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(01/03/2007 15:42:24)
ECI augmente les débits de la fibre optique
L'équipementier ECI Telecom, un des fournisseurs de France Télécom, a réussi une transmission de 43Gb/s sur une distance de 1 000 Km à travers un réseau WSS ROADM, l'espacement entre les canaux adjacents étant de 50 GHz avec une liberté de 10 degrés. Rappelons que les ROADM (Reconfigurable Optical Add Drop Multiplexer) permettent de définir et de reconfigurer à distance les longueurs d'onde et que le WSS (Wavelength Selective Switch) ou commutateur de longueur d'onde interconnecte les voies d'entrée aux voies de sortie voulues. L'application de cette nouvelle technologie devrait répondre au souhait des opérateurs d'augmenter leur signal de 10 à 40 Gb/s, tout en conservant leurs réseaux optiques DWDM (Dense Wavelength Division Multiplexing) actuels et avec une tolérance au bruit identique. Il faut savoir en effet que ces réseaux respectent généralement un espacement de 50 GHz entre les canaux et adoptent majoritairement la technologie WSS. A l'occasion du Broadband World Forum Europe, qui s'est tenu à Paris au mois d'octobre, ECI avait déjà frappé les esprits avec son DSM (Dynamic Spectrum Management), une technologie qui permettrait d'offrir des débits aussi élevés que ceux de la fibre optique sur une simple paire de cuivre. Cette solution sera d'ailleurs déployée à Pékin pour augmenter les capacités du réseau à l'occasion des futurs Jeux Olympiques. Il s'agit dans les deux cas de poursuivre la course à la puissance tout en limitant le déploiement de nouvelles infrastructures. Et, pour l'Israélien, de pénétrer sur certains marchés moins bien nantis. (...)
(01/03/2007 15:16:33)L'offre middleware de Sun unifie ses consoles d'administration
Sun vient de présenter la version 5 de son offre middleware d'entreprise, Java Enterprise System (JES). Ensemble consolidé de produits testés et compatibles entre eux, JES agrège des produits d'origine distincte, qui disposaient chacun, jusqu'alors, d'une interface d'administration particulière. « Désormais, explique Alexis Moussine-Pouchkine, architecte Java chez Sun France, l'infrastructure d'administration est totalement unifiée, il n'y a plus besoin d'avoir de multiples comptes administrateurs. » La suite de base comporte notamment le serveur Web, qui fait l'objet d'une nouvelle version, le serveur d'applications, l'annuaire, le portail, le bus de messages et le service d'authentification. Fidèle à sa politique tarifaire par employé et par an, Sun propose cette suite pour 100$. Elle peut être complétée de la suite de gestion d'identités, qui fédère les outils liés à l'authentification et à la réservation des ressources, pour 50$ de plus. De même, l'offre pour les SOA (architectures orientées services) héritée de SeeBeyond, Java Caps (pour Composite application platform suite) peut être ajoutée pour 50$. Acquises seules, les suites sont bien plus chères : 75$ pour la gestion des identités, 100$ pour Java Caps. Le contrat d'abonnement a été légèrement révisé : les services de support diffèrent en fonction du nombre d'employés. Selon les paliers, les clients peuvent avoir droit à davantage de consulting ou de formation. Dans tous les cas, il faut compter 10$ de plus, toujours par employé et par an, pour bénéficier d'un support premium, c'est-à-dire 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. A l'heure actuelle, indique Alexis Moussine-Pouchkine, 1000 clients ont souscrit à ce principe du contrat d'abonnement, dont 600 pour la suite complète. « En France, ce modèle économique fait que nous avons pour clients tous les fournisseurs de services de type Cegetel, Neuf, Orange... » Parmi les derniers clients figurent l'Apec, le Sénat et Voyages-sncf.com. JES 5 est disponible sur les variantes x64 et Sparc du système d'exploitation, ainsi que sur HP-UX, mais il faut noter que côté Linux, seul Red Hat est supporté. Concernant Windows, la compatibilité n'est complètement assurée que sur la version 32bit. « Mais nous voyons davantage Windows comme une plate-forme de développement », souligne Alexis Moussine-Pouchkine. (...)
(01/03/2007 12:52:07)Le Cert pousse à appliquer les dernières rustines pour Firefox
Le Cert (US Computer Emergency Response Team) américain a publié un bulletin d'alerte lundi 26 février sur une faille dans Firefox qui, si exploitée, "peut conduire à une exécution de code malicieux à distance". L'organisme prévient également qu'un exploit serait actuellement en circulation. Selon ces spécialistes de la sécurité, Firefox interprèterait mal la commande Javascript "onUnload". Une erreur dans le moteur d'exécution pourrait corrompre la mémoire, avertit le Cert. Pour autant, les dernières mises à jour du navigateur Open Source, publiées mercredi 21 février, corrigeraient la faille. Mais Mozilla n'a pas communiqué dessus. Le Cert conseille alors d'appliquer ces rustines ou de désactiver la console Javascript. (...)
(01/03/2007 11:42:03)Priorité des DSI français : l'amélioration des niveaux de services
Soumis à une forte pression de la part de leur direction générale, les DSI doivent faire des choix en termes d'investissements informatiques. Contrairement aux années précédentes, la priorité n'est plus donnée à la réduction des coûts mais à l'amélioration des niveaux de services offerts, révèle une enquête réalisée par IDC pour Accenture. Dorénavant, la technologie est perçue comme un levier de croissance opérationnelle, et non plus comme un simple facteur de coûts. Concernant les objectifs des DSI français, la performance arrive en tête des priorités. Sur le plan budgétaire, la tendance est à la hausse, en progression de 14 % depuis 2005. Les DSI français consacrent en moyenne plus d'un quart de leur budget à l'infrastructure. Maintenant, les directions sont prêtent à investir davantage, cependant, elles le feront de manière réfléchie, rentabilité oblige. Une rentabilité qui passe par la rationalisation des infrastructures. Ainsi, les DSI français ont une approche plus stratégique que pragmatique, dans la mesure où ils se concentrent davantage sur les infrastructures en place plutôt que sur l'adoption d'un nouvel outil ou sur une nouvelle architecture. Leurs préoccupations restent orientées sur la réduction de coûts, la gestion de la convergence, sans oublier la conformité et la standardisation. Ce qui explique pourquoi la plupart des DSI français hésitent encore à adopter des technologies comme des solutions de virtualisation. En effet, si près de la moitié des entreprises sondées admettent étudier les avantages de la virtualisation de leur réseau, elles ne sont plus qu'un tiers à réfléchir à celle de leurs serveurs. Côté stockage, elles sont en revanche plus des deux tiers à reconnaître les avantages d'une telle solution. Enfin, les SOA ne remportent que 52 % des suffrages. (...)
(01/03/2007 09:57:26)Alerte : Oracle pourrait racheter Hyperion pour 3 Md$
Plusieurs sources américaines font état de discussions très avancées entre Oracle et Hyperion. L'éditeur de solutions décisionnelles pourrait être absorbé pour environ 3 Md$. Nous reviendrons évidemment sur cette actualité dans la journée, dès que nous aurons plus de détails. (...)
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