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(09/02/2007 18:05:47)
Le Fafiec finance le certificat de qualification
En novembre dernier, GTM'Ingénierie et le Syntec avaient convié petites, moyennes et grandes entreprises pour leur expliquer les atouts de la Vae (Validation des acquis de l'expérience). Plusieurs raisons avaient été évoquées pour tenter d'expliquer une réalité : la Vae était un dispositif peu utilisé dans l'informatique. Le 8 mars 2007, GTM'Ingénierie poursuit son action en invitant à nouveau les DRH et dirigeants d'entreprises à une rencontre : désormais, le dispositif du CQP-Are (Certificat de qualification professionnelle, administration de réseaux d'entreprises) préparé par Vae, est entièrement pris en charge par le Fafiec (Fonds d'assurance de la formation ingénierie, études et conseil) pour accompagnement à la Vae et la formation complémentaire si nécessaire. C'est un argument non négligeable pour les entreprises, théoriquement prêtes à accepter que leurs employés se forment, mais bien souvent réticentes au moment de sortir le chéquier. Un dispositif en continu sur un an Le CQP est une avancée pour les salariés : c'est un mode de reconnaissance de leurs capacités à exercer des activités, de leur maitrise des savoirs et savoir-faire dans un domaine donné, en l'occurrence l'administration des réseaux d'entreprises. Directeur de GTM'Ingénierie, Eddy Gaciot est parvenu à imposer aux yeux du Syntec Informatique et du Fafiec un programme pour valoriser ce CQP-Are. Ainsi, entre le 26 mars et le 30 novembre, plusieurs étapes seront nécessaires au candidat pour mettre en oeuvre sa Vae afin d'obtenir le sésame. « Ce dispositif concerne toutes les entreprises et tous les informaticiens qui s'occupent d'administration réseau sans en avoir le diplôme », indique Eddy Gaciot. « Le financement a été voté début janvier et maintenant, nous espérons que le bouche-à-oreille fonctionnera. » (...)
(09/02/2007 18:05:01)L'organisateur du salon E-commerce lance un forum E-marketing
Après avoir proposé un salon du E-Commerce en septembre 2006 qui, pour sa troisième édition, a accueilli 6 000 visiteurs et 250 intervenant, E-Business Info récidive en proposant le premier Forum E-Marketing qui se déroulera à la Cité des Sciences de Paris, les 12 et 13 février 2007. Alain Laidet, commissaire général du Forum Marketing, résume les enjeux de ce rendez-vous : « La convention de septembre est consacrée au E-commerce au sens large. Depuis deux ans, nous réfléchissions à une autre manifestation pour compléter ce cycle de conférences. Nous souhaitions qu'elle soit plus orientée E-marketing, car Internet capte aujourd'hui 10% des budgets marketing des entreprises. Il s'agit de leur présenter toutes les techniques de promotion, d'acquisition et de fidélisation que l'on peut mettre en oeuvre en ligne. » Cette initiative devrait permettre aux professionnels de se rencontrer et d'explorer de nouvelles voies : désormais, la vente sur Internet atteint des sommets. L'étude réalisée en septembre dernier par le Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) pour le compte de la Fevad (Fédération des entreprises de la vente à distance) et de La Poste indiquait que 41% des Français qui achètent à distance font leurs achats sur la toile et que « les cyberacheteurs ont un rythme de consommation plus élevé que la moyenne des acheteurs à distance. » Depuis, les études ont confirmé cette tendance : une autre enquête Fevad/Direct Panel menée début janvier montre que 68% d'internautes ayant fait un achat au cours des deux derniers mois de l'année avaient l'intention de faire les soldes sur Internet (alors que 31% d'entre eux disaient avoir fait les soldes sur Internet en 2006). Mais le marketing s'adresse aussi aux entreprises qui veulent davantage de visibilité ou qui s'interrogent sur la sécurité et le paiement en ligne. Deux jours sont donc prévus pour faire le tour d'un sujet qui devrait devenir récurrent. L'accès au salon et aux conférences sont gratuits (pré-inscription nécessaire), mais les formations qui y seront dispensées sont payantes. Programme et inscription sur ebusiness.info (...)
