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(07/02/2007 18:15:26)
Ruby on Rails sous IntelliJ IDEA
Ruby on Rails est un framework libre qui connaît une popularité croissante. Ecrit en Ruby et basé sur le motif de conception MVC, il permet de développer rapidement des sites Web riches et interactifs avec un code concis, une configuration minimale et intégrant des fonctionnalités telles qu'Ajax. Reconnu pour sa haute productivité, apprécié par son aspect libre et multiplateformes (Windows, MacOS, Linux), Ruby on Rails souffre cependant d'un manque d'outils et d'hébergeurs. Le développement se fait encore en mode console. JetBrains, éditeur de l'IDE Java IntelliJ IDEA - un des rares survivants au rouleau compresseur Eclipse -, propose un plugin pour IntelliJ IDEA fournissant le support du développement Ruby. Le Ruby Plugin est en open source, il est encore en développement mais on peut déjà télécharger une version préliminaireici. Le plugin fournit un IDE décent pour le développement Ruby et Ruby on Rails. Il propose des fonctions comme l'édition et la vérification de syntaxe de code source Ruby. Il fournit également la complétion de code pour les mots-clés et les instructions Ruby. Le Ruby Plugin fonctionne actuellement avec la version 6.0 d'IntelliJ. Une version complète du plugin est prévue avec la mise à jour 7.0 d'IntelliJ attendue pour l'automne. Une version "Preview" d'IntelliJ 7.0, nom de code Selena, est planifiée pour mars. David Heinemeier Hansson, le créateur de Ruby on Rails, et la communauté Ruby on Rails se félicitent de ce support commercial de Ruby et de Ruby on Rails. On peut suivre l'évolution du Ruby Plugin sur JetBrains IntelliJ IDEA Blog. (...)
(07/02/2007 18:14:38)Unify lance Gupta Team Developer 5.0
Gupta Technologies, anciennement Centura Software et aujourd'hui filiale de Unify depuis fin 2006, annonce aujourd'hui une nouvelle version de Gupta Team Developer 5.0. Gupta Team Developer est un environnement de développement RAD autour d'un langage de 4ème génération orienté objet (SAL, Scalable Application Language). Destiné à la réalisation d'applications e-business et d'entreprise de grande portée, il exploite les technologies COM, XML, OLE DB, MTS, ASP et s'appuie sur des bases de données entreprise telles que Oracle, SQL Server, MySQL, Sybase ASE et bien sûr SQLBase. Les améliorations les plus visibles de cette nouvelle version concernent l'interface de l'IDE, entièrement rénovée et qui supporte complètement Unicode au développement et à l'exécution. L'IDE introduit un nouveau look & feel pour les applications, plus proche des standards actuels (look Windows XP). Les objets graphiques ont été entièrement reconstruits et de nouveaux contrôles sont venus enrichir l'IDE. L'autre grande nouveauté est la prise en charge de la plate-forme Linux. Développé à l'origine pour Windows, Team Developer est désormais disponible sur les deux plateformes Windows et Linux. A partir d'une seule version de code source, les entreprises peuvent maintenant déployer des applications natives sur les deux plateformes. Une version d'essai gratuite peut être téléchargée sur la page Team Developer Product Download and Resources. (...)
