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(09/01/2007 12:07:51)
Le CXP analyse l'offre de cinq acteurs des systèmes d'information géographique
Le cabinet d'études CXP vient de publier un « service expert » sur les SIG (systèmes d'information géographique), ces logiciels qui permettent d'associer une dimension géographique à des données de toute nature. Cette étude qualitative, qui détaille précisément cinq applications du marché, constitue aussi un guide pour évaluer l'adéquation d'un produit avec un projet. Elle a été réalisée par Fabienne Claret, analyste pour Axes Conseil, partenaire du CXP. Les applications traditionnelles des SIG (urbanisme et aménagement, marketing, détection des zones d'influence commerciale, localisation de sites divers, etc.) se sont considérablement diversifiées au cours des récentes années, notamment par des déclinaisons opérationnelles exploitées par des utilisateurs itinérants. Ces solutions sont devenues plus accessibles par l'adoption accélérée des technologies Web et des outils de mobilité, d'une part, et grâce à l'augmentation des fonds cartographiques et au géocodage des adresses, d'autre part. Esri, AutoDesk, GeoConcept, Star-Apic et MapInfo Le service Expert proposé par le CXP décrit l'architecture des SIG et dresse un rapide constat des tendances du secteur (Open Source, gestion des meta-données, systèmes GPS, Web 2.0, interopérabilité et normes), ainsi qu'un bref aperçu du marché, répartis entre éditeurs de SIG, fournisseurs d'applications métiers et sociétés de services. Mais l'essentiel de l'étude est consacré aux offres ArcGIS d'ESRI, AutoDesk Map 3D d'Autodesk, GeoConcept de l'éditeur du même nom, Hub Géomatique de Star-Apic Informatic et MapInfo Professional, distribué par Acxiom France. C'est la gamme d'ESRI, l'une des plus diffusées et des plus complètes, qui a fourni le format Shape file, presque un standard dans le monde du SIG, selon Fabienne Claret. L'analyste considère que le nombre de licences vendues mondialement octroie à l'éditeur la capacité de répondre aux besoins fonctionnels de ses clients. Mais elle regrette une certaine complexité dans la présentation de la gamme. Autodesk, de son côté, s'appuie sur la diffusion de son logiciel de CAO Autocad dont il exploite les formats de mémorisation graphique et d'échange dwg et dxf, parmi les plus utilisés dans leur catégorie. Son logiciel est estimé naturellement fort sur la saisie graphique CAO en environnement SIG, mais il pourrait améliorer ses fonctions d'analyse spatiale. GeoConcept est vu comme le seul éditeur totalement français dont le SIG répond à l'état de l'art technique et fonctionnel. Son nouveau noyau SIG, jugé innovant, est commun aux déclinaisons client/serveur, Web et mobile de la gamme, ce qui garantit son ouverture. Un outil pour élaborer le cahier des charges L'offre de Star-Apic est récente si l'on considère que les éditeurs Star Informatic et Apic SA ont été réunis en 2003. L'approche « best of breed » exploite le meilleur des deux solutions : « entre autres, l'ergonomie de Star, la puissance et l'administration d'Apic ». Avec Hub Géomatique, le stockage des données spatiales s'affranchit d'un format propriétaire en s'appuyant sur un SGBDR, mais il se borne à la base Oracle. Fabienne Claret note la performance de ses outils de saisie et la puissance du modèle topologique natif qui facilite la mise à jour des données. Enfin, MapInfo Professional, édité par MapInfo Corp, est l'un des SIG les plus répandus en France et dans le monde. Il présente l'originalité de pouvoir ajouter une couche de données sur Google Earth et dispose d'un module de géocodage autonome. L'étude regrette en revanche que, comme la plupart des autres SIG, MapInfo ne gère pas en standard les méta-données. Un tableau comparatif détaillé récapitule les caractéristiques commerciales, techniques et fonctionnelles des cinq produits. En complément, une liste de questions standards articulée autour des trois mêmes axes (critères commerciaux, techniques et fonctionnels) aide les futurs acquéreurs du SIG à formaliser la définition de leurs besoins internes et élaborer un cahier des charges. (...)
(09/01/2007 10:08:17)Technologies, flexisécurité, mondialisation au coeur de la réflexion stratégique du gouvernement en matière d'emploi
La prise en compte de la montée des risques, à tous points de vue, individuels et collectifs, est la marque sous laquelle se placent à la fois le rapport annuel et le programme de travail 2007 du Centre d'analyse stratégique (CAS, ex-commissariat au Plan) présentés ce lundi 8 janvier au Premier ministre. Sur la même ligne que le rapport prospectif sur les « métiers en 2015 » publié le 3 janvier, concernant l'emploi et la formation, le constat est fait de l'apparition de nouvelles lignes de clivage et de facteurs d'inégalité, parmi lesquels « le degré individuel d'exposition aux risques » (selon l'âge, l'accès à la formation, l'impact de la mondialisation, etc). Un constat qui, précise Sophie Boissard, directrice générale du CAS, devrait « conduire à revoir les outils... visant traditionnellement à réparer les inégalités de situation ». Comment flexi-sécuriser (à la française) les trajectoires professionnelles par la prise en compte des périodes d'inactivité et diverses formes de « garanties collectives en termes de formation » ? Sur les bassins d'emploi liés au fonctionnement des pôles de compétitivité, comment identifier et anticiper les besoins en compétences, les éventuelles tensions, les types de mobilité, les conséquences de la pluri-activité ? Comment faire face aux « contraintes d'une mobilité internationale renforcée » des emplois hautement qualifiés qu'impliquent la mondialisation, le benchmarking des « systèmes nationaux d'innovation », les nouveaux rapports de pouvoir internationaux liés aux connaissances scientifiques ? Tels sont, parmi les chantiers d'analyse ouverts pour 2007 par cet organisme de consultation assistant les pouvoirs publics, les questions dont relèvent notamment les activités des professionnels des technologies de l'information. De plus, année électorale oblige, deux des chapîtres du programme 2007 des analystes du CAS s'intéressent à la modernisation de l'action publique (expérimentations et prise en compte des débats suscités par les technologies, nanotechnologies, biométrie, etc) et à la démocratie participative dans les domaines techniques (sur les problématiques du transport, notamment). Des recrutements d'universitaires prévus en 2007 Il est à noter qu'en correspondance avec ce plan de travail pour 2007, l'équipe du Centre d'analyse stratégique recrute jusqu'au 31 janvier des jeunes universitaires (niveau 3ème cycle) pour contribuer aux travaux de ses cinq départements d'expertise : recherche, technologie et développement durable ; affaires économiques et financières ; travail, emploi et formation ; questions sociales ; institution et société. (...)
(09/01/2007 10:09:30)L'EPA travaille à un label Energy Star pour les serveurs
Pour reconnaître les serveurs les plus économes en énergie, va-t-il falloir chercher le label « Energy Star » comme sur les moniteurs ? Peut être. En tout cas, le congrès a adopté le 20 décembre dernier une loi demandant à l'Agence pour la Protection de l'Environnement (EPA), créatrice du label, d'étudier la consommation en énergie des centres de données américains, qu'ils soient privés ou fédéraux. Attendu mi-mai, ce rapport devra déterminer la consommation en énergie totale de ces centres et l'impact des différentes techniques d'économies d'énergie, ainsi que proposer des recommandations pour les industriels, à la manière d'"Energy Star". Selon Andrew Fanara, directeur du programme Energy Star à l'EPA, les gouvernements chinois et européens seraient prêts à « supporter le développement de mesures d'efficacité énergétique avec l'EPA. » (...)
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