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(28/06/2006 18:53:15)
SOA 2.0 : arrêtez le délire !
Après le Web 2.0, l'Internet 2.0, les développeurs 2.0, voici venir l'ère de SOA 2.0. Arrêtez le délire ! C'est ainsi qu'un certain nombre de spécialistes de SOA ont réagi lorsque des analystes et des éditeurs ont inventé le terme SOA 2.0. La pétition Stop the madness !, animée par les blogueurs Joe McKendrick, Mark Little, et Duane Nickull, et conduite par le cabinet Macehiter Ward-Dutton (MWD), a déjà recueilli près de 400 signatures. A l'origine de cette levée de boucliers, on découvre des déclarations d'Oracle et du Gartner relatées dans cet article d'InforWorld. « SOA 2.0 est le terme que nous utilisons pour parler de la combinaison de l'architecture orientée service et de l'architecture pilotée par les événements, » déclarait Steve Harris, vice-président d'Oracle Fusion Middleware. Le terme SOA 2.0 est aussi soutenu par Yefim Natis, vice-président et analyste distingué du cabinet Gartner. Pour lui également, l'aspect pilotage par les événements est la principale différence de SOA 2.0 par rapport au concept client/serveur de SOA première génération. « D'habitude, quand quelqu'un arrive avec un nouveau buzzword sans réelle substance, la plupart des gens se plaignent gentiment et continuent à vaquer à leurs occupations », remarque Duane Nickull. « Nous aimerions que, juste pour cette fois-ci, les choses soient différentes. L'industrie n'a pas besoin en ce moment d'entretenir encore plus la confusion autour de SOA. SOA possède une réelle valeur, mais l'industrie dans l'ensemble commence tout juste à comprendre le sens de ce terme. Inventer un terme comme SOA 2.0 peut sans doute aider certains analystes et éditeurs à gagner plus d'argent, mais, à long terme, cela peut tous nous nuire. » Cette pétition constitue également une expérience. Certaines personnes parlent du pouvoir du Web à agréger et à démontrer le pouvoir des individus. C'est l'occasion de vérifier si une simple pétition sur une page Web est capable d'influer sur les protagonistes et provoquer une marche arrière sur SOA 2.0. Il est amusant de remarquer que parmi les signataires de la pétition, on relève des personnes de chez IBM et que soa2.com a été réservé par un signataire, histoire que ce domaine ne soit plus exploitable. (...)
(28/06/2006 19:05:16)Callisto : Eclipse lance dix nouvelles releases Open Source
La Fondation Eclipse a annoncé la sortie simultanée de dix projets Open Source. Cet événement, baptisé Callisto, constitue la plus grosse sortie de logiciels jamais organisée dans le monde Open Source. Les projets concernés par cette sortie simultanée comprennent le framework Eclipse lui-même en 3.2, des outils de Business Intelligence, de reporting, de test, de performance, des frameworks de modélisation, d'édition graphique, un IDE C++, etc. La liste complète des projets est la suivante : - Business Intelligence and Reporting (BIRT) tools 2.1 - C/C++ IDE (CDT) 3.1 - Data Tools Platform 1.0 - Modeling Framework 2.2 - Graphical Editor Framework 3.2 - Graphical Modeling Framework 1.0 - Test and Performance Tools Platform 4.2 - Web Tools Platform 1.5 - Visual Editor 1.5 - Eclipse Project 3.2 Callisto regroupe ainsi 10 projets, 260 committers, plus de 7 millions de lignes de code, 15 éditeurs contributeurs à travers 12 pays. L'objectif est d'améliorer la productivité des développeurs qui travaillent sur les frameworks Eclipse en éliminant les problèmes de compatibilité de versions entre les différents projets et en facilitant l'intégration de projets multiples dans l'environnement des développeurs. Callisto n'est pas l'unification ou l'intégration des dix projets : chaque projet reste un projet open source autonome avec son chef de projet, ses propres committers, son propre planning. Les projets de Callisto seront disponibles au téléchargement le 30 juin. Rendez-vous sur le site de Callisto. (...)
(28/06/2006 18:51:49)Adobe lance Flex 2
Dans la course à la conquête du poste client, deux écoles s'affrontent. Ceux qui comme Google misent sur l'universalité du navigateur Web et proposent des services évolués pour faire oublier la nécessité du système d'exploitation, quitte à l'enrichir avec de l'AJAX. Et ceux comme Microsoft, Adobe, Eclipse et Java qui tentent de sortir du cadre du navigateur en installant leur plate-forme d'exécution. A ce jeu-là, Adobe possède une bonne avance. Sa technologie Flash, issue du rachat de Macromedia, est déjà présente sur 98% des navigateurs de la planète. A l'origine, le plugin Flash a été conçu pour gérer de l'animation vectorielle et le multimédia dans le navigateur. Puis on l'a utilisé pour animer des menus, gérer des comportements, communiquer avec le serveur... De là à pouvoir être utilisé comme interface riche d'une application, il n'y avait qu'un pas. En mars 2004, Macromedia présentait la première version de Flex, un serveur de présentation et un framework de développement permettant de générer dynamiquement l'interface utilisateur d'une application en Flash. L'application est écrite en Java (J2EE). Pour générer l'interface utilisateur, Flex utilise un langage XML de description d'interface, le MXML, similaire dans le principe à XUL de Mozilla ou XAML de Microsoft. Côté client, le langage ActionScript (similaire à Java) permet de naviguer et d'interagir avec le serveur. La solution se révélait comme un des plus abouties technologiquement pour gérer le client riche : large disponibilité de la plate-forme d'exécution, interface très riche. En octobre 2005, Macromedia présentait les premières bêtas de Flex 2. Repris par Adobe suite à l'acquisition de Macromedia, Flex 2 sort aujourd'hui en version finale. Flex 2 est une gamme de produits qui comprend un SDK, des composants extensibles, des services de données et un environnement de développement. Le Flex SDK 2 est entièrement gratuit. Il comprend les langages MXML et ActionScript 3.0, le framework Flex, la bibliothèque de classes, un compilateur et un débogueur en ligne de commande. Flex Charting Components 2 est un ensemble de composants extensibles permettant de gérer l'affichage de courbes et graphiques. Flex Data Services 2 est un ensemble de services de gestion des données basés sur les messages. Ils permettent aux développeurs de créer des applications capables d'accéder aux données en temps réel, à des services disponibles de façon occasionnelle ou à des jeux de données très volumineux. Une des grandes nouveautés est le Flex Builder 2. Cet environnement de programmation et de débogage s'appuie désormais sur Eclipse. Il bénéficie ainsi des outils de la plate-forme Eclipse : aide contextuelle, débogage côté client et serveur, systèmes de contrôle de code source. Parallèlement, Adobe annonce la sortie de Flash Player 9. Cette version offre aux développeurs Flex des performances jusqu'à 10 fois meilleures sur ActionScript 3.0 et la nouvelle machine virtuelle ActionScript (AVM). Concernant les tarifs, Flex SDK 2 est gratuit. Flex Builder 2 est disponible pour 449 euros prix public (699 euros avec Charting). Une version Express des Flex Data Services 2 qui inclut une licence de production pour un processeur est disponible gratuitement. Au delà, il faut compter 18,5 K€ par CPU. (...)
