Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 2071 à 2080.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/10/2011 17:02:47)

Wall Street : Les résultats de SAP et Google ont profité au secteur IT

Les bons résultats des entreprises de technologie, Google en particulier, combinés à un marché un peu rassuré sur l'évolution de l'économie, ont stimulé la confiance dans le secteur informatique. Ainsi, vendredi, les marchés ont clôturé à la hausse : des entreprises aussi différentes que Google, SAP, Computer Services Inc (CSI) et Fairchild Semiconductor, ont affiché des résultats positifs. Au Nasdaq, les cours des entreprises informatiques étaient en hausse de 1,9 % en valeur agrégée, l'indice gagnant 47,61 points pour clôturer à 266,85 points. L'action Google a pris 32,69 dollars pour clôturer à 591,68  dollars, tirant le marché vers le haut. Aujourd'hui, les cours ont légèrement baissé.

Les bons résultats de Google montrent que l'entreprise continue à dominer le marché de la recherche sur Internet. Dans une conférence téléphonique, son PDG et co-fondateur Larry Page a mis en avant le développement du site de réseau social récemment lancé, Google+, qui compte aujourd'hui environ 40 millions de membres. Le groupe californien a clôturé le trimestre avec des recettes en hausse à 9,72 milliards de dollars, soit 33 % de plus que l'année dernière à la même date, et affiche un bénéfice net de 2,73 milliards de dollars, contre 2,17 milliards de dollars l'an dernier. Les ventes et profits ont dépassé les prévisions des analystes. 

Les ventes de SAP ont progressé de 14% au 3e trimestre

Si Google a monopolisé l'attention, d'autres entreprises ont confirmé certaines tendances majeures, notamment une hausse des ventes pour les éditeurs de logiciels et les vendeurs de services. Par exemple, le chiffre d'affaires de SAP, le géant de l'ERP (Enterprise Resource Planning), a augmenté de 14% au troisième trimestre, par rapport au même trimestre de l'an dernier (il s'agit de résultats préliminaires). Dans le même temps, son bénéfice d'exploitation a plus que doublé, grâce à la révision des dommages et intérêts que l'entreprise doit payer à Oracle pour mettre fin au litige impliquant son ancienne filiale, TomorrowNow. Mais, même sans tenir compte de cette dette, l'entreprise affiche une hausse de 12% de ses revenus au troisième trimestre, à 3,41 milliards d'euros, et son bénéfice d'exploitation bondi de 23 % à 1,127 milliards d'euros. Au New York Stock Exchange, vendredi, les actions de SAP ont gagné 1,49 dollars, pour clôturer à 57,66 dollars.

Illustration : http://www.google.com/finance?q=INDEXNASDAQ:.IXIC
[[page]]
CSI (Computer Services Inc) a aussi affiché des revenus et un bénéfice net records vendredi pour la période finissant en août, ses ventes ayant progressé de 3,8 % pour atteindre 43,5 millions de dollars et son bénéfice ayant augmenté de 3,4 % pour atteindre 6,4 millions de dollars. C'est le 29ème trimestre que l'entreprise affiche des ventes en hausse. Enfin, le secteur des semi-conducteurs a même eu droit à de bons résultats. Fairchild Semiconductor a profité d'un bénéfice de 0,34 dollar par action pour 403,2 millions de dollars de revenus, dépassant les attentes des analystes. Bobby Burleson, analyste du secteur des technologies chez Canaccord Genuity, a fait remarquer que l'entreprise devrait profiter « de la normalisation des inventaires début 2012, après un second semestre 2011 rude qui a obligé les distributeurs à diminuer leurs stocks à des niveaux très bas. »

Marché ralenti pour les PC

D'une manière générale, le marché du hardware croit plus lentement que prévu, un point sur lequel s'entendent aussi bien Gartner que IDC. Dans une note figurant dans une de ses études, IDC a déclaré que les livraisons mondiales de PC avaient augmenté de 3,6 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre 2010, en légère hausse par rapport aux 2,7 % de croissance observés au second trimestre, mais inférieures aux prévisions de 4,5 % avancées au mois d'août. Les pays américains et ceux de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) ont donné des résultats légèrement inférieurs aux attentes, précise IDC. « La plupart des vendeurs continuent à se battre dans un marché ralenti et dans lequel la rotation des produits est plus lente, » a déclaré dans un document Loren Loverde, vice-président d'IDC. « Nous ne voyons pas les tablettes et d'autres terminaux remplacer les PC. La question reste ouverte de savoir comment ces produits vont évoluer et comment va se manifester l'intérêt des consommateurs pour ces types de produits. »

