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(15/03/2007 15:43:59)

Aux Etats-Unis la confidentialité des informations est loin d'être assurée

L'université de l'Etat de Washington, à Seattle, s'est penchée sur le traitement réservé aux informations confidentielles aux Etats-Unis. Selon les chercheurs, 200 000 données comportant des informations aussi importantes que le numéro de sécurité sociale, le numéro de carte bancaire ou la date de naissance seraient dispersées chaque mois dans la nature ou égarées. Mieux, le total des données perdues depuis les années 80 frôlerait les 72 millions. Une véritable aubaine pour les fraudeurs et les escrocs en tout genre, sans oublier les spécialistes du renseignement. La faute n'en reviendrait pas majoritairement aux cyberpirates mais bien à l'Administration américaine, aux entreprises privées et aux organismes indépendants. Ceux-ci endosseraient 61% des incidents divers (mise en ligne par distraction, pertes de supports numériques, absence de systèmes de sécurité fiables...) qui sont autant d'atteintes à la vie privée des individus. Les données confidentielles des entreprises font également l'objet de « bavures ». Les cyberpirates seraient quant à eux responsables de 31% des détournements d'information, tandis que 9% seraient dus à des causes inconnues. Ce qui n'est pas le moins inquiétant. Ces résultats recoupent ceux provenant d'autres sources. Ainsi un rapport de l'IT Policy Compliance Group, qui regroupe à la fois des entreprises privées comme Symantec et des instituts de recherche, attribuait la grande majorité des pertes et des détournements d'informations confidentielles à des erreurs humaines. Selon ce document publié la semaine dernière, les hackers ne seraient responsables « que » de 20% des fuites de données sensibles. (...)

(15/03/2007 15:11:51)

L'IEEE ratifie la deuxième version de la norme 802.11n

L'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) vient de ratifier définitivement le draft (brouillon) 2 du standard 802.11n, ouvrant la voie à l'interopérabilité des produits. Basée sur la technologie WiFi MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs), la norme 802.11n permet des débits théoriques de 540 Mbit/s sur les réseaux locaux sans fil, grâce à la combinaison de plusieurs canaux (huit maximum en théorie, quatre en pratique) non superposés. Les premiers tests de certification vont donc pouvoir commencer afin d'autoriser la mise sur le marché de produits compatibles avec la norme définitive, prévue pour 2008. La compatibilité avec les produits « Pre-N » (issus du draft 1) déjà en circulation semble également assurée, moyennant quelques modifications mineures du firmware. La hache de guerre semble donc définitivement enterrée entre les deux groupes qui s'opposaient au sein de l'IEEE sur le nombre de canaux, leur gestion, les fréquences utilisées et les débits autorisés. (...)

(15/03/2007 14:23:13)

