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(09/03/2007 11:22:33)

Quest Software, premier à signer la licence controversée de Microsoft

Quest Software est le premier éditeur à avoir pris la licence WSPP proposée par Microsoft pour répondre aux exigences d'interopérabilité formulées par la Commission européenne en 2004. L'éditeur californien a accepté les conditions de cette licence alors que la Commission européenne juge son contenu imprécis et son prix trop élevé. Selon les termes de cette licence WSPP (Work Group Server Protocol Program), Quest Software reversera à Microsoft 5,25% du chiffre d'affaires généré par son produit qui exploitera des fonctionnalités d'administration d'Active Directory. Quest Software a le projet d'intégrer des systèmes d'authentification Unix, Linux et Java à Active Directory. Aux Etats-Unis, un programme de licence, similaire à la WSPP, a été mis en place par Microsoft pour répondre aussi à des obligations d'ouverture formulées par le ministère de la Justice. Il a attiré vingt-sept signataires à ce jour. (...)

(08/03/2007 18:26:39)

Appel à candidatures pour la 4e licence 3G en France

L'appel à candidature pour exploiter le quatrième réseau 3G en France a été publié aujourd'hui au Journal Officiel. Les trois premières licences disponibles avaient été attribuées lors des deux appels à candidature précédents, lancés en août 2000 et décembre 2001, à SFR, Orange et Bouygues Telecom. Le prix demeure identique, pour une concession de 20 ans. Outre diverses taxes de bon aloi, l'impétrant devra accepter de débourser une part fixe de 619,2 ME l'année de l'octroi de la licence, plus une redevance annuelle correspondant à 1% du montant total de son chiffre d'affaires lié à l'exploitation de ladite licence. L'Arcep, Autorité de régulation des communications électroniques et des postes, s'est décidée à proposer cette quatrième licence suite à une consultation lancée en octobre dernier, qui a révélé « plusieurs manifestations d'intérêt ». On sait notamment que Iliad et Noos-Numericable pourraient être intéressés. Comme ces acteurs n'ont pour l'heure aucune fréquence, les trois opérateurs de réseaux mobiles en place pourraient être amenés à leur céder des fréquences en 900 et en 1800 MHz. Côté calendrier, les choses sont allées assez vite. L'avis rendu le 20 février dernier par l'Arcep a fait l'objet d'un arrêté le lendemain par le ministre François Loos. La publication de l'arrêté au JO fixe le début de la phase de candidature, prévue pour durer 20 semaines. Trois semaines après cette phase, l'Arcep rendra publique la liste des candidats. La décision finale devant intervenir au plus tard 8 mois après. Critères obligatoires et engagements commerciaux L'Arcep jugera sur des critères obligatoires ainsi que sur les engagements des candidats. Parmi les critères obligatoires, le candidat devra faire la preuve de ses moyens financiers, et s'engager à couvrir, deux ans après la date de délivrance de l'autorisation, 25% de la population métropolitaine pour le service voix, et 20% de cette population pour le service de transmission de données à 144 kbps en mode paquet. Six ans plus tard, ces taux de couverture devront respectivement passer à 80% et 60%. En termes de qualité de service, le taux de réussite dès la première tentative pour tous les services et sur toute la zone de couverture devra être supérieur à 90%. Pour être retenus, les opérateurs devront également prendre un certain nombre d'engagements dans plus domaines : offres tarifaires, architecture du réseau, optimisation de l'utilisation des fréquences... Sachant que ces engagements seront considérés par l'Arcep comme des obligations, et inscrits comme tels dans le contrat. « D'une manière générale, écrit l'Arcep, les candidats retenus seront ceux qui présenteront les projets jugés les plus aptes à : favoriser l'innovation et le développement du marché du multimédia mobile dans notre pays, ainsi que l'emploi et les investissements ; - satisfaire les utilisateurs et contribuer au développement du marché, dans un sens conforme à l'intérêt général ; - optimiser l'usage des ressources en fréquences ; - répondre aux préoccupations liées à l'aménagement du territoire. » (...)

(08/03/2007 16:08:30)

De l'air extérieur pour refroidir les salles de serveurs

Selon le Lawrence Berkeley National Laboratory, l'utilisation d'air extérieur pour refroidir les salles de serveurs est une solution économique et, si l'installation est faite correctement, sans dommage pour le matériel. En effet, les particules contenues dans l'air peuvent en se déposant sur les composants électroniques occasionner des pannes. Pour William Tschudi, l'un des auteurs de l'étude, avec de bons filtres, il n'y a aucun danger : « L'usure des équipements informatiques due à des contaminations extérieures est une pauvre excuse pour ne pas utiliser de filtres dans les salles de serveurs. » Et source d'économie non négligeable, l'air ambiant réchauffé par les serveurs peut ensuite être redistribué dans l'ensemble du bâtiment comme chauffage d'appoint. Pour Network Appliance, l'une des huit sociétés faisant partie de cette étude, l'usage de l'air extérieur pour rafraîchir ses serveurs a réduit ses coûts de refroidissement d'un tiers sans poser de problèmes de contamination particuliers. (...)

(08/03/2007 16:00:17)

La femme est (aussi) l'avenir de l'informatique

Cette fois, la cause est défendue sur tous les fronts. Des enseignants et directeurs d'écoles jusqu'à l'Apec, en passant par les officines conseillant nos dirigeants. « Dans un monde où les femmes contrôlent ou influencent 80% des décisions de dépenses, alors que 90% des produits et services sont conçus par des hommes, le hiatus est devenu trop important pour que l'on se permette de négliger son impact sur la marche et les résultats des entreprises », dit le Gartner. L'écho est donné par la Conférence des grandes écoles qui soutient l'argument « Ingénieures : un avenir au féminin » avec une campagne de sensibilisation amorcée aujourd'hui 8 mars, à Paris, à l'ESIEA (école d'ingénieurs informatique et électronique) et à l'Estaca (Levallois, école d'ingénieurs des industries du transport). Jusqu'au 13 avril s'enchaîneront ainsi une dizaine de rencontres-débats avec les parties concernées : conseillers d'orientation, parents d'élèves, enseignants, associations de femmes ingénieurs, anciens des écoles... Parmi les établissements impliqués, se retrouvent la plupart de ceux qui alimentent le vivier des futurs informaticiens et consultants intervenant dans le secteur des technologies de l'information : le 15 mars à l'ENST Bretagne (SupTélécom), le 21 mars à l'institut d'optique (pour les écoles de Paris-Sud, Polytechnique, Supelec, HEC, Ifips d'Orsay), le 21 mars à l'Estaca de Laval, le 24 mars à l'école d'ingénieurs informatique, automatique, électronique de Valenciennes et le 27 mars à Bordeaux, le 29 mars aux Arts et Métiers de Paris (avec l'EPF de Sceaux, l'école d'ingénieurs des technologies de l'information et du management de Villejuif, l'ESIEA d'Ivry, Telecom INT et INT Management), le 31 mars à l'ENS Chimie de Lille et le 13 avril à l'Esigelec de Rouen. De même, la conférence des directeurs des écoles d'ingénieurs (CDEFI) fait de la valorisation des carrières professionnelles des femmes son cheval de bataille pour conforter le taux de féminisation des cohortes d'ingénieurs (20% au début des années 90, 25% en 2005). Le projet européen Prometea que pilote la CDEFI pendant 26 mois (jusqu'en décembre 2007) est une étude qualitative axée sur une comparaison des parcours professionnels des hommes et des femmes dans la recherche et en R&D dans 13 pays du continent, avec la contribution de 18 partenaires académiques, industriels et associatifs. En octobre prochain (les 26-27), un colloque fera le point sur ce thème, avant la publication des résultats de l'enquête prévue pour décembre, à destination des acteurs concernés (pouvoirs publics, financeurs, comités scientifiques, départements R&D des entreprises). 21% de femmes en informatique, 44% dans le secteur études-conseil Pour l'Apec (Agence pour l'emploi des cadres) qui s'est intéressée au sort des femmes de 40-45 ans, celles-ci ont une nette tendance à relativiser l'effet « plafond de verre » qui se traduit par un taux voisin de 10% de femmes aux postes de dirigeants. Elles assument en bloc et en général : - le rejet du carriérisme, ce qui fait de leur parcours une accumulation d'expériences et d'apprentissages plutôt qu'une course à la réussite, une notion qu'elles assimilent d'ailleurs plus à un équilibre entre sphère professionnelle et sphère personnelle ; - des parcours le plus souvent non linéaires, fruit du hasard ou d'un choix au feeling plus que résultat d'un choix stratégique ; - l'importance de leur propre attitude, qu'elles se reconnaissent dans l'un des trois catégories repérées : les pro-actives, les opportunistes ou les suiveuses. Il reste que, d'après le palmarès des taux de féminisation des emplois cadres selon les secteurs d'activité, l'informatique tire encore trop peu parti de cet apport. A l'embauche, la profession compte une femme informaticienne (21%) pour quatre hommes. Pour l'industrie pharmaceutique, le taux est de 54% ; et de 44%, pour la fonction études et conseil. Selon le Gartner, en Europe, à peine 6% des services informatiques des entreprises sont dirigés par des femmes, contre 20% en Amérique du Nord. Et à l'horizon 2012, si rien ne change dans les comportements, 40% des femmes travaillant dans le secteur des technologies de l'information se seront éloignées des voies classiques d'évolution de carrière de ce secteur (chef de projet, etc.). De quoi susciter des actions et réactions... jusqu'au 8 mars 2008 et la prochaine journée des femmes. (...)

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