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(11/01/2007 17:45:25)
CES : l'OLPC dévoile sa batterie Yo-Yo
A l'occasion du CES de Las Vegas, l'organisation OLPC (One Laptop Per Child) a enfin dévoilé quel système d'alimentation équipera l'ordinateur destinés aux enfants des pays les plus pauvres. Après la manivelle ou une pédale, le choix s'est définitivement porté sur une batterie qui se recharge comme un yo-yo. Son principe : tirer puis rembobiner le fil pour créer un système de friction, générateur d'énergie. Comme un système de poulie. Pour y parvenir, l'utilisateur devra fixer la batterie rechargeable à une porte ou un arbre par exemple. L'alimentation est un vrai défi pour le programme OLPC, qui doit adapter son système à des environnements parfois dépourvus d'électricité. D'autant plus que l'organisation travaille également à un projet de serveur pour chaque école qui doit consommer moins de 5 watts. Cette batterie ne coûtera que 10$, indique l'organisation. Et constitue un des leviers pour diminuer le prix de commercialisation de l'ordinateur. Initialement fixé à 100$, le projet OLPC avait été revu à la hausse, à 150$. L'organisation a toutefois revu sa copie et table désormais sur un prix de départ de 130$. Pour enfin atteindre 100$ en 2008. (...)
(11/01/2007 17:44:31)Et l'encre RFID fut
L'Américain Somark Innovations annonce avoir mené à bien une batterie de tests visant à utiliser la technologie d'identification par radio-fréquence (RFID) sans puce émettrice. Le procédé mis au point par Somark repose sur l'utilisation d'une encre biocompatible RFID, injectée sous la peau, pour l'heure testée sur du bétail et des rats de laboratoire. De fait, l'usage de cette technologie est réservé aux animaux - troupeaux de bovins, chiens, chats, etc. - mais pourrait également intéresser les militaires. L'entreprise explique que son procédé a été initialement pensé pour tracer les bêtes atteintes d'ESB (la maladie de la vache folle) et endiguer leur exportation. Mais le champ des applications semble sans limite : l'encre peut ainsi servir à remplacer les tatouages des animaux de compagnie, à empêcher la revente de bétail volé, à certifier la traçabilité d'une pièce de viande, etc. L'encre utilisée, dont la composition reste un mystère, peut être colorée ou invisible et Somark certifie qu'elle est inoffensive. Elle s'implante et est lue sans que les poils des animaux n'aient besoin d'être rasés. Si le système semble séduisant et que son concepteur atteste de son caractère inoffensif, il reste qu'il faudra convaincre les consommateurs d'ingérer des aliments ayant contenu l'encre marqueuse. (...)
(11/01/2007 17:40:45)Les administrateurs Oracle brimés par des capacités de stockage à la traîne
Si les applications ont des problèmes de performances, c'est parce que les bases de données manquent de ressources de stockage, dénoncent les administrateurs Oracle, dans la dernière étude de l'IOUG. Groupe d'utilisateurs indépendant d'Oracle, l'IOUG (Independent Oracle Users Group, qui compte plus de 20 000 membres dans le monde) a mené l'enquête parmi ses membres en septembre dernier, avec le soutien de Symantec (pour le sponsoring) et d'Unisphere Research (pour la logistique), sur les liens entre les responsables des bases de données (DBA) et les responsables du stockage. Ont répondu à cette enquête 366 personnes, principalement des administrateurs systèmes ou bases de données. Tous ou presque (92%) anticipent des besoins de stockage en hausse en 2007. Côté données structurées, 20% pensent même que ces besoins dépasseront de 50% leurs ressources actuelles. Côté stockage de données non structurées (emails, vidéos...), les besoins sont similaires : 17% anticipent une hausse supérieure ou égale à 50%. Sachant que pour ce type de données, 19% des répondants s'avouent incapables d'anticiper la hausse (contre 3% pour les données structurées). Les raisons de l'augmentation des besoins sont assez variées (davantage de transactions, connexion de davantage de périphériques individuels, besoin de conservation de données à des fins de conformité aux réglementations...). Et souvent mal maîtrisées : 16% disent ne pas être sûrs des raisons de cette augmentation. Un impact sur les performances, la disponibilité et les délais Seule certitude, les besoins de stockage vont augmenter. Déjà, 31% des répondants déclarent gérer des bases supérieures au téraoctet, alors qu'ils n'étaient que 13% au début de l'année. Et 57% indiquent que la croissance de leur base a dépassé les ressources disponibles (6% souvent, 51% occasionnellement). 60% accusent ces problèmes de capacité d'avoir impacté négativement les performances de la base de données (10% de façon significative, 50% d'une manière ou d'une autre), 46% parlent même de problèmes de disponibilité (8% de façon significative), et 43% disent que, au cours des deux années précédentes, cela a pu reculer dans le temps le déploiement des nouvelles applications (7% de façon significative). Le problème semble avoir deux origines, note l'étude. Il y a d'une part un aspect technique. Notamment un manque d'équipements de supervision permettant d'agir de façon proactive sur les ressources (à noter que Symantec est justement le nouveau propriétaire de Veritas). Ari Kaplan, président de l'IOUG, souligne aussi la nécessaire adaptation des outils de sauvegarde : « plus vous ajoutez des capacités de stockage, plus la sauvegarde prend du temps, vous ne pouvez pas vous contenter de moyens traditionnels, il faut aller vers de nouvelles méthodes, avec lesquelles les DBA ne sont peut-être pas familiarisés. » D'autre part, il s'agirait d'un problème d'organisation et de management. Les responsables de bases de données interviewés indiquent que le dialogue avec les responsables des systèmes de stockage est essentiel. L'étude révèle que 11% des répondants jouent un rôle direct dans l'acquisition des systèmes de stockage, tandis qu'un gros tiers dispose d'un rôle consultatif. Dans le premier cas, les retards dans le déploiement des nouveaux projets est un peu moins fréquent (43% des cas) que dans le second cas (51% des cas). Le dialogue est donc bon en apparence, mais cela cache d'importantes disparités, commente Ari Kaplan. « Dans les entreprises les plus grandes, dit-il, celles qui ont donc les besoins les plus importants, les DBA émettent des recommandations mais ne sont pas directement impliqués dans la prise de décision. » La solution pour eux, « en termes de carrière, mais aussi de bénéfices pour l'entreprise » est donc de « passer d'un rôle de spécialiste de l'optimisation à celle d'un architecte en infrastructure ». Ces nouveaux DBA permettront peut-être de résoudre une troisième problématique résumée par Ari Kaplan : « les besoins de stockage croissent plus vite que les revenus des entreprises ».
(...)(11/01/2007 17:40:24)Sur les serveurs, les virus mutent et deviennent trop rapides
Selon l'étude de Commtouch, éditeur de logiciels anti-spam et antivirus pour messagerie, les virus qui mutent sur les serveurs de messagerie sont les plus dangereux car ils arrivent à détourner les protections des antivirus classiques. Traditionnellement, chaque variante d'un virus a une signature propre que les éditeurs d'antivirus identifient en analysant le contenu des mails pour développer un « vaccin » approprié. Jusqu'à 2006, les variantes de chaque virus étaient diffusées les unes après les autres, et sur suffisamment de courriers électroniques à la fois pour être détectables dès leurs propagations. Avec « Happy New Year ! » apparu dans les derniers jours de 2006, ce n'est plus le cas. Dès sa première mise en place par son créateur sur un serveur de messagerie, ce virus s'est mis à muter et ses premières variantes se sont diffusées en l'espace de quelques secondes. Commtouch a détecté 6342 variantes dans les 65 heures suivant son apparition, certaines n'étant présentes que sur un courrier électronique, d'autres dans une cinquantaine. Pour Commtouch, ce type de virus qui met en déroute les antivirus traditionnels devrait être le plus fréquent en 2007. (...)
(11/01/2007 17:31:02)35% des PME et TPE ont investi dans l'informatique et les télécoms au deuxième semestre 2006
La 2e édition du baromètre semestriel des achats des PME-TPE réalisé par Companeo avec le concours de TNS Direct vient d'être dévoilée, avec quelques surprises comme la réticence affichée de 77% des chefs d'entreprise envers l'Euro. Ce baromètre dresse un bilan négatif de l'activité financière et commerciale des TPE-PME, avec un solde négatif sur l'ensemble des indicateurs. Le solde du premier baromètre ayant déjà été négatif, la première conclusion qui s'impose est l'existence d'une conjoncture morose pour l'ensemble des acteurs interrogés sur l'année 2006, même si certains secteurs s'en sortent nettement mieux que d'autres. Ainsi, 35% des TPE-PME ont effectué des achats relatifs à l'informatique et aux télécommunications au cours du second semestre. Le matériel technologique (postes informatiques et périphériques) constitue de loin le principal poste d'achat. Il est intéressant de voir que ce taux est relativement homogène avec celui du 1er semestre qui était de 37%, et que dans les perspectives d'achats pour le 2e semestre 2006, seules 15% des PME-TPE pensaient investir dans ce domaine. Visiblement, elles ont augmenté leur budget ! 20% d'achats réalisés en postes informatiques par 35% des PME ayant entre 10 et 19 salariés Dans le détail, on constate que le matériel informatique (postes informatiques et périphériques) constitue le principal poste pour les achats effectués au cours de l'année avec 20% au 2e semestre et 22% au 1er semestre. Les périphériques informatiques occupent la 2e position du classement : 21% en avaient acheté lors des 6 premiers mois de 2006 contre 19% des entreprises (dont 26% par des sociétés de services) au 2e semestre. La 3e place revient aux machines de bureau (17% de PME-TPE en ont acheté au 2e semestre, 15% au 1er semestre). A noter encore que les achats en téléphonie fixe et mobile sont en légère baisse par rapport au 1er semestre. Pour les serveurs, seules 5% des entreprises s'en sont procuré dans la 2e partie de l'année, contre 10% au cours de la 1ère. Une évolution positive des achats pour les société de services Le niveau d'achat au second semestre varie fortement en fonction du secteur d'activité. Il est beaucoup plus fragile dans l'industrie (en net recul par rapport au 1er semestre) et le BTP. En revanche, il est nettement plus important pour les entreprises de services, avec un niveau d'achat en forte augmentation par rapport au semestre précédent. On voit que dans ce secteur, les achats sont restés stables pour 60% des entreprises, mais qu'ils ont augmenté pour 29% d'entre elles. En guise de comparaison, 35% d'entreprises du secteur industriel ont diminué leurs achats à la même époque, révélant peut-être un début de crise. Car en dépit du secteur informatique et télécoms qui tire relativement bien son épingle du jeu dans ce baromètre, peu d'entreprises annoncent des achats dans les six prochains mois sur ce segment (par exemple 7% seulement en postes informatiques). Reste à savoir si la conjoncture économique et les dernières innovations technologiques les feront mentir. (...)
(11/01/2007 16:00:01)iPhone : des mises au point s'imposent
Quelques heures seulement après la présentation, par Steve Jobs, de l'iPhone, deux clarifications importantes - concernant le nom donné au produit et le processeur qui l'équipe - doivent être apportées. Le nom iPhone n'appartient pas à Apple. C'est Cisco, via sa filiale Linksys, qui en est propriétaire, et l'équipementier n'entend pas en faire profiter la marque à la pomme. Dans la foulée de la présentation faite par Steve Jobs à Macworld, Cisco indiquait mener des négociations avec Apple depuis deux ans. Des négociations qui ont toutefois échoué, comme en témoignent les poursuites lancées par l'équipementier à l'encontre de la firme de Steve Jobs pour l'empêcher d'utiliser le nom tant convoité. « Parce qu'ils négocient avec nous sur l'utilisation de la marque depuis tout ce temps, Apple doit bien reconnaître que nous détenons le nom », assène ainsi John Noh, le porte-parole de Cisco. Et Mark Chandler d'enfoncer le clou en expliquant que « l'iPhone d'aujourd'hui n'est pas l'iPhone de demain ». Du côté d'Apple, comme l'a indiqué un responsable au magazine PC World (groupe IDG), la violation de la marque iPhone n'est pas caractérisée dans la mesure où le produit éponyme de Cisco est un téléphone VoIP alors que celui de Steve Jobs est un combiné mobile. Pour Allonn Levy, juriste spécialiste du droit des marques, ce serait une initiative dangereuse de la part d'Apple que de commencer à utiliser le nom iPhone. Le groupe pourrait alors se voir reprocher la commission d'une « infraction intentionnelle ». Cisco pourrait enfin, toujours selon Allonn Levy, avoir initié les poursuites en cours pour contraindre Apple à signer l'accord que les deux sociétés ont négocié. Pas d'Intel dans l'iPhone Autre information démentie après la présentation de l'iPhone : il n'est pas équipé d'un processeur Intel. C'est pourtant l'information qui a circulé dans les heures ayant suivi la conférence de Steve Jobs, reprise notamment par Reuteurs qui citait un représentant allemand d'Apple. Le porte-parole du fondeur s'est donc fendu d'une déclaration officielle pour mettre fin à la rumeur : « nous ne fournissons pas la puce à l'intérieur de l'iPhone ». Intel équipe en revanche l'Apple TV. On notera aussi que les commentaires négatifs commencent à fleurir. Certains observateurs reprochent ainsi à l'appareil d'être équipé d'une batterie inamovible, de n'offrir le mode push que pour les utilisateurs du webmail Yahoo, de ne pouvoir se connecter qu'aux seuls réseaux Edge (et pas 3G), ou encore d'être réservé aux utilisateurs d'un unique opérateur choisi par Apple (Cingular aux Etats-Unis). Ces critiques n'ont toutefois pas affecté l'accueil qu'a réservé le marché à l'iPhone. Le titre Apple a en effet atteint un niveau historiquement haut en signant deux séances de hausse consécutives, flirtant même avec la barre symbolique des cent dollars. De leur côté, les constructeurs de Smartphones voyaient le cours de leurs actions évoluer à la baisse : Blackberry perdait ainsi près de 8% et Palm plus de 5%. (...)
(11/01/2007 12:49:59)Microsoft et la Liberty Alliance veulent concilier leurs standards de gestion d'identités
"Nous avons rangé les gants de boxes et essayons désormais de déterminer comment résoudre les problèmes de nos clients". C'est en ces termes que le nouveau président de la Liberty Alliance, Roger Sullivan, également vice-président de la division gestion d'identités chez Oracle, a décidé de se réconcilier avec Microsoft. Les deux groupes, qui poussent pour des standards de gestion d'identités différents, ont déposé les armes et tentent enfin de faire interopérer leurs protocoles respectifs. La Liberty Alliance, qui compte parmi ses membres HP, Sun, IBM et Oracle, développe un framework ID-Web Service Framework (ID-WSF), alors que Microsoft élabore le sien (dans le cadre des services Web sous l'étiquette WS-*). Rappelons également qu'en 2005, Microsoft avait décidé d'abandonner le standard Oasis SAML supporté par la Liberty Alliance, au profit de ses spécifications maison, WS-Federation, pour gérer la couche des services Web dans Vista (Windows Communication Foundation). Les deux rivaux sont désormais entrés dans des discussions "cordiales". "Nous pensons que Web Service Framework complète bien WS-*", commente Sullivan. (...)
(11/01/2007 12:48:34)Le module professionnel « informatique » entre dans le cursus de licence général à l'université
Le gouvernement vient d'engager différentes mesures, relatives à la mise en oeuvre des propositions de la commission du débat national Université-Emploi. Elles sont directement liées à la professionnalisation, notamment par le renforcement de l'offre de formation courte professionnalisée « post-bac », afin de faciliter la réattribution rapide des places encore disponible en IUT ou STS ou de permettre, en cours d'année, à des étudiants de l'université de réorienter leurs études. Cette communication du ministre de l'Education nationale souligne encore la nécessité de professionnaliser la formation à l'université et d'améliorer l'insertion professionnelle des diplômés. Celle-ci se fera par une meilleure articulation entre les licences professionnelles et les deux premières années de la licence générale, et par l'introduction des modules professionnalisés, comme l'informatique, dans le cursus de licence générale. Enfin, le rapprochement de l'université et le monde de l'emploi prend forme, avec la création d'un service des stages et de l'emploi dans chaque université et la mise en oeuvre d'« observatoires des parcours et de l'insertion professionnelle des diplômés » au sein de chaque établissement. Les milieux socio-économiques seront également partie prenante à cette initiative en étant associés à la mise en place des programmes universitaires. Seul bémol : le gouvernement n'a pas encore chiffré le budget qu'il consacrera à cette réforme de fond de l'enseignement. (...)
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