(28/06/2006 18:39:35)Sun : à quelques mois d'un Java open source
Sun Microsystems espère pouvoir rendre Java open source dans les mois à venir. C'est en tout cas ce qu'a indiqué Simon Phipps, le responsable de l'open source chez Sun, en indiquant que la firme n'est plus qu'à quelques mois de la publication du code de sa technologie. Sun a promis de rendre Java libre lors du dernier JavaOne en mai, mais n'avait jusqu'alors indiqué aucune date quand à la publication du code source de la technologie. Comme lors de JavaOne, Phipps a toutefois précisé que Sun doit encore résoudre la question de la compatibilité de Java et s'assurer qu'aucune société n'abuse de sa puissance sur le marché pour passer en force avec sa propre incarnation de Java. Ce qui mettrait en péril la devise "write once, run anywhere", chère au constructeur. Le JCP (Java Community Process) et NetBeans pourraient se voir confier des responsabilités élargies dans le cadre de la publication de Java afin de limiter tout risque de "contamination" de Java. Il est à noter que l'absence de la publication du code source de Java n'a pas empêché l'apparition d'implémentations libres de la technologie, comme en atteste l'existence de solutions comme Jboss, Objectweb, mais aussi l'émergence de JVM ou de projets de JVM libres, telles que Kaffe, Wonka ou Harmony (fondation Apache). (...)
(28/06/2006 18:38:55)Richard Stallman, l'apôtre du Libre, rencontre Ségolène Royal
Ségolène Royal, en pré-campagne électorale, fait feu de tout bois : la présidente de la région Poitou-Charente a rencontré, ce 28 juin, l'apôtre du logiciel Libre et président de la Free Software Foundation, Richard Stallman, de passage à Paris. Ce dernier, refoulé aux portes de Matignon il y a quelques jours, a partagé avec Ségolène Royal son opposition au projet de loi DADVSI (droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information). "C'est un geste symbolique", note Francis Muguet, coordinateur des groupes de travail sur l'information scientifique et sur les brevets et droits d'auteur au sein du SMSI (sommet mondial sur la société de l'information), et chercheur à l'Ensta. "Richard Stallman a exposé les principes du logiciel Libre à Ségolène Royal et, ensemble, ils ont signé un communiqué de presse commun. C'est d'ailleurs la première fois qu'un candidat reprend les principes du Libre". Le chantre du Libre devrait rencontrer dans les prochains jours l'UMP Nicolas-Dupont Aignan, un autre opposant au projet de loi DADVSI. Lundi 26, Richard Stallman, à l'occasion de la journée "Paris, capitale du Libre" avait appelé les jeunes français à descendre dans la rue pour lutter contre la DADVSI. Pour en savoir plus: Le blog Management du SI, "Richard Stallman a finalement trouvé une interlocutrice" (...)
(28/06/2006 18:35:14)Les serveurs x86 Dell, bêtes noires des utilisateurs américains
Gabriel Consulting Group, un cabinet d'étude plutôt connu jusqu'alors pour ses études de satisfaction sur les serveurs Unix a présenté récemment les résultats d'une étude de satisfaction sur les serveurs x86 dans les grandes entreprises. Menée au premier trimestre auprès de 212 grandes entreprises américaines avec en moyenne 25 à 50 serveurs et 4000 à 10000 salariés, l'étude place IBM en tête pour la technologie mais aussi pour la satisfaction client et relègue Dell au quatrième rang loin derrière Sun. Rappelons que Dell est le premier vendeur de serveurs x86 aux Etats-Unis. Bref, les serveurs les plus achetés aux Etats-Unis seraient aussi ceux sur lesquels les utilisateurs portent le jugement le plus critique. Selon GCC, les utilisateurs interrogés ont classé IBM premier pour sa technologie (une note sur 13 critères couvrant des points tels que la performance des systèmes, l'aptitude à la montée en charge, la fiabilité...). Big Blue obtient une note globale de 103 contre 96 pour HP, 88,7 pour Sun et 60,6 pour Dell. IBM est notamment plébiscité pour sa technologie et la performance de ses machines, tandis que HP mène pour les critères de fiabilité, de simplicité d'administration et de maintenance. Dell est classé 4e sur tous les points évalués. Côté satisfaction client, un point sur lequel Dell vante sa supériorité du fait de son modèle direct, le constructeur Texan est aussi classé 4e, avec une note de 70,8, contre 80,6 pour Sun, 88,1 pour HP et 95,6 pour IBM. Big Blue est n°1 pour ses capacités d'architecture et de service et pour sa tenue des plans produits. HP, de son côté, est n°1 pour ses innovations et son aptitude à supporter Linux, ainsi que pour la qualité de sa force de vente. Il est à noter que la plupart des utilisateurs interrogés estime qu'HP sera le numéro un mondial des serveurs x86 à cinq ans. Pas de quoi rassurer Dell. (...)
