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(31/08/2006 17:58:26)
Observatoire Arcep: le dégroupage total en forte hausse
Selon le dernier tableau de bord du dégroupage publié par l'Autorité de régulation des communications électroniques et postales (Arcep) le dégroupage s'est poursuivi à un rythme soutenu au second trimestre. Sur un total de près de 11,1 millions de connexions à haut débit, dont 10,47 millions de connexions xDSL, près de 3,35 millions de connexions seraient aujourd'hui dégroupées. Dans la course au dégroupage, c'est le dégroupage total qui a les faveurs du public, avec 290 000 abonnés en dégroupage total supplémentaires par rapport au premier trimestre 2006. Le nombre d'abonnés en dégroupage partiel est, en revanche, en recul à 2,11 millions d'abonnés, contre 2,2 millions le trimestre antérieur. Un chiffre qui confirme qu'une partie du succès du dégroupage total est lié à la pression mise par les opérateurs alternatifs pour faire migrer leurs clients du dégroupage partiel vers le dégroupage total. En marge de ces chiffres sur le dégroupage, notons aussi que 1,88 millions d'abonnés d'opérateurs alternatifs restent desservis par leur opérateur au travers des offres de collecte (Bitstream) de l'opérateur historique. Si l'on s'en tient à ces chiffres, Orange contrôlerait plus de la moitié du marché xDSL en France mais ne détiendrait plus qu'une part de marché de l'ordre de 47% du marché global de l'internet en France. Le rythme de progression du dégroupage ralentit On peut aussi noter la poursuite du ralentissement du dégroupage. Alors que la croissance trimestrielle séquentielle était de 28% au premier trimestre 2005 et de 11,7% au premier trimestre 2006, elle n'était plus que de 6,3% au dernier trimestre. Sur douze mois, la croissance qui frisait les 60% au troisième trimestre 2005, n'était plus que de 33,5% au dernier trimestre. Ces chiffres semblent largement coïncider avec le ralentissement du dégroupage en France puisque les opérateurs alternatifs n'ont dégroupé que 96 nouveaux répartiteurs téléphoniques (NRA) au dernier trimestre, portant le total à 1251 en France. A titre de comparaison, le nombre de noeuds équipés en xDSL par France Télécom atteignait 11184 à la fin juin. Reste maintenant à savoir si les opérateurs alternatifs sont prêts à investir pour élargir l'emprise du dégroupage sur le territoire... (...)
(31/08/2006 18:01:43)Les nouveaux serveurs d'entrée de gamme de Sun devront se contenter du vieil UltraSparc IIIi
Les acheteurs de serveurs d'entrée de gamme Unix Sun devront encore attendre avant de mettre la main sur une machine équipée d'une puce UltraSparc IIIi+. Annoncé à l'origine pour la fin 2005, puis reporté en 2006, le processeur (connu sous le nom de code "Serano") pourrait finalement ne faire son apparition qu'à la mi-2007. C'est en tout cas ce qu'aurait affirmé un responsable de Sun, Martin Shepard, lors d'un chat organisé sur Internet par Sun avec des clients. L'UltraSparc IIIi+ promet de substantielles améliorations par rapport aux puces actuelles avec notamment la réduction de la finesse de gravure à 90nm contre 130nm actuellement, un quadruplement de la taille cache (4 Mo) et une fréquence de fonctionnement accrue (1,6 GHz). Selon Shepard, les serveurs d'entrée de gamme V215/245 et V445 feront leur apparition sans le processeur UltraSparc IIIi+ et seront équipés de l'actuel UltraSparc III1, un processeur qui a fait ses premiers pas en 2003. En fait, le développement de l'UltraSparc IIIi+ a été la victime de la priorité donnée au développement des puces UltraSparc T1 (nom de code Niagara) et à leur successeur. Sun avait pourtant annoncé en juillet dernier à certains clients que si les nouveaux serveurs faisaient leurs débuts avec des puces UltraSparc IIIi, il espérait pouvoir fournir des UltraSparc IIIi+ avant la fin 2006. (...)
