Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 22071 à 22080.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/12/2006 23:36:32)

Le Web 3 déplace médias généralistes et politiques

Le patron de Six Apart Europe (éditeur de la plate-forme de blogs Typepad), Loïc Le Meur, a donné lundi matin à Paris le coup d'envoi de la conférence Le Web 3, rendez-vous d'un millier de blogueurs et entrepreneurs de l'Internet du monde entier. Le ballet médiatique avait même commencé avant, les médias généralistes s'étant jetés férocement dans la bataille : dossier « Internet, le cinquième pouvoir » dans L'Express, page portrait de Libération consacrée à Loïc Le Meur, programmes en amont puis en direct de la conférence pour LCI, BFM TV, Europe 1... Mardi, deuxième et dernier jour de la conférence, ce sera au tour des politiques. Shimon Peres, prix Nobel de la paix, est attendu le matin, tandis que Nicolas Sarkozy, dont Loïc Le Meur est un partisan déclaré, devrait venir s'exprimer l'après-midi. Le programme sera donc un peu bousculé, certains intervenants étant d'ailleurs apparemment difficiles à joindre. Mais, a indiqué Loïc Le Meur, dans la mesure où il s'agit d'une réunion de blogueurs (« donc cools », forcément, pour le patron de Typepad) et d'entrepreneurs (donc débrouillards), « nous devrons y arriver ». Le but en effet est surtout d'écouter les stars du Web 2.0 raconter leur parcours, leurs idées, leur conception d'Internet et de l'entreprenariat. Le panel réunissant des nouveaux venus comme Tariq Krim, fondateur de Netvibes, et un patron expérimenté tel que Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects, était à cet égard plutôt éclairant : pour réussir dans le milieu informatique, il vaut mieux dès le début omettre ses origines françaises et apparaître sur le marché américain comme un acteur local. L'autre but de la manifestation est de rencontrer, en vrai, les autres participants. Netvibes, justement, a sponsorisé une soirée dans un lieu branché parisien. Il ne s'agissait pas d'aller y faire la fête, nous a précisé une organisatrice, mais bien d'y « networker ». Autrement dit, tisser des liens, parler de ses projets, glisser l'adresse de son blog, avec l'espoir de tomber sur un business angel ou au minimum de faire parler de soi. (De gauche à droite sur la photo : Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects, Alexander Straub, cofondateur de Pixsta, Cédric Maloux, créateur d'Allpeers, Tariq Krim, fondateur de Netvibes, et Rodrigo Sepulveda, fondateur de vpod.tv) (...)

(11/12/2006 17:57:52)

IBM met au point l'alternative aux mémoires flash

IBM, Qimonda et Macronix travaillent sur le développement d'un matériau censé préparer l'alternative aux mémoires flash actuelles. Une technologie qui devrait surpasser en performances et en encombrement les composants de mémoire flash. Les semiconducteurs à changement de phase sont, à l'heure actuelle, basés sur des alliages de germanium, d'antimoine et de tellunium (GST). Ils peuvent passer d'un état cristallin à un état amorphe en fonction de la charge électrique à laquelle ils sont soumis. Le matériau mis au point par IBM n'utilise plus que le germanium et l'antimoine. Une association qui offre deux avantages. D'un côté, la température de cristallisation est supérieure de 100°C à celle atteinte avec l'alliage GST, ce qui offre une meilleure capacité de conservation des données. De l'autre, la cristallisation s'effectue 500 fois plus rapidement que dans les mémoires flash actuelles avec moitié moins de puissance électrique. Enfin, les travaux menés par IBM devraient aboutir à des composants d'une taille nettement moindre que celle occupée par les composants actuels. Le prototype présenté ne mesure ainsi que 3 nm (largeur) sur 20 nm (longueur). IBM n'est pas le seul groupe à espérer mettre au point le successeur des mémoires non volatiles - un marché estimé à plus de 18 Md$. Samsung a ainsi récemment présenté la PRAM, Freescale la MRAM et d'autres fabricants la FeRAM ou autre NRAM. (...)

(11/12/2006 17:50:27)

Cisco place ses pions dans la R&D européenne

A sa liste de sites de R&D implantés en Europe, Cisco vient d'ajouter un site irlandais, à Galway. Le plan de développement de ce site dédié à la convergence (équipement de communications unifiées), qui emploie actuellement une cinquantaine d'ingénieurs de recherche, prévoit de monter les effectifs à 200 ingénieurs d'ici à trois ans. En France, le centre de R&D de Sophia Antipolis compte de même une cinquantaine de personnes, dont vingt dédiées à la recherche autour des technologies IPV6, sans fil, mesh, MPLS (qualité de service des réseaux IP) et routeur mobile. Selon la tactique vue à l'oeuvre à Sophia Antipolis, chacun de ces sites est aussi considéré comme centre productif en matière de propriété intellectuelle. Les équipes de l'antenne Cisco de la Côte d'Azur sont à l'origine de 25 standards, 70 brevets et 3 ouvrages, et s'impliquent activement dans les initiatives du pôle de compétitivité (SCS) et dans la collaboration avec les établissements d'enseignement supérieur (Groupement des écoles télécoms, dont ENST Paris et l'institut Eurécom). C'est, d'ailleurs, une des raisons essentielles pour lesquelles, dans sa politique d'implantations et d'acquisitions (116 à ce jour, 7 depuis le mois d'août) qui prend une place croissante dans sa stratégie d'investissements R&D (13% du chiffre d'affaires), le géant des technologies réseaux porte une attention particulière aux opportunités européennes. "Aux USA, il est beaucoup plus ardu, coûteux et long de faire valoir ses droits sur la propriété intellectuelle", soulignait notamment Graham Holmes, directeur de l'initiative ARTI (Academin Resarch Technology Initiative) de Cisco, lors d'un récent forum sur le développement international des pôles de compétitivité à la française (Sophia Antipolis, 17 novembre). De même, le centre de recherche implanté en Israël a constitué une tête de pont pour l'acquisition d'une vingtaine d'entreprises de R&D sur place. Tout est relatif, puisque plus à l'Est, après un investissement de 50 millions de dollars sur un campus R&D à Bangalore, Cisco confirme et signe son intention d'investir massivement en Inde (1,1 milliard prévu au plan d'octobre 2005), en annonçant un investissement de 750 millions de dollars pour les trois ans à venir. Le cap est mis sur un triplement des effectifs (2000 personnes aujourd'hui, R&D et hors R&D) sur le sous-continent indien. (...)

(11/12/2006 17:41:36)

Un projet pour détecter les failles dans les applications Java

Fortify Software et le projet FindBugs viennent de lancer un service gratuit permettant d'analyser le code Java d'une application pour localiser d'éventuelles failles. Le projet Java Open Review (JOR) permet aux développeurs d'analyser leur code en utilisant l'outil FindBug de l'université du Maryland et les outils de Fortify. Les outils d'analyse de code de Fortify permettent de détecter environ 120 types de problèmes de sécurité, mais la version en ligne sur le site JOR n'en recense qu'une quarantaine, parmi les plus courantes. Le site est ouvert à tous les développeurs d'applications Java libres désireux d'utiliser ses services. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >