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(05/02/2007 23:00:23)
Les TechDays de Microsoft France égalent le TechEd paneuropéen
Avec 4000 participants environ à la première journée de ses TechDays 2007, Microsoft France fait sans complexe jeu égal avec les événements européens, TechEd et ITForum. Débutée lundi matin, la conférence utilisateurs se déroulera au Palais des Congrès de Paris jusqu'à mercredi soir. Plus de 200 sessions sont proposées, dans leur immense majorité en français. C'est la première fois que Microsoft France propose un événement d'une telle ampleur, de façon totalement gratuite. Un ancien de Microsoft France, croisé dans les couloirs, ironisait ainsi : « Pendant longtemps, Microsoft nous reprochait le fait qu'il y ait peu de Français au TechEd. Mais entre un événement gratuit et en français et un événement payant en anglais, il n'y a pas photo. D'ailleurs on voit le résultat : il y a eu 13 000 inscriptions ! » Côté contenu, si Vista est évidemment une des vedettes des sessions, sous plusieurs coutures (interface graphique WPF, nouvel outil de script PowerShell, sécurité, supervision...), l'événement cible tout utilisateur informaticien potentiel, du développeur à l'administrateur système, en passant par le spécialiste des réseaux, des progiciels ou des bases de données. Microsoft a répertorié les sujets en 21 thèmes. (...)
(05/02/2007 17:04:12)La sécurisation des parcours professionnels au coeur de la réflexion gouvernementale
Il y a les déclarations qui indiquent à la fois que le chômage est en baisse , et le doute lorsque sur le terrain on découvre une situation nettement moins favorable : seule une PME sur dix aurait recruté au dernier semestre 2006. Les effets à venir du « papy boom » et de la mondialisation conjugués à cette crise de l'emploi, ont conduit les pouvoirs publics à s'interroger sur la professionnalisation tout au long de la vie et à innover en instaurant le Dif par exemple. De leur côté, des professionnels comme Microsoft se sont également penchés sur la question de la formation nécessaire au cours de toute carrière. Nouvel épisode : un colloque se déroulera le 13 février 2007 sur la sécurisation des parcours professionnels, en présence du Ministre délégué Gérard Larcher. La motivation des pouvoirs publics est claire : « l'idée d'un besoin de sécurisation des parcours professionnels est née de la nécessité de concilier la mobilité croissante du marché de l'emploi et la sécurité des salariés. Le sentiment d'insécurité professionnelle est grandissant dans notre pays, alimenté par les évolutions du marché du travail. L'emploi est en effet moins stable aujourd'hui qu'hier : les mobilités professionnelles (changements d'employeur, entrées et sorties du chômage) se sont fortement accrues sur les trente dernières années, particulièrement pour les non qualifiés ; le passage par le chômage est plus fréquent et particulièrement long dans notre pays. De relativement rectilignes dans le passé, les trajectoires professionnelles sont devenues davantage heurtées. » Un an après l'échec du CPE (Contrat Première Embauche), le changement de stratégie du Gouvernement montre à l'évidence que des propositions sont actuellement étudiées pour rassurer les personnes en activité, ou non. (...)
(05/02/2007 17:02:57)Les gazelles partenaires de centres de recherche publique vont très loin dans l'innovation
« Notre petite société n'a de raison d'être que par l'innovation. N'importe qui peut nous copier. Innover une fois, c'est facile, mais ensuite ? Comment structurer l'innovation ? » Ces réflexions sont résumées par Marc Alcantara, directeur stratégie et développement chez Préceptel, entreprise innovante en télécoms de Sophia-Antipolis née en 2003. Cette « gazelle » azuréenne possède le statut de Jeune Entreprise Innovante, une labellisation FCPI (Fonds Commun de Placement de l'Innovation, permettant de bénéficier de la qualification d'entreprise innovante, et de réductions fiscales) ainsi qu'un soutien financier auprès de l'Anvar et du Conseil Général des Alpes Maritimes. Pour se développer, ses dirigeants vont également frapper à la porte du laboratoire I3S (Informatique Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis) pour leur proposer un partenariat. Par pur hasard, le laboratoire se situe à quelques encablures de leurs bureaux. Surtout, I3S est l'unique laboratoire de l'Université de Nice - Sophia Antipolis dans les domaines de l'informatique, du traitement des signaux et de la théorie des systèmes, qui constituent ensemble la composante numérique des Sciences et Techniques de l'Information et de la Communication (STIC). Cette unité mixte de recherche associée au CNRS regroupe, au 1er octobre 2006, 135 permanents dont 18 chercheurs et directeurs de recherches du CNRS, 10 de l'Inria et 80 enseignants chercheurs de ces disciplines dans toutes les UFR concernées de l'Université : Faculté des Sciences, École Polytechnique Universitaire, IUT. Un partenariat « gagnant-gagnant » Le professeur Michel Riveill dirige l'équipe Rainbow au sein de ce laboratoire. Il répond immédiatement par la positive à la demande de Préceptel qui fournit, à l'été 2006, des cartes UMTS et SIM au laboratoire. En échange, un doctorant de l'université a obtenu une bourse Cifre (dont le but est de renforcer les capacités technologiques d'une entreprise en faisant réaliser un programme de R&D par un jeune chercheur en liaison avec une équipe de recherche extérieure à l'entreprise ; cette convention est financée par le ministère de la Recherche) et travaille régulièrement chez Préceptel sur le projet Génécom. Autre accord : des modules de conseil vont être donnés à l'entreprise. Marc Alcantara précise aussi que des « proof of concept » (ou preuve du concept, étape classique en matière de projets de R&D, consistant à faire travailler pendant quelques jours une équipe de spécialistes, en l'occurrence ceux d'I3S, sur une problématique soumise par Préceptel) font partie du protocole d'accord. Les deux parties, enfin, collaborent avec d'autres partenaires à l'Ubiquarium Informatique de Polytech'Nice-Sophia (du latin ubique : « lieu ou structure dans laquelle l'informatique est en toute chose ou tout être »). Elles sont donc parties prenantes au projet de plateforme d'étude et de prototypage des usages de l'Informatique Mobile en Environnement Simulé, co-financé par différentes collectivités. Désormais, des projets communs entre la recherche publique et l'industrie azuréennes En 6 mois, la collaboration a porté ses fruits. A tel point que les deux partenaires répondent en ce moment ensemble à un appel d'offres dans le domaine des télécoms, avec de nombreux composants. Est-ce une victoire des pouvoirs publics et une première application du rapport Hetzel qui préconise le rapprochement entre universités et entreprises ? Pas vraiment. Le professeur Riveill précise en effet qu'il travaille depuis plus de 20 ans avec des entreprises de tailles différentes, participe à un réseau d'universités françaises et étrangères, sans exclusive. « Il faut arrêter le mythe des universitaires qui ne collaborent pas avec les entreprises, il y a de la place pour tous les types de recherche. Dans le rapport quotidien avec nos partenaires, chaque partie apporte à l'autre pour progresser, et chacun reste à sa place ». En d'autres termes, à I3S la recherche et à Préceptel le développement pour une collaboration en R&D protéiforme. Visiblement la synergie fonctionne, les moyens intellectuels conditionnant l'apport de moyens financiers. Qui a dit que les gazelles et la recherche publique française manquaient de souffle ? (...)
(05/02/2007 16:56:26)Atos, toujours à la peine au Royaume-Uni, hérite d'un nouveau président en France
Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 5,39 Md€ (+1,5%) Marge opérationnelle : 5% (-2,6 points) D'un trimestre à l'autre, les ennuis que rencontre Atos Origin restent les mêmes : le groupe continue de pâtir d'une prestation médiocre au Royaume-Uni et en Italie, qui affecte la croissance de ses revenus et sa rentabilité. En raison du retard pris pour la signature de nouveaux contrats et de l'expiration de quatre grands accords non renouvelés sur le sol britannique (qui engendrent un recul de l'activité de 12,6% pour Atos UK), ainsi que de « conditions difficiles en Italie », Atos Origin voit son chiffre d'affaires progresser de seulement 1,5% en organique sur l'ensemble de l'exercice. Sans tenir compte des performances réalisées au Royaume-Uni, les revenus du groupe afficheraient une croissance de 5,4%. Pour les mêmes raisons, la marge opérationnelle n'atteint que 270 M€, soit 5% du CA, quand elle s'élevait à 7,6% un an plus tôt. Soucieux de rassurer les investisseurs et d'afficher des indicateurs plus flatteurs, le groupe a annoncé la mise en place d'un plan de transformation sur trois ans, qui devrait coûter 270 M€, dont 160 M€ en 2007. Le plan poursuit trois objectifs : l'accélération de la croissance organique, l'amélioration de l'efficacité et la globalisation des opérations. Il prévoit notamment la délocalisation de 20% des activités d'intégration de systèmes et l'organisation mondiale de la fonction achats en vue de réduire les coûts. Il mettra également en place un nouveau comité exécutif chargé d'harmoniser et de mutualiser le travail réalisé dans chaque filiale et rassemblant les patrons des grands pays. La SSII table sur un exercice 2007 fort, avec une croissance organique du chiffre d'affaires de 8,5% et l'augmentation de la marge opérationnelle au Royaume-Uni et en Italie. Bernard Bourigeaud, le président du directoire, espère même y « renouer avec la rentabilité [et] doubler, d'ici à 2009, la marge opérationnelle [pour l'ensemble du groupe] ». Dans le cadre de son plan de transformation, Atos Origin a procédé au changement des dirigeants pour le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l'Italie, la Belgique et la France. Pour l'Hexagone, c'est Didier Zeitoun qui prend les rênes et rejoint, de fait, le comité exécutif. Après être passé par Accenture, Altis et Odyssée Conseil en Organisation, il rejoint Atos Origin en 2000. Quatre ans plus tard, il prend la présidence des activités d'intégration de systèmes pour la France. (...)
(05/02/2007 16:40:58)Intel aurait arrosé Dell pour rester son fournisseur exclusif
Jusqu'où peut-on aller pour décrocher un marché ? Selon l'action de groupe en cours contre Dell, jusqu'à verser un milliard de dollars de marges arrière par an. Ce serait la somme reçue par le constructeur texan pour conserver Intel comme fournisseur exclusif de processeurs x86, au détriment d'AMD. La plainte a été déposée par l'avocat William Lerach, of Lerach Coughlin Stoia Geller Rudman & Robbins LL, pour le compte des actionnaires de Dell. Elle vise plus spécifiquement les manipulations comptables effectuées par le constructeur et son comptable, PriceWaterhouseCoopers, pour camoufler ces pots-de-vin et gonfler ainsi la valeur des actions de Dell. Certains dirigeants de Dell auraient profité de cette hausse injustifiée pour vendre leurs parts et faire une plus-value de 3,3 milliards de dollars. Ces accusations font suite à d'autres procédures en cours aux Etats-Unis et au Japon où AMD accuse Intel de verser des pots-de-vin aux constructeurs, parmi lesquels Dell, pour l'évincer de leurs produits. Les enquêtes en cours ne devraient pas être jugée avant 2009. Toutefois, sur cette affaire en particulier, Chuck Malloy porte-parole d'Intel, dénie toute implication de sa société : « A première vue, certaines des allégations concernant Intel ont pu être inventées. Bien qu'elle reprennent des accusations portées dans d'autres affaires en cours, il n'y a pas de nouvelles plaintes. Intel rejette toutes les prétentions du plaignant et s'attelle d'ores et déjà à sa défense». La société en aura besoin. Avant de s'attaquer à Dell et Intel, William Lerach était déjà responsable des actions de groupe contre Enron et WorldCom. (...)
(05/02/2007 16:31:57)WaveStorm reçoit 375 000 euros de l'OSEO ANVAR
Créée en 2004 par des ingénieurs et des chercheurs de Télécom Paris, WaveStorm vient de bénéficier d'une aide à l'innovation - donc remboursable en cas de succès - de 375 000 euros accordée par l'OSEO ANVAR. Présente sur les marchés de la sécurité et du WiFi, l'entreprise s'est également spécialisée dans le développement de plateformes embarquées destinées aux intégrateurs et aux industriels afin de rendre leurs appareils sans fil communicants et interopérables. WaveStorm, qui compte parmi ses clients des acteurs de premier plan comme Renault, Gaz de France ou les hôtels B&B, a notamment réalisé le système embarqué du futur robot domestique de Meccano. Elle a également été chargée d'équiper les Starbucks Cofee français en hot spots. Le client qui demande une connexion WiFi avec son café reçoit un ticket de caisse avec le login et le mot de passe qui lui permettront de se connecter. La jeune société revendique plusieurs milliers d'équipements actifs dans le monde, principalement en Europe, au Moyen-Orient et en Amérique du Nord (...)
(05/02/2007 16:04:46)Exchange 2007: des analystes dénoncent le calvaire de la migration
La migration d'Exchange 2003 vers sa mouture 2007 pourrait bien donner des sueurs froides aux administrateurs réseaux. Selon quelques analystes et utilisateurs, la nouvelle architecture de la plateforme de messagerie Microsoft solliciterait des ressources, notamment matérielles, supplémentaires, non-requises pour Exchange 2003 et, plus grave, rencontrerait de véritables incompatibilités avec d'autres applications Microsoft. En ligne de mire, l'architecture 64 bit du système. Rappelons qu'Exchange 2007 est la première version du système à fonctionner uniquement sur des serveurs 64 bit. Toujours côté hardware, la variété des rôles inclus à Exchange 2007 (notamment serveur de boîte aux lettres, la messagerie unifiée, le routing, l'accès au client, serveurs de transport Hub -qui applique les règles de transport- et Edge -qui assure notamment la sécurité des messages) aurait multiplié par deux les besoins en serveurs, en configuration de haute disponibilité. "Si vous souhaitez utiliser les trois rôles premiers d'Exchange 2007 (serveur de boîte aux lettres, serveur de transport Hub et l'accès au client) en haute disponibilité, vous aurez besoin d'au moins quatre serveurs, deux fois plus qu'avec Exchange 2003, ajoute Keith McCall, ancien patron d'Exchange chez Microsoft et actuel dirigeant de Azaleos qui développe des appliances sur Exchange. Ajoutez à cela les quelque 6000 pages de documentation que doivent ingurgiter les administrateurs pour déployer Exchange 2007, vous devez bien pensez votre infrastructure avant d'ajouter les nouvelles fonctionnalités [d'Exchange 2007]". D'autant plus que le casse-tête s'étendrait également à des incompatibilités logicielles. Selon un utilisateur américain, les outils de management et de déploiement inclus à Exchange 2007 ne fonctionneraient pas avec Vista. Plus nuancée, Maurene Grey, analyste chez Grey Consulting, rappelle que la migration d'Exchange 2003 vers 2007 évoque celle d'Exchange 5.5 à 2000, lorsque Microsoft avait, une première fois, refondu l'architecture de son produit. "Pour les pro-Microsoft, la question de la migration ne sera pas de savoir si elle aura lieu, mais bien quand. Pour ceux qui ont déjà vécu dans la douleur les couteuses étapes de migration il y a deux ans, depuis la version 5.5 jusqu'à la version 2003, la question d'investir dans 2007 devra certainement attendre". (...)