(07/02/2007 18:14:00)Microsoft TechDays 2007 : records battus
Jusqu'alors, plusieurs événements francophones étaient éparpillés tout au long de l'année : les Developer Days, le Forum Architectes, les Journées Microsoft de la Sécurité Informatique, les Journées Académiques Microsoft Research et les Student Days. Si les développeurs avaient leur conférence française, les responsables informatiques et réseau devaient se tourner vers le Tech Ed européen. L'idée de rassembler ces différentes populations, à l'image du Tech Ed, a donc germé chez Microsoft France. Huit mois de préparation, 400 personnes mobilisées pour l'organisation, la logistique et le contenu, 74 partenaires, 21 communautés, 130 exposants : c'est une grande première pour Microsoft France. Avec 230 sessions thématiques, 14 ateliers techniques, 100 laboratoires de prise en main, 1 tonne de mandarines, les TechDays 2007 s'annonçaient comme le plus gros événement technique jamais organisé par Microsoft France. Avec 13 500 inscrits, 4 500 entrées le premier jour et 4 600 entrées le second jour, c'est environ 12 000 visiteurs sur les trois jours (dont 8 000 visiteurs uniques) que Microsoft comptabilise. Un succès qui n'a d'égal que le Tech Ed européen. La proximité, la gratuité, la qualité du contenu sont sans doute les raisons de cet engouement. La salle du Palais de Congrès remplie avec 3 000 participants pour la séance plénière du lundi, c'était effectivement impressionnant. Revers du succès, il était très difficile de trouver une place aux sessions techniques, même pour la presse. Et avec jusqu'à 19 sessions simultanées, les choix devenaient souvent cornéliens. Quelques défauts de jeunesse que devrait corriger Microsoft pour la prochaine édition. La première journée était dédiée aux développeurs. La séance plénière dressait un aperçu des contenus traités dans les sessions. Pas de grande annonce pour cette édition, le lancement tout récent de Windows Vista et d'Office 2007 a dû monopoliser les ressources Microsoft. Au chapitre des nouveautés, on pouvait voir enfin des bêtas d'Orcas, la future version de Visual Studio, d'Expression Blend, l'éditeur d'interfaces riches en XAML destiné aux designers, et de WPF/E, le client riche multiplateforme. Très peu de slides, beaucoup de démos, quelques plantages, une présentation plutôt dynamique qui a permis de balayer le champ d'applications : développement pour Vista, avec Office 2007, applications internet riche avec Microsoft Ajax et WPF, nouveaux accès aux données, roadmap des produits. La deuxième journée était un mélange développeurs/responsables IT. La séance plénière était axée sur l'innovation et les grands axes d'orientation de Microsoft dans ce domaine avec des démonstrations des travaux en cours et des projets de Microsoft Research. Une présentation très prospective qui sera approfondie lors de la conférence de presse sur l'horizon 2020. Pour les absents, toutes les sessions seront webcastées sur le site des TechDays 2007. (...)
(07/02/2007 18:06:33)Marché français des PC : les portables dépassent les desktops
Avec 7,85 millions de PC écoulés en France en 2006, le marché a progressé de 12% par rapport à 2005, selon une étude GfK. Si ce taux reste élevé, il est en net repli par rapport à l'an passé. En 2005, les ventes de PC avaient en effet bondi de 20%. Guerre des prix oblige, la croissance en valeur s'avère bien moindre : les ventes ont généré 3,76 Md€, soit seulement 3% de plus qu'un an auparavant. Une croissance essentiellement dopée par les bonnes performances réalisées dans les réseaux de distribution destinés au grand public : leur chiffre d'affaires progresse de 12% quand, dans le même intervalle, les revenus des enseignes réservées aux professionnels reculent de 13%. Ce contraste s'explique, selon GfK, par l'équipement massif des particuliers « pour profiter, notamment, des nombreux usages offerts par Internet ». Les points de distribution grand public (grandes surfaces, boutiques spécialisées) comptent également, parmi leur clientèle, de plus en plus de très petites entreprises. L'autre grand enseignement de l'étude sur le marché français des micro-ordinateurs concerne le succès des PC portables. Pour la première fois dans l'Hexagone, leurs ventes dépassent celles des ordinateurs de bureau et s'accaparent 54% du marché. Un plébiscite dû aux performances des modèles mobiles « qui ont un design soigné et permettent de se connecter facilement grâce au WiFi », précise l'étude. Pour 2007, GfK table sur une croissance en volume identique à celle observée en 2006, soit 12%. Il s'écoulera donc 8,85 millions de PC en France cette année. Le succès des portables ne devrait pas s'effriter puisque les ventes de ces derniers sont appelées à croître de 23%. Enfin, les constructeurs devraient enregistrer une progression de leurs revenus de 5%, soit deux petits points de plus qu'en 2006. (...)
(07/02/2007 18:04:44)Issy troque ses urnes contre des machines à voter
Au premier tour de l'élection présidentielle, le 22 avril prochain, les habitants d'Issy-les-Moulineaux ne glisseront aucun bulletin dans l'urne. Toutes seront en effet remplacées par des machines à voter, achetées par la municipalité auprès de la société Election Systems & Software. « Le ministère de l'Intérieur a incité les communes à aller vers cette solution, explique Paul Subrini, le 1er adjoint au maire, au mondeinformatique.fr. Elle a l'avantage de la simplicité, elle permet de maîtriser les opérations, d'éliminer les bulletins de vote et d'obtenir les résultats plus rapidement. Nous avons saisi cette occasion d'aller vers plus de modernité ». Issy a acquis 60 machines de modèle iVotronic, dont plusieurs sont prévues pour pallier d'éventuelles défaillances, et les installera dans tous les bureaux de vote. Paul Subrini insiste sur l'ergonomie et la facilité de l'usage : « la machine présente un panneau très simple comportant des boutons sur lesquels le citoyen appuie. Il a la possibilité de revenir en arrière s'il presse une mauvaise touche ». Le vote blanc est prévu, mais les possibilités de vote nul disparaissent. Issy / Floride : un « paradoxe cocasse » L'apparition des appareils iVotronic à Issy relève d'un « paradoxe cocasse » pour Pierre Muller, l'animateur du site ordinateurs-de-vote.org : « le jour où le conseil municipal validait l'adoption de ces machines, le gouverneur de Floride débloquait plusieurs millions de dollars pour envoyer ces mêmes modèles à la casse ». De fait, explique Pierre Muller, les machines à voter présentent des qualités mais certainement pas celle de la sécurité des opérations. « Des doutes planeront continuellement sur la sincérité des résultats : il est difficile de connaître le logiciel qui tourne dans l'appareil ; les assesseurs ne peuvent pas savoir si la machine est intègre le matin quand ils la mettent en marche ». D'autres modèles que celui choisi par Issy-les-Moulineaux ont d'ailleurs donné lieu à plusieurs cas de fraude aux Etats-Unis et, explique Pierre Muller, « des militants américains ont acheté trois machines et sont parvenus à modifier le programme pour attribuer des voix d'un candidat à un autre ». Sur le modèle choisi par la commune des Hauts-de-Seine, il existe des expertises américaines également inquiétantes montrant qu'il est facile de modifier le logiciel (qui n'est protégé que par un mot de passe de trois caractères). Des réserves sur la sécurité L'argument du manque de sécurité ne tient cependant pas pour remettre en cause l'usage des machines à voter, selon l'édile d'Issy. « Aux Etats-Unis, chaque Etat pouvait choisir son type de machine, il n'existait donc pas de matériel harmonisé. Je comprends les réserves mais il faut savoir que, dans les bureaux de vote américains, les machines sont connectées par WiFi au boîtier détenu par le président du bureau, ce qui apporte de la fragilité ». Et l'adjoint au maire de rappeler que les modèles adoptés en France ne laissent pas transiter les données qu'ils stockent : à l'issue du vote, elles sont recueillies sur une clé USB avant d'être acheminées vers le bureau centralisateur. L'agrément donné par le ministère de l'Intérieur constitue l'autre argument fort de Paul Subrini en faveur des machines de vote : « le ministère a défini les types d'appareils pouvant être utilisés, en définissant 114 conditions. De plus, la Cnil a été associée à ces conditions ». Cet argument laisse Pierre Muller perplexe : « si iVotronic a bien été agréé en 2005, il faut savoir que le cadre définissant les conditions d'agrément date de 2001-2002 et n'a été que très légèrement modifié depuis », estime-t-il avant de rappeler que « tout ce qu'on sait, c'est que les machines sont agréées. Dès qu'on veut en savoir plus sur les appareils et ce qu'ils renferment, on se heurte au secret industriel ». Loin de se soucier des éventuels problèmes liés à la sécurité, le premier adjoint du maire André Santini déborde d'enthousiasme et prend des accents d'évangéliste des technologies : « avec cette petite modernité, on incite les gens à être curieux de ce qui se passe en informatique, tout cela participe de la modernité, on essaie de faire évoluer la population ». Au risque de retirer au vote, et à son cérémonial, ce qu'il comporte de sacré et d'universel. Pierre Muller explique ainsi qu'il existe un quasi-consensus, au sein de la communauté scientifique, sur l'obligation de garder dans le processus une trace physique - en l'occurrence un bulletin - et ne pas passer à une démarche 100% électronique. « Les citoyens perdent le contrôle de l'élection en même temps qu'on passe d'une urne transparente à un système opaque », estime le responsable d'ordinateurs-de-vote.org. (...)
(07/02/2007 17:53:17)François Loos veut donner une visibilité internationale aux Ecoles des Mines
François Loos, ministre délégué à l'Industrie, retient cinq axes du rapport de Grégoire Olivier sur les orientations stratégiques des Écoles des Mines que ces établissements devront mettre en oeuvre : « plus d'international, plus de recherche, plus d'élèves dans les écoles, plus d'actions vers les PME et plus de social ». Et le ministre de marteler un message fort : « Si ces écoles possèdent de solides atouts, plusieurs défis sont à relever, en particulier la visibilité et la reconnaissance internationale ». Les Ecoles des Mines : une compétence du ministre de l'Industrie ou de celui de l'Enseignement Supérieur ? C'est en février 2006 que François Loos, ministre délégué à l'Industrie a chargé Grégoire Olivier, Président de Faurecia, la mission de lui proposer des axes de développement pour les sept Ecoles des Mines (Paris, Saint-Etienne, Alès, Nancy, Douai, Nantes, Albi-Carmaux) et de se pencher sur leur regroupement. Le groupe des Ecoles des Mine rassemble aujourd'hui près de 1 000 enseignants-chercheurs, 6 200 étudiants dont 1 000 en formation doctorale, 43 laboratoires de recherche et 16% d'étudiants étrangers. A priori, il n'eut donc pas été illogique de voir ce dossier suivi non pas par François Loos mais par François Goulard, ministre délégué à l'Enseignement Supérieur et à la Recherche. Mais en réalité, les Ecoles des Mines ont une situation originale par rapport à d'autres grandes écoles, puisque ce sont des établissements publics dépendant du ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie. Il est vrai que la fuite des cerveaux, conjuguée à des analyses allant dans le sens d'un nécessaire rapprochement entre recherche publique et industrie, sont au coeur de la réflexion des différents ministères. Pour ce faire, un véritable regroupement du GEM (Groupe Ecoles des Mines) va se créer, dont Paris prendra la tête. Autres annonces faites par le ministre : une politique d'ouverture accrue à des coopérations avec d'autres organismes de formation et de recherche est préconisée. Outre les partenaires étrangers, les réseaux d'écoles proches du GEM devraient être privilégiés ainsi que la participation des écoles des Mines aux projets des réseaux territoriaux (PRES, Ecoles doctorales, Université numérique). Le rapport recommande également qu'un mode de coopération durable s'établisse, au-delà de la participation de l'école des Mines de Paris avec ParisTech. Enfin, François Loos a rappelé la nécessité d'un partenariat accru avec les entreprises et une présence internationale. Pour montrer sans doute que les grandes écoles françaises doivent aussi s'exporter. (...)
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