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(09/03/2007 16:49:30)
Virtualisation : VMWare doute de la stratégie de ses concurrents
Etrangement, VMWare doute de la stratégie adoptée par ses compétiteurs sur le marché de la virtualisation. Pour Diane Greene, PDG de l'éditeur (filiale d'EMC), les systèmes d'exploitation qui font de la virtualisation passent à côté de l'intérêt de cette technique. « Traditionnellement, le système d'exploitation gère le matériel et les applications. Une fois que vous utilisez un hyperviseur, c'est lui qui prend en charge le matériel et non le système d'exploitation proprement.dit. Certes Windows et Red Hat vont installer des outils de virtualisation dans leurs prochaines versions, mais une partie de leur valeur ajoutée sera perdue en faisant cela, » a-t-elle affirmé hier, lors de la conférence Stanley Morgan Technology à San Francisco. Cette attaque arrive alors que Red Hat Entreprise 5 sera disponible la semaine prochaine et que la nouvelle version de Windows Server, Longhorn, est attendue pour l'automne prochain. Ces deux systèmes d'exploitation intégreront un hyperviseur, un outil logiciel permettant aux environnements virtuels d'accéder aux ressources du système comme l'environnement natif. Si Red Hat n'a pas souhaité répondre à cette sortie, Microsoft s'est fendu d'une réponse écrite. « La gestion des ressources a toujours été une part des systèmes d'exploitation. Aujourd'hui des vendeurs comme Sun, Novell et Red Hat incorporent la virtualisation dans leurs systèmes d'exploitation », explique Patrick O'Rourke, responsable produit senior pour Windows Server. « Nous investissons à travers tout Microsoft pour proposer à nos clients des produits de virtualisation du poste de travail à la salle de serveur. Tous les biens, virtuels ou physiques, peuvent ainsi être administrés à partir d'une seule plate-forme. » La guerre des mots continue en attendant que les utilisateurs fassent leur choix. (...)
(09/03/2007 16:44:59)Une faille dans Microsoft OneCare peut bloquer Outlook
Microsoft reconnaît de nouvelles failles dans OneCare. Il y a quelque temps Microsoft admettait que dans certains cas l'installation de son service de sécurité OneCare pouvait interdire tout accès à Internet. Un problème dû selon l'éditeur à un mauvais fonctionnement du pare-feu. Hier, le géant de Redmond a indiqué que son antivirus peut également causer la mise en quarantaine de la totalité des fichiers .pst. (Outlook) ou .dbx (Outlook Express). Le problème se produirait lorsque OneCare détecte une pièce jointe infectée dans un de ces fichiers. Le remède devait normalement être fourni avec le lot de mises à jour du 13 mars. Toutefois, Microsoft a annoncé aujourd'hui qu'il n'y aura pas de "patch tuesday" de sécurité ce jour-là, les corrections concernant Internet Explorer 7, Office 2007, Publisher 2007 et Windows Vista n'étant pas prêtes. (...)
(09/03/2007 16:32:01)TechFest 2007 : Microsoft ouvre les expérimentations de ses chercheurs
« Le & de R&D » martèle le slogan lisible sur les affiches placardées dans le campus Microsoft à Redmond, lieu historique qui héberge le plus important centre de recherche de l'éditeur, et lieu incontournable pour recevoir pareille manifestation. Le TechFest symbolise ainsi la réunion annuelle qui doit rapprocher les chercheurs de la société, des groupes de travail élaborant les produits de la marque au sein des centres de recherche. « Son but premier est le transfert des technologies », assène Richard Rachid, vice-président de Microsoft Research. Soit, assurer la transition entre projet de recherche et son développement en production au sein des gammes de produits Microsoft. C'est dire l'enjeu que cela représente pour les chercheurs : « s'insérer dans un futur Office, Vista ou au sein d'un service Live ». De l'expérimental au concret Classés selon six thématiques (recherche, interaction et collaboration ; hardware, périphériques et solutions mobiles ; logiciel, théorie et sécurité ; systèmes, réseaux et base de données ; interface, graphiques et media, et enfin marchés émergents), 24 stands présentent, dans une ambiance très universitaire, des prototypes éclectiques de services, d'applications et d'interfaces innovantes. Le projet World Wide Telescope, un projet démarré par Jim Gray - actuellement porté disparu en mer - , transforme n'importe quel PC en un téléscope ultra-perfectionné, mêlant un contenu multimédia à une gigantesque base d'images haute définition de l'espace. Boku, de son côté, vise à simplifier l'apprentissage de la programmation auprès de jeunes enfants. Et ce, sous forme de jeu en 3D sur Xbox. L'enfants ne tape pas des lignes de codes, mais manipule des objets, lui attribuant des actions et des comportements. Boku doit exposer l'esprit de la programmation, tant ses mécanismes que ses aléas, confie Matthew MacLaurin son créateur. Plus concret, le projet Asirra qui consiste, selon son auteur, « à sécuriser des services en ligne avec des petits chats ». Il doit concrètement fournir une alternative au système de sécurité CAPTCHA -le système demande à l'utilisateur de prouver qu'il n'est pas un robot mais bien une personne lorsqu'il s'enregistre à un service en ligne - en classant des images de chats. WiFi Ads promet de son côté la diffusion de contenu publicitaire personnalisé en temps réel par le réseau WiFi sur toute solution mobile, en se basant sur le principe du RFID, mais en utilisant la norme WiFi. Plus orienté développement, le projet PEX doit, selon lui, faciliter les tests unitaires en programmation dans Visual Studio. Il s'agit d'une série de bibliothèques qui explorent le code et vérifient les conditions ainsi que les paramètres passés dans les lignes de code ; Yogi, projet issu du centre de recherche basé en Inde, est un algorithme qui analyse les binaires afin d'en déceler les bogues. Son but : garantir la sécurité des développements. De sources proches du projet, Yogi aurait trouvé sa place dans un environnement Microsoft. Enfin, plus expérimental, le projet PlayTogether, qui à travers l'utilisation de vidéo, virtualise et surtout rend interactif un environnement distant. Par exemple, voir les pièces de son partenaire d'échec se déplacer. Reste à savoir si, un jour, le projet gagnera son passeport pour un groupe de travail du centre de recherche. « L'une de nos principales tâches est de repérer puis de hiérachiser les projets de chercheurs » nous expliquaient les directeurs de cinq centres de recherches Microsoft (Redmond, Silicon Valley, Cambridge, Asie et Inde), à l'occasion d'une conférence de presse. « Pour certains, les étapes depuis la conceptualisation jusqu'à la commercialisation peuvent être rapides. C'est notamment le cas de Live.com. Pour d'autres plus expérimentaux, cela peut s'avérer plus long. » (...)
(09/03/2007 16:20:02)Contrat quadriennal entre l'Inria et l'Etat : 7 défis prioritaires
L'Inria fête cette année son quarantième anniversaire. François Loos et François Goulard, respectivement ministre de l'Industrie, et ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, ont signé mercredi 7 mars le Contrat quadriennal 2006-2009 qui lie l'institut à l'Etat. L'Institut national de recherche en informatique et en automatique se voit attribuer des moyens importants par l'Etat en contrepartie d'objectifs ambitieux et précis. Sur le plan budgétaire, le contrat prévoit que l'Etat soutiendra le développement de l'Inria via 3 nouvelles unités de recherche à Saclay, Bordeaux et Lille - avec doublement des effectifs dans ces unités. Par ailleurs, l'Etat poursuit l'objectif du précédent contrat quadriennal qui est celui d'un doublement des effectifs de l'institut en 10 ans. De plus, il augmentera sa subvention qui est de 140 millions en 2007, à 165,7 millions d'euros en 2009. Des équipes projets de recherche au centre du système En contrepartie de l'enveloppe financière et du contrat qui semble satisfaire l'ensemble des parties, Michel Cosnard, PDG de l'Inria, insiste sur les objectifs « mis en ?uvre par des équipes projets, dans les 7 défis identifiés comme prioritaires : - le futur d'Internet et le futur du Web ; - la fiabilité et la sécurité des logiciels ; - le contrôle des système complexes ; - la simulation et la visualisation ; - la modélisation du vivant ; - l'amélioration du traitement des données multimédias ; - enfin le développement des STIC (Sciences et techniques de l'information et de la communication) dans le domaine médical. Ce contrat engage l'Inria à concentrer ses efforts dans ces domaines, « tout en se réservant la possibilité de faire face à des défis émergents ». Mais que faire lorsqu'un projet arrive à son terme ou est dans une impasse ? « L'arrêter lorsqu'il est terminé, répond Michel Cosnard. Ou alors, faire des choix. Cela fait partie de la dynamique de notre recherche. Nous avons la mission nationale de définir des programmes de recherche résultant d'une dualité : ce que l'on va faire et avec quels moyens. Il faut se concentrer sur des sujets adaptés à notre discipline avec des petites équipes. » Résultats : 138 « projets de recherche » sont menés par 170 équipes (dont plus de la moitié communes avec d'autres organismes de recherche ou universités) et l'obligation pour l'Inria de présenter un rapport annuel sur ses engagements. « L'évaluation se fera par la reconnaissance académique et par la réussite économique », a précisé François Goulard. Les STIC, vecteurs de croissance Quant à François Loos, il a insisté sur les NTIC qui, selon le ministre de l'Industrie, « on accru de 50% la croissance américaine » ces dernières années. En France, « au-delà des pôles portant spécifiquement sur le logiciel ou les TIC, ces technologies sont au c?ur de près de 50% des projets de R&D déposés par les 66 pôles de compétitivité » a-t-il poursuivi. En phase avec l'analyse du ministre, le PDG de l'Inria ose un pronostic : « je crois profondément aux STIC, notamment dans les applications à la biologie. Les relations entre ces deux disciplines permettent d'extraordinaires champs d'exploration. Je crois également beaucoup à l'importance des logiciels dans les systèmes embarqués. Mais surtout, je crois qu'il y aura encore bien d'autres domaines à explorer ! » (...)
(09/03/2007 15:52:28)Vote ouvert pour le Prix Excellencia 2007 des femmes ingénieurs high-tech
En dépit de la journée du 8 mars, force est de constater que peu de femmes accèdent aux très hautes fonctions. C'est donc pour récompenser les spécialistes les plus reconnues dans 5 domaines des nouvelles technologies que pour la troisième fois, les Français vont élire « les femmes high-tech de l'année ». Un vote en ligne a été ouvert lors de la journée des femmes ; il sera clos en juin. Les trophées seront remis le 15 octobre 2007 pour ces femmes ayant démontré une certaine réussite à la fois sur les plans professionnel et personnel. Les 5 catégories concernent la recherche fondamentale et la recherche appliquée (ingénieur en centre de recherche) ; recherche, développement, marketing de l'innovation (ingénieur chez un fournisseur) ; gestion, production et projets innovants (ingénieur chez l'utilisateur). La dernière catégorie n'est pas la moins intéressante puisqu'elle valorise les étudiantes ou les jeunes filles « ayant pour projet professionnel de s'orienter vers la high-tech ». C'est une manière d'attirer l'attention sur une réalité inquiétante : la proportion de candidates aux concours d'entrée dans les écoles d'ingénieurs ne dépasse pas les 25% ces dernières années. Et une fois diplômées, bon nombre d'entre elles s'éloignent des métiers de l'ingénieur. Et même si selon Eurostat, la France se situe dans le peloton de tête en Europe pour l'éducation des jeunes filles et dépasse sensiblement ses concurrents économiques immédiats (Royaume Uni et Allemagne), selon Excellencia « tous les observateurs s'accordent pour souligner la grande différence avec les pays les plus dynamiques économiquement dans le monde high-tech (Chine, Inde, pays de la zone Pacifique). La forte féminisation des métiers high-tech et des cursus d'ingénieurs y est particulièrement forte et constitue un atout non négligeable pour l'avenir économique de ces nouveaux concurrents. » (...)
(09/03/2007 15:44:00)Opsware achète iConclude pour la gestion des serveurs
Alors qu'il vient d'annoncer avoir passé la barrière des 100 millions de dollars de revenus annuels, Opsware songe déjà à s'agrandir. L'éditeur, spécialisé dans les logiciels d'administration serveur et réseau, va acheter pour 54 millions de dollars iConclude, une start-up dont le principal logiciel OpsForce automatise la réparation des serveurs en se basant sur des scripts prédéfinis par les responsables informatiques du client. Opsware compte intégrer ce logiciel dans l'ensemble de ses produits. Pour Opsware, cette intégration vise une meilleure efficacité de ses produits : « Non seulement le logiciel d'iConclude permettra à nos clients d'automatiser plus facilement la suite Opsware existante, il guidera également de concert tous les autres outils de gestions qu'ils utilisent, leur fournissant un niveau sans précédent de contrôle et d'efficacité, » explique Ben Horowitz, PDG d'Opsware. Le rachat devrait être finalisé en mai, et Opsware s'est engagé à conserver presque tous les salariés d'iConclude. (...)
(09/03/2007 15:41:15)Les cybermarchés beaucoup plus chers que les magasins en dur
« A quand le retour de bâton », s'interroge le magazine en ligne de la distribution Linéaires.com qui a étudié les prix pratiqués par quatre cybermarchés nationaux (Télémarket, Auchan Direct, Houra et Ooshop). Selon notre confrère, ceux-ci seraient nettement plus chers que ceux des grandes surfaces et ce, sans tenir compte des prix de livraison. En avril 2006, un panier de 95 produits de grandes marques valait en moyenne 10 % de plus que dans les 12 principales enseignes en dur. Moins d'un an après, l'écart s'est creusé pour atteindre 13,4 %. Si Auchan Direct n'alourdit la note que de 6,8 %, Houra - le supermarché en ligne de Cora - frappe fort avec un surcoût de 25 % par rapport aux prix pratiqués par un Leclerc. Si l'on s'en tient au Web, ce dernier est d'ailleurs 14 % plus cher qu'Auchan Direct. Entre ces deux extrêmes, on trouve Télémarket (Monoprix) et Ooshop (Carrefour). Le Web, berceau des prix discounts, en prend un sacré coup. Ces écarts de prix paraissent injustifiés quand on sait que, d'une part, les charges d'un magasin sont plus élevées que celles d'un entrepôt et que, d'autre part, le coût de la livraison est pris en charge par le client. Un coût très variable d'ailleurs. Si Auchan Direct et Ooshop facturent ce service respectivement 11,99 € et 10 €, les autres cybermarchés appliquent des prix qui varient selon le montant de la commande et la fréquence des achats. La donne pourrait changer avec l'arrivée sur la toile d'Expressmarché, le site d'achat en ligne d'Intermarché. Les Mousquetaires annoncent en effet des prix identiques à ceux des magasins en dur, la livraison étant facturée entre 4 et 6 €. (...)
(09/03/2007 15:29:54)434 millions de disques durs livrés en 2006, des hybrides flash pour 2007
En 2006, le cabinet d'études iSupply estime qu'il s'est vendu 434,2 millions de disques durs de par le monde, soit une hausse des livraisons de 15,5%. Seagate arrive en première position avec 34% du marché, suivi par Western Digital (20%) et par Hitachi GST (17%). Dans un contexte chaotique marqué par une concurrence acharnée et quelques pénuries de composants, un nouveau segment de marché est apparu, celui des disques durs externes. Leurs ventes ont augmenté de 37% pour atteindre 2,6 millions d'unités. iSupply explique cet engouement par le besoin de stockage engendré par le téléchargement de volumineux fichiers multimédia. Parmi les autres faits marquants de 2006, iSupply note : - Le rachat de Maxtor par Seagate fin 2005 qui a entraîné une guerre des prix au premier semestre 2006 ; - Un ralentissement de la demande pour les disques 1 pouce boudés par les fabricants de lecteurs MP3 qui leur préfèrent les mémoires flash ; - La menace d'une réelle concurrence des disques durs par de la mémoire flash dans les ordinateurs portables (voir l'encadré ci-dessous). En 2007, les analystes d'iSupply tablent sur une hausse de 17% de la production. La technologie du stockage perpendiculaire devrait finir de se généraliser. Elle ouvre la porte à un concept qui enthousiasme les fabricants, celui du "terabyte home" : un disque dur géant qui centraliserait tous les besoins de stockage des foyers numériques... (...)
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