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(07/07/2006 18:17:49)

Vaste réorganisation de la direction d'eBay

Le jeu des chaises musicales a la cote chez eBay. Le groupe spécialisé dans l'e-commerce, et récemment inquiété par l'irruption de Google dans le paiement en ligne avec Checkout - un service pensé pour concurrencer Paypal et dont l'usage est interdit sur eBay-, vient en effet de procéder à une série de nominations aux postes-clefs. Le premier à tirer sa révérence est Jeff Jordan, jusqu'alors président de Paypal. Il avait dirigé la division nord-américaine d'eBay de 2000 à 2004 et était pressenti pour devenir le PDG du groupe. Dans un communiqué, il affirme toutefois vouloir passer davantage de temps au sein de sa famille (un besoin chronique chez les dirigeants américains écartés de leur poste). Son remplaçant sera Rajiv Dutta, l'ancien directeur financier et responsable stratégique de Skype. Depuis le début de l'année, il occupait la présidence de l'activité ToIP du groupe eBay. A ce poste, il sera remplacé par Alex Kazim, l'actuel vice-président produits de Skype. Les mutations ne touchent pas seulement la branche paiement du groupe. Ainsi, Lorrie Norrington, la PDG de Shopping.com, prend la présidence d'eBay International. Elle remplace Matt Bannick, qui se consacrera dorénavant aux activités philanthropiques d'eBay. (...)

(07/07/2006 18:17:30)

Sécurité sans-fil : Cisco se paye Meetinghouse

Cisco met la main sur Meetinghouse Data Communication, un éditeur spécialiste de la sécurité des réseaux. L'acquisition - d'un montant de 43,7 M$ - devrait permettre à Cisco d'ajouter à son catalogue un outil de sécurisation des réseaux sans-fil "qui interdit à tout périphérique non-autorisé l'accès à un réseau", explique Cisco. Les solutions EAGIS de Meetinghouse permettent en effet la gestion des accès réseau basés sur le standard IEEE 802.1x. Cette opération entre dans le cadre de la stratégie développée par Cisco d'intégrer les applications de sécurité dans son matériel, une initiative nommée Self-Defending Network. "Cisco cherche toujours des moyens de renforcer sa sécurité", explique Zeus Kerravala, vice-président pour l'infrastructure d'entreprise au Yankee Group. Meetinghouse a été fondé en 1988 et compte 77 salariés. L'acquisition doit être finalisée d'ici à la fin octobre. Meetinghouse sera intégrée à la division "Sans-fil" de Cisco. (...)

(07/07/2006 18:17:10)

AMD revoit ses prévisions trimestrielles à la baisse

AMD a revu ses prévisions de ventes à la baisse pour le deuxième trimestre en raison de ventes de processeurs pour ordinateurs portables et de bureau inférieures à ses précédentes estimations. Le deuxième fabricant mondial de microprocesseurs a ramené sa prévision de chiffre d'affaires à 1,215 Md$ pour le T2, soit environ 9% de moins qu'au trimestre précédent. AMD espérait, dans son estimation initiale, que le ralentissement du marché des PC n'engendrerait qu'une stagnation séquentielle des ventes voire une légère diminution. AMD, comme Intel, doit faire face à une période traditionnellement calme, peu propice aux achats d'ordinateurs. Selon la SIA (Semiconductor Industry Association), les ventes de composants pour PC grand public ont reculé de 2% sur un an pour le mois de mai. AMD doit également composer avec la politique de tarification agressive d'Intel qui, en revoyant ses prix à la baisse, fait baisser la demande pour les produits concurrents. Tout n'est pas noir pourtant pour Advanced Micro Devices. Le groupe, sur le deuxième trimestre, enregistre en effet de fortes ventes d'Opteron à la faveur d'une demande soutenue en processeurs pour serveurs et stations de travail. Un constat d'autant plus remarquable qu'il intervient seulement deux mois après l'annonce de Dell d'équiper ses serveurs haut de gamme en Opteron. AMD publiera ses résultats trimestriels le 20 juillet. (...)