Baisse des ventes chez Sony Ericsson

En attendant, tous les fabricants de smartphones ne tirent pas avantage des ventes explosives de ce type de terminaux. Vendredi, Sony Ericsson a annoncé que la hausse du prix de vente moyen de ses téléphones compenserait à peine la chute de 9 % de ses livraisons de téléphone mobile. Au troisième trimestre, le fabricant atteint tout juste le seuil de rentabilité, avec des ventes atteignant 1,59 milliard d'euros, contre 1,6 milliard un an auparavant. Si le secteur du hardware est dans la tourmente, celui du logiciel, notamment les applications pour l'entreprise, semble diffuser une confiance sous-jacente au secteur technologique. Avec les gains enregistrés vendredi, les fabricants informatiques gagnent plus de 4 % sur l'année au Nasdaq.

Un certain regain de confiance dans l'économie a aussi contribué à faire grimper les cours cette semaine. Les dirigeants français et allemands s'emploient à mettre une touche finale au plan destiné à résoudre la question de la dette souveraine de la Grèce, et potentiellement, celle de l'Italie et de l'Espagne, avant la réunion de l'UE du 23 octobre. En attendant, le département américain du commerce a déclaré, vendredi, que comparé au mois précédent, les ventes de détail avaient augmenté de 1,1 % en septembre sur le marché américain et les ventes du mois d'août ont été révisées à la hausse, à 0,3 %. Dans cette période de résultats, on attend aussi de fortes prises de bénéfices dans le secteur des logiciels. Reste que la confiance des investisseurs dépendra probablement davantage de la résolution qui sera prise lors du prochain sommet européen.

(...)

(17/10/2011 16:38:02)

4 millions d'iPhone 4S vendus en 3 jours par Apple

Apple annonce dans un communiqué, ce lundi 17 octobre, avoir dépassé les quatre millions de pièces vendues depuis la mise sur le marché, le 14 octobre, de son nouvel iPhone 4S. Ce démarrage en trombe constitue « un record pour un téléphone, et plus du double des ventes d'iPhone 4 trois jours après sa sortie » précise Philip Schiller, senior vice president de la division Worldwide Product Marketing d'Apple.

Il est à noter que le petit dernier de la firme de Cupertino n'est pourtant aujourd'hui disponible que dans sept pays, à savoir les Etats-Unis, l'Australie, le Canada, la France, l'Allemagne, le Japon et le Royaume-Uni.

Sa distribution va toutefois s'élargir progressivement, s'enrichissant de 22 pays supplémentaires le 28 octobre, avant de de dépasser les 70 pays d'ici la fin de l'année.

(...)

(17/10/2011 16:09:57)

RIM offre des applications et du support aux possesseurs de Blackberry

Pour se faire pardonner la gigantesque panne de la semaine dernière, Research in Motion a déclaré aujourd'hui qu'il fournirait aux possesseurs de Blackberry plus de 100 dollars  d'applications premium.  Le fabricant canadien proposera également à ses clients professionnels un mois de support gratuit pour les aider à compenser les problèmes qu'ils ont rencontrés. « Cette offre constitue l'expression de notre gratitude pour nos abonnés qui ont su faire preuve de patience », a indiqué RIM, dans un communiqué. Les possesseurs de Blackberry pourront donc télécharger des applications premium comme Sims 3, Bejeweled et Vlingo Plus. Virtual Assistant sera disponible à partir du 19 octobre 2011 sur le BlackBerry App World. Les autres applications pourront être téléchargées jusqu'au 31 octobre 2011.

Des apps qui dépendront des smartphones et OS

La valeur totale de ces apps dépassera les 100 $, mais leur disponibilité dépendra du smartphone et de la version du système d'exploitation, a précisé RIM.
Les professionnels bénéficieront d'un support gratuit en lieu et place d'applications. Une prolongation d'un mois de leur contrat de support technique sera également offert aux clients actuels de RIM. Ceux qui ne possèdent pas de contrat de support technique pourront profiter d'un mois d'essai.

Ces offres interviennent après les arrêts de fonctionnement  qui ont affecté les utilisateurs de Blackberry  en Europe, au Moyen-Orient, en Inde, en Afrique, en Amérique latine, au Canada, et aux États-Unis. Après des interruptions et des retards sur les services de messagerie, et sur l'accès au web, le service a finalement été rétabli jeudi dernier.

« Nous avons présenté nos excuses auprès de nos clients, et nous allons travailler inlassablement pour leur redonner confiance »,   a affirmé le co-président et fondateur de RIM, Mike Lazaridis,  dans un vidéo postée jeudi dernier. Nous avons immédiatement pris des mesures pour aider à prévenir ce type d'incident et éviter que cela ne se reproduise, avait-il ajouté dans sa déclaration, sans toutefois préciser ce que la firme envisageait réellement de faire.


(...)

(17/10/2011 15:40:18)

Truffle 100 Europe : belle progression, les Américains à l'affût

Truffle Capital vient de livrer son classement annuel des cent premiers éditeurs de logiciels en Europe, avec IDC et le CXP, en se basant sur les résultats 2010 de ces sociétés. Ce Top 100 marque « l'année de la croissance retrouvée, dans un contexte de sortie de crise, du moins jusqu'à cet été », commente Bernard-Louis Roques, directeur général et co-fondateur de Truffle Capital. Le chiffre d'affaires du Top 100 s'est élevé à 30,9 milliards d'euros pour les revenus issus du logiciel contre 27,1 Md€ l'année précédente, soit une progression de 14% (sur un chiffre d'affaires total de 49,4 Md€). « Une croissance très significative et des profits, surtout », souligne Bernard-Louis Roques sur un secteur encore dominé par le modèle traditionnel des licences et qui a continué à investir dans sa R&D. Au total, les bénéfices de ces éditeurs sont passés de 3,7 Md€ en 2009 à 5,8 Md€ en 2010.

« En ce qui concerne les indicateurs d'investissement, il y a là aussi une forte poussée, à remettre bien sûr dans un contexte où l'on a eu l'impression de recouvrer une forte visibilité, ajoute le co-fondateur de Truffle Capital. On a donc parié sur l'avenir ». Les dépenses en R&D ont ainsi progressé de 15,7% par rapport à 2009 pour atteindre 4,4 Md€. L'année précédente, ils n'avaient augmenté que de 5,1%, « ce qui était finalement aussi  un bon chiffre, relève Bernard-Louis Roques, car les éditeurs avaient investi en R&D au-delà de leurs bénéfices. Sur 2010, le nombre d'emplois qualifiés de R&D a légèrement augmenté (+2%), passant à 55 268 personnes.

L'Allemagne réalise à elle seule plus de la moitié du chiffre d'affaires des éditeurs du Truffle 100 Europe, avec 16 sociétés figurant au classement, le Royaume-Uni en génère 18,6%, avec 24 sociétés, et la France 11,2% avec 18 sociétés. Derrière viennent les Pays-Bas avec 3,5% et 7 sociétés.

Le Top 50 pèse 84% du tout, contre 91% en 2009

Concernant les forces en présence dans ce Top 100, on constate un certain rééquilibrage. Le poids des gros éditeurs a relativement diminué par rapport aux plus petits. Toujours très loin devant avec ses 12,3 Md€ de chiffre d'affaires, le groupe allemand SAP ne pèse plus que 31% du total, contre 40% en 2009. Le Top 5 (SAP, Dassault Systèmes, Sage, Software AG et Datev) représente maintenant 44% du tout, contre 56% un an plus tôt. Et le Top 25 réalise 63% des revenus en 2010 quand il en générait 79% en 2009. « Cela ne révolutionne pas le business model, mais c'est une tendance ».

A noter que l'éditeur britannique Autonomy, tout juste racheté par HP, va donc sortir du Truffle 100 Europe. Une modification « comparable par la magnitude à ce qui s'était passé avec l'acquisition de Business Objects par SAP, rappelle Bernard-Louis Roques en pointant : « C'est révélateur des défis que nous avons en Europe vis-à-vis des Etats-Unis ». Il y a cinq ans (édition 2006 du Truffle 100), Autonomy n'était encore qu'à la 44e place du classement. « Nous l'avions alors identifié avec Viviane Reeding comme un acteur susceptible de grimper dans le classement. Certains pensent aujourd'hui qu'il devait se faire racheter  car il n'aurait pas pu continuer sa croissance externe ». A noter sur cette édition 2011, l'arrivée en 5e position de l'Allemand Datev, éditeurs de solutions pour auditeurs et conseillers fiscaux, qui a plus que doublé, à 684 M€ ses revenus logiciels en 2010. Il était encore 14e l'an dernier.

Une structure capitalistique exposée aux marchés

Les tendances du sixième Truffle 100 Europe prennent en compte le climat économique de fond et la crise de la dette gouvernementale, a insisté Bernard-Louis Roques en indiquant que les investissements en R&D seront maintenus ou augmenté. « Il y a aura sans doute des emplois créés en 2012 par rapport à 2011 dans cette industrie », ajoute-t-il. Pour la croissance, en revanche, il y aura un impact sur les profits car on investit toujours autant sur la R&D et le personnel. « Il n'y aura pas la reconstitution des réserves qui a été faite cette année. Cela signifie que face aux éditeurs américains qui disposent de réserves plus importantes, il y aura sans doute d'autres rachats [d'éditeurs européens]. Si les anticipations se confirment, la situation financière des sociétés de logiciels sera plus fragile ».

Illustration : le chiffre d'affaires généré par la vente de logiciels des 100 premiers éditeurs européens a progressé de 14% en 2010 par rapport à 2009 (source : Truffle Capital/IDC/CXP)

[[page]]

La progression qu'a réussie un Autonomy au cours des années semble moins facile à reproduire pour d'autres éditeurs européens de taille moyenne. Jusqu'à présent, l'éditeur britannique avait pu faire des acquisitions aux Etats-Unis car il avait des liquidités et disposait d'une valorisation à l'américaine. Mais sur ce terrain, les Européens restent toujours des acteurs très modestes face à leurs concurrents situés outre-Atlantique. Les 30,9 Md€ de revenus affichés au total par le Truffle 100 Europe ne représentent que 3/5e du chiffre d'affaires engrangé par Microsoft seul sur son dernier exercice fiscal, fin juin 2011(près de 70 Md€, soit environ 50 Md€). En outre, la structure capitalistique des éditeurs européens est fortement exposée aux marchés : 65 sont en bourse, représentant 84,5% du poids du Truffle 100 et 85,8% des dépenses en R&D.

L'évolution vers le SaaS, un passage délicat

Sur le Top 100 européen ne se dégagent toujours que quatre « champions européens ». En Allemagne, loin derrière un SAP de taille planétaire, se tient Software AG (919 M€ de CA sur le logiciel), qui profite de sa structure actionnariale particulière et de ses réserves. En France, on retrouve Dassault Systèmes (1,56 Md€) et en Angleterre, Sage (1,54 Md€). En dehors de ces quatre groupes, le chiffre d'affaires logiciel des autres éditeurs descend à 431 M€ à la 10e place et à 264 M€ pour le 20e (le Suédois IFS). A partir du 50e du classement, les revenus issus des logiciels sont inférieurs à 100 M€. Néanmoins, relève Bernard-Louis Roques, depuis le palmarès 2006 du Truffle 100 Europe, « la taille des derniers a plus que doublé ». 

Commentant l'évolution des modèles économiques, révolutionnés par le cloud computing et la mobilité, le co-fondateur de Truffle Capital confirme le SaaS (software as a service), donné pour prédominer, « va nécessiter de très forts investissements ». Il s'agit de redévelopper une plateforme différente qui, de surcroît, induit un poids financier en termes de business model (tarification par abonnement lissé sur l'année comparé à l'achat ponctuel de licences) plus que de technologie. L'évolution vers le modèle SaaS est un passage délicat pour les éditeurs. Il peut les fragiliser et en faire des proies.