Les Français de plus en plus connectés

Médiamétrie vient d'annoncer les résultats de l'Année de l'Internet 2006. A cette occasion, l'institut a fait le bilan des grandes tendances de l'année passée. « Le fait marquant de 2006 est l'explosion de la création et du partage de contenus numériques audiovisuels, avec le succès des sites communautaires et des plates-formes d'échange de fichiers vidéo » a déclaré Benoit Cassaigne, directeur du département Internet de Médiamétrie. Et l'autre grande tendance de l'année est la progression de l'e-commerce. Les Français de plus en plus connectés « Plus d'un foyer sur deux possède un ordinateur » annonce Médiamétrie. « Au quatrième trimestre, ils sont 13% de plus à en posséder par rapport à l'année précédente. C'est l'augmentation la plus élevée depuis 2003 ». La France compte désormais 28,6 millions d'internautes, dont 83,8% ont choisi le haut débit pour surfer sur Internet. Enfin, les retraités ne sont pas en reste, ils contribuent même à l'augmentation de la population des internautes puisqu'ils sont 47% de plus à surfer sur le Web par rapport à 2005 ! Par ailleurs, il n'y aura bientôt plus de disparité d'âge entre les personnes connectées : « On observe également une augmentation de plus d'un quart (27%) des internautes de 35-49 ans au 4ème trimestre 2006 par rapport à 2005 ». La population des internautes ne cesse d'augmenter, et touche désormais toutes les générations ! De nouveaux usages 2006 restera aussi marquée par les nouveaux usages d'Internet. En effet, aujourd'hui, les internautes ne se contentent plus de surfer de pages en pages, ils participent activement au contenu du Web. Le Web 2.0 connaît un succès grandissant ! « En plus des sites Internet classiques, les contenus numériques prennent désormais des nouvelles formes collaboratives: podcast, flux RSS, blogs, vlogs, wiki, forums." précise Médiamétrie. 31,4% des internautes assidus sont des créateurs de contenus multimédias (« Ils diffusent leurs propres contenus audio et vidéo, possèdent leur blog ou site personnel, ou ont créé leur forum ») et 81,1% des internautes assidus sont des contributeurs (« ils votent en ligne pour des sites, donnent leur avis sur des produits ou des services, écrivent des commentaires sur des blogs, contribuent aux wikis »). Enfin, plus de 4 millions d'internautes ont créé un blog, dont 75,5% ont moins de 25 ans. La vidéo, grande gagnante de l'année Les sites communautaires et de partage (audio, vidéo) ont été les grands succès de l'année 2006 : DailyMotion annonce 18 fois plus de visiteurs en un an, YouTube en a attiré onze fois plus et MySpace neuf fois plus que l'année passée. Même Wikipédia qui était déjà une institution du Web peut s'enorgueillir d'avoir « plus que doublé son audience en 2006 ». Pour un nombre de plus en plus important d'internaute, le Net devient un support de communication de contenus audio et vidéo : « près de 11 millions d'internautes ont consulté un site vidéo ou cinéma en décembre 2006, soit une progression de 75% par rapport à décembre 2005 ». Ils sont 27% à écouter la radio sur Internet, et environ 1/3 ont consulté des vidéos sur le dernier mois. Le commerce électronique poursuit sa progression Enfin, les Français achètent de plus en plus souvent en ligne. « Au 4ème trimestre 2006, plus de 6 internautes sur 10 (61,6%) ont déjà acheté en ligne, soit 1/3 de la population française. Cela correspond à une progression de près d'1/3 (32%) du nombre d'acheteurs en un an ». Surtout, la plupart des internautes (6 internautes sur 10) se servent d'Internet pour rechercher des informations sur les produits avant d'acheter, que cet achat soit effectuer en ligne ou dans le commerce traditionnel. Médiamétrie conclut ainsi qu'Internet prend de plus en plus de place dans « la vie quotidienne, sociale, et pour les loisirs et divertissements » des Français. Qu'en sera-t-il de 2007 ? (...)

(15/03/2007 13:34:02)

Cebit 2007 : la Commission européenne ne veut pas réguler la RFID pour ne pas l'entraver

