les ultrabooks n'avaient pas encore été commercialisés en masse, mais qu'ils le seraient un peu plus tard dans l'année. L'arrivée de Windows 8 en 2012 est également un élément clef pour le succès de ces produits, a précisé le dirigeant, soulignant que le prochain système d'exploitation de Microsoft sera critique pour les ultrabooks. « Nous pensons que Windows 8 sur l'architecture Intel, en particulier sur les ultrabooks, vous apportera l'expérience ultime ». Enfin tout du moins jusqu'à la prochaine fois. On avait déjà entendu une histoire similaire avec le duo Windows 7 Starter et netbooks...
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