Pour résister à la concurrence américaine et prospérer, les acteurs du Top 100 ont besoin d'être mieux compris par les dirigeants européens qui ne croient pas suffisamment à des politiques industrielles. Alors que les Etats-Unis voient ce secteur comme une industrie-clé et  le soutiennent par un Small Business Act et d'autres dispositifs avantageux dont des programmes de formation. En France, pour l'instant, toujours pas de SBA, et si le crédit impôt recherche a le mérite d'exister, il profite moins aux petites sociétés qu'aux plus grosses.

En ouverture de ce 6e Truffle 100, Nelly Kroes, Commissaire européenne, chargée des questions liées au numérique, estime nécessaire d'abaisser les barrières qui entrave le chemin vers un marché unique du numérique en Europe. Elle évoque Horizon 2020, le programme de recherche et d'innovation pour 2014-2020, ainsi que le fonds proposé « Connecting Europe Facility » qui doit investir 9,2 Md€ dans le déploiement de réseau haut débit et d'une infrastructure de services numériques.

(...)

(17/10/2011 14:15:01)

Cisco et HP collaborent sur un commutateur pour serveurs blade

« Le Cisco Fabric Extender pour BladeSystem HP, connu également sous la dénomination de Cisco Nexus B22 Fabric Extender for HP, permet aux clients qui optent pour des serveurs BladeSystem d'HP et des commutateurs Nexus de Cisco, de bénéficier d'une meilleure intégration, tout en préservant leurs investissements dans la technologie du centre informatique existant, » comme l'ont indiqué les deux entreprises. Ces Cisco Fabrics Extenders ont été conçus pour étendre la portée des commutateurs Nexus 5000 et 7000 et les rapprocher des serveurs pour une plus grande évolutivité.

Cette collaboration est assez inattendue, surtout depuis l'entrée de Cisco sur le marché des serveurs pour datacenter et l'acquisition par HP du pionnier des réseaux 3Com. Cette récente rivalité s'est traduite par une communication assez agressive de part et d'autre. Or il semblerait que cela a plutôt contribué à saper les efforts des deux entreprises sur ces marchés où HP reste le premier fournisseur de commutateurs pour les serveurs lames des centres informatiques. « Je suis un peu surpris», a déclaré Zeus Kerravala, analyste principal chez ZK Research. « J'aurais imaginé une alliance avec un tout autre partenaire que Cisco. C'est peut être un indicateur sur la qualité de son produit. Je ne pense pas que HP Networking dispose de cette fonctionnalité, de sorte que le département serveur a dû prendre cette décision. »

Une collaboration dictée par les clients


HP fait  remarquer qu'elle a beaucoup de clients en communs avec Cisco, qui utilisent à la fois des serveurs HP et des commutateurs Cisco. « Les clients BladeSystem attendent d'HP des solutions qui s'intègrent facilement dans les environnements existants, » a déclaré dans un communiqué Jim Ganthier, vice-président du marketing, Industry Standard Servers and Software chez HP. « Cette nouvelle solution apporte aux entreprises qui choisissent l'infrastructure HP BladeSystem Class C, des options de collaboration que l'on trouve en standard dans l'industrie. » Pour Soni Jiandani, vice-président senior du département Serveur de Cisco, Access and Virtualization Technology Group, « cette collaboration a été entièrement motivée par la demande des clients et par le souci de soutenir les réseaux Cisco de ceux-ci. »

Ajoutant que « les deux entreprises HP et Cisco reconnaissent avoir une base étendue de clients communs. De nombreux clients possèdent des serveurs HP et ont aussi investi dans l'infrastructure réseau de Cisco. Aussi, il est important de s'assurer que ces clients ont le choix. Cisco a toujours été associé à l'offre BladeSystem d'HP, avec les séries Catalyst 3020 et 3120 et les commutateurs MDS9124 Fabric Switches. Aujourd'hui, nous étendons cela au Nexus FEX pour le BladeSystem d'HP. »

Le Cisco Fabric Extender pour BladeSystem d'HP est disponible dès maintenant auprès de HP. Les prix démarrent à 9 800 dollars.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >