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(03/07/2006 18:14:52)

IBM prêche le « e-management » à l'ESC de Toulouse

IBM renforce son partenariat avec l'école supérieure de commerce (ESC) de Toulouse en créant une chaire consacrée au « e-management ». Dans le cadre de cette chaire, une dizaine d'experts du constructeur animeront une centaine d'heures de cours dans différents cursus de l'écoles, l'année prochaine, soit trois fois plus qu'auparavant. Ils interviendront dans le cadre du MBA Aerospace en proposant des modules de formation et de recherche. Ils prépareront aussi les étudiants à l'appréhension des technologies dans leurs futures fonctions avec des interventions dans le cursus généraliste de l'école sur des thèmes tels que « la prospective technologique », « la transformation des organisations, des processus marketing », etc. L'apport d'IBM dans ce type de cours est notamment de faire témoigner des professionnels et de partager des expériences vécues. Cette démarche s'inscrit dans une volonté de se rapprocher de l'enseignement supérieur pour développer des cursus en phase avec les besoins du marché. Elle participe aussi de la promotion du constructeur et de ses technologies auprès des jeunes diplômés dans une perspective de recrutement. IBM a par exemple mené une démarche similaire avec l'Escem (ESC Tours-Poitiers) en 2005. Il a monté avec les équipes pédagogiques de l'école un module de spécialisation destiné à former des consultants fonctionnels autour des technologies informatiques et accueilli en stage certains de ses étudiants. (...)

(03/07/2006 18:14:35)

Monster monte un marché virtuel de la formation

Le site d'emploi en ligne Monster se déploie sur le marché de la formation. Il a créé un site dédié, Monster Formation, qui se propose de mettre en contact les salariés et les responsables des ressources humaines à la recherche de cursus avec les centres de formation qui en proposent, comme il le fait sur le marché de l'emploi. Ouvert la semaine dernière aux organismes de formation, ce site est encore peu fourni, mais son objectif est d'atteindre 2500 offres de formation d'ici à la fin juillet et 10 000 d'ici à la fin de l'année. Pour l'alimenter, Monster fait migrer vers sa plate forme, le contenu du site Uneformation.com (hérité du rachat du site emailjob.com) qui est voué à être arrêté. Il a par ailleurs renforcé son équipe commerciale qui est en train de faire connaître ce service aux centres de formation pour les y attirer. Ce service a vocation à recenser de façon exhaustive les offres de formation généralistes classifiées selon les catégories suivantes : langues, développement personnel, gestion de formation/compétences, management, organisation/réingénéirie/audit/conseil. Il ne faudra pas y chercher des cursus spécialisés « métier ». Les organismes de formation devront préciser clairement quels sont les publics et les dispositifs éligibles pour leurs offres (salariés, DIF - droit individuel à la formation, VAE,Validation des acquis de l'expérience, etc), le type de formation (initiale, continue, à distance ou en alternance) et les tarifs, ce qui permettra aux candidats d'effectuer des recherches par mots-clés. Avec cette offre, Monster se positionne pour profiter du très attractif marché de la formation qui grâce à des dispositifs tels que le DIF devrait petit à petit attirer 100% des salariés vers des actions de formation. Le défi pour se démarquer d'autres services similaires, tels par exemple formaguide.com (Studyrama)est de proposer un outil qui aide à la décision en matière de formation face à une offre foisonnante. Il serait complémentaire de services spécialisés tels les sites des Carif (Centre d'animation, de ressources et d'information sur les formations) qui recensent les formations financées par les conseils régionaux, ou les portails spécialisés, comme passinformatique.fr (...)

(03/07/2006 12:58:26)

Microsoft ne désactivera pas les copies de Windows XP non enregistrées

Microsoft ne désactivera pas les copies installées de Windows XP dont les utilisateurs refusent d'installer WGA (Windows Genuine Advantage), le programme controversé d'authentification et d'anti-piratage. L'éditeur a, en revanche, confirmé que son prochain système d'exploitation, Windows Vista, imposera aux entreprises une activation différente de la procédure actuelle. Le but : réduire la chute des ventes de licences en volume, plus gros manque à gagner de l'éditeur. Selon une source issue de la blogosphère, Microsoft envisageait de désactiver les versions non enregistrées de Windows XP de tous les utilisateurs refusant d'installer WGA. Une information que le géant du logiciel s'est empressé de démentir : "les technologies de lutte contre le piratage de Microsoft ne peuvent pas désactiver les ordinateurs. Mais, la donne va changer pour les contrefacteurs. Dans Vista, nous allons rendre l'utilisation de programmes copiés notablement plus difficile, et nous allons faire en sorte qu'une telle difficulté se retrouve avec les versions antérieures de Windows", explique un porte-parole de Microsoft. L'éditeur a commencé à tester WGA à l'automne 2005 comme un moyen de repérer les copies pirates de Windows. A la mi-juin 2006, il annonçait que les utilisateurs devraient installer le programme et s'authentifier pour pouvoir télécharger les mises à jour et les add-ons comme IE7 et WMP 11. Sans tarder, les consommateurs ont manifesté leur ire dont les médias se sont largement fait l'écho, rappelant par exemple que WGA identifiait parfois des copies légales de l'OS à des versions piratées. Toutefois, selon Microsoft, "80 % des échecs d'authentification proviennent d'une utilisation illégale ou d'un numéro de série volé". Soucieux d'apaiser les utilisateurs, le groupe de Redmond a publié une mise à jour de WGA : les PC ne sont plus passés au crible du programme d'authentification que mensuellement, contre tous les jours jusqu'alors. Par ailleurs, Microsoft est poursuivi en action collective devant un tribunal de Seattle. Les plaignants reprochent à WGA de violer la loi anti-spyware en s'installant de manière transparente à travers les mises à jour automatiques. Menée par Brian Johnson, déjà à la tête de la fronde contre le rootkit de Sony, l'action serait "dénuée de fondement" d'après Microsoft. (...)

(03/07/2006 12:59:15)

Gartner : en 2006, Google pourrait se payer un Powerpoint en ligne

Lapalissade ? Le Gartner s'attend à ce que Google rachète une application de présentation et de diaporama en ligne en 2006, et indique comme cible potentielle, www.thumbstacks.com. Pour le cabinet d'analystes, c'est une évidence: après l'acquisition d'un traitement de texte en ligne (Writely) et du lancement d'un tableur Web (Google SpreadSheets), Google travaille à une suite bureautique en ligne. Seule une application de présentation, à l'image d'un Microsoft Powerpoint "wébisé", manquerait alors à l'appel. Du moins pour toucher le grand public, précise le Gartner. "Si les récents travaux de Google semblent le positionner face à Microsoft, le moteur de recherche ne vise pourtant pas le marché des entreprises", rappelle toutefois le cabinet d'analystes. Les fonctionnalités proposées par les applications web sont encore loin de rivaliser avec celles de Microsoft Office. Mais peuvent être suffisantes pour les particuliers ou "les environnements collaboratifs". Pour en savoir plus: www.thumbstacks.com (...)

(03/07/2006 12:58:55)

L'évangéliste infrastructure de Microsoft part chez Google

Microsoft vient de perdre l'un de ses plus anciens collaborateurs. Vic Gundotra, évangeliste infrastructure dans l'entreprise depuis quinze ans, vient en effet d'annoncer son départ. D'ici un an, il sera en poste chez Google. Ce délai est lié à la close de non concurrence figurant dans son contrat. Google ne sait pas encore quelle sera la charge de cet ex-Microsoft, mais semble convaincu qu'il apportera un savoir faire intéressant. Cette annonce survient dans un contexte de changements importants à la tête de Microsoft. On pense bien entendu au prochain départ en retraite de Bill Gates. Mais d'autres départs sont en cours. Ainsi, récemment, c'est Martin Taylor, vice-président de Windows Live qui quittait brusquement le navire pour une jeune pousse. (...)

(03/07/2006 09:52:30)

Viviane Reding met le feu à la réglementation télécoms européenne

Viviane Reding, la commissaire européenne à la société de l'information continue à souffler le chaud et le froid dans la refonte 2006 du cadre réglementaire télécoms qui doit donner lieu à la définition de la politique de l'Union d'ici à 2010. Lors de deux discours en Allemagne et en France, la commissaire a abordé plusieurs nouvelles idées de régulation, qui si elles se concrétisaient, pourraient mettre le feu à l'ensemble du secteur et particulièrement chez les opérateurs historiques. La proposition la plus explosive de la commissaire est celle qui consisterait à permettre aux régulateurs de contraindre les opérateurs historiques à séparer leurs activités d'infrastructure de leurs activités de services, le tout dans un but de développement de la concurrence. Ce que Viviane Reding se garde bien d'expliquer est que le secteur des télécoms est l'un des rares domaines où l'innovation est dépendante de la maîtrise commune d'éléments d'infrastructure et de service. Elle omet aussi de préciser que jusqu'alors ce type de séparation dans d'autres secteurs (énergie, rail...) est loin d'avoir profité aux clients, quand il n'a pas été désastreux sur le plan de la qualité de service et de la sécurité. En fait, frustrée de voir la façon dont le gouvernement allemand protège Deutsche Telekom, Viviane Reding semble prête à allumer un incendie paneuropéen, pour pouvoir satisfaire son envie d'ouverture du marché germanique. Peut-être serait-il plus simple de sanctionner directement l'opérateur allemand ? Une autre proposition qui fâche, est la suggestion de créer une agence européenne de régulation "légère", qui aurait la tutelle des autorités nationales, un peu à la manière de la FCC américaine, et pourrait leur imposer de grandes lignes directrices en matière de réglementation. L'application de ces règles et l'évaluation de leurs marchés nationaux seraient laissés à la charge des régulateurs locaux. Le dernier sujet de controverse est celui de la gestion des fréquences. Viviane Redding souhaite que cette ressource rare soit allouée de façon plus concertée par les différents états. Selon elle, une réglementation pan-européenne de l'attribution du spectre s'impose afin d'assurer une cohérence entre pays membres. Les 25 n'ont, il est vrai, pas un bilan brillant dans la gestion de leur spectre radio comme en témoignent les disparités dans les procédures d'attribution des licences 3G et WiMax, mais aussi le fiasco récent de la question de l'UltraWideBand. Pour la commissaire, la solution serait la création d'une agence européenne des fréquences. Ce serait sans doute une bonne chose. Mais Viviane Reding est la première à reconnaître que l'idée risque de ne pas plaire à tous, à commencer par les régulateurs nationaux et certains de leurs gouvernements... (...)

(03/07/2006 09:52:02)

Atos Origin décroche l'infogérance de la BnF pour 15M€

Atos Origin vient d'être choisi par la Bibliothèque nationale de France (BnF) pour assurer l'infogérance de ses systèmes d'information. Le contrat, d'un montant de 15 M€, court sur quatre ans et concerne les sept sites sur lesquels l'institution est installée, dont la bibliothèque François Mitterrand. Atos aura en charge l'infogérance de 200 applications et 335 chaînes applicatives, 70 serveurs Unix et 180 serveurs NT, une réseau Gigabit ethernet et 7400 points d'accès, et plus de 3900 postes de travail. La SSII s'occupera en outre du système de billetterie et de contrôle d'accès aux sites ainsi que du système de transfert automatique de documents. "Nous avons décidé de signer ce contrat avec Atos Origin car (...) l'offre technique de la société est extrêmement soignée et complète. Les enjeux et objectifs du marché sont bien pris en compte. La qualité de service proposée est conforme aux exigences du cahier des clauses techniques particulières" explique Caroline Wiegandt, la directrice générale adjointe de la BnF. (...)

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