(07/07/2006 18:15:59)

Palme d'or Wimax : Maxtel, Bolloré Télécom et HDRR

L'Arcep a rendu son verdict. Les lauréats qui viennent de gagner leurs autorisations d'exploitation des fréquences Wimax sont : Maxtel (13 régions), Bolloré Télécom (12 régions), HDRR (11 régions), SDH (2 régions). Six Conseils régionaux pourront également jouir de la bande de 3,4-3,6 GHz : l'Alsace, l'Aquitaine, la Bourgogne, la Bretagne, la Corse et le Poitou-Charentes. En Guyane, France Télécom et Guyatel ont obtenu une licence chacun. A Mayotte, ce sont France Télécom, Guétali Haut Débit et STOI Internet. L'opérateur historique n'obtient de licence en frontal que dans les TOM. « Cela est dû à sa position actuelle sur le marché fixe et mobile. Sur le critère de concurrence, France Télécom était mal placé », explique Jacques Douffiagues, membre du Collège de l'Arcep. « Par ailleurs, il s'est engagé sur un nombre nettement moindre de sites par rapport à Bolloré », renchérit-il. « Enfin, France Télécom n'a pris aucun engagement ferme de mise à disposition des fréquences non utilisées », assène Garielle Gauthey, également membre du collège, en précisant que c'était un critère important. France Télécom n'est pas le seul « perdant » de la course aux licences Wimax. Clearwire France avait postulé sur 18 régions. Comium, InterGSM.net, Shaktiware et e-Qual avaient candidaté sur 5 régions métropolitaines. Ces acteurs repartent bredouilles, ou presque. « Le paysage que nous présentons aujourd'hui est un classement. Il n'est pas figé », insiste Gabrielle Gauthey. « Nous allons faire parvenir aux candidats retenus des autorisations d'utilisation des fréquences. Ils pourront se désister. A ce moment-là, c'est le troisième candidat qui bénéficiera de la fréquence », rappelle-t-elle. Enfin, les acteurs qui ne figurent pas en premier plan pourront se voir céder les fréquences non utilisées. Ils pourront aussi profiter des offres de gros que proposeront certains de leurs confrères. (...)

(07/07/2006 18:13:56)

Gartner : la Software Assurance dévalorisée par le dernier décalage d'Office

Gartner rue dans les brancards. Le cabinet d'analystes, suite à l'annonce de Microsoft de décaler encore "de quelques mois" la sortie d'Office 2007, encourage les entreprises à retarder leurs projets de déploiement du prochain système bureautique et à négocier une extension gratuite de la Software Assurance. Les clients de fin 2003 lésés Le Gartner explique que, suite à ce nouveau décalage, les abonnés ayant souscrit à la Software Assurance entre les mois de septembre et décembre 2003 ne bénéficieront pas de la prochaine mise à jour du système bureautique de Microsoft. Et, conséquence majeure, ce nouveau retard dévaloriserait leur contrat d'abonnement à la Software Assurance (SA) qui, sur une période de deux ou trois ans, couvre les mises à jour des produits sous la forme d'un abonnement (entre 240$ à 300$ par machine). En mars dernier, Microsoft avait repoussé une première fois la sortie d'Office 2007, à janvier 2007 pour les versions grand public et novembre 2006 pour les détenteurs de licences en volume, prétextant un alignement sur la feuille de route de Vista. Fin-juin, l'éditeur de Redmond décalait la sortie d'Office 2007 pour les entreprises jusqu'à la fin 2006, invoquant cette fois-ci des problèmes de timing dans les développements. Négocier une extension gratuite de 3 mois Face à cette perte de valeur de la SA, Gartner pousse les entreprises qui doivent souscrire entre septembre et décembre 2006 à négocier une extension gratuite de trois mois. "Microsoft dit que ce [dernier] décalage a touché moins de personnes que le précédent. Mais il ne dit pas s'il envisage d'offrir aux clients lésés une extension gratuite de la SA", commente le Gartner. Pour les entreprises qui prévoyaient quant à elles d'investir dans Office 2007, le cabinet d'analystes conseille de patienter et de ne pas suivre de trop près le calendrier de Microsoft. Il les encourage enfin à prolonger leurs périodes de tests avant de s'engager auprès de Microsoft (et de souscrire à la Software Assurance). A la rédaction de cet article, Microsoft France n'était pas en mesure de nous répondre sur le sujet. (...)

(07/07/2006 18:18:26)

RMLL : les anti-brevets poursuivent leur combat

Grand amphithéâtre archi-comble, hier en fin d'après-midi, pour venir écouter à la tribune une des plus belles brochettes de défenseurs du logiciel libre, parmi lesquels l'eurodéputé Michel Rocard (PS), les députés Richard Cazenave (UMP), François Bayrou (UDF) et Martine Billard (Verts), ainsi que Christophe Espern (initiative EUCD.info), lors du débat animé par François Pelligrini. Où l'on a notamment appris que le camp des « breveteurs » ne baissait pas les bras, suite au refus du Parlement européen de reconnaître les brevets logiciels : il essaye de revenir à l'attaque, en se passant de l'avis des assemblées, par un accord inter-gouvernemental en préparation, l'accord de Londres. Après un rappel de « la brutalité et la voracité des lobbies pro-brevets », Michel Rocard a ainsi appelé à ce que le législateur reprenne le contrôle sur l'Office Européen des Brevets qui « ne rend compte à rien ni à personne, et dont l'évolution du fonctionnement n'est QUE jurisprudentiel, sans aucun contrôle ». De son côté, François Bayrou a répété que le logiciel libre, et le refus des verrous numériques, « n'est pas une question d'étiquette droite-gauche mais bien un choix de civilisation ». Il a en outre prédit que si la loi DADVSI est confirmée en l'état par le Conseil constitutionnel, l'Autorité de régulation des mesures techniques de protection pourra « redonner des cartes en main » aux utilisateurs et petits éditeurs : « les Autorités indépendantes sont attentives à ce qui se fait dans la société, et en agissant sur elle avec vigueur et sincérité, on pourra avoir une influence plus grande que ceux qui ont cru qu'avec elle ils pourraient garder la main-mise sur les mesures techniques de protection ». (...)

(07/07/2006 18:14:49)

Aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, Mandriva se ressource

Ambiance studieuse et anglophone pour Mandriva (photo), lors de ces septièmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, actuellement en cours à Vandoeuvre-lès-Nancy (Lorraine). L'éditeur français de la distribution Mandriva Linux a profité de l'évènement pour rassembler le noyau dur de ses programmeurs, ceux-là même qui travaillent sur la version dite Cooker, et donc toujours en développement, de la distribution. Une chance, pour des gens qui ne communiquent en général que par e-mail ou IRC, de se rencontrer dans la vraie vie. Et David Barth, directeur technique chez Mandriva, de confirmer encore une fois qu'il a avec lui « de très bonnes équipes, des gens qui savent très bien leur métier, que j'épaule et planifie. Cette rencontre est l'occasion de remettre de l'humain dans le process ». Cette année, la réflexion a essentiellement porté sur « le rôle des contributeurs extérieurs à l'éditeur, comment déléguer des responsabilités, comment confier la maintenance de logiciels stratégiques à des personnes tierces, et la modernisation de nos plates-formes de développement », résume David Barth. La Corporate Server 4 disponible mi-septembre Mandriva a aussi peaufiné avec ses équipes la future Corporate Server 4 (CS4), sa distribution pour serveurs d'entreprise : « elle sera disponible le 15 septembre. La période de bêta-test, depuis mai, auprès de 300 de nos partenaires et clients, nous a fait remonter de nombreuses félicitations pour les versions choisies des logiciels middlewares et serveurs que nous y avons intégrées », se félicite le directeur technique. Un effort conséquent a aussi été réalisé au niveau de la reconnaissance du matériel : « on est vraiment blindé là-dessus, grâce à la base de la MandrivaLinux 2006, sur laquelle est construite cette Corporate Server 4, indique-t-il. En plus, notre partenariat très fort avec Intel nous a permis de la tester aussi sur des machines Intel à sortir l'année prochaine ». Les partenariats sont d'ailleurs un des points forts de CS4 : le très attendu Oracle est enfin un des éditeurs partenaires officiels de Mandriva, en plus des traditionnels Citrix, Websphere, MySQL, etc... La virtualisation directement dans le noyau « Mandriva CS4 sera aussi la première distribution à intégrer, directement dans son noyau, plusieurs technologies de virtualisation : Vmware et Xen, mais aussi OpenVZ », souligne David Barth. L'idée selon le technicien étant enfin de fournir une brique de base sur laquelle déployer facilement middlewares et services, activables très facilement grâce à une segmentation poussée. Mandriva a également conçu un nouvel installeur adapté à cette logique modulaire : « ce nouvel installeur préfigure ce que sera notre prochaine interface ConsoleWeb : une nouvelle implémentation de Webmin, qui sera d'ailleurs compatible avec les modules existants de ce dernier, mais plus complète car Webmin n'était pas assez évolué pour certains de nos clients », explique David Barth. Enfin, c'est quelques semaines plus tard, fin octobre, que sortira le pendant utilisateur de CS4, à savoir Corporate Desktop 4. Outre une nette amélioration des services LDAP pour le paramétrage centralisé, elle intégrera le dernier serveur graphique Xorg, doté de spectaculaires technologies de bureau 3D : un gadget, certes, « mais qui intéresse beaucoup les entreprises, selon David Barth, car elles facilitent l'adoption de Linux par les utilisateurs finaux en entreprise, parfois réticents à changer d'environnement ». Pour David Barth et ses équipes, la rentrée promet d'être chargée. (...)

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