Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 23131 à 23140.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/09/2006 17:42:15)

Red Hat sort une pile applicative intégrée pour les développeurs J2EE

Red Hat a dévoilé aujourd'hui sa première pile serveur d'application Open Source basée sur les composants acquis après le rachat de Jboss. La pile Applicative de Red Hat se compose du serveur Red Hat Enterprise Linux, de JBoss Application Server, de JBoss Hibernate et d'une base de données à choisir entre MySQL et PostgreSQL. Destinée aux développeurs Linux et Java faisant tourner moins de 10 serveurs, l'offre de Red Hat sera proposée prochainement en ligne via le Red Hat Network pour un prix approximatif de 1999 $ par serveur (licence illimitée avec support). Avec sa nouvelle offre, Red Hat espère séduire les utilisateurs actuels des serveurs d'applications J2EE de BEA Systems et IBM, les deux leaders du marché des serveurs d'applications Java. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'annonce tombe à la veille de l'ouverture de BEAWorld à San Francisco, et si Red Hat nargue IBM en ajoutant que ses prochaines annonces porteront sur des offres à destination de marchés verticaux. (...)

(19/09/2006 17:41:48)

Intel veut remplacer le cuivre par le laser pour les interconnexions

Des chercheurs des laboratoires d'Intel et de l'Université de Californie à Santa Barbara ont trouvé une solution pour produire des unités d'interconnexion informatique optiques à faible coût. La solution mise au point par les chercheurs consiste à utiliser conjointement dans un même composant semi-conducteur un substrat émetteur de lumière, le phosphure d'indium, et du silicium chargé de l'amplification et de l'orientation de la lumière. Selon Intel, ce type de semi-conducteur pourrait être produit industriellement avec des procédés déjà utilisés dans la fabrication des puces électroniques actuelles. Le coût de ces composants d'un nouveau genre - le fondeur parle de puces hybrides - pourrait être suffisamment faible pour assurer leur rapide diffusion dans les PC et les centres de calcul. Selon les chercheurs, ces composants optiques d'interconnexion permettent d'envisager des bus d'échange affichant des débits de l'ordre du terabit/s. Intel a déjà fait la démonstration de modulateurs optiques semi-conducteurs capables de débits de l'ordre de 10 Gbps. De tels débits d'interconnexion sont rendus nécessaires par la multiplication des c?urs dans les processeurs informatiques, multiplication qui tend à transformer les bus d'échanges en goulots d'étranglement. Les chercheurs ne s'attendent cependant pas à une commercialisation de masse du fruit de leurs recherches avant plusieurs années. (...)

(19/09/2006 17:39:15)

HP lance une offre tout en un NAS et SAN iSCSI pour PME

Hewlett-Packard a dévoilé hier à Barcelone, une nouvelle ligne de serveurs de stockage combinant des fonctions de partage de fichiers (NAS) de stockage en réseau iSCSI (SAN) ainsi que des fonctions de protection de données. Conçue pour les TPE et les PME, la gamme StorageWorks All-in-One (AiO) s'appuie sur la dernière génération du système d'exploitation Windows Storage Server R2 Standard Edition de Microsoft et incorpore le composant cible iSCSI WinTarget racheté ce printemps par le géant de Redmond à String Bean Software. Elle utilise aussi une interface utilisateur à base d'assistants conçue par HP au-dessus de l'interface standard de Windows Storage Server. Selon HP, les nouveaux StorageWorks AiO peuvent être installés en moins de 10 clics de souris, une affirmation que nous avons pu vérifier en testant l'un des modèles annoncé hier par le constructeur. En fait, HP a simplifié les tâches les plus communes (création d'un partage CIFS, création d'un volume réseau iSCSI pour une base Exchange ou SQL Server...), de telle sorte qu'un administrateur Windows n'a pas besoin de compétence avancée pour paramétrer l'appareil. Les assistants développés par la firme de Palo Alto se chargent d'automatiser les tâches les plus techniques (création de volume, allocation de ressources, gestion des droits, protection de données)... Les StorageWorks AiO sont construits sur la même architecture que les serveurs Intel Proliant de la marque et ils disposent de l'ensemble des fonctions d'un serveur de stockage sous Windows Storage Server R2 avec le Feature Pack iSCSI (SAN, NAS, snapshots...). Ils incorporent également le logiciel Data Protector Express d'HP pour la gestion des sauvegardes. HP propose deux modèles, dont un d'entrée de gamme au format rack, l'AIO400 et un modèle plus haut de gamme, disponible en format rack 5U ou Tour (AiO600). L'AIO 400 s'appuie sur un processeur Pentium D 930 (3GHz) et est proposé à partir de 4400 E pour une capacité de 1To (4 disques SATA de 3,5 pouces). L'AiO600 peut accueillir jusqu'à deux puces Intel Xeon bi-c?ur et jusqu'à 6 disques SATA ou SAS selon le niveau de performance souhaité. Avec ces machines HP espère banaliser les SAN iSCSI dans les PME et il a clairement en ligne de mire la gamme Clariion AX d'EMC Insignia (dépourvue de fonctions NAS) ainsi que la gamme Storevault de NetApp (un peu plus chère et pour l'instant indisponible en Europe). Reste à savoir si les développements effectués par HP au-dessus de Windows Storage Server lui permettront de se démarquer des solutions plus économiques de concurrents tels que Fujitsu-Siemens ou d'assembleurs tels que Digital Storage ou Transtec. (...)

