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(07/02/2007 00:00:00)

Projets mobiles en Entreprises - Comment sécuriser le SI et profiter des nouvelles solutions - 25 janvier 2007

Table Ronde 1 : Déployer un projet mobile en entreprises : quelle démarche, quels services, quels gains ? ::> Présentation des interlocuteurs et des projets (...)

(06/02/2007 17:54:37)

TechDays : Microsoft travaille au futur

Quelle sera l'informatique de demain et quels seront les points d'inflexion technologiques d'ici à 2020? C'est d'une façon inspirée - en citant notamment Einstein, Edison et John Von Neumann - que Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France, a livré, à l'occasion des Microsoft TechDays 2007 (du 5 au 7 février, Palais des Congrès, Paris), quelques orientations et expérimentations technologiques de l'éditeur de Redmond, ainsi que sa vision de l'informatique du futur. Tout en se référant à un environnement technologique en perpétuel mouvement, Bernard Ourghanlian, prudent, identifie la consumérisation des technologies comme la grosse tendance, qui influencera notamment les orientations des constructeurs et des éditeurs. 64 bit et multi-processing de rigueur Côté hardware, Microsoft mise, sans surprise, sur le 64 bit. Et prévoit une généralisation de l'architecture à l'ensemble de ses produits. La mise en marche a d'ailleurs débuté avec Exchange 2007 disponible uniquement sur cette architecture. "Pas de remise en cause de la loi de Moore avant 2020, poursuit-il, mais il ne sera plus possible de se vautrer dans les gigahertz". Le multi-processing prendra alors le relais et deviendra "une obligation et non plus un choix. Le double-coeur va balayer la totalité du spectre du hardware." La programmation en parallèle impérative "L'informatique doit faire face à un certain nombre de problèmes fondamentaux, résume Bernard Oughanlian, tels que la complexité des technologies, le parallélisme [ndlr, issu du grid], la sécurité, les interfaces Machine-à-Machine et Homme-Machine". Lourd constat dans le développement logiciel où "tout n'a pas été réalisé", occasionnant notamment des retards de plus en plus longs dans les développements. Et de rappeler ainsi Vista. "Il va enfin falloir à apprendre à développer du code en parallèle" continue-t-il. Pour répondre à cela, Microsoft rappelle qu'il travaille depuis 2005 sur un projet d'OS baptisé Singularity fondé sur le concept des micro-noyaux, dont "l'objectif est de repenser les technologies pour construire un système plus fiable et plus pérenne". Une de ses particularités, il repose intégralement sur du code managé, soit plus sécurisé. Et Bernard Ourghanlian de conseiller :"Il faudra alors abandonner le code classique au profit du code managé". Des outils de développement qui rapprochent conception et déploiement "Nous avons fait le constat que la productivité des développeurs avait stagné", analyse Bernard Ourghanlian. Les futurs outils de développement devront ainsi permettre de modéliser de nouvelles applications, tout en prévoyant leur déploiement dès la conception. C'est le cas du langage de description SML (Standard Meta Language) qui, plus globalement, s'inscrit dans un plus vaste programme baptisé Dynamic System Initiative, qui vise "à élaborer un ensemble complet de solutions pour la plate-forme Windows automatisant la conception et l'administration des systèmes complexes et distribués". Des applications "streamées" sur le poste de travail Prochaine évolution dans les applications sur le poste de travail, la technologie SoftGrid, issue du rachat de Softricity, devra diffuser en flux tendu les logiciels sur le PC, de façon transparente, sans installer quoi que ce soit dans le système de fichier ou la base de registre. Il charge en streaming un minimum de composants depuis un serveur de façon à rendre rapidement utilisable le logiciel, puis il le garde en cache pour une future ré-ouverture. Un concept qui ouvre de nouvelles possibilités de logiciels disponibles à la demande et de modèles économiques associés", commente Bernard Ourghanlian. "On peut très bien imaginer de préserver les données dans le cache pour un temps limité", donne-t-il à titre d'exemple. Des interfaces homme-machine plus réelles Tout en rappelant les travaux des laboratoires de Microsoft, Bernard Oughanlian souligne qu'après 40 années à avoir employé le sempiternel couple souris / clavier, les interfaces utilisateurs se tourneront vers la réalité augmentée. Un concept qui utilise les membres humains pour naviguer. "Objectif : enterrer la souris". Rappelons qu'en France, les laboratoires Microsoft (Microsoft Research) se sont associés à l'Inria dans le cadre d'un programme de recherche. (...)

(06/02/2007 17:39:25)

Les revenus de Steria dopés par un excellent deuxième semestre

Chiffre d'affaires 2006 : 1,262 Md€ Evolution : +7,4% Steria, la huitième plus grosse société française de services informatiques, vient de publier une croissance confortable de son chiffre d'affaires pour son exercice fiscal 2006. Les revenus de la SSII atteignent ainsi 1,262 Md€, soit une progression organique de 7,4% par rapport à l'année précédente. Une bonne performance due à un excellent second semestre, bouclé sur une croissance de l'activité de 10,8%. Le groupe peut se réjouir de la bonne santé affichée par l'ensemble des secteurs d'activités et des principales zones géographiques dans lesquels il opère. Les revenus de l'infogérance bondissent ainsi de 9,9% à périmètre comparable et ceux de la branche conseil et intégration de systèmes gagnent 5,6%. La France continue de représenter le principal marché de Steria avec un chiffre d'affaires de 533,2 M€, soit 10,3% de plus qu'en 2005. L'Allemagne et le Royaume-Uni, les deux autres pays forts, ne sont pas en reste et croissent respectivement de 9,9% et 9,6%. Ce dernier pays pourrait être le théâtre d'une acquisition d'envergure - peut-être en 2007. Comme l'affirmait François Enaud, le président de la SSII, en mars 2006, l'objectif de Steria est de doubler de taille. Pour ce faire, le recours à des opérations de croissance externe reste la solution la plus rapide. François Enaud indiquait avoir « les yeux tournés vers le Royaume-Uni », et y chercher une cible qui dépasserait 150 à 200 M€. (...)

(06/02/2007 17:34:59)

Le PS publie une charte de bonne conduite à l'usage de ses militants

La campagne électorale ne doit pas donner lieu à un déballage de polémiques et de provocations sur Internet. C'est du moins la position qu'affiche le Parti Socialiste, qui vient de publier une charte à l'attention de ses militants pour leur rappeler quelques règles élémentaires de savoir-vivre. Il est ainsi recommandé aux trois catégories d'e-militants (colleurs d'affiches du Web, veilleurs, créateurs) de s'abstenir de proférer des attaques personnelles lors de discussions sur des forums, d'enrichir leurs interventions de liens hypertextes ou d'éviter de perdre du temps en débattant avec des trolls. La charte des cyber-socialistes reprend la plupart des éléments contenus dans le code de bonne conduite édicté par Néthique, une organisation initiée par l'association humaniste Les Humains associés. Interrogé par Néthique, le responsable de la campagne Web de Ségolène Royal, Benoît Thieulin, explique que le PS veut « débattre des enjeux réels, ne pas sombrer dans les polémiques stériles et les attaques personnelles » et voit cette campagne comme « l'oral de rattrapage du 21 avril 2002 ». Pour autant, il ne s'agit pas pour les socialistes de recevoir des coups sans pouvoir en donner : « nous nous autorisons à organiser des ripostes en ligne face à des campagnes organisées de calomnie ou de diffamation pour rétablir les faits », précise Benoît Thieulin. (...)

(06/02/2007 17:14:39)

Du neuf dans les opérations portes ouvertes des écoles d'ingénieurs et de management

Quelles énergies pour les transports de demain ? Quelle implication peut avoir une école dans la dynamique des pôles de compétitivité, et quelle incidence pour le parcours des étudiants ? Quelle place accordée à l'imagination technologique pour répondre aux défis socio-économiques, à la globalisation ? Quelles sont les nouvelles dominantes qui «assurent» dans les cursus proposés par les écoles d'ingénieurs ? A quoi ressemble la vie d'un élève-ingénieur qui n'a pas (encore) choisi de se spécialiser ? Pour avoir une idée de ce que concocte l'enseignement supérieur français pour répondre à ces interrogations, il suffit d'observer la diversité et l'inventivité des « opérations portes ouvertes » organisées par les écoles. Qu'il s'agisse de l'Estaca (école d'ingénieurs des industries du transport) ou des écoles d'ingénieurs en électronique et en informatique (ISEN, ISEP, ECE, ESIEE), les anciens sont mis à contribution pour présenter leur parcours professionnel et la réalité de leur métier dans les secteurs les plus divers. Démos à l'appui (l'avenir de la voiture électrique ou des énergies propres, par exemple, à l'Estaca). Classique ! Sachant cependant, que ces contributions alimentent aussi, dans la plupart des cas, les sites Internet des écoles. L'ECE (école centrale d'électronique) y met une touche d'originalité en insistant sur l'initiative pédagogique destinée à encourager les étudiants à profiter de cette période liminaire pour perfectionner leur expression (partenariat avec la presse écrite notamment). Réseaux d'écoles L'union faisant la force et la visibilité, les établissements qui partagent des affinités ont désormais tendance à se présenter au public (futurs étudiants, entreprises, sponsors éventuels) sous une même bannière (l'association ParisTech, par exemple, qui représente onze des grandes écoles de la région Ile-de-France). En cette fin de semaine (le 9 février), quatre écoles d'ingénieurs généralistes (EIGSI de La Rochelle, HEI de Lille, EPF de Sceaux, Esigelec de Rouen) lancent ainsi leur marque commune : Ingéfrance. Un regroupement qui signifie la proposition de passerelles entre cursus, la possibilité de renforcer l'enseignement de telle ou telle « dominante » dans un des établissements (la mécatronique à La Rochelle, par exemple), la mise en commun de partenariats à l'international, une mutualisation des moyens pour les relations avec les mondes de la recherche et de l'entreprise, et pour la promotion du métier d'ingénieur auprès des générations montantes. A cet égard, le succès rencontré par l'opération ESSAI (Et Si Seulement j'Aimais l'Ingénierie) à l'EPF (87 lycéens accueillis en immersion pendant deux jours à l'école, avec échantillon de cours en anglais, accès aux salles d'informatique et autres labos, etc.) incite cette école de la région parisienne à réitérer l'opération avec deux sessions de 48 élèves de Terminales accueillis pendant les vacances de février (les 19 et 20 févier, et les 22 et 23 février). Par ailleurs, les écoles de management ne sont pas non plus en reste, pour la promotion de leurs débouchés. Signalons notamment l'initiative des anciens de l'Ifag (réseau de 8 écoles, instituts de formation aux affaires et à la gestion, à Paris, Lyon, Toulouse, Montluçon, Auxerre, Angers, Rennes et Nîmes) qui propose, répartie sur sept sites Web, une typologie des 36 métiers et débouchés de leurs cursus sur la base de témoignages d'anciens diplômés. (...)

(06/02/2007 16:59:23)

Transmeta, contraint de vivre au crochet de ses licences, licencie

Vague de licenciements chez Transmeta. Présenté comme le tueur d'Intel lors de sa création en 1995, le groupe n'en finit plus de réduire son champ d'activité. En 2005, il a arrêté la fabrication de ses processeurs pour devenir une société de services classique spécialisée dans l'ingénierie et les processeurs. Deux ans plus tard, les prestations fournies à deux principaux clients - Microsoft et Sony - se sont terminées sans que d'autres n'aient pris la relève. « En conséquence, le temps facturé pour nos ingénieurs a baissé au point que les projets en cours ne suffisent plus pour couvrir les coûts associés à ce business », regrette Lester Crudele, PDG de Transmeta depuis le mois dernier. La société a donc supprimé 75 postes, soit 39 % de ses effectifs, vendredi dernier et devrait se séparer de 25 à 55 autres salariés au cours du prochain trimestre. Elle fermera aussi ses bureaux à Taïwan et à Tokyo. Comment la société compte-t-elle survivre ? En vivant sur les droits intellectuels que lui rapportent les processeurs Crusoe et Efficeon, fabriqués par d'autres vendeurs comme AMD. Fujitsu, Toshiba, Nec et Sony sont également des licenciés de Transmeta. « Nous pensons qu'en consacrant notre temps et nos ressources au développement de nos propriétés intellectuelles, nous sommes mieux à même de servir nos clients intégrateurs, et nous pourrons alors développer de nouveaux produits pour rendre nos technologies accessibles au plus grand nombre », explique Lester Crudele. (...)

(06/02/2007 16:34:55)

VMWare casse ses prix pour s'attirer de nouveaux clients

Pour 1500 dollars par an, VMWare offre VMWare Server, pour faire de la virtualisation d'environnement et d'applications sur un serveur physique, et Virtual Center 1.4, son outil d'administration. Cette offre, spécifiquement dédiée aux petites et moyennes entreprises, a tout de même une limite : elle n'est valable que pour trois serveurs physiques double socket. Au-delà, il faudra ajouter 400 dollars par serveur et par an. Cela reste tout de même une bonne affaire, la version grands comptes de Virtual Center 2.0 (qui fonctionne exclusivement avec ESX server) est commercialisée à 5000 dollars par an. Selon Ben Matheson, vice-président de VMWare, 70% des 1,2 million de téléchargements de VMWare Server depuis juin 2006 sont dus à des PME qui veulent tester les bénéfices de la virtualisation. « Il a beaucoup d'essais, où les entreprises testent nos produis dans leurs laboratoires. Mais certains commencent également à les utiliser en production, » explique-t-il. (...)