« Chaque année, je viens ici annoncer une nouvelle réglementation. Aujourd'hui, ce ne sera pas le cas. » Très attendue pour sa première intervention sur le Cebit, portant sur la RFID, Viviane Reding, commissaire européenne chargée de la société de l'information et des médias, a expliqué que « malgré la pression de certains Etats qui souhaitent tout réguler », la Commission européenne avait décidé après un an d'étude, à 11 heures ce matin, de ne pas publier de réglementation spécifique. « Nous ne devons pas sur-réglementer », a expliqué Viviane Reding. Au contraire, dit-elle, la Commission doit fournir aux industriels l'assurance qu'ils peuvent se lancer dans ce marché sans entraves. Tout en les prévenant qu'une grande responsabilité leur incombe, sur le chapitre du respect de la confidentialité des données personnelles. Viviane Reding a clairement expliqué que ce sont des considérations économiques qui ont conduit à cette décision. Si on prend en compte la valeur ajoutée (logiciels, matériels, services) en sus des étiquettes RFID, « le marché européen pourrait passer de 500 millions d'euros en 2006 à plus de 7 milliards d'ici 10 ans ». Sachant que « les Européens sont très forts dans les domaines concernés : mobilité, fabrication de puces... » En revanche, la Commission s'appuie sur une étude de la Deutsche Bank pour estimer que le taux de croissance du marché RFID en Europe, évalué pourtant à 45%, est en deçà de celui du marché mondial, évalué pour sa part à 60% (il se serait vendu un milliard d'étiquettes RFID dans le monde en 2006). Autrement dit, des emplois et de la croissance passeraient déjà sous le nez de l'Europe. Une simple mise à jour de la directive sur la vie privée La commissaire européenne dit aussi s'être appuyée sur un sondage en ligne mené entre juillet et septembre 2006, qui a obtenu 2190 réponses, de simples citoyens européens essentiellement (à 70%) mais aussi d'industriels, de chercheurs, d'institutions publiques, etc. L'enquête a révélé un manque d'information sur ces étiquettes radio intelligentes (à 60%), et certaines inquiétudes sur le respect de la vie privée. Ainsi, 74% se disent très inquiets sur l'usage de la RFID par les employeurs pour suivre les employés tant au sein de leur entreprise qu'en dehors. Pour les sondés, indique la Commission européenne, le renforcement de la protection de la vie privée viendra des solutions techniques (à 70%), de la transparence et de l'information (67%) et de la mise à jour des réglementations actuelles (55%). C'est donc la voie qu'a choisie Viviane Reding, puisque la Commission compte proposer vers le milieu de l'année, « dans le cadre du réexamen des lois communautaires sur les télécommunications, des modifications à la directive 'vie privée et communications électroniques' afin qu'elle tienne compte des applications RFID ». La recommandation devrait être publiée fin 2007. D'ici là, la Commission crée un groupe de travail qui accueillera l'ensemble des acteurs du marché, industriels et éditeurs de logiciels par exemple, mais aussi le groupe de travail existant déjà sur la protection des données. Les communiqués et les études sont disponibles sur le site de la Commission européenne consacré à la RFID. (...)

(15/03/2007 12:51:17)

Un appel pour une approche environnementale de la technologie

Le gouvernement américain va-t-il passer au vert ? C'est en tout cas ce que lui demande le lobby TechNet, qui regroupe des PDG américains de l'IT, tant démocrates que républicains. Plus spécifiquement, ils demandent trois éléments : que le gouvernement double ses investissements dans la recherche énergétique, qu'il augmente les avantages fiscaux liés à l'utilisation d'énergies non polluantes et qu'il crée une agence fédérale pour chapeauter l'ensemble des recherches énergétiques. Sans une véritable politique environnementale, les membres de TechNet craignent que les Etats-Unis ne laissent échapper le pactole des technologies énergétiques au profit d'autres pays plus sensibilisés. David Pearce, PDG de Miasolé et membre de TechNet, rappelle ainsi que si les panneaux solaires sont une invention américaine, c'est l'Allemagne qui est désormais leader sur ce marché, tant en production qu'en utilisation. Sur le même sujet : -HP prêt pour le futur label Energy Star 4.0 -Un consortium pour que les datacenters passent au vert -De la terre et des arbres pour réduire les coûts de refroidissement des datacenters -2006 : l'année écolo pour les processeurs serveurs (...)

(15/03/2007 12:45:06)

Deux versions plus économiques du Xeon quadricoeurs

Intel vient de lancer deux processeurs quadricoeurs Xeon de 35 à 60% moins gourmands en énergie que leurs prédécesseurs. Chaque coeur des Xeon L5320 et L5310 ne consommera que 12,5 W alors que sur les modèles précédents ils consommaient entre 20 et 30 W. Ces deux processeurs contiennent chacun 2 Go de mémoire cache de niveau 2 par coeur, soit 8 Go au total. Ils sont aussi cadencés aux plus basses fréquences de la famille Xeon quadricoeurs, avec respectivement 1,8 GHz pour le L5320 (519 dollars l'unité par lot de mille) et 1,6 GHz pour le L5310 (455 dollars l'unité par lot de mille). Il sont compatibles avec le châssis Bentley pour serveur et peuvent y remplacer n'importe quel autre processeur bi- ou quadri-coeur. (...)

(15/03/2007 12:23:13)

Cebit 2007 : la grand-messe accueille un espace consacré aux SOA

Le Cebit de Hanovre accueille pour la première fois cette année un village appelé « SOA World », afin de populariser les architectures orientées services. Au coeur du hall 4, consacré aux processus métier, SOA World est loin d'égaler en taille les espaces occupés alentour par SAP, Microsoft ou Software AG. Chacun de ces acteurs poussant d'ailleurs largement son offre en la matière sur son propre stand. Mais l'idée de partager cet espace « semblait un bon moyen de mettre en avant cette thématique », explique Gerald Zwerger, de l'organisation de la Deutsche Messe. Le salon et Software AG, principal sponsor de cet espace SOA, ont donc pris sur eux de monter ce concept « pour aider les entreprises à gérer de façon plus rapide leurs processus à l'avenir, continue Gerald Zwerger, car pour l'heure les bénéfices de la SOA restent encore très théoriques ». Le coup d'envoi a été donné à 10 heures ce matin, avec une conférence s'achevant par l'intervention du spécialiste du secteur chez Gartner, Massimo Pezzini. Pour Software AG, c'est aussi un bon moyen de montrer à tous le recentrage de la société, d'une part sur l'édition de logiciels (le service devenant une branche accessoire), d'autre part sur la SOA. L'éditeur a ainsi légèrement retouché son logo - une révolution pour cette vénérable société qui n'y avait pas touché depuis sa création en 1969. Software AG a également effacé sa « baseline », le petit texte « the XML company » qui était apparu lors du lancement du broker d'applications basé sur XML et de la base de données native XML Tamino. Un recentrage en ligne avec celui de Software AG Pour Philippe Lerer, PDG de la filiale française, cette baseline a eu un impact plutôt négatif sur les clients historiques de l'éditeur, inquiets de voir leur fournisseur s'éloigner de son coeur de métier. Désormais, les deux piliers sont bien identifiés : la SOA, avec la nouvelle offre Crossvision, et la modernisation, qui repose sur l'offre historique Natural et Adabas mais qui rejoint finalement la première dès lors qu'il s'agit de repenser l'architecture du système d'information. Ce recentrage, explique Philippe Lerer, est l'oeuvre de Karl-Heinz Streibich, PDG du groupe depuis octobre 2003, qui a engagé un vaste plan de restructuration de la société. Qui porte apparemment ses fruits, « puisque des anciens clients reviennent nous voir », indique Philippe Lerer. Karl-Heinz Streibich a eu en tout cas tout loisir de l'expliquer, une heure avant l'ouverture de l'espace SOA World, à Viviane Reding, commissaire européenne à la société de l'information. On la connaissait active sur divers fronts (grid, roaming, protection des données personnelles...), la voilà experte en SOA. En-dehors de Software AG, ont participé au financement de l'espace SOA un partenaire « platinum », IBM, et plusieurs partenaires « gold », dont Microsoft, IDS Scheer, Mega, Iona, T-Systems ou Webmethods. (...)

(15/03/2007 12:19:47)

HP : Patricia Dunn relaxée

Patricia Dunn, l'ancienne présidente du conseil d'administration de HP, vient d'être relaxée par la justice californienne. Elle comparaissait, aux côtés de trois autres accusés, dans le cadre de l'affaire d'espionnage orchestrée par HP à l'encontre d'administrateurs du groupe et de journalistes. Patricia Dunn avait notamment recruté des détectives privés pour remonter des fuites émanant du conseil d'administration ; les barbouzes avaient par la suite utilisé des méthodes illégales pour parvenir à leurs fins, endossant notamment des identités d'emprunt pour obtenir des informations. Chacun des accusés risquait jusqu'à trois ans d'emprisonnement. Une peine à laquelle Patricia Dunn, pourtant présentée comme l'instigatrice des pratiques mises en place, échappera. La Cour a préféré tenir compte de l'état de santé de l'ancienne présidente du conseil d'administration - Patricia Dunn souffre d'un cancer - plutôt que de juger les faits. Les trois autres personnes poursuivies - dont l'ancien responsable de l'éthique de HP - n'auront qu'à effectuer 96 heures de travaux d'intérêt général. (...)

