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(05/12/2006 17:40:02)

Thierry Breton plaide pour un pôle de compétitivité "Logiciels Libres"

L'Open Source se faufile partout. La France a sa filière "Logiciels Libres", qui compte près de 400 sociétés, des petites entreprises pour la plupart, prestataires de services et éditeurs, dont 250 en Ile-de-France. De là à revendiquer une reconnaissance formelle pour figurer au nombre des pôles de compétitivité labellisés (et soutenus financièrement) par l'Etat. C'est en tout cas le pas que souhaite franchir une poignée de chefs de file reconnus, avec -c'est officiel- le soutien du ministre Thierry Breton, qui en a fait un point d'accroche de sa déclaration lors de la présentation, ce lundi 4 décembre, du rapport sur "l'économie de l'immatériel" en tant que vecteur de croissance. L'argumentation des promoteurs de ce pôle encore virtuel est rodée. "La France a donné des contributions majeures à la recherche et au développement en informatique, à l'avant-garde du mouvement du logiciel libre", souligne Roberto di Cosmo, professeur d'informatique à Paris-7. Il ne manque pas non plus de patrons de jeunes pousses pour soutenir, comme le fait Stéfane Fermigier, PDG de Nuxeo (logiciels de gestion de contenu), que 30 à 40% de leur chiffre d'affaires vont à la R&D. Quant à Alexandre Zapolsky, président de l'ASS2L (association de sociétés de services dédiés aux logiciels libres) et PDG de Linagora, "la phase d'industrialisation et les perspectives de croissance" face auxquelles se trouvent la filière du logiciel libre, forte déjà, selon lui, de 6000 emplois en Ile-de-France, suffisent à justifier cette candidature au statut de pôle de compétitivité. Enseignement, recherche appliquée, débouchés porteurs... le tryptique habituel qui a justifié la constitution des 66 pôles de compétitivité déjà labellisés est bel et bien représenté dans cette candidature. Et Alexandre Zapolsky, principal initiateur de ce projet, l'assure: les universitaires d'Ile-de-France concernés, de même que certains représentants de l'Inria déjà approchés, apporteraient volontiers leur soutien au dossier. Un regroupement de PME Il reste que l'Ile-de-France a déjà son lot de "pôles", de "réseaux thématiques" et autres structures de soutien à la R&D, dont certaines d'envergure nationale, notamment en informatique et télécoms (Systematic, Cap Digital, Digiteo, RNTL, RIAM, RNRT), avec une ambition de rayonnement hors frontière. Comment ne pas voir, dans cette superposition de structures, toutes ayant vocation de support au développement économique, et surtout de développement territorial rattaché à la notion de pôle, un risque de dispersion, de "saupoudrage", des moyens et des énergies? Les industriels prenant part aux pôles existants en savent quelque chose. Pour autant, le pôle Logiciels Libres, tout comme Cap Digital dans le domaine du contenu, se positionnerait, comme le décrit Alexandre Zapolsky, comme un regroupement de PME à forte perspective de croissance. Avec le soutien du monde de la recherche? Et celui des pouvoirs publics, au delà du ministre Thierry Breton? Cela reste à voir... avec la prochaine fournée de pôles labellisés qui devrait être publiée dés janvier prochain. (...)

(05/12/2006 17:27:08)