(05/02/2007 15:57:55)La FSF songe aux mesures de rétorsion suite à l'accord Novell-Microsoft
Novell pourrait bientôt ne plus avoir le droit de distribuer Linux, selon Reuters. La FSF (Free Software Foundation) se donne deux semaines pour décider d'agir - ou non - à l'encontre de l'éditeur, suite à l'accord que ce dernier a signé avec Microsoft en novembre dernier. Eben Moglen, conseiller juridique de la Fondation, cité par la dépêche Reuters, explique que le conseil d'administration n'a pas encore arrêté sa décision, mais que des voix s'y sont élevées pour punir Novell. La même dépêche indique que du côté de Novell, on a choisi de ne pas s'exprimer tant que la FSF ne se serait pas déterminée. En fait, reprise et précisée par Linux-Watch, l'information porte davantage sur la façon dont la version 3 de la GPL pourrait empêcher à l'avenir ce genre d'accord. Qui vient rappeler aux entreprises que Linux vit sous la menace constante de brevets susceptibles d'être opportunément retrouvés ici ou là. La FSF détient les droits sur le compilateur et la librairie C Concrètement, la FSF ne pourrait pas interdire à Novell d'éditer une distribution Linux, précise Loïc Dachary, président de FSF France. « La FSF ne peut interdire que des logiciels pour lesquels elle détient les droits d'auteur. » Soit quelques morceaux du noyau, jugés « non signifiants », mais surtout des éléments aussi importants que la librairie C et le compilateur. La FSF pourrait s'opposer à la redistribution de ces éléments logiciels en vertu d'un article de la GPL, continue Loïc Dachary, qui précise que quelqu'un qui ajouterait un brevet pour interdire la redistribution se verrait lui-même interdire de diffuser le logiciel. Pour l'heure, Novell n'a pas fait usage de ses brevets pour s'opposer à quoi que ce soit. Mais « Microsoft et Novell signant un pacte de non-agression mutuelle, cela signifie implicitement qu'ils ont des armes pour agresser ceux qui ne font pas partie de leur accord », estime le président de FSF France. (...)
(05/02/2007 14:42:59)Business Objects étend son offensive vers les PME au reste du monde
Business Objects vient d'annoncer une offre d'analyse décisionnelle spécialement adaptée aux entreprises de taille moyenne. En France, ce n'est pas sa première du genre ; l'éditeur a déjà monté des solutions packagées pour les PME, distribuées dans le cadre de partenariats spécifiques. Et, sur ses 4 000 clients hexagonaux, les grandes entreprises ne pèsent que 4 %, ce qui révèle l'importance que tiennent déjà les PME dans sa base installée (39 000 clients dans le monde dont 30 000 dans les entreprises de taille moyenne). Cette fois, pourtant, la solution annoncée, Business Objects Crystal Decisions, est la première à avoir été formalisée par Business Objects (BO) à un niveau mondial. De surcroît, elle est commercialisée dans le cadre d'une organisation globale, spécialement mise en place par l'éditeur pour attaquer à l'unisson le marché des moyennes entreprises dans tous les pays qu'il couvre. Les outils décisionnels qui la composent sont ni plus ni moins ceux de la suite décisionnelle Business Objects XI. « Nous n'avons pas réécrit le code car notre offre de Business Intelligence était déjà simple d'accès, commente Jean-Pierre Brulard, vice-président de Business Objects pour l'Europe de l'Ouest, l'Afrique et le Moyen Orient et DG de la filiale française. Ce qui différencie principalement cette offre PME de l'offre traditionnelle de BO, c'est l'intégration déjà réalisée entre les outils de la suite afin de dispenser de cette tâche des clients pourvus de ressources informatiques limitées. Trois versions adaptées à la taille de l'entreprise Pour s'adapter aux différentes tailles de PME visées (jusqu'à 250, 500 ou 1 000 employés), Business Objects décompose cette offre en trois produits pour serveurs, le déploiement s'effectuant en mode Web. Le premier produit, Business Objects Crystal Decisions Standard Edition, est d'ores et déjà livré et disponible sous Windows et Linux. Le prix de sa licence démarre à 20 000 euros pour cinq utilisateurs simultanés (soit une vingtaine d'utilisateurs différents possibles). Les deux autres produits annoncés, Professional et Premium Edition, arriveront aux deuxième et quatrième trimestres de cette année. Comme on pouvait s'y attendre, ces trois éditions se distinguent d'abord par leurs capacités de déploiement et leurs fonctions d'administration. La Standard Edition s'installe sur un seul serveur, ce qui la limite à une centaine d'utilisateurs. En outre, elle ne peut puiser ses informations qu'à une seule base. Pour bénéficier de l'intégration de données entre deux bases (à choisir entre SQL Server, Oracle et DB2), il faudra attendre la Professional Edition. Quant à la Premium, elle apportera une couverture fonctionnelle plus large avec des outils de gestion de la performance (planification et simulation budgétaires, notamment). (...)
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