(19/09/2006 17:44:04)

IBM veut mettre en place une base de donnée des "maladies" SI

IBM vient d'engager des discussions avec d'autres éditeurs de solutions d'administration pour grands systèmes, parmi lesquels BMC, Computer Associates et Hewlett-Packard. Big Blue cherche le meilleur moyen de mettre en place une base de connaissances relative aux problèmes connus que les applications et les systèmes sont susceptibles de rencontrer. Cette base de données pourrait, à terme, aider les applications à pratiquer une auto-médication efficace. IBM entend la soumettre à un organe de standardisation. Cette initiative s'inscrit dans la même logique que l'outil Build to Manage Toolkit for Problem Determination, tout juste présenté par IBM, et qui sera intégré aux logiciels des gammes Tivoli, WebSphere et Rational. Cet outil doit aider les développeurs à cataloguer les faiblesses de leurs logiciels pour en simplifier l'administration. Le logiciel Build to Manage Toolkit for Problem Determination sera disponible gratuitement d'ici la fin de l'année. Il est basé sur le standard Web Services Destributed Management Event Format défini par l'Oasis. Il est notamment compatible avec ClusterPerfect EX de Toshiba. IBM s'est lancé dans l'automédication informatique en 2001. A ce jour, il assure avoir intégré 475 fonctions d'automédication à 75 de ses produits mais estime qu'il s'agit d'un travail de longue haleine. (...)

(19/09/2006 17:39:49)

Gartner identifie les principaux risques informatiques à venir

Le cabinet d'études Gartner a profité de son sommet londonien sur la sécurité informatique, l'IT Security Summit, qui vient de s'achever, pour dresser une liste des principaux risques informatiques des dix prochaines années. Pas moins de six dangers importants ont été recensés. La liste noire commence par les cyber-attaques. Qu'elles soient motivées par l'appât du gain ou la volonté de nuire à l'image de l'entreprise visée, ces attaques ont pour objectif de voler des informations confidentielles. Gartner recommande de multiplier les tests de résistance aux effractions logique et de déployer des systèmes de détection d'intrusion. La seconde menace authentifiée par le cabinet commence à être renommée : il s'agit de l'usurpation d'identité. Le principe est simple : se faire passer pour un utilisateur accrédité afin de voler des informations ou des deniers. Gartner relève que les moyens de protection contre l'usurpation d'identité sont limités et se cantonnent au renforcement des systèmes d'authentification, de chiffrement et de contrôle d'accès. Dans une logique comparable suit l'usurpation de qualité qui consiste à profiter de la naïveté des utilisateurs pour s'infiltrer dans le système d'information. Persuadée d'échanger avec une personne de confiance, la victime peut être amenée, en toute bonne foi, à ouvrir une brèche dans les dispositifs de sécurité informatique de l'entreprise. Contre cela, Gartner ne recommande qu'une solution : établir et diffuser des règles de sécurité claires et compréhensibles par tous. Mais la liste des risques qui devraient peser sur les systèmes informatiques au cours des dix prochaines années ne s'arrête pas là. On devrait retrouver les spywares qui continueront de polluer les systèmes informatiques. Gartner estime que 20 à 50% des entreprises seront infectées dans les deux prochaines années, et ce malgré les fonctions antispam et antispyware. Dans le même registre, les virus seront également toujours présents. Enfin, pour couronner le tout, le cabinet d'analyses estime que les rootkits deviendront un réel problème d'ici cinq ans. Voilà de quoi occuper les longues journées de travail... et faire le bonheur des éditeurs d'outils de sécurité. Selon Gartner, le chiffre d'affaires global de ces éditeurs s'est monté à 7,4 Md$ en 2005 - dont 54,3% pour les seuls anti-virus -, soit 14,8% de mieux qu'en 2004. (...)

