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(28/09/2006 17:48:37)

IDF 2006 : La prochaine mouture de Centrino alliera 802.11n et 3G+

A l'occasion de l'Intel Developer Forum, qui se tient cette semaine à San Francisco, Intel a levé le voile sur la prochaine mouture de sa plate-forme pour PC portable Centrino. Au programme, un renforcement des capacités de communication sans fil, des performances améliorées et une meilleure gestion de l'autonomie. Le nouveau jeu de composants de la plate-forme, connue pour l'instant sous le nom de code "Santa-Rosa", est attendu pour la fin du premier trimestre 2007. Il devrait implémenter la version provisoire du standard 802.11n telle que spécifiée par l'alliance Wi-Fi. Encore en phase de normalisation, 802.11n promet des débits réels supérieurs à 100 Mbit/s tout en restant compatible avec les versions antérieures de Wi-Fi. Comme pour les moutures précédentes de sa plate-forme, Intel produira son propre module Wi-Fi. Mais cette fois-ci le constructeur n'attendra pas le standard final et tentera de faire évoluer son logiciel interne de son module afin à terme de le rendre compatible avec le standard final, attendu pour le début 2008. Alliance avec Nokia sur la 3G+ Intel semble en revanche avoir abandonné l'idée de produire sa propre puce radio 3G, du moins dans l'immédiat. Ainsi, le numéro un mondial des processeurs a profité de l'IDF pour annoncer une alliance sur les technologies 3G+ avec Nokia, le numéro un des téléphones mobiles. Le constructeur finlandais fournira à Intel ses puces 3G+ hautes performances au standard HSDPA - une évolution de la 3G permettant des débits en réception de l'ordre de 10 Mbit/s - afin de les inclure dans sa plate-forme de référence pour PC portables. Le PC portable du premier semestre 2007 devrait donc être un modèle de connectivité avec le support du Gigabit Ethernet pour les réseaux filaires, le support du Wi-Fi à plus de 100 Mbit/s pour les réseaux locaux sans fils et le support de la 3G HSDPA à 10Mbit/s pour un usage nomade. Ces capacités pourraient encore être enrichies avant la fin 2007 avec le support optionnel de la technologie WiMax... Du côté des performances, "Santa Rosa" incorporera la technologie Robson d'Intel, en fait une quantité de mémoire Flash Nand destinée à doper les performances des applications (notamment leur lancement). Le chipset de la plate-forme portera aussi la fréquence du bus système à 800 MHz contre 666 MHz pour le chipset mobile actuel de la firme. Intel promet également des gains sensibles en termes d'autonomie du fait d'une meilleure gestion de la consommation mais aussi de la réduction des accès au disque dur liée à l'utilisation de la technologie Robson. (...)

(28/09/2006 17:50:36)

Bull rachète la SSII française Agarik

Bull a annoncé aujourd'hui le rachat d'Agarik, une petite SSII spécialisée dans l'hébergement et l'infogérance. Créée en 1997, Agarik emploie près de 30 collaborateurs et a réalisé un CA de 5,2 ME en 2005. La société, qui compte parmi ses clients SFR, Canal+ et Dassault Systèmes, est selon Bull reconnue pour son expertise technique et pour la qualité et la disponibilité de ses services. Les salariés d'Agarik devraient intégrer la division infogérance de Bull. Le montant du rachat n'a pas été précisé par le constructeur informatique français. (...)

(28/09/2006 17:53:45)

HP : la chambre des représentants débute ses auditions

La Chambre des représentants à commencé, via la sous-commission de l'énergie et du commerce, ses auditions visant à faire la lumière sur l'espionnage mis en place par HP. Au total, 14 personnes devraient être entendues, dont Mark Hurd, Patricia Dunn et Ann Baskins, respectivement PDG, présidente démissionnaire du conseil d'administration, et directrice juridique. Cette dernière vient également de remettre sa démission après 24 ans passés chez HP. "Elle a placé les intérêts de HP au-dessus des siens et cela doit être souligné", a commenté Mark Hurd, qui n'a pas (encore) abandonné ses fonctions et qui, selon un membre du conseil d'administration, bénéficierait du soutien de l'ensemble des administrateurs. A leurs côtés, la chambre des représentants a appelé à témoigner plusieurs représentants d'agences de détectives, censés apporter leur éclairage sur les méthodes utilisées dans leurs enquêtes. Dans sa déposition, Mark Hurd estime que "l'équipe enquêtrice s'est tellement focalisée sur les sources des fuites qu'elle en a perdu de vue le respect de la vie privée des journalistes. Elle a perdu de vue les valeurs que HP a toujours représentées". Alors que le degré d'implication du PDG dans les opérations d'espionnage mises en place n'est pas clairement établi, celui-ci s'est "engagé à ce que HP prenne toutes les mesures nécessaires pour qu'une telle chose ne se reproduise jamais". Patricia Dunn, de son côté, pensait que l'enquête sur les fuites était légale, a-t-elle indiqué dans sa déposition. Mais s'il est important de faire la lumière sur les viles méthodes employées par les détectives, Patricia Dunn estime qu'une attention équivalente doit être consacrée aux fuites elles-mêmes. Et l'ex-présidente du conseil d'administration de rappeler que des informations cruciales avaient été révélées impudemment, comme le remplacement prévu de Carly Fiorina, la précédente directrice générale. "Si vous étiez candidat au poste de DG, voudriez-vous travailler pour une société dont le conseil d'administration n'est pas capable de garder des informations confidentielles", s'interroge-t-elle, justifiant par là même à demi-mot l'espionnage mis en place. La SEC, le gendarme de la bourse américaine, et l'Etat de Californie ont également ouvert des procédures relatives aux méthodes employées par HP. (...)