(31/08/2006 18:00:52)AMD et ATI travailleraient sur une plate-forme de référence pour portables
D'ici au 4e trimestre, AMD et ATI devrait proposer aux grands constructeurs de portables une plate-forme mobile concurrente de la plate-forme Centrino d'Intel. C'est en tout cas ce que rapporte le quotidien taïwanais Digitimes. AMD et ATI prépareraient une plate-forme connue sous le nom de Yokohama, qui combinerait les puces Turion 64 X2 du Texan avec les jeux de composants mobiles RS690M, RS690DC et RS790M du Canadien. L'objectif des deux protagonistes serait d'offrir une alternative aux nouveaux portables conçus autour de la plate-forme Napa64 d'Intel. De quoi avoir un avant-goût de ce à quoi pourrait donner naissance la fusion entre AMD et ATI. (...)
(31/08/2006 18:03:22)Les premiers PC professionnels avec Intel vPro le 7 septembre
Hewlett-Packard et plusieurs autres constructeurs devraient annoncer l'adoption de la technologie vPro d'Intel dans leurs nouveaux PC de bureau professionnels le 7 septembre prochain. VPro est la marque chapeau lancée par Intel pour les PC professionnels. Elle impose l'utilisation d'un ensemble de technologies développées par Intel pour simplifier l'administration et la sécurisation des PC de bureau. Les deux principales sont AMT (Active management technology) et VT (Virtualization technology). La première permet à un administrateur de prendre le contrôle à distance d'un PC pour le mettre à jour ou appliquer des correctifs. AMT pourra par exemple être exploitée au travers des outils de supervision et de gestion de correctifs d'Altiris. La seconde est la solution d'assistance à la virtualisation d'Intel. Elle permet par exemple de faire fonctionner plusieurs systèmes d'exploitation sur un même système ou de déployer des machines virtuelles sécurisées au-dessus d'un OS existant, sans grande pénalité de performance. Elle permet aussi d'envisager le déploiement, au côté de l'OS principal, d'une machine virtuelle spécialisée dans la surveillance de la sécurité (une possibilité que devrait notamment exploiter Symantec). Le lancement de vPro n'est pas désintéressé. La technologie s'appuie aujourd'hui sur la dernière génération de puces Intel et sur le chipset 965. Elle ne se conforme pas à un standard ouvert et reste une exclusivité dont Intel entend profiter face à AMD. De quoi placer les acheteurs et administrateurs devant un intéressant dilemme : se lier à Intel et bénéficier des avantages de vPro ou partager leurs achats entre PC Intel et AMD, au risque de se priver des avantages d'administration en attendant qu'AMD lance sa solution alternative à l'AMT d'Intel en 2007. (...)
(31/08/2006 17:58:58)Les fabricants d'électroménagers font condamner Google France
Google France, une nouvelle fois dans le collimateur de la justice française. Le moteur de recherche a, le 12 juillet dernier, été condamné pour publicité mensongère par le Tribunal de Grande Instance de Paris dans une affaire qui l'opposait au Gifam (Groupement interprofessionnel des fabricants d'appareils d'équipements ménagers) -ainsi que 19 de ses adhérents. Une dizaine d'autres marques sont intervenues volontairement. Le pharaonique moteur de recherches devra alors verser 30 000E d'indemnités au groupement et quelque 10 000E de dommages et intérêts à chacune des 28 sociétés. Google France fait appel. Au c?ur du procès, le système de publicité Adwords et l'intitulé "liens commerciaux" qui aurait permis d'exploiter des marques sans autorisation. Un verdict déjà rendu par la Cour d'appel de Paris dans un procès qui opposait Google à Vuitton. Selon le tribunal, la seule dénomination "liens commerciaux" serait trompeuse pour l'internaute, car elle établirait des relations commerciales -inexistantes- entre les sites résultant d'une recherche et ceux apparaissant sous la partie "liens commerciaux". Ainsi, sous cette bannière, une marque peut être associée à un autre site qui ne commercialise pas les produits de cette même marque (comme par exemple un comparateur de prix). Le site officiel de la marque s'en trouve également évincé. Pour Bernard Planque, délégué général du Gifam, "cela constitue un détournement de marque. Mais ce qui est inadmissible, c'est que Google y gagne beaucoup d'argent". Rappelons que Google se rémunère à chaque clic d'internaute. A l'issu de ce verdict, "qui n'est que provisoire", Bernard Planque ne se dit pas satisfait du jugement, car "il reconnaît la faute, mais ne la qualifie pas". Condamné à déployer un outil de contrôle de mot-clé Sur la forme, le tribunal a également tranché. Et pointé du doigt le système de positionnement au mot-clé des publicités d'Adwords. Les juges ont reconnu que Google a commis une faute en n'offrant aux annonceurs aucune possibilité de vérification de la disponibilité légale des mots-clés. Selon lui, le moteur de recherches aurait dû de manière pro-active fournir un dispositif de contrôle a priori. Le tribunal enjoint alors le moteur de recherche à mettre en place cet outil dans les quatre mois après la décision de justice. Google devra payer une astreinte de 1 500E par jour de retard. Chez Google France, on regrette que cela prenne une orientation judiciaire, "car il existe d'autres moyens pour y arriver". Et déclare par ailleurs faire appel. Ce procès "est une solution extrême, car il existe des moyens techniques, pour limiter l'usage des noms de marques. La procédure n'est pas automatisée. Il suffit de demander conseil à Google". Oui, mais a posteriori. (...)
(31/08/2006 18:02:32)Cure d'amincissement problématique pour la plate-forme Java
Ingénieur en chef de la plate-forme Java Standard Edition (J2SE), Mark Reinhold attire l'attention des développeurs sur son blog sur un changement récent apporté aux spécifications de Mustang, la prochaine version de J2SE : la plate-forme va enfin pouvoir maigrir. Comme l'explique Mark Reinhold, depuis ses débuts l'environnement d'exécution de Java, le JRE (Java Runtime Environment), n'a fait que croître avec l'ajout de nouvelles fonctions. Une politique qui présente l'immense avantage d'assurer la compatibilité avec tous les développements en Java. Inconvénient, la taille à télécharger du JRE n'a fait que croître elle aussi. Pour une installation en mode déconnecté sur un Windows, par exemple, il faut compter aujourd'hui 16 Mo. La spécification 270, qui définit Mustang, devrait donc instaurer un processus de retrait de fonctionnalités. Dans la mesure où un tel retrait risque évidemment d'introduire des problèmes de compatibilité, ce processus sera très encadré, soumis à l'approbation d'au moins deux groupes d'experts. Etant entendu que « chacun devrait lancer une large consultation auprès de la communauté », afin de s'assurer qu'un consensus se dégage. Par ailleurs, les fonctions retirées seront toujours présentées comme des composants optionnels. Du coup, le nombre de fonctions retirées pourrait être très réduit. Pour l'heure, seul le package Midi (pour écouter des sons) fait l'objet d'un certain consensus, et cela ne représente qu'un demi-mégaoctet. (...)
(31/08/2006 18:02:02)Grandes écoles : les mégapoles continuent de se dessiner
La valse des rapprochements se poursuit dans le monde des grandes écoles et des établissements universitaires. L'école Polytechnique de l'Université de Savoie et l'école Polytechnique de l'Université Pierre et Marie Curie (Paris VI), viennent de rejoindre le réseau Polytech qui passe de 9 à 11 écoles d'ingénieurs. Ces deux nouvelles écoles ne seront intégrées au recrutement commun des autres établissements du réseau qu'en septembre 2007. En attendant, elle lui apporte l'implantation dans la capitale qui lui manquait et contribue à accroître son rayonnement en France et à l'étranger. A noter que l'école Polytechnique de l'Université de Savoie est elle-même issue de la fusion, le 7 juillet dernier, de l'ESIA (Ecole Supérieure d'Ingénieurs d'Annecy) et de l'ESIGEC (Ecole Supérieure d'Ingénieurs de Chambéry). L'école Polytechnique de l'Université Pierre et Marie Curie est de son côté le fruit du tout récent (24 août) rassemblement entre l'IST (institut des sciences et technologies) et l'IFITEP (Institut de formation d'ingénieurs en techniques électroniques). Ces rapprochements s'inscrivent dans le mouvement de fusions et de rassemblements qui se dessine dans le monde de l'enseignement supérieur et qui tend à créer des mégapoles de la formation. Le récent partenariat pédagogique conclu entre l'Eisti (école internationale des sciences du traitement de l'information) et SupMeca, (l'institut supérieur de Mécanique de Paris) préfigurant la création en Ile de France d'un INP (Institut National Polytechnique) rassemblant plusieurs écoles s'inscrit dans cette tendance, ainsi que la création d'un pôle d'enseignement aéronautique. (...)
(31/08/2006 18:00:06)Recrutement : « La réseau nous apporte 50% de nos recrues »
Rien de tel que de soigner ses collaborateurs et plus généralement ses relations pour atteindre ses objectifs de recrutement. Comme de ses consoeurs, la SSII Teamlog compte beaucoup sur la cooptation et sur son réseau pour trouver les 300 personnes qu'elle souhaite embaucher d'ici à la fin de l'année. Comme le souligne Noëlle Bonnard, qui est adjointe à la direction des ressources humaines, en charge du recrutement au sein de la SSII, « 50% des personnes recrutées au cours du premier semestre (400 personnes) nous ont été présentées via notre réseau relationnel, dont 35 à 40% par la cooptation ». Ces résultats sont dus au dispositif d'intéressement que la SSII a mis en place, non seulement pour ses collaborateurs mais aussi pour les cooptés : les premiers gagnent une prime ou un voyage à l'issue de la période d'essai des candidats qu'ils ont recommandés. Les second se voient de leur côté offrir un iPod (le lecteur de musique numérique d'Apple) au moment de l'embauche. Teamlog prend parallèlement soin de publier systématiquement les demandes de poste (une centaine arrive tous les 45 jours) que lui remontent les managers afin de favoriser le processus. Ce succès s'explique aussi en raison des caractéristiques actuelles du marché de l'emploi et des candidats. Ceux-ci sont moins disponibles et plus informés que par le passé. Ils sont aussi plus circonspects sur les SSII. « Ceux-ci sont par conséquent rassurés lorsque quelqu'un d'interne à la société leur expose clairement les plus et les moins de leur cadre de travail », souligne Noëlle Bonnard. Pénurie de spécialistes en nouvelles technologies Globalement, les recrutements sont plus longs et plus difficiles qu'auparavant pour ces raisons mais aussi en raison de la pénurie de compétences. Celle-ci se manifeste pour Teamlog en particulier sur les profils d'ingénieurs d'études en nouvelles technologies ( java, J2EE, .net, C #, etc.) qui constituent l'essentiel de ses besoins en recrutement (200 personnes sur 300), les autres portant sur des profils de compétences à maîtrise d'ouvrage et de conseil en organisation. Pour faire face à cette pénurie et à la concurrence des autres SSII, Teamlog compte sur l'attractivité et l'intérêt de certains de ses projets, tels que réalisation du fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS), qu'elle se plaît à citer. Elle prévoit aussi de lancer une formation en interne d'ici peu pour former les compétences qui lui manquent. La SSII ne craint pas l'éventuelle flambée des salaires que peut engendrer cette pénurie. « Nous faisons partie des sociétés référencées par les grands comptes. Ce cadre d'échange entraîne un plafonnement des prix. Ces derniers sont par ailleurs les mêmes pour toutes les sociétés référencées ». (...)
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