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(28/02/2007 18:52:59)

VMWare reproche à Microsoft de s'imposer sur le marché de la virtualisation

Annoncée comme l'une des technologies phare de 2007, la virtualisation est désormais l'enjeu d'une énième plainte contre la position dominante de Microsoft sur le marché des systèmes d'exploitation. Cette fois, la plainte, informelle, émane de VMWare. Lundi dernier, l'éditeur a mis en ligne sur son site un document prouvant comment la nouvelle politique de licence de Microsoft visait à contraindre ses clients à utiliser ses outils de virtualisation maison. Pour Srinivas Krishnamurti, directeur produit de VMWare, ce texte a pour but de « montrer que les termes de ces licences ne sont pas du meilleur intérêt pour l'utilisateur final. Nous espérons que l'industrie évoluera pour fournir un environnement bien plus ouvert et interopérable dans le domaine de la virtualisation. » Dans son livre blanc, VMWare retient sept points en particulier, comme l'obligation d'avoir un support client de haut niveau pour installer Windows dans des environnements virtualisés par un logiciel tiers, ou l'interdiction pour des tiers non licenciés d'utiliser l'API de Longhorn Server qui gère la communication entre Windows et l'hyperviseur. Un dialogue ouvert aux futurs licenciés La réponse de Microsoft n'a pas tardé et Mike Neil, directeur général de la virtualisation chez Microsoft, précise que : « Pour encourager l'interopérabilité, nous partageons publiquement nos technologies et avons publié une série d'API pour tous nos produits de virtualisation commercialisés actuellement, ainsi que fourni la documentation sur l'API de l'hyperviseur inclus à la prochaine version de Windows Server. Nous désirons avoir un dialogue ouvert avec l'industrie, et nous discuterons avec toute société désireuse d'avoir des licences pour de prochains produits. » En rappelant au passage les bonnes relations commerciales qu'entretient pour l'heure EMC, la société-mère de VMWare, avec Microsoft. (...)

(28/02/2007 17:52:59)

Sondage Flash : Deux tiers des informaticiens ignorent ce qu'est le Dif

Suite à un sondage actuellement mis en ligne sur le site lemondeinformatique.fr, les premiers résultats laissent songeurs : 66,5% des internautes ont répondu « Le Dif, qu'est-ce que c'est ? » à la question : « Informaticiens, comptez-vous profiter de votre Dif en 2007 ? » Le Dif (droit individuel de formation) est une déclinaison de la loi du 4 mai 2004 relative à « la formation professionnelle tout au long de la vie ». Il permet à tous les salariés d'obtenir une sorte de « crédit d'heures de formation » de 20h par an, cumulables sur 6 ans dans la limite de 120h. Les personnes en CDD ou à temps partiel peuvent également en bénéficier au prorata temporis. L'initiative d'utiliser son Dif appartient au salarié : à l'instar de tout droit, il peut ou non en profiter. Mais s'il décide de ne pas faire valoir ses heures acquises, il ne peut pas demander de compensation financière à son employeur. Enfin, la mise en oeuvre du Dif requiert l'accord de l'employeur sur le choix de l'action de formation. La formation a lieu hors du temps de travail sauf disposition conventionnelle contraire ; elle est prise en charge par l'employeur selon des modalités particulières. La branche professionnelle joue un rôle non négligeable dans ce dispositif qui, contrairement au Cif (Congé individuel de formation), aux formations financées par l'entreprise ou à la Vae (Validation des acquis de l'expérience) n'est pas impérativement en rapport avec la fonction, l'expérience ou la carrière du salarié. Qu'est-ce qui peut expliquer une telle méconnaissance d'un droit, véritable avancée sociale que les entreprises ont intégrées puisque 58% d'entre elles se déclarent prêtes à offrir des plans de formation dans ce cadre à leurs salariés ? Probablement une mauvaise communication sur ce sujet : dans le sondage, seuls 13,7% des informaticiens répondaient qu'ils étaient prêts à profiter de leur Dif en 2007. En faisant le calcul, 20h par an représentent déjà près de 3 jours de formation et la plupart des centres reconnus, à l'instar d'Adhara, proposent des formations Dif sur-mesure. Une piste à explorer pour ne pas être pris au dépourvu le moment venu... et que le prochain sondage puisse indiquer d'autres résultats ! (...)

(28/02/2007 17:38:57)

Tellabs souhaite gagner du terrain hors des Etats-Unis

Selon le rapport annuel de Tellabs, l'appétit croissant des utilisateurs pour la vidéo nécessite des réajustements de réseaux. Une minute de vidéo demanderait ainsi quatre fois plus de bande passante qu'une minute de musique, et le déchargement d'un clip vidéo sur un téléphone mobile en exigerait cinq fois plus qu'une conversation. De même, la TV HD serait cinq fois plus gourmande que la TV standard. « Aujourd'hui 250 millions de personnes ont souscrit un service Internet haut débit dans le monde et le mouvement ne peut que se poursuivre. Nos clients constatent d'ailleurs une demande soutenue pour de la bande passante. On voit que YouTube, après deux ans d'existence, représente 100 millions de streamings vidéo chaque jour. Si chacun des centaines de millions d'utilisateurs potentiels fait cela chaque jour, les réseaux actuels ne supporteront pas la charge », estime Krish Pabu, président et CEO de l'entreprise. Selon lui, le marché des ROADM (Reconfigurable Optical Add Drop Multiplexer), qui permettent de définir et de reconfigurer à distance les longueurs d'onde pour coller aux besoins des clients, devrait doubler d'ici à 2009 tandis que les besoins en routeurs multiservices devraient grimper de 39% sur la même période. Quant au marché de la fibre, il progresserait de 53% d'ici la fin de la décade. L'équipementier américain, dont les exportations ne représentent aujourd'hui que 25% du chiffre d'affaires, espère profiter de cette embellie pour décrocher quelques beaux contrats hors du continent nord-Américain et renouveler les exploits réussis en Australie avec Telstra et en Italie avec Telecom Italia. Le marché européen, en pleine croissance, serait d'ailleurs en point de mire. (...)

(28/02/2007 17:38:45)

Pour Ray Ozzie, les suites hébergées riment avec compromis

Les applications hébergées ne sont finalement qu'une histoire de compromis entre fonctionnalités et connexion permanente à Internet. Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft, ne mâche pas ses mots. Et, à l'occasion d'une conférence entre analystes déclare que la méthode de distribution d'applications de productivité, comme celle de Google, est, au final, la mauvaise marche à suivre. La semaine dernière, Google a annoncé porter son offre de bureautique en ligne sur le terrain des entreprises. Se positionnant officiellement en frontal de Microsoft (et d'Office) sur les suites dites de productivité. Pour 50$ par an, Google Apps Premier Edition propose un traitement de texte et un tableur (Google Docs and Spreadsheets), une messagerie, un agenda et un outil de messagerie instantanée. Le tout en mode hébergé. Si Ray Ozzie admet toutefois que le modèle Google - soit le financement par la pub - a bien provoqué un électrochoc chez Microsoft, il considère en revanche que la stratégie de la pieuvre Google en termes de suites de productivité en ligne n'est résolument pas celle suivie par Microsoft. "Dans un modèle purement Web, les compromis sont importants. Vous devez être connectés [en permanence] pour les utiliser.[...] Et ce n'est pas ce que vise Microsoft". Notons que l'un des principaux inconvénients des suites hébergées est leur impossibilité de travailler en mode déconnecté. L'éditeur, selon Ozzie, se tourne davantage vers un service mixte qui mélange applications installées sur le PC et services en ligne complémentaires et compatibles avec des solutions mobiles. "La façon dont je conçois les services liés à la productivité va beaucoup plus loin que le simple portage d'applications depuis le PC vers le Web [...], il s'agit davantage d'imaginer d'autres scenarios de partage" a-t-il ajouté, sans finalement préciser la nature des développements de l'éditeur en la matière. (...)

(28/02/2007 15:35:22)

Très haut débit : Bruxelles lance une première salve contre Berlin

Bruxelles ne décolère pas depuis que la loi allemande sur les télécommunications octroie à Deutsche Telekom le privilège d'être protégé de la concurrence sur son réseau très haut débit (VDSL). L'heure est désormais aux sanctions. Adoptée en novembre 2006, la loi a été complétée par plusieurs amendements limitant l'arrivée de nouveaux concurrents sur le créneau, qui viennent d'entrer en vigueur et constituent, selon la Commission européenne, « une pause réglementaire [et] une tentative d'entraver la Concurrence dans un secteur crucial de l'économie. Il s'agit d'une infraction aux règles communautaires en matière de télécommunications, qui existent depuis 2002 ». En juillet 2006, le régulateur allemand avait pourtant enjoint l'opérateur historique, qui contrôle les trois quarts des lignes haut débit outre-Rhin, d'ouvrir ses réseaux large bande. Une injonction que Bruxelles avait soutenue en août. En octobre, Neelie Kroes, la commissaire européenne à la concurrence, revenait à la charge en adressant ses préoccupations au ministre allemand de l'Economie, Michael Glos, et évoquait l'ouverture prochaine d'une procédure d'infraction si la non conformité avec le droit européen perdurait. Face à l'assourdissant silence du gouvernement allemand, Bruxelles passe désormais à l'action et lance une procédure accélérée contre le récalcitrant. Berlin dispose de quinze jours pour apporter une réponse à la mise en demeure envoyée le 26 février. Au-delà, et si Deutsche Telekom persiste à vouloir contrevenir aux principes communautaires, l'exécutif européen se tournera vers la Cour de justice des Communautés européennes pour faire respecter le droit. Et calmer les éventuelles ardeurs des autres Etats membres, qui pourraient être tentés de suivre l'exemple allemand. En juin 2006, François Loos, le ministre français délégué à l'Industrie, indiquait ainsi que France Télécom devait bénéficier d'un privilège concurrentiel sur le même créneau du très haut débit : « il faut laisser un avantage à celui qui prend le risque de l'investissement ». (...)

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