(28/09/2006 17:52:09)

Sopra bétonne la division de sa division Business Consulting

La SSII Sopra renforce sa division Business Consulting en nommant sept nouveaux membres de l'équipe dirigeante, sous l'égide de James Daly, le directeur de la branche. "Dans le cadre de notre développement et pour répondre aux besoins croissants de nos clients, nous avons décidé de renforcer nos équipes et comptons continuer dans cette direction en portant nos effectifs de 100 à 500 personnes d'ici à fin 2010", explique James Daly. Pour accompagner ce développement, Sopra a recruté Jean-Bernard Nonnon, un ancien de Cap Gemini et de BT Consulting, à la direction de l'activité Business Intelligence. Il sera rejoint par Sandrine Salaün à la DRH ainsi que par Philippe Héaulmé, Richard Wolff et Thierry Biyoghé qui deviennent respectivement directeurs des activités Oracle, SAP et Peoplesoft. Stéphane Berger s'occupera de l'activité architecture et solutions collaboratives et François Ducrot dirigera la branche CRM. (...)

(28/09/2006 17:52:34)

L'industrie High-Tech américaine a du mal à recruter

Le secteur des technologies a créé plus de 140 000 emplois au cours du premier semestre aux Etats-Unis, soit près du double du nombre d'emplois créés l'année précédente. C'est ce que révèle l'étude semestrielle de l'American Electronics Association (AeA), une association qui regroupe les entreprises du secteur de la high-tech. Selon l'AeA, c'est la plus forte croissance enregistrée par le secteur depuis 2001. L'industrie des services a tiré la croissance avec près de 107 000 emplois (49800 en ingénierie et services techniques, 44500 pour les services logiciels) contre 33100 pour le secteur de la fabrication d'équipements. L'AeA note que cette accélération de la croissance se traduit par des tensions sur le secteur de l'emploi : "nombre de sociétés high-tech ont des difficultés à recruter. La croissance du nombre d'emplois pourrait être supérieure si les sociétés pouvaient trouver les profils requis pour les emplois ouverts", explique ainsi Josh James, l'un des rédacteurs de l'étude. Et de pointer le désintéressement des étudiants américains pour les domaines des sciences et de l'ingénierie et le besoin d'avoir une politique de visas plus souple pour permettre aux sociétés US de recruter des diplômés étrangers... (...)

(28/09/2006 17:51:07)

Refroidissement liquide : IBM va licencier sa technologie

IBM va licencier sa technologie de refroidissement liquide pour racks de serveurs à Panduit, un fabricant américain de systèmes de câblage pour les datacenters. Lancé l'an passé, l'IBM Rear Door Heat eXchanger est un panneau à refroidissement liquide d'environ 15 cm d'épaisseur qui s'installe sur l'arrière d'un rack dans un centre de données et optimise son refroidissement. Selon IBM, le système permettrait de réduire de près de 55% la quantité de chaleur dissipée dans le datacenter, diminuant d'autant les besoins en climatisation. L'échangeur de chaleur de Big Blue fait partie de la famille CoolBlue dont l'objectif est de permettre une meilleure gestion de la dissipation thermique dans les datacenters. Selon IBM, le recours au refroidissement liquide est la conséquence de la densité croissante des serveurs x86, mais aussi un moyen de réduire les coûts de climatisation. Les technologies de refroidissement liquide sont en effet très efficaces par rapport à leur coût. Michael Bell, un analyste de Gartner, souligne toutefois la grande réticence des responsables de datacenter à réintroduire de l'eau dans leurs centres, du fait notamment de leurs craintes de dégâts en cas de fuite. Mais, selon lui, le retour de l'eau dans les datacenters est inévitable du fait de la hausse continue des factures d'électricité pour le refroidissement par air des grands centres informatiques. Bell note ainsi que le refroidissement d'un serveur coûte désormais presque aussi cher que son acquisition. IBM n'est d'ailleurs pas le seul à s'intéresser au refroidissement liquide. HP a lancé son propre système pour ses racks serveurs en janvier et Egenera a dévoilé le même mois sa solution CoolFrame basée sur la technologie de refroidissement X-Treme Density de Liebert, une filiale d'Emerson Electric. (...)