(19/09/2006 17:41:14)

Un trou polymorphe identifié dans les PDF

David Kierznowski, spécialiste de la sécurité, a mis en lumière des failles pouvant être exploitées dans les documents PDF. La lecture de son blog ne laisse planer aucun doute : le code de l'exploit ainsi que deux documents de test sont offerts aux chercheurs et aux curieux. Le premier PoC (proof of concept, c'est la dire la publication de la faille) glisse un lien actif dans le document (interprété tant par I.E. que Firefox), lien ne nécessitant aucune action spécifique de l'usager-victime. La seconde preuve de faisabilité utilise les mécanismes Odbc/web services. Les résultats sont excessivement variables, selon la version d'Acrobat utilisée, et se soldent tantôt par un popup d'avertissement très clair, tantôt par un « rien du tout », tantôt par une redirection immédiate relativement inquiétante. (...)

(19/09/2006 17:43:45)

Google News taclé par la justice belge

Une pierre dans le jardin de Google. Le pantagruélique moteur a été condamné par le tribunal de première instance de Bruxelles à retirer le contenu des journaux belges francophones de son fil d'informations Google News. La décision fait suite à une plainte déposée par l'Association des journaux francophones belges pour violation du droit d'auteur et relayée par Copiepresse, un organisme représentant les plus prestigieux titres du Plat pays (La Libre Belgique, Le Soir, etc.). A cette condamnation s'ajoute une éventuelle astreinte quotidienne d'un million de dollars en cas de manquement. Selon D.J. Collins, un porte-parole du pharaonique moteur, "Google a une politique claire et respecte les souhaits des propriétaires du contenu [qu'il diffuse]. Si un journal ne veut pas apparaître dans Google News, nous retirons son contenu de notre index. Il suffit de demander. Les procédures judiciaires et les coûts afférents sont inutiles". L'affaire rappelle l'action intentée en mars 2005 par l'Agence France Presse (AFP) contre le même Google. Un conflit qui attend toujours d'être arbitré. (...)

(19/09/2006 17:45:01)

83 technologies clés pour la compétitivité de demain

Le ministre de l'Industrie, François Loos, a présenté hier le rapport "Technologies clés 2010", concentrant les domaines sur lesquels la France doit miser pour assurer son développement et son excellence économique. Parce que "les pays occidentaux, et la France en particulier, ne peuvent rester compétitifs qu'à la condition de mettre en avant leur maîtrise des systèmes complexes", une centaine d'experts a planché sur les technologies porteuses d'avenir et censées répondre aux besoins des acteurs locaux du développement économique et technologique. Au total, ils ont dégagé 83 technologies clés répondant aux huit grands enjeux des prochaines années : sécurité, changement climatique, ressources en eau, chocs énergétiques, ressources minérales et minières, vieillissement démographique, emploi et compétitivité économique. Parmi elles, 17 entrent dans la catégorie des TIC pour laquelle " la France doit intensifier ses efforts pour rester compétitive par rapport à des pays tels que les Etats-Unis" (l'effort de R&D ramené au PIB est de seulement 0,31%), note le rapport. Troisième rapport de ce genre, après ceux de 1995 et 2000, "Technologies clés 2010" n'est pas un programme politique ni un engagement de dépenses de l'Etat. Il constitue plutôt une feuille de route, un éclairage lancé aux décideurs : "il appartient maintenant aux responsables locaux, s'ils le souhaitent, de se saisir de ce rapport pour en faire un outil au service du développement économique local et construire des actions tant de soutien à l'innovation que de diffusion des technologies les plus modernes dans les entreprises pour en accroître la compétitivité et la création d'emploi", indique le ministre. (...)