(06/02/2007 15:35:22)

L'industrie des jeux vidéo dessine l'informatique de demain

L'informatique ubiquitaire, les objets intelligents, le groupware en «grande largeur», mais aussi une économie de projet et une organisation spécifiques, sur fond de méthodes agiles : autant d'avancées caractéristiques de la conception vidéoludique dont s'inspirent désormais, volontairement ou indirectement, les acteurs de l'informatique en général. Telle est la démonstration ouverte au débat, par les spécialistes des jeux vidéo et du « Serious Game » (type Second Life), lors de la soirée du 12 février (18h30) à la maison des arts et métiers (Paris 16e). A l'heure où nos parlementaires approuvent la décision gouvernementale d'un crédit d'impôt soutenant la création de jeu vidéo, cette conférence-débat organisée à l'initiative des anciens élèves de trois écoles spécialisées se présente comme une contribution à la reconnaissance respective de secteurs grands consommateurs de technologies. Comme en témoignent, par ailleurs, les attributs professionnels des intervenants de cette réunion : Stéphane Natkin, directeur de l'école du jeu et des médias interactifs (Enjmin) et professeur au Cnam (Laboratoire Cedric, équipe Réseaux, systèmes et multimedia), Pascal Estraillier, directeur du laboratoire d'informatique et d'imagerie industrielle à la Rochelle, mais aussi les chefs d'entreprises José Sanchis, DG de Lexis Numérique (agence de communication interactive), Geoffroy Sardin, DG d'Ubisoft (éditeur de jeux), Olivier Lombart, dirigeant de NetDivision (Web Design et e-marketing). Avec l'ancrage un peu plus affirmé de ce secteur dans l'économie nationale (pôle de compétitivité, partenariats technologiques divers), ce type d'échanges informels contribue à lever un peu plus les barrières entre secteurs producteurs d'innovations. Les enseignants-chercheurs en informatique ne s'y trompent d'ailleurs pas. C'est ainsi que le dernier congrès annuel du Specif (association des personnels-enseignants chercheurs en informatique), réuni à Bordeaux les 11 et 12 janvier, s'est intéressé aux « nouvelles frontières de l'informatique » afin de « démêler dans tout ce qui se fait, ce qui est (encore) du ressort des informaticiens, et ce qui est désormais du ressort d'autres disciplines ». Avec, au coeur de cette réflexion, une visite guidée (par Stéphane Natkin) de « l'univers des jeux vidéo » en tant que révélateur d'usages de plus en plus sophistiqués des technologies qui se retrouvent dans d'autres industries (architecture de réseaux collaboratifs, synthèse d'images et de sons, interfaces, systèmes génératifs, etc.). (...)

(06/02/2007 15:08:18)

HP acquiert Bristol Technology pour étoffer son offre BTO

HP a signé un accord définitif pour acquérir Bristol Technology, éditeur d'une technologie de supervision des transactions. L'achat - pour un montant non dévoilé - devrait être finalisé d'ici un mois. Le produit phare de Bristol, TransactionVision, sera alors intégré au portefeuille BTO (Business Technology Optimization) de HP. Cette offre BTO provient du rachat de Mercury (finalisé en décembre dernier, pour 4,5 Md$), qui collaborait déjà avec Bristol afin d'étendre ses capacités de supervision au monde mainframe. TransactionVision se targue de pouvoir superviser les transactions de façon non-intrusive, tout en en donnant une vision métier (contenu de la transaction, montant, client concerné...) et pas seulement technique. (...)

(06/02/2007 15:01:49)

Un cartable électronique pour les collégiens savoyards

Le Conseil général de la Savoie, le Rectorat de Grenoble et France Télécom (Orange Business Service) expérimentent le cartable électronique dans 18 collèges du département. Développée dans le cadre de l'appel à projet lancé par le ministère de l'Education national et mise en oeuvre par la Caisse des dépôts et consignations, cette plateforme permet d'accéder à un espace de travail collaboratif ainsi qu'à un bouquet de services numériques accessibles depuis n'importe quel ordinateur. Le projet, auquel a participé l'Université de Savoie, concerne l'ensemble des élèves, enseignants, personnels administratifs et techniques des établissements, soit près de 4 500 personnes à ce jour. Ses auteurs souhaitent ainsi améliorer la communication entre le collégien, ses professeurs et l'équipe éducative (partage de ressources, groupe virtuel, envoi de cours en cas d'absence des uns ou des autres...), encourager les échanges des professeurs entre eux grâce aux pratiques pédagogiques collaboratives, faciliter les relations entre l'administration et les enseignants et favoriser l'apprentissage des nouvelles technologies par les élèves. Ces derniers pourront notamment avoir accès à des contenus fournis par le Centre régional de documentation pédagogique de Savoie. Dans un second temps, les parents seront associés à la démarche. A l'horizon 2010, la totalité des 46 collèges publics et privés devraient avoir accès au cartable (...)

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