(28/09/2006 17:50:00)

Pour ses 15 ans, le laboratoire du futur Microsoft ouvre ses portes

A quoi travaillent les équipes du centre de recherche de Microsoft? Une question qui taraude nombre d'utilisateurs depuis que l'éditeur de Windows fait la pluie et le beau temps sur le marché de l'informatique. Pour fêter les quinze ans de sa division dédiée à la recherche (Microsoft Research - MSR), Microsoft a ouvert son laboratoire et exposé quelques bribes de ses expérimentations sur lesquelles planchent ses équipes. MSR emploie des scientifiques, des psychologues, des docteurs ainsi que des anthropologues qui ont la charge "de pousser les limites de leur savoir et de leur expertise pour les transférer aux technologies existantes, ou futures, de Microsoft", commente Rick Rashid, vice président du centre, à l'occasion de son discours d'inauguration. "Un dur labeur" qui fédère près de 700 personnes réparties dans cinq centres éparpillés à travers le monde. Le spectre technologique : MSR couvre 55 disciplines de 20 secteurs, de la Xbox à Windows Server, de la base de données à la sécurité, en passant par le travail collaboratif et les déroutantes interfaces homme-machine. TouchLight, la navigation par le geste Développée par Andy Wilson, la technologie de visualisation interactive sensorielle TouchLight reste la plus déroutante de la démonstration. Son principe: utiliser les gestes pour manipuler des objets et éléments d'interface projetés sur un large écran (à l'image de Tom Cruise dans Minority Report). Durant la démonstration, Andy Wilson a agrandi, réduit et déplacé de sa main un document scanné à la volée. Même sort pour une vidéo apparue en affichant une simple feuille de papier. Et d'ajouter "TouchLight pourrait être utilisée dans le cadre de technologie liées à la video-conférence". Des méthodes de visualisation ultra-contextualisés Eric Horvitz, autre chercheur, a livré sa vision d'un gestionnaire de fichiers baptisé Life Browser, technologie de recherche qui interprète le contexte et l'activité de l'utilisateur. Cela se traduit par une barre coulissante qui laisse entrevoir tous les fichiers du disque dur. Déplacer cette barre augmente ou diminue le degré d'informations relatif à chaque fichier. Enfin, réservé aux développeurs, Code Thumbnail devrait remplacer la barre de défilement de Visual Studio pour fournir une visualisation plus "humaine" du travail de développement. Son objectif : fournir une interface ultra-contextualisée en proposant par exemple les outils adaptés, selon l'espace de travail. Même esprit avec FastDash qui propose un tableau de bord synthétisant chaque partie d'un projet. Ou encore FaThumb qui accélère la saisie d'informations. Tous ces travaux restent expérimentaux, rappelle Microsoft, et sont loin d'intégrer les gammes de produits. Certains, toutefois, pourraient voir le jour assez rapidement. C'est le cas de l'étonnant Photosynth (son nom de code) qui capture et tisse des liens entre plusieurs photos pour les restituer dans un environnement 3D. Microsoft prévoit de livrer une avant-première de son application, qui exploite la technologie de Seadragon - rachetée en février -, dans les mois à venir... (...)

(28/09/2006 12:26:05)

Powerpoint frappé par une faille critique

Vingt-quatre heures après avoir livré dans l'urgence la rustine comblant la faille VML d'Internet Explorer, Microsoft doit aujourd'hui faire face à un bogue dans Powerpoint, l'outil de présentation de la suite bureautique Office. Ce sont les équipes de l'éditeur McAfee qui, en premier, ont tiré la sonnette d'alarme, alertées par un de leurs clients. La faille très ciblée, déjà exploitée, autoriserait la prise de contrôle à distance ainsi que l'exécution de code malicieux à distance. Le trou aurait pour le moment été détecté dans les versions 2000, XP, 2003 de Powerpoint ainsi que dans les éditions Mac 2004 et pour MacOS X de l'application. Mais "faute d'avoir étendu les tests", McAfee redoute que l'attaque ne frappe les autres composants Office. Microsoft a publié le 27 septembre un bulletin de sécurité confirmant la dite faille. L'éditeur de Redmond, s'il n'indique pas la date de publication d'un correctif, note que le bug peut être contourné en utilisant la visionneuse Powerpoint. Cette dernière permet en effet de visualiser les présentations réalisées dans Powerpoint sans avoir à lancer l'application. Microsoft n'a pas rendu publique la faille Reste que pour Craig Schmugar, chercheur chez l'éditeur, ce trou était déjà connu des services de sécurité Microsoft. Sur son blog, il explique que l'éditeur de Redmond avait intégré à son anti-virus la procédure de détection de cette attaque il y a trois jours." Ce qui est intéressant dans cette attaque, c'est qu'il semblerait que l'anti-virus de Microsoft reconnaisse l'attaque depuis trois jours". Aujourd'hui, les principaux éditeurs d'anti-virus ont intégré la signature de l'attaque au sein de leurs applications. La prochaine fournée de rustines ("Patch Tuesday") Microsoft est prévue pour le 10 octobre. (...)

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