IDN et kiting au menu du sommet brésilien de l'Icann

L'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) profite de son 27e rassemblement international, tenu à Sao Paulo (Brésil) du 2 au 8 décembre, pour mettre sur la table des discussions des projets fondamentaux parmi lesquels figurent en bonne place l'internationalisation des DNS (Domain Name System, permettant d'associer une adresse IP à un nom de domaine) et une pratique d'enregistrement des sites Web davantage lucrative. Les participants aux ateliers et autres tables rondes auront également l'occasion de s'intéresser à la vision stratégique de l'Icann pour la période 2007-2009 et de se pencher sur IPv6, d'en connaître la justification et la façon dont ce protocole sera mis en place. En tout, une trentaine de tutoriaux et de séminaires seront proposés à destination d'un public varié - ingénieurs, représentants des entreprises et des gouvernements, etc. - venus de tous les pays. Les IDN au coeur des débats L'un des temps forts de la semaine devrait concerner l'initiative IDN (noms de domaine internationaux), un projet courant depuis plusieurs années, qui vise à modifier les DNS de manière à supporter une plus large variété de langages et d'alphabets ne pouvant être représentés par le standard ASCII, à l'image du chinois ou de l'arabe. Le sujet avait été abordé au début du mois de novembre lors du Forum d'Athènes sur la gourvernance d'Internet, et largement soutenu par la Commission européenne, via la commissaire à la Société de l'information Viviane Reding. Le meeting de Sao Paulo devrait aboutir à la rédaction d'un rapport sur le projet IDN et offrir au public le loisir de prendre part à un tutoriel sur le sujet. Mais, en dépit des bonnes volontés affichées et au-delà des ateliers organisés par l'Icann, l'organisation estime que la mise en place des IDN s'avèrera plus difficile que les plans originaux ne le laissaient prévoir. Le Président de l'Icann, Paul Twoney, indiquait ainsi ce lundi qu'il faut que "cela soit fait prudemment pour que ça fonctionne pour le monde entier", ajoutant que l'institution espère mettre en place une solution technique avant la fin de 2007. Combattre ou non "kiting" et "tasting" ? Autre sujet de discussion, les pratiques d'enregistrement des noms de domaines récemment apparues sur le devant de la scène dites du "kiting" et du "tasting", génératrice de moult controverses. Le concept consiste à acheter en gros des noms de domaine arrivés à expiration et à profiter des cinq jours pendant lesquels aucun paiement n'est dû pour en tirer des revenus publicitaires. A l'issue de ce délai, l'acquéreur peut annuler la transaction - et alors ne rien payer tout en ayant profité des revenus du site - ou conserver la propriété du nom de domaine. Selon Bob Parsons, l'inventeur du terme kiting, sur 32 millions de noms de domaine enregistrés en avril 2006, seuls deux millions donnaient lieu à paiement. "Il s'agit d'un sujet de discussion impliquant toute la communauté : doit-on intervenir sur ce sujet ?", se demande le président de l'Icann. "Certaines personnes estiment que c'est une pratique condamnable. D'autres pensent que c'est simplement la loi du marché", poursuit-il. Pour les opposants au kiting, l'Icann devrait imposer le paiement d'un droit d'enregistrement dans tous les cas de figure, et même si le dépôt du nom de domaine est annulé avant la période de cinq jours. Verisign reconduit Enfin, signalons, en marge du congrès de Sao Paulo, la reconduction de Verisign par le ministère américain du Commerce, pour l'attribution des .com et .net. Une décision qui met un terme à un long conflit entre l'Icann et Verisign, né de la mise en place en 2003 par ce dernier du SiteFinder, chargé de rediriger les URL mal orthographiées. Un premier pas vers la détente avait été effectué en février 2006 avant que l'Icann n'approuve, en mars, l'accord passé avec Verisign. Il ne restait plus qu'à recueillir l'aval du DoC (Department of Commerce) pour valider la reconduction de Verisign. C'est désormais chose faite : Verisign gèrera les .com et les .net jusqu'en 2012. (...)

(05/12/2006 17:19:46)

