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(03/01/2007 17:27:29)

Le projet communautaire de support étendu de Fedora ferme ses portes

Coup dur pour la communauté Fedora. Fedora Legacy, le projet communautaire de support étendu du Fedora Core, le Linux ouvert de Red Hat, ferme ses portes. Officiellement, le manque d'implication et de contributions de la communauté qui anime le projet serait une des sources de la coupure définitive du service, comme le déclare Jesse Keating, Release Engineer de Fedora. L'annonce a été réalisée sur la mailing-list de Red Hat par Jesse Keating et David Eisenstein, deux techniciens actifs du projet. Dans leur message, on y apprend notamment que le modèle Fedora Legacy est "réexaminé", et que les serveurs, tel que le "repository", seront bientôt coupés. "Nous sommes incapables d'étendre le support aux anciennes versions de Fedora, comme prévu. Fedora Core 4, ainsi que les versions suivantes, ne sont désormais plus entretenues". Fedora Legacy doit fournir une offre de support pour Fedora (actuellement dans sa version 6), moins limitée que celle de Red Hat. Une offre qui, selon le site fedoralegacy.org, s'applique également aux offres en fin de vie des anciennes versions commerciales de l'éditeur (comme Red Hat Linux). Son objectif initial: assurer l'évolution et la pérennité des versions du Fedora de manière collaborative. Fedora doit notamment bénéficier de la réactivité de la communauté quant aux mises à jour de sécurité. Indisponible à la rédaction de cet article, Red Hat n'indique pas ses intentions. Désormais seul, il devrait assurer le support de Fedora, "étendu à treize mois au lieu de neuf auparavant", rappelle Jesse Keating. Mais au delà, c'est une partie de l'aspect communautaire de Fedora, laboratoire à la distribution commerciale de Red Hat (Red Hat Enterprise Linux), qui prend l'eau. Son indépendance vis à vis de l'éditeur, point d'achoppement de la Fedora Fondation en avril dernier, pourrait se réduire. Selon le site distrowatch, observatoire des distributions, Fedora est classé troisième des OS Linux non commerciaux les plus populaires, derrière OpenSuse et Ubuntu, actuel n°1. (...)

(03/01/2007 17:19:27)

DIF : 58% des PME se disent prêtes à offrir des plans de formation

« Il a fallu du temps pour que le DIF se mette en place. Selon l'enquête que nous avons effectuée au mois de mai 2005 sur un panel de 800 salariés et 380 DRH, 3% des salariés avaient consommé du DIF, contre environ 10% prévu pour 2006. Le mouvement s'accélère. En 2007, le quart des salariés devrait profiter du DIF », indique Jacques Coquerel, le président de la Cegos (organisme de formation continue). Avancée sociale incontestable, le DIF était, jusqu'à présent, pourtant victime d'un déficit de (re)connaissance : une mesure comme les 35h hebdomadaires était davantage mise en avant par les partenaires sociaux. Aujourd'hui entreprises et salariés semblent avoir pris la mesure du DIF et de nombreuses initiatives sont régulièrement mises en avant. D'ailleurs, un sondage Agefos-PME (organisme gestionnaire des fonds de la formation professionnelle), réalisé avec Ipsos en avril 2006, indiquait que 74% des dirigeants avaient entendu parler du dispositif, mais que seulement un tiers des personnes interrogées le jugeait « simple à mettre en ?uvre ». 84% des dirigeants de PME ont entendu parler du DIF La 14ème édition du baromètre « Emploi et formation dans les PME » d'Agefos-PME et le sondage « Perspectives 2007 », effectué par Ipsos auprès de 500 dirigeants ou DRH de PME (10 à 500 salariés) et de TPE (1 à 9 salariés) en décembre 2006 confirme le sondage effectué au mois d'avril : 58% des PME et 29% des TPE disposent d'un plan de formation pour le DIF. Selon ce baromètre, 84% des dirigeants de PME et 47% de ceux des TPE connaissent le DIF. Pour les entreprises de plus de 50 salariés, le taux est proche des 100%, ce qui signifie que le message est passé. Mais les salariés sont-ils au courant de leur droit ? Il semble que de gros efforts soient à faire de ce côté, notamment au sein des très petites structures, puisque 62% des responsables de TPE et 69% de ceux des PME évaluent à une très faible minorité le nombre de collaborateurs qui va demander à en bénéficier. (...)

(03/01/2007 17:18:52)

Un Observatoire « prospectif » des métiers en vue d'orienter les formations proposées

L'Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans la branche des organismes de formation vient d'être créé, sous l'impulsion de la CPNEF (Commission paritaire nationale emploi et formation). Un protocole d'accord a été conclu par la FFP (Fédération de la formation professionnelle) et cinq syndicats de la branche des organismes de formation privés (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FO, CGT). S'il est destiné aux organismes de formations privées, il concerne également l'ensemble de la filière emploi, puisque les entreprises pourront en amont suivre l'évolution des métiers. La CPNEF confiera à l'Observatoire des études quantitatives et qualitatives, sur les emplois, les qualifications et les formations de la Branche. Le mot « prospectif » n'est pas anodin : il souligne clairement la volonté de rapprocher les personnes qui travaillent ou celles qui sont en recherche d'emploi, d'une spécialité ou d'une qualification effective que les entreprises attendent d'elles dans un futur proche. Il est également au c?ur de la stratégie mise en place par le gouvernement et les partenaires sociaux depuis plusieurs mois. L'idée est en effet de définir les priorités en matière de formation professionnelle. Difficile par exemple pour un chômeur d'obtenir un financement pour une qualification qui ne serait pas en adéquation avec le monde de l'entreprise. Ainsi, des formations en Cobol ne sont plus du tout au goût du jour, même si certains informaticiens termineront leur carrière avec cette spécification et que d'autres se forment toujours sur cette technologie. (...)

(03/01/2007 14:34:34)

Fraude aux stock options : Apple met Steve Jobs hors de cause

"Le conseil d'administration [...] a totalement confiance en Steve Jobs et en l'équipe dirigeante". Cette phrase, issue d'un communiqué d'Apple, semble mettre un terme aux soubresauts ayant effleuré le charismatique patron du groupe au cours des derniers jours. Apple a ainsi mandaté une commission spéciale, présidée par Al Gore, chargée de faire la lumière sur la fraude aux stock options et ses implications sur les dirigeants. Le Financial Times rapportait la semaine dernière que Steve Jobs avait touché pour 7,5 M$ de titres en 2001. Un octroi rendu possible par la falsification de documents enregistrés par le conseil d'administration. En dépit de ces irrégularités, le gourou d'Apple est mis hors de cause par la commission spéciale et par le groupe qu'il préside : s'il était effectivement au courant des pratiques douteuses concernant l'attribution de stock options, il n'en aurait pas profité. Cette simple constatation serait alors suffisante pour laver Steve Jobs de tout soupçon de malversation. Apple reconnaît en revanche que des titres antidatés ont été distribués entre 1997 et 2002 et indique provisionner en réparation 84 M$, dont 4 et 7 M$ respectivement pour les exercices 2006 et 2005. Selon le groupe, plus aucun cas d'attribution irrégulière ne se serait reproduit après le 21 décembre 2002. (...)

(03/01/2007 13:05:24)

2007 : le matériel prioritaire dans les dépenses des CIO

A l'approche de 2007, les prévisions de dépenses IT se sont faites de moins en moins optimistes. Les CIO tablent désormais sur une progression de 5,8% sur les douze prochains mois. Au troisième trimestre 2006, ils estimaient qu'ils augmenteraient leurs dépenses de 6,5%. Des chiffres publiés par le trimestriel américain CIO Magazine. Selon l'étude, près des deux tiers des CIO interrogés n'envisagent pas de consacrer une part de leur budget 2007 à la dernière suite bureautique de Microsoft, Office 2007, pas plus qu'à Vista. En revanche, ils semblent plus enclins à investir en matériel, dans le stockage et la sécurité. "Cette prévision de dépenses à la baisse est en ligne avec les précédentes études qui estimaient que les professionnels consacreraient leurs investissements aux domaines les plus fondamentaux", commente Gary Beach, éditeur de CIO Magazine. Les responsables informatiques indiquent que leurs budgets IT ont progressé en moyenne de 5,8% au cours des douze derniers mois. Une légère progression par rapport à la précédente étude, dans laquelle ce chiffre atteignait 5%. Alors que 39,7% des CIO prévoyaient une augmentation de leurs dépenses dans l'étude du trimestre dernier, ils sont 40,7% à faire la même constatation aujourd'hui. La part de ceux tablant sur une diminution de leurs investissements reste stable, à 13,7%. Le matériel informatique est au sommet des priorités de dépenses, cité par 55,8% des CIO, contre 46,9% en septembre. Seuls 11,7% prévoient de faire reculer leurs emplettes dans ce domaine alors qu'ils étaient 16,3% il y a trois mois. Les systèmes de stockage et les outils de sécurité sont les deux autres postes censés recevoir les dépenses des CIO en 2007. Un dernier mot pour finir sur la migration à Vista ou Office 2007. Pour 20,7% des responsables interrogés, il convient avant toute chose d'évaluer le coût et les besoins de formation avant d'envisager un passage vers ces outils. Ils sont 15,8% à estimer qu'ils franchiront le pas en 2007, dont 5,8% pour Office 2007 et 1,7% seulement pour Vista. (...)

(03/01/2007 09:43:21)

Microsoft donne des portables avec Vista, et récolte une polémique

Microsoft a envoyé la semaine dernière des PC portables prééquipés de Vista à 90 blogueurs américains jugés influents par l'éditeur - par exemple Michael Arrington, fondateur de l'observatoire de la blogosphère TechCrunch. Dans la mesure où, pour faire bonne impression, le dernier système d'exploitation de Microsoft nécessite une machine musclée, surtout quand il s'agit de la version de Windows la plus haut de gamme (Vista Ultimate 64bit edition), les machines sont à l'avenant : des Acer Ferrari coûtant plus de 2000 dollars, motorisés par des processeurs AMD 64bit. Aussitôt, l'initiative a déclenché une polémique dans la blogosphère, nombre de blogueurs et commentateurs estimant que la déontologie devrait conduire les blogueurs concernés à renvoyer le cadeau. Ou, à défaut de déontologie, l'attention portée à leur réputation, le bien numéro un d'un blogueur. Microsoft a de son côté indiqué dans une lettre accompagnant les portables que le récipiendaire pouvait en faire ce qu'il désirait : le renvoyer à l'éditeur, le donner, l'utiliser... et qu'il n'attendait aucun retour éditorial spécifique. (...)

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