(18/09/2006 18:03:33)

"Il y a de l'hypocrisie sur le marché du recrutement IT"

Un nouvel acteur du recrutement IT s'installe en France, le cabinet anglais Progressive. Créé il y a 15 ans, il a la particularité de cumuler du recrutement traditionnel en CDD et CDI et l'embauche de consultants free-lance pour des missions. Il revendique aujourd'hui 1200 consultants sur site via toutes ses implantations (Allemagne, Belgique, Grande-Bretagne, France, Hollande) et 80 en France. Matthieu Libessart, le responsable de l'activité « mission » fait le point sur un marché qui a radicalement changé au profit des candidats et sur le statut de free lance qui n'est pas forcément plus instable que celui de salarié en SSII. Lemondeinformatique.fr: Vous avez travaillé sur le marché français des free-lance depuis Londres avant d'ouvrir votre bureau parisien. Quelles évolutions constatez-vous depuis le début de l'année ? Matthieu Libessart : Le marché a radicalement changé au profit des candidats. Leur pouvoir de négociation s'est accru. Le rapport de forces avec les employeurs s'est renversé, les profils très convoités ne sont plus disponibles. Un consultant spécialiste en java/J2EE dans le secteur bancaire peut par exemple avoir 5 offres sur la table s'il le souhaite. Cette tendance ne se traduit pas encore en revanche, par une hausse des prix des prestations chez les clients. Les consultants font monter les enchères, mais les clients ne sont pas encore prêts à augmenter leur budget et le taux de facturation journalier. Le marché est encore en phase de transition. Quels sont les profils les plus demandés par vos clients? Quels services proposez-vous aux candidats free-lance? Les profils les plus demandés sont les experts java/J2EE dans le domaine financier. Nous remarquons aussi une grosse pénurie de compétences sur les technologies .net et C#. Une personne ayant un savoir-faire sur ces langages est certaine de commencer très vite une mission. Une compétence sur les EAI (applications d'intégration d'entreprise), comme sur la technologie de l'éditeur WebMethods par exemple, garantit également un placement très rapide. Nous avons enfin beaucoup de demandes de compétences sur Cobol, même si cela semble étonnant, sur MVS (Multiple Virtual Storage, système d'exploitation des grands systèmes « mainframes » d'IBM), les progiciels de gestion Siebel, SAP. Nous proposons des missions dont la durée s'étale de deux mois à un an, avec une durée moyenne de 4 à 5 mois. Sur le plan du service, nous apportons aux candidats notre très bonne connaissance du marché et des opportunités qui se présentent. Huit personnes travaillent sur notre activité mission et chacune a un domaine de spécialité (développement, architecture, EAI, PGI et GRC, infrastructures, réseaux et télécoms, business intelligence, etc). Nous prenons certes une marge sur les contrats que nous leur permettons de conclure, mais ils bénéficient en échange d'une certaine stabilité. Nous rémunérons les free-lance qui travaillent par notre intermédiaire chaque mois comme s'ils étaient salariés, suite à la réception de leur relevé d'activité mensuel signé par le client. Pour définir notre taux de marge, nous appliquons la règle des 80/20. Si nous vendons une prestations 500 E, 400 E reviennent au consultant et 100 E à Progressive. Nous sommes enfin une jeune structure qui fonctionne comme une start-up. Nous travaillons dans l'urgence et mettons beaucoup de moyens pour répondre à la demande de nos clients. En échange, lorsqu'un free-lance s'adresse à nous, nous lui demandons de nous accorder la priorité pendant 24 heures, voire quelques jours. Le statut de free-lance est-il, selon vous, de plus en plus plébiscité par les informaticiens ? Ce statut séduit de plus en plus. Je peux le constater même chez les informaticiens qui sont employés en CDI. Certains y songent car ils sont lassés des contraintes hiérarchiques et y voient la liberté de choisir leurs missions, ce qui n'est pas vraiment possible dans une société de services. Par ailleurs, on trouve pas mal d'hypocrisie sur le marché du recrutement français. Certaines sociétés recrutent en CDI pour répondre à des projets puis font partir les consultants lorsqu'elles n'ont plus de mission pour eux. Ce qui n'apporte pas de stabilité. Parfois, aujourd hui, travailler en freelance ne constitue pas nécessairement une situation plus instable que d'être employé par une société de services. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >