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(31/01/2007 17:50:57)
Solutions Linux : zoom sur l'OLPC
« Si Red Hat est une entreprise dont le but est de gagner de l'argent, on veut aussi créer une philosophie de l'informatique différente de ce qui existe aujourd'hui », explique Franz Meyer, le responsable chez Red Hat des zones Europe du Sud, Moyen-Orient et Afrique, en présentant le prototype de l'OLPC. Le modèle exposé au salon Solutions Linux est la troisième ébauche du portable à 100$ dans le cadre du projet One Laptop Per Child. Il préfigure ce que sera la machine dans sa version définitive dont la fabrication débutera au milieu de l'année. Assemblé par Quanta, le spécialiste taiwanais vers lequel se tournent les principaux constructeurs comme Dell et HP, l'OLPC se veut un condensé des technologies indispensables pour amener les enfants des pays émergents à pénétrer le monde de l'informatique. Le tout, à moindre coût. Derrière un aspect Playskool, avec sa coque vert pomme et son format réduit, il renferme un processeur AMD et son chipset graphique intégré, 128 Mo de Ram, trois ports USB, un touchpad et deux zones de saisie pour l'utilisation d'un stylet, une webcam et un micro. Chaque élément a été pensé en vue d'une utilisation minimale d'énergie. Ainsi, l'écran de 20 cm a été retravaillé pour afficher en 1024 X 768 sans surconsommer, le disque dur a été remplacé par 512 Mo de mémoire flash et les deux bornes WiFi se limitent à du 802.11b à 2 Mo/s. Au final, la consommation énergétique se situe entre 3 et 5 W/h. Et quand la batterie est vide, plusieurs moyens sont proposés pour la recharger - tous basés sur le principe de la dynamo - comme une manivelle placée sur le boîtier électrique externe, un pédalier, un système ressemblant à un yo-yo. Si l'OLPC est prévu pour être vendu à 100 $, il faudra attendre qu'il enregistre cinq millions de commandes pour descendre à ce prix plancher. A l'heure actuelle, avec 2,5 millions de machines réservées, l'OLPC est facturé 140 $. Le schéma de distribution repose sur les gouvernements des pays émergents : ils achètent des lots de machines qu'ils s'engagent à donner de manière individuelle aux enfants de leur pays. Le Brésil, l'Uruguay et le Nigeria sont les premiers Etats à avoir commandé des OLPC. (...)
(31/01/2007 17:36:03)L'April sonde les présidentiables sur www.candidats.fr
L'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) inaugure son initiative www.candidats.fr, un site Internet censé fédérer les positions de chaque candidat présidentiable sur les logiciels Libres. Pour cela, l'association leur a envoyé un questionnaire ainsi qu'une liste de propositions rédigées en collaboration avec la FFII (Foundation for a free information infrastructure) France (partie Brevetabilité) et l'initiative Racketiciel (partie Vente liée). «L'objectif est de permettre aux candidats de développer leur vision et de s'engager sur des thèmes en débat dans la communauté. Leurs réponses et engagements éventuels seront mis en ligne au fur et à mesure de leur réception. Fin février, une démarche similaire sera lancée pour les législatives », indique l'April dans un communiqué. Le questionnaire sonde les candidats sur le logiciel Libre à l'international -notamment en termes de brevetabilité - ainsi qu'en France - réforme de la DADVSI, cessation des ventes liées, utilisation des standards ouverts par les administrations. A la rédaction de cet article, www.candidats.fr n'était pas accessible. Hier, à l'occasion de Solutions Linux, une table ronde intitulée « enjeux stratégiques et politiques du logiciel libre », les représentants de quatre formations politiques assuraient que leurs candidats (Sarkozy, Royal, Voynet, Buffet) signeraient le questionnaire de l'April. (...)
(31/01/2007 16:55:33)Plates-formes SDP : Siemens dans le peloton de tête
Le cabinet d'analystes ABI Research vient de publier une étude « vendor matrix » consacrée aux acteurs du marché en pleine croissance des plates-formes de services ou SDP (Service Delivery Platform) destinées aux opérateurs. On trouve en tête du classement des meilleurs fournisseurs Ericsson suivi de Siemens. Cette seconde place apporte un peu de baume au coeur à la division télécommunications de l'équipementier allemand après le scandale financier qui l'a éclaboussé voici peu. Rappelons que les plates-formes SDP facilitent la mise en place rapide de nouveaux services (VoD, géolocalisation, sonneries...) à travers des API, ce qui permet aux opérateurs fixes ou mobiles de réagir rapidement aux tendances du marché. Elles servent donc d'interface centrale vis-à-vis des éditeurs de logiciels ou des développeurs. L'équipementier allemand ne se contente toutefois pas de fournir la technologie puisqu'il propose toute une gamme de services associés, allant jusqu'à la prise en charge complète de la plate-forme. (...)
(31/01/2007 16:09:07)Fast Search promet un data warehouse en dix semaines
Avec sa nouvelle suite logicielle Fast Adaptive Informations Warehouse (ou Fast AIW), l'anglais Fast Search veut simplifier la mise en place d'un système de recherche en entreprise, sans passer par l'implantation d'un data warehouse (entrepôt de données) traditionnel. Cette suite comprend un outil, le Data Cleansing Solution, pour mettre en forme les données et les rassembler dans un seul index principal, quelles que soient leurs applications d'origine : base de données, logiciel de GRC (Gestion Relations Clients), Intranet ou autres. Elle contient également Radar, un outil pour créer des liens entre ces données et les analyser, ainsi que le moteur de recherche traditionnel de la société. Avec cet outil, une entreprise peut, selon Davor Sutija, vice président du développement de Fast Search, « déployer un système AIW en huit à dix semaines, alors que la mise en place d'un data warehouse prend dix-huit mois ou plus. » Commercialisé à partir de 300 000$, Fast AIW s'adresse en priorité aux entreprises sans data warehouse. Mais il peut s'implanter sur une infrastructure préexistante. (...)
(31/01/2007 15:36:20)Une certification pour les professionnels des Data Centers
A la formation (en ligne) au sujet des bonnes pratiques des «pro» de l'infrastructure physique, APC ajoute désormais un accès à une certification («Associate Certification»). Destiné à valider les compétences des concepteurs, installateurs et responsables de sites de production/exploitation informatique, cet examen à base de tests (confié à l'organisme international Thomson Prometric) porte sur les connaissances de base en matière d'alimentation, de câblage, de montage des racks, du refroidissement, de protection et sécurisation des installations et de l'administration à distance. Cette qualification, indépendante de toute marque de constructeur, se veut un aiguillon pour le renforcement des compétences, face à une réduction annoncée du nombre de professionnels expérimentés dans ce domaine. Pénurie de spécialistes La filiale de Schneider Electric (l'acquisition d'American Power Conversion date d'octobre 2006) reprend, en effet, au bond un signal d'alerte de l'Afcom (Association internationale des professionnels du Data Center) estimant qu'avant 2015, les effectifs de professionnels seniors se seront réduits de 45%. Selon cette association, la pénurie de compétences dûment qualifiées est déjà sensible autour des mainframes et pourrait bien s'étendre à l'ensemble des métiers des sites de production informatique. Et ce, alors que d'ici à 2010, la moitié des data centers existants devraient être soumis à une transformation majeure (relocalisation, outsourcing, plan de continuité de service, etc). Bien évidemment, en amont de la procédure de certification, APC propose un entraînement, via sa DCU (Data Center University) qui couvre par une série de quatorze cours en ligne les diverses thématiques de la conception/réalisation/fonctionnement des data centers. Depuis leur lancement en janvier 2006 (au printemps 2006 pour la France), ces cours en ligne, gratuits, ont enregistré des dizaines de milliers d'inscriptions à travers le monde « soulignant le besoin réel de formation, face à l'augmentation de la densité des serveurs et du coût de l'énergie ». (...)
(31/01/2007 14:39:00)France Télécom paiera 10,35 M d'euros pour tarification douteuse sur l'ADSL
Une haute cour de l'Union européenne vient de confirmer en appel l'amende de 10,35 M€ infligée à France Télécom en 2003 pour tarification douteuse sur l'ADSL par la Commission européenne. A l'époque, la Commission reprochait à Wanadoo, filiale Internet du groupe, d'avoir illégalement exclu ses concurrents du marché de l'Internet Haut Débit, en facturant ses clients à des prix artificiellement bas. Le coût des connexions des abonnés ne couvraient pas les coûts de fourniture de service. Dans un communiqué, la cour a estimé que France Télécom aurait eu la volonté de «préempter la marché (...) pendant une phase capitale de son développement». Cette pratique aurait duré entre mars 2001 à octobre 2002. La Commission Européenne estimait que France Télécom comptait compenser les pertes enregistrées sur les services ADSL en surfacturant l'accès au réseau pour ses concurrents. (...)
(31/01/2007 12:11:03)Un consortium européen pour les technologies sans contact
Cofinancé par la Commission Européenne dans le cadre du programme Information Society Technologies (IST), le projet « Store Logistics and Payment with NFC » (StoLPaN) souhaite définir des cadres commerciaux et techniques ouverts pour les services basés sur la technologie NFC (Near Field Communication ou technologie sans contact) dans les terminaux mobiles. Il s'agit de faciliter le déploiement des applications mobiles NFC sur tout un éventail de marchés verticaux, indépendamment du type de terminaux et de la nature des services demandés. Les technologies sans contact sont aujourd'hui utilisées dans de nombreux domaines tels que la billetterie ou les transports. Différentes expériences menées en Europe démontrent d'ailleurs que de plus en plus de consommateurs souhaitent régler leurs achats avec leur téléphone mobile plutôt qu'avec une carte de crédit normale. Il était donc urgent de définir des règles commerciales et techniques pour accompagner ce développement. Un consortium paneuropéen prendra en charge le programme StoLPaN. Il regroupe Motorola, NXP Semiconductors, Auto-ID-Lab St. Gallen, Banca Popolare di Vicenza, Bull, Baker&McKenzie, Consorzio Triveneto SPA., Consult Hyperion, Deloitte, Fornax, Libri, Safepay Systems, Sun, T-Systems, l'université de Budapest, le département Informatique John von Neumann de l'IUT de Budapest ainsi que Bull, seul français représenté. Les premières règles commerciales devraient voir le jour cet été. Souhaitons que des passerelles seront établies avec l'Association GSM pour la normalisation de la technologie NFC. (...)
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