L'embauche branchée direct sur les cursus universitaires: 49% donnent suite

L'opération Universyntec, en trois journées d'embauche ciblant les masters (bac+5) des campus de Nanterre, Créteil et Villetaneuse, a permis à onze employeurs du secteur ingénierie-conseil-informatique (listés ci-dessous) d'effectuer sur place 683 entretiens de prise de contact, dont 332 ouvrant sur un second rendez-vous. La quatrième et dernière journée de représentation de la Fédération Syntec au coeur des campus franciliens, avec pour argument 3000 emplois et stages ouverts, se tient ce mercredi 6 décembre à Marne-la-Vallée. Il est donc bien trop tôt pour en tirer quelque conclusion sur l'efficacité de cette démarche quant aux embauches en instance. Mais déjà le taux de transformation (49%) du premier contact satisfait les organisateurs de cette première. Ne serait-ce qu'en termes d'image. "Beaucoup de nos entreprises ont signé la Charte de la diversité. Nous sommes discrets, mais le moment est venu de parler plus haut", souligne Pierre Nanterme, président de Syntec et d'Accenture. "Les chargés de recrutement nous disent avoir rencontré des candidats très intéressants qu'ils ne seraient pas allé chercher par ailleurs", ajoute Anne-Marie Bjornson-Langen, directrice du développement de Syntec et coordinatrice de cette opération. Le défrichage préalable, afin de cibler les invitations vers les étudiants de masters concernés (gestion, économie, math appliquée, informatique, cursus banque-finances), ne restera probablement pas sans suite. Tant il est vrai que rapprocher l'université du monde de l'entreprise est dans l'air du temps. "Entre deux entretiens de recrutement, une discussion de couloir avec les étudiants nous a conforté dans l'idée qu'une bonne part d'entre eux n'a qu'une vague connaissance du fonctionnement de l'entreprise", note Saïd Hammouche, dirigeant de l'association APCR (cabinet de recrutement spécialisé dans la promotion de la diversité). Du côté du Syntec, l'on considère que la rapidité avec laquelle s'est montée cette opération, avec le soutien des présidents des quatre universités, "pour un résultat en rapport avec la logistique mobilisée" (logistique qui, en effet, ne peut guère se comparer avec celle des forums d'embauche dont les étudiants des grandes écoles sont familiers), montre que la volonté d'ouverture, de part et d'autre, est bien réciproque. (...)

(05/12/2006 17:09:23)

Forte progression attendue de la publicité sur Internet

Selon ZenithOptimedia, filiale du groupe Publicis, Internet devrait devancer la radio, le cinéma et les panneaux d'affichage comme support publicitaire à l'horizon 2009, avec un chiffre d'affaires de près de 43 Md$. A cette date, la part de marché d'Internet en matière de publicité devrait atteindre 8,6 % contre 4,7 % en 2005. Cette progression devrait principalement se faire au détriment des magazines et des journaux papier dont la part de marché reculerait de 13,3 % en 2005 à 12,5 % dans trois ans pour les premiers, et de 29,8 % à 27,3 % pour les premiers. Pour autant, le montant des dépenses mondiales de publicité dans les journaux et les magazines devrait continuer de progresser, passant de près de 120 Md$ en 2005 à 135 Md$ en 2009 pour les premiers, et de près de 53 Md$ à plus de 62 Md$ pour les seconds. Outre-Atlantique, la Newspaper Association of America (NAA), qui représente plus de 2 000 publications du continent nord-américain, constate une forte croissance des dépenses de publicité sur les sites Web des journaux, depuis déjà deux ans. Selon l'association, la publicité sur Internet aurait rapporté aux journaux nord américains plus de 2 Md$ en 2005, contre 1,5 Md$ en 2004 et 1,2 Md$ en 2003. Pour les neufs premiers mois de l'année 2006, le chiffre d'affaires généré par la publicité sur les sites Web des journaux, outre-Atlantique, atteindrait déjà 1,92 Md$. L'association relève en outre qu'avec un chiffre d'affaires de 638 M$ au troisième trimestre 2006 (+ 23 % sur un an), la publicité sur les sites Web des journaux nord-américains a enregistré son dixième trimestre consécutif de croissance à deux chiffres. La NAA « s'attend à ce que cette tendance à la hausse se poursuivre ». (...)

(05/12/2006 16:59:28)

HP délocalise le poste de travail dans une lame

"Comment adresser les agences délocalisées, tout en gardant la même puissance qu'une salle des marchés?" C'est ainsi qu'Eric Jeanmougin, directeur WorkStation EMEA chez HP, présente le premier poste de travail lame du constructeur et également du marché. Etiquetée xw25p, la HP ProLiant WorkStation pose le concept d'une station de travail en lame accessible de façon déportée. Le projet voit le jour après une phase pilote d'un an "pour valider que les technologies soient en adéquation avec les besoins de clients", commente Eric Jeanmougin. Concrètement, la station de travail en lame repose sur le principe de dissocier la partie stockage, administration et applicative - insérés côté serveur sur une lame - , de leur contre-partie visualisation et manipulation - positionnée sur le poste client et représentée par les écrans (jusqu'à quatre), la souris et enfin le clavier. La liaison étant réalisée par le réseau de l'entreprise. La solution est notamment une alternative aux technologies de d'épart d'écran façon Citrix ou aux solutions de virtualisation de PC, telle que VDI de VMware. L'une des nouveautés de cette station est qu'elle s'insère dans l'infrastructure de châssis Bladesystem d'HP et que les pilotes de déport d'écran développés par la société sont censés permettre à des utilisateurs avancés, utilisant notamment la vidéo et la 3D, d'utiliser la station de travail à distance dans des conditions de performances acceptables. Pour cela, HP adosse son architecture sur un logiciel maison baptisé Remote Graphic Software (RGS), qui code et compresse les écrans graphiques (représentant les données) pour les "pousser" vers le poste client. Les actions réalisées depuis le poste client subissent également le même sort, pour être envoyées vers la lame. "Tout transite par le réseau et rien n'est stocké sur le poste client, commente Eric Jeanmougin, et ce, sans dégradation et sans aucune latence dans le traitement". Rejetant ainsi toute comparaison avec le client léger: "le poste de travail lame n'est pas multi-utilisateur. [Avec le système lame] Je garde mon environnement et je le délocalise dans un datacenter sans dégradation. Ce qui n'est pas le cas dans un environnement client/serveur. Il s'agit davantage d'une technologie complémentaire." Mobilité géographique et sécurité Assurément, l'architecture autour de la station de travail en lame adresse davantage les (très) grands comptes. HP met notamment en avant son positionnement pour les salles de marché, "un secteur qui a fait germer le projet", à travers un vaste déploiement de 255 postes chez la banque anglaise Lloyd. Outre la centralisation de l'administration bien connue avec les systèmes Blade, le poste de travail en lame se destine notamment aux entreprises délocalisées, disposant d'agences géographiquement clairsemées. Mais le principe doit également répondre aux problématiques de sécurité et de continuité d'activité, car "soit il permet le remplacement rapide d'une lame défectueuse, soit il autorise, notamment lors de déplacements, la poursuite de calcul côté serveur, sans y être connecté côté client". Enfin, il déplace le problème de dégagements de chaleur et de bruit, depuis le bureau vers la salle des machines, où il peut être alors traité. Et il peut également être utilisé comme outil de connectivité multi-sites et de travail collaboratif. Reste son prix. HP ne cache pas que l'ensemble représente un surcoût par rapport à un parc classique de postes de travail. " Entre 40% et 60%, précise Eric Jeanmougin, mais il offre un ROI (Return On Investment) bien plus intéressant". (...)

(05/12/2006 16:53:52)

Telecom World : Microsoft veut simplifier le mashup sur mobiles

Microsoft s'intéresse aux « mashups » sur les téléphones mobiles. Un mashup désigne la combinaison de différents services applicatifs sur le poste de travail afin de rendre un service répondant à un besoin particulier de l'utilisateur. Microsoft a profité du salon de l'UTI (Union internationale des télécommunications), Telecom World, qui se tient cette semaine à Hong Kong, pour présenter Connected Services Sandbox, une déclinaison de son offre CSF (Connected Services Framework) pour les opérateurs mobiles. Connected Services Framework fournit les services techniques de base : catalogue de services, gestion de session, de l'authentification... L'idée de Connected Services Sandbox est de fournir une place de marché pour les services mobiles, ceux de Microsoft en premier lieu (XBox Live, FlexGo...), mais aussi ceux de Google, Yahoo, eBay, Amazon... Pour l'heure, le site sert surtout à évangéliser sur les différents moyens de faire les utilisateurs de téléphones mobiles saliver sur de nouveaux services, afin d'augmenter le revenu moyen. (...)

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