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(17/10/2011 14:03:37)

Atos lance un concours étudiant sur la mobilité

Atos annonce aujourd'hui et pour la première fois, le lancement de l'IT challenge, une compétition mettant en lice des étudiants de 26 universités en Allemagne, en Espagne, en France, en Inde, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. La SSII compte sur la génération à venir pour concevoir, programmer et créer des prototypes d'applications mobiles évoluées qui devront pouvoir être utilisées n'importe où, n'importe quand et quel que soit le terminal. Ce concours aura lieu tous les deux ans pour coïncider avec la tenue des Jeux olympiques d'hiver et d'été.

Une proposition de stage à la clé

Des équipes de deux à cinq élèves seront encadrées par les membres de la communauté scientifique d'Atos, constituée de 90 ingénieurs. Les finalistes auront la possibilité de postuler pour un stage au sein de la SSII. Quant aux lauréats, ils gagneront un voyage pour se rendre aux jeux olympiques de Londres en 2012 et se verront également remettre une tablette numérique. Les équipes doivent soumettre leur projet initial d'ici décembre 2011. Les 15 équipes sélectionnées seront connues le 15 décembre 2011, les 3 équipes finalistes en avril 2012 et l'équipe gagnante recevra le trophée en mai 2012.

La liste des universités françaises participant au projet  comprend Supelec (Gif sur Yvette/Paris), l'Esiee (Marne la Vallée/Paris), l'Insa Rennes, l'Enseeiht (Toulouse), l'Insa Lyon,   l'UST Lille, l'Enserib-Matmeca (Bordeaux), l'Ensimag (Grenoble) et l'UPMC (Paris).

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(17/10/2011 12:11:21)

iFixit dévoile les secrets de l'iPhone 4S d'Apple

Pas de révolution, mais des évolutions, ainsi peut-on résumer le décorticage de l'iPhone 4S réalisé par la société iFixit. A chaque lancement de version du smartphone d'Apple, des experts plongent dans les entrailles du terminal pour analyser les différences et ajouts par rapport au précédent. La seule surprise constatée est que l'iPhone 4S embarque 512 Mo de RAM et non 1 Go comme plusieurs concurrents. Certains analystes estimaient qu'avec la puce A5 double coeur et d'autres évolutions comme un APN 8 mégapixels ou Siri, le système de reconnaissance vocal, la quantité de mémoire vive serait plus importante. Apple a donc choisi la voie de l'optimisation.

Une batterie plus grande, mais plus gourmande en veille

La firme de Cupertino a mieux intégré les fameuses antennes radios, qui avaient provoqué quelques remous lors du lancement de l'iPhone 4. Le chipset 3G de Qualcomm évolue en passant à la version MDM6610 (contre MDM 6600). La batterie est légèrement plus grande et autorise une heure de communication en 3G selon le constructeur, mais 100h de moins en veille par rapport à l'iPhone 4. Enfin, un petit moteur a été intégré sur certains téléphones (notamment ceux de Verizon) pour modérer le mode vibreur du terminal. Il reste maintenant à iFixit de calculer le coût de l'ensemble des composants d'un iPhone 4S.

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(17/10/2011 12:02:51)

CDiscount s'essaye au magasin physique à Paris

Filiale du groupe Casino, le site marchand CDiscount.com a ouvert un magasin à Paris en toute discrétion il y a trois jours, révèle Les Echos ce lundi 17 octobre. Pour l'heure, cette grande première n'est qu'un test qui permet aux consommateurs de faire leurs achats parmi près de 2.000 références de produits, « sélectionnées parmi les meilleures ventes du site », indique le quotidien économique.

Situé rue du Bac, dans le 7e arrondissement de Paris, le premier magasin test du site marchand CDiscount.com s'étend sur 500 m2, où les produits qui plaisent le plus aux internautes sont réunis. Les consommateurs peuvent dénicher des produits high tech, de l'électroménager, mais aussi des jouets, ainsi qu'une sélection de vins et d'alcool.

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(17/10/2011 11:36:36)

Google va fermer Buzz dans quelques semaines

L'an dernier, Google avait lancé son réseau social Buzz en grande pompe de manière à réussir son entrée dans l'univers des réseaux sociaux. Mais  une série de faux pas concernant la vie privée sont venus ternir la marque du produit et conduit à une plainte émise par la Federal Trade Commission, l'organisme de régulation américain. Le géant avait alors accepté de se soumettre à un audit indépendant de ses pratiques en matière de confidentialité, et ce pendant 20 ans.

«Nous avons appris beaucoup au sujet de produits comme Buzz, et nous continuons à travailler tous les jours sur des outils tels que Google + » , a indiqué Bradley Horowitz, responsable des produits de Google, dans un billet de blog « Buzz  va fermer d'ici quelques semaines afin que la firme puisse davantage se concentrer sur son réseau social ».

Arrêt de Code Search, de Jaiku et de l'University Research Program

L'éditeur a également annoncé la  fermeture de quelques autres de ses services. En janvier, l'accès à Code Search, un outil qui permet aux internautes d'effectuer des recherches de code Open Source, sera stoppé, de même que Jaiku, un site de micro-blogging acquis par Google en 2007.

Le californien s'apprête, en parallèle, à arrêter l'University Research Program pour Google Search, qui proposait aux chercheurs un accès aux API (application programming interface) pour les résultats de recherche Google.
Début septembre, l'éditeur avait annoncé son intention de suspendre  plusieurs services, parmi lesquels l'application de questions/réponses Aardvark, l'outil de navigation visuelle Fast Flip, le module supplémentaire à la barre d'outils Google Sidewik, et l'outil de tag d'images Image Labeler.

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(17/10/2011 10:30:12)

Loxam se dote d'un projet de gestion de projet collaboratif

Loxam est un des principaux vendeurs et loueur de matériels pour l'industrie et le BTP. Il dispose de 3900 employés répartis dans 528 bureaux et réalise un chiffre d'affaires de 700 millions d'euros. Sa DSI dispose, quant à elle, de 60 personnes pour gérer les projets au service des métiers mais aussi administrer l'infrastructure réseau et matériel.

Or la coordination des travaux était inadéquate. La DSI utilisait des feuilles Excel et un Microsoft Project qui ne lui donnaient pas satisfaction. L'information restait en effet difficile à centraliser et à rapprocher. Pour améliorer la coordination multi-sites, la DSI de Loxam s'est dotée d'une seule implémentation de Genius Project centralisant la totalité des données sur les projets en cours. Ce logiciel de gestion de projet collaboratif pour les entreprises inclut toutes les fonctions essentielles, tel qu'un diagramme de Gantt, des workflows, la gestion du portfolio, la gestion documentaire, des feuilles de temps, des fonctions de reporting et de collaboration. L'intégration documentaire et de la messagerie a été particulièrement appréciée par Loxam.

Le produit a été déployé en deux semaines avec trois jours de prestations pour le paramétrage et la formation. Le déploiement en lui-même a été opéré par les équipes propres de Loxam.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

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(17/10/2011 10:11:11)

La police suisse a aussi eu recours à un logiciel d'espionnage

Le département fédéral de justice et police (DFJP) a confirmé jeudi soir une information de la télévision alémanique SF et du quotidien gratuit 20 Minuten selon laquelle un logiciel d'espionnage semblable à celui qui fait scandale en Allemagne a été utilisé en Suisse.

Selon le porte-parole du DFJP, Guido Balmer, ce logiciel n'aurait été utilisé que dans quelques cas pour élucider des crimes graves.

Invoquant l'intérêt des enquêtes en cours, le DFJP a toutefois refusé de dévoiler le nom des logiciels utilisés. Selon M. Balmer, il s'agirait de programmes permettant de décrypter des contenus codés. L'existence de bases légales suffisantes pour autoriser l'utilisation de tels logiciels est toutefois contestée. Denis Simonet, président du parti pirate suisse, a notamment vertement critiqué l'utilisation de ces logiciels qui, selon lui, entrent en contradiction avec les principes d'un Etat de Droit.

La commission des affaires juridiques du Conseil national a été informée jeudi de l'utilisation en Suisse de logiciels d'espionnage. Toutefois, la livraison de tels logiciels à la Suisse par l'entreprise allemande Digitask, à l'origine du scandale en Allemagne, aurait déjà été connue au préalable.

http://www.ictjournal.ch/

Illustration : D.R.

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(17/10/2011 09:58:11)

La croissance de la dépense IT se maintient, selon IDC

Après une dégringolade de 7,1% en 2009, le montant des dépenses informatiques réalisées sur le marché français avait connu un fort rebond de 3,8% en 2010. D'après IDC, qui publiait ces chiffres, ce retour de la croissance va perdurer pendant encore plusieurs années. L'ensemble des achats réalisés par les entreprises et les particuliers (hors tablettes, smartphones et e-reader) devrait ainsi s'apprécier de 1,7% cette année et connaître ensuite un taux de croissance annuel moyen (TCAM) de +3,7% pour représenter 52 Md€ en 2015.

Quatre secteurs de l'économie française devraient tout particulièrement contribuer à la hausse des dépenses dans les années à venir. En premier lieu, celui de l'industrie dont le niveau d'investissement atteindra 14 Md€ en 2015 avec un TCAM de 4,2%. En seconde position par la taille, le secteur de la finance devrait voir ses achats grimper de 4,4% (TCAM) à 8,8 Md€. Vient ensuite le secteur public et ses 8,4 Md€ de dépenses qui ne connaîtront ainsi que +2% de TCAM d'ici 2015. Enfin, la fourniture de produits et de prestations IT aux entreprises du secteur des services d'infrastructures enregistrera, quant à elle un TCAM de 4,4% pour représenter 7,5 Md€ de chiffre d'affaires dans quatre ans.

Le secteur public est bien plus dynamique en France qu'ailleurs

Dans l'ensemble de l'Europe de l'Ouest, les dépenses informatiques devraient également croitre de 3,7% (TCAM) à 331 Md€ jusqu'en 2015. La France se situe donc exactement dans la moyenne du reste des pays de la région. On notera toutefois que les dépenses de son secteur public connaîtront une croissance annuelle moyenne bien plus importante que celle de +0,6% attendue dans les autres pays jusqu'en 2015.

Avec la conjoncture économique actuelle, les chiffres que vient de publier IDC doivent être considérés avec prudence. La crise de la dette en Europe est en effet encore loin d'être réglée. Elle peu donc encore réserver son lot de mauvaises surprises et amener de nombreux spécialistes des statistiques à revoir leurs prévisions.

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(17/10/2011 09:37:59)

Trimestriels Cegid : les offres SaaS progressent de 18%

Cegid publie les résultats de son troisième trimestre 2011, le chiffre d'affaires (CA) se monte à 58,9 millions d'euros (ME), en progression de 1,7% à périmètre constant. Fait notable, la partie Saas, qui représente 4,9 ME progresse de 18,1%. C'est le dixième trimestre consécutif de croissance pour cette activité, « confirmant l'évolution du modèle de Cegid vers une activité fortement récurrente » note la société.

Les autres activités sont moins performantes. Deux sont même négatives : la vente de licences, -10,2%, à 7 ME et la partie distribution, -3,5% à 7,7 ME. La maintenance, 24,9 ME progresse de 4,9%, les services d'édition (formation, consulting, paramétrage et déploiement) , 13 ME, de 15,9%.

Sur les neuf premiers mois de l'année, le CA s'élève à 184,9 ME, contre 176,3 un an auparavant, le Saas progresse de plus de 20%. « Le stock de contrats Saas, facturables jusqu'en 2017, représente au 30 septembre 2011, une valeur estimée de près de 28 ME » souligne Cegid.

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(17/10/2011 10:56:14)

Les apports d'Oracle NoSQL Database

Quand Oracle a présenté sa solution Big Data Appliance (alliant matériel et logiciel), sur OpenWorld 2011 début octobre, il a précisé qu'il la livrait avec « R », le langage d'analyse statistique Open Source, ainsi qu'avec une base de données NoSQL maison. A l'évocation de cette dernière, la plupart des regards ont convergé vers Berkeley DB. En février dernier, Oracle avait effectivement expliqué comment la base Open Source (en 2006, il avait racheté la société Sleepycat Software qui la gérait) pouvait être utilisée comme une solution NoSQL (voir «Using Oracle Berkeley DB as a NoSQL Data Store »).

A l'issue d'OpenWorld, Charles Lamb, l'un des anciens de Sleepycat, désormais membre de l'équipe technique d'Oracle, a jugé utile d'apporter, sur le blog officiel qu'il tient, quelques précisions sur cette base de données capable de manipuler d'importants volumes. « J'ai consulté les commentaires de la Twitter-sphere au sujet d'Oracle NoSQL Database. Il y a un certain nombre de questions et d'idées fausses qui circulent auxquelles j'apporte ici une réponse », y écrit-il.

Selon lui, la première idée fausse est qu'Oracle NoSQL Database se résumerait à la version Java Edition de Berkeley DB (BDB) simplement rebaptisée. Ou encore, que le produit ne serait qu'une BDB avec quelques petites choses en plus. « Lorsque nous avons bâti NoSQL Database, nous avons constaté que Berkely DB Java Edition HA [high availability] disposait de nombreuses caractéristiques pour effectuer du stockage NoSQL, mais que cela ne suffisait pas », relate Charles Lamb. Il énumère ce que JE/HA apporte : des transactions caractérisées ACID (atomicité, cohérence, isolation, durabilité), la persistance, la haute disponibilité, le support des débits élevés et des grandes capacités et l'administration à distance. « Et l'on peut même considérer que son modèle de données clé/valeur est déjà NoSQL », ajoute-t-il. « Mais nous estimons que NoSQL signifie davantage pour la plupart des gens. » Par exemple : la distribution des données et leur découpage dynamique (aussi appelé « sharding »), la répartition de charges, la surveillance et l'administration, des temps de latence prévisibles et un backup multi-noeuds.

Une API différente et des liaisons réseaux

Si la base de données NoSQL présentée par Oracle utilise effectivement BDB JE/HA comme système de stockage sous-jacent («pourquoi  réinventer la roue ? » souligne à cet égard Charles Lamb), elle bénéficie au-dessus d'une infrastructure complémentaire importante pour la faire entrer dans l'univers NoSQL.

Par ailleurs, la base Oracle NoSQL ne présente pas la même API (interface de programmation) que BDB JE, poursuit le consultant technique d'Oracle. L'interface est Java et elle procure pour les paires clé/valeur les fonctions CRUD (create, read, update and delete), l'itération et des capacités CAS (Compare and swap ou RMW, Read Modify Write), indique-t-il en détaillant plus avant dans son billet.

Charles Lamb aborde enfin un troisième point, relevé parmi les commentaires diffusés, selon lequel Oracle aurait ajouté à la base Berkeley DB Java la possibilité de configurer des liaisons réseaux avant de la renommer Oracle NoSQL. L'auteur de cette remarque s'interroge aussi sur la facilité de configuration et de développement. Sur ce deuxième point, le consultant technique d'Oracle explique qu'il est possible de lancer une version 'single process' (single-node) d'Oracle NoSQL Database, par invocation d'une simple ligne de commande, afin de tester l'API sans trop se compliquer la vie.

Enfin, sur la question des liaisons réseaux, il préfère une autre formulation. « BDB JE HA permet à un utilisateur de réaliser des opérations soit sur le « master » (pour les mises à jour et la lecture), soit sur les « replicas » (pour la lecture). L'objection la plus courante que nous rencontrons est que l'application doit « savoir » quels sont les noeuds où se trouvent le master et les replicas (pour router les mises à jour et lire les requêtes de façon appropriée). Il n'y a pas de couche réseau dans BDB JE/HA pour le faire, tandis qu'Oracle NoSQL Database le permet », conclut-il en expliquant comment procéder.

Oracle NoSQL Database (Request Processing) (Oracle NoSQL Database/Source Oracle - cliquer ici pour agrandir)

Oracle NoSQL Database (Architecture)
(Oracle NoSQL Database/Source Oracle - cliquer ici pour agrandir)

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(17/10/2011 10:06:56)

Dell World 2011 : Une offre de stockage en cours d'intégration

Pour faire le point sur cette partie de meccano, nous avons rencontré Scott Horst, un ancien de Compellent aujourd'hui directeur marketing stockage chez Dell. « Nous continuons à intégrer les technologies, il y a beaucoup de bonnes choses dans les récents achats de Dell. Le système de fichiers DSFS (Dell's Scalable File System), issu du rachat d'Exanet en février 2010, a été intégré cet été à la plate-forme NAS FS7500 ». Pour ce qui concerne la technologie de déduplication issue de l'acquisition d'Ocarina Networks en 2010, Dell annonce une demi-intégration avec la bibliothèques de bandes PowerVault 6000 SNG (Storage Compression Node) puisque ce dernier ne propose que la compression et pas encore la déduplication.

À la question de savoir pourquoi l'intégration semble si longue et si difficile, Scott Horst botte en touche en indiquant que « ce n'est pas si long, un an pour Ocarina, six mois pour Compellent [depuis leur rachat], les ingénieurs travaillent sur l'intégration de ces produits en 2012 la déduplication sera disponible sur plusieurs produits. » D'autres ne font pas mieux. IBM par exemple a annoncé l'année dernière une baie Storwize mais sans la technologie de compression RACE (Random Access Compression Engine) qui avait justement justifié le rachat de la petite compagnie. L'intégration de technologies issues de rachats n'est pas une opération simple à mener.

Depuis la fin de l'accord en EMC et Dell portant sur la commercialisation des baies Clariion, le Texan était à la recherche d'une solution de substitution. Sur ce point, Scott Horst est clair face aux VNX d'EMC, Dell pousse ses baies Compellent et Equalogic. « Nous serons toujours très agressifs pour imposer nos solutions » assure le directeur marketing, mais interrogé sur les difficultés que connait EMC quant à la commercialisation de ses baies VNX - des retards dus à des problèmes de certification selon des partenaires du constructeur - Scott Horst évacue la question : «  Je ne suis pas au courant ». La bataille est pourtant rude entre les deux ex-partenaires pour conserver les clients Clariion. Pour mémoire après le rachat de Data General, EMC avait fait appel à Dell pour commercialiser - avec succès - ses baies Clariion. Aujourd'hui, la question est de savoir qui va garder les clients Clariion ?

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