(09/02/2007 18:02:56)L'Afnic interpelle François Loos sur le décret relatif aux noms de domaine
L'Afnic (Association française pour le nommage sur Internet en coopération), l'organisme chargé de la gestion administrative et technique des noms de domaine en France, met en ligne sur son site Internet une réaction mitigée à la publication d'un décret relatif aux noms de domaine sur Internet au Journal Officiel le 8 février. Outre le fait de renforcer la responsabilité des bureaux d'enregistrement sur la surveillance des attributions des DNS (noms de domaine) et de protéger les noms des institutions, le décret à la loi du 9 juillet 2004, relative aux communications électroniques sur l'enregistrement des noms de domaines d'Internet, instaure le processus d'appel à candidature pour désigner les organismes chargés de la gestion des extensions françaises, notamment les suffixes .fr et .re (pour la Réunion). Réaction de l'Afnic qui, d'emblée, demande de clarifier les termes du texte. "Ce texte soulève de nombreuses questions, notamment sur la manière dont les principes décrits peuvent ou doivent être appliqués", écrit l'Afnic dans un communiqué. Pour l'organisme, le décret manque son but car trop imprécis dans "les modalités d'applications et des responsabilités", confie Loïc Damilaville, adjoint au directeur général de l'Afnic. L'Afnic ne veut pas être juge et parti En ligne de mire, l'élargissement de la responsabilité du registre et des bureaux d'enregistrement. Le décret stipule en effet "un registre qui constate qu'un enregistrement a été fait en violation des règles définies par le code des postes et des communications électroniques doit bloquer, supprimer ou transférer le nom de domaine correspondant." Reste à savoir sur quel critère se baser, explique en substance l'Afnic, qui rappelle par ailleurs qu'elle entretient "une liste des termes interdits ou réservés". "Nous sommes placés en tant que juge et parti, sans en avoir l'autorité, ajoute Loic Damilaville. Ce n'est pas à nous de déterminer [quel terme est interdit ou non]". Même son de cloche sur la partie du décret réservée à la protection renforcée des noms d'institutions et des services publics qui déporte un nouvelle fois la charge du contrôle dans les camps des registres et bureaux d'enregistrement. Si, dans un premier temps, l'Afnic "soutient fermement son principe", elle regrette encore que "les modalités opérationnelles de mise en oeuvre [...] ne soient pas précisées". Le décret propose en effet de multiplier les contrôles de dépôts de noms liés au communes, aux institutions nationales ainsi qu'aux collectivités locales. Un système bien en place, rétorque l'Afnic : "le .fr est déjà l'une des extensions les plus protectrices au monde pour les collectivités publiques avec près d'une dizaine de conventions de nommage (mairie-xxx.fr, cg-xxx.fr, agglo-xxx.fr, etc.) et un dispositif juridique et technique de protection des noms des communes sans équivalent". "Il y a un risque dans la protection des collectivités, celui d'alourdir la procédure, analyse Loic Damilaville. Selon lui, cela implique "la mise en place d'une base de référence [ndlr, notamment celle qui rassemble le nom des communes]. Comment vérifier sans référence? Et il est important que ce ne soit pas géré par nous". Autre zone d'ombre au tableau que l'Afnic espère éclairer en saisissant le ministre de l'Industrie, M. François Loos, "pour lui faire part de ces interrogations". (...)
(09/02/2007 18:01:59)Marché français des PC : Acer et HP récompensés de leur tarification agressive
Acer et HP sortent triomphants de l'année 2006 sur le marché français. Les chiffres de Gartner sont tombés. Les résultats du cabinet d'étude sont un peu différents de ceux donnés il y a quelques jours par GfK, le cabinet américain prenant en compte les livraisons aux revendeurs et non les ventes chez les distributeurs. La progression chez Gartner est moins élevée : + 6,2% contre +12% pour GfK. Mais l'essentiel demeure : ce sont bien les portables, particulièrement sur le segment grand public, qui tirent le marché. Ils représentent en effet 41,5% des PC livrés en 2006. Sur le marché grand public, la proportion monte à 53,8%. La progression a été nette pour Acer, qui croît de 46,4% sur le marché grand public. HP y reste néanmoins numéro un, avec une croissance de 32,2%. Au total, HP reste numéro un du marché, avec 1,88 million d'unités livrées (22,5% de part de marché). Acer s'octroie la deuxième place au détriment de NEC et Dell, avec 1,38 million d'unités (16,5% de part de marché). Dell, troisième, est le dernier à dépasser la barre du million d'unités livrées (1,11 million, pour 13,3% de part de marché). Le constructeur texan a lui aussi bénéficié d'un engouement certain du grand public (+37,4% sur ce marché), mais il pâtit d'une demande en baisse de la part des entreprises : sa croissance totale en volume sur l'année 2006 n'est que de 5,3%, contre 18,5% pour HP ou 46,2% pour Acer. De fait, la demande des entreprises a été assez faible, mais cela ne traduit pas une quelconque tendance, estime Isabelle Durand, analyste Gartner : « 2005 a été une année de renouvellement. Ces cycles ne se reproduisant que tous les 3 ans, on peut s'attendre à une reprise en 2008, ou mi-2007 pour les prévisions les plus optimistes. » [[page]] Fujitsu-Siemens pourrait quitter le top 5 Ceux qui ont le plus souffert cette année, toujours selon le décompte de Gartner, sont NEC (-29,4%) et Fujitsu-Siemens (-8,1%). Pour le premier, la raison est simple : les ventes de Packard Bell au quatrième trimestre ont fait l'objet d'un décompte séparé, suite à la vente de cette entité à Shun Hui en octobre dernier. Concernant Fujitsu-Siemens, il semble, explique Isabelle Durand, que le constructeur n'ait pas voulu suivre la politique de baisse des prix engagée par HP et Acer. Si cela durait, il pourrait bien sortir du Top 5. Sur l'année, ce sont 8 366 914 machines qui ont été livrées. Mais avec une progression en volume de 6,2%, la France, remarque Gartner, se place « en dessous de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), qui enregistre une croissance en volume de 10,8% ». (...)
(09/02/2007 15:54:30)La virtualisation au menu du nouveau noyau Linux
La version 2.6.20 du noyau Linux est sortie, et avec elle commence une nouvelle ère pour le système libre : celle de la virtualisation. Plusieurs solutions existaient déjà pour virtualiser des systèmes Linux, mais l'ajout d'une solution au coeur du système posait problème. Tant XenSource que VMWare auraient bien voulu voir leur code adoubé, mais il semblait délicat de se lier à une de ces technologies en particulier. Linus Torvalds, qui dirige les travaux de développement du noyau au sein de la Linux Foundation, estime avoir trouvé la solution avec la paravirtualisation, ce qui permet de faire cohabiter plusieurs machines virtuelles. Le noyau inclut aussi une technologie de virtualisation développée par une start-up israélienne, Qumranet, appelée KVM (Kernel-based Virtual Machine). Celle-ci sait tirer parti des fonctions de virtualisation des derniers processeurs Intel et AMD. Malgré ces ajouts, Linus Torvalds dit qu'il s'agit surtout d'une version de stabilisation. (...)
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