(15/03/2007 10:26:23)

Y'a pas de patch, mais il est critique

Comme promis, ce « mardi des rustines » (ou Tuesday patch) fut sans rustine officielle. Ce qui n'a pas pour autant laissé les utilisateurs de Windows Update dans un behaviorisme béat. Car Microsoft diffusait ce jour même un « Service Pack 2 for Windows Server 2003 » qualifié de « mise à jour critique ». Critique pour certains, mais « non lié à la sécurité », ce correctif gigantesque est résumé sur près d'une quarantaine d'écrans qu'il serait fastidieux de reprendre bug à bug. Chaque « SP » destiné aux serveurs fait généralement l'objet de tests de non-régression poussés. Rappelons que, comme à l'accoutumée, il est possible -recommandé estiment en général les DSI- de retarder le déploiement automatique de ces super-rustines. La procédure visant à suspendre la diffusion de ce SP2 est fournie par l'éditeur et récupérable sur le download Center. Comme un correctif, même cumulatif et pléthorique, n'arrive jamais seul, les usagers de Vista peuvent également passer ce mercredi sans patch pour récupérer un patch « gommant certains problèmes de compatibilité ». A corriger également cet autre bug frappant Vista, ou plus exactement le kit de développement de Windows Media Format 11, qui, par moments, se trouve dans l'incapacité de synchroniser certains lecteurs MP3. Profitons du fait que les ports com soient encore chauds pour récupérer la toute dernière version de l'outil de suppression des logiciels malveillants. Pour peu, on friserait l'ennui, le désoeuvrement et l'oxydation des outils de déploiement. (...)

(15/03/2007 10:19:22)

Etude : les pratiques commerciales sur Internet vues par la DGCCRF

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) vient de publier deux enquêtes, l'une concernant les pratiques commerciales de l'hôtellerie en ligne, l'autre les comparateurs de prix. La DGCCRF précise que de nombreux problèmes sont rapportés par les consommateurs dans le domaine de l'hôtellerie mais qu'ils ne sont pas "spécifiques à la vente en ligne". En revanche ils sont "aggravés par ce canal (...) l'internaute ne gardant pas toujours une trace de l'offre correspondant à l'achat qu'il a effectué en ligne, il éprouve de réelles difficultés à démontrer qu'il a été victime de publicité mensongère, faute de brochures ou autres documents dont bénéficient les consommateurs qui se rendent en magasin". Sur 266 sites Internet contrôlés, la moitié a fait l'objet de rappel de réglementation. Parmi les problèmes récurrents accentués par l'utilisation d'Internet, on note le classement de l'hôtel (14 hôtels annonçaient un nombre d'étoiles supérieur à leur classement officiel), et un écart entre les prestations annoncées et les prestations réellement délivrées. Certains problèmes sont "spécifiquement liés à l'utilisation d'Internet" : l'information sur les disponibilité, des grilles tarifaires insuffisamment claires, et des conditions de vente mal définies. Les comparateurs de prix L'enquête sur les comparateurs de prix avait pour objectif de "vérifier la transparence de l'offre apportée par ces sites aux cyberconsommateurs". La DGCCRF précise en effet que "50 % des consommateurs consultent un site comparateur" avant d'effectuer un achat en ligne. Sur douze sites contrôlés, onze ont fait l'objet de rappels de réglementation. Ainsi, il ressort que "le panel des sites référencés est souvent présenté à tort comme exhaustif", "les conditions de vente sont parfois incomplètes sur le volet tarifaire, avec une imprécision sur les modalités de référencement et de rémunération des sites marchands" et que "les règles de facturation ne sont pas toujours respectées". La DGCCRF précise que l'imprécision des informations relatives au prix n'est pas forcément due au site comparateur : elle provient du "manque d'homogénéité des informations transmises par les sites marchand (prix TTC incluant ou non les frais de port, de livraison, de garantie complémentaire)...". Ainsi ces deux enquêtes sur les pratiques commerciales sur Internet révèlent de vrais dysfonctionnements. Dans les deux cas, la DGCCRF déclare qu'elle maintiendra sa vigilance. (...)

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