(28/06/2006 18:38:42)HPC : IBM s'allie à ClearSpeed pour doper ses clusters avec des co-processeurs
ClearSpeed a indiqué hier dans un communiqué qu'IBM a sélectionné sa technologie de co-processeur pour doper les performances de ses solutions de clusters prête à l'emploi (IBM System Cluster1350). ClearSpeed, une start-up anglaise, est connue depuis 2003, date à laquelle la firme a lancé ses premiers co-processeurs scientifiques (la gamme CS301). Mais, il s'est taillé une renommée avec sa participation aux côtés de Sun à la conception du supercluster "Tsubame", de l'Institut de Technologie de Tokyo. Ce cluster, provisoirement classé au 7e rang mondial du classement Top 500, est composé de 648 serveurs Sun Fire x4600, des octo-processeurs Opteron à 2,4 et 2,6GHz (pour la petite histoire, ces machines n'ont pas pour l'instant d'existence officielle et devraient être annoncées en juillet) et il utilise les cartes accélératrices de la société. Selon ClearSpeed, ses cartes co-processeurs CSX600"Advance" sur connecteur PCI-X permettent de doper les performances des serveurs pour les applications de calcul en virgule flottante et les applications de calcul matriciel dans un facteur de 3 à 10, selon les opérations. Le tout avec un accroissement marginal de la consommation énergétique (25W) et sans avoir à modifier ses applications. Notons pour terminer que la mode est au retour des co-processeurs comme l'a récemment montré l'accord signé entre Cray et la start-up américaine DRC pour son co-processeur reprogrammable à base de modules FPGA (field programmable gate array). (...)
(28/06/2006 18:36:15)Intel cède sa division Xscale à Marvell
Intel vient de céder le coeur de son activité Xscale à Marvell Technology un géant des semi-conducteurs plutôt connu pour ses puces de communication et ses composants de traitement de signal. Pour près de 600 M$, Marvell va acquérir l'ensemble des puces développées par Intel pour le marché des terminaux mobiles, la fameuse gamme PXA, qui équipe la plupart des PDA du marché ainsi que de nouveaux terminaux communicants comme les plus récents Blackberry, les Treo de Palm ou le Motorola Q. La gamme PXA d'Intel a son origine chez Digital Equipment. Au milieu des années 90, DEC a connu le succès avec ses puces "StrongArm" qui ont équipé les Newton d'Apple et les premiers "Network Computers". Intel a mis la main sur la technologie lors du rachat de la division semi-conducteurs de DEC en 1997 et il a poursuivi les travaux de DEC pour lancer la gamme Xscale en 2000. La gamme a été segmenté au fur et à mesure en ligne de produits spécifiques, PXA pour les PDA communicants, IXP pour les puces réseaux et IOP pour les processeurs de stockage. Le rachat de la gamme PXA devrait permettre à Marvell de s'imposer immédiatement comme le leader du marché des PDA et PDA communicants, un marché où les processeurs d'Intel se sont largement imposés. Marvell devra en effet réussir là où Intel a échoué c'est-à-dire, imposer ses puces auprès des constructeurs de téléphones mobiles, aujourd'hui encore largement fidèles à leurs fournisseurs traditionnels comme Texas Instruments, Samsung, Infineon ou FreeScale... A défaut de réussir ce pari, il n'est pas dit que Marvell fasse une bonne affaire à long terme. Intel mise sur les puces x86 à basse consommation Intel ne cache en effet pas son intention de vouloir revenir sur le marché des équipements nomades avec une nouvelle gamme de puces à très basse consommation basée sur sa technologie x86. Dès cette année, le fondeur entend commercialiser une puce x86 avec une consommation inférieure à 1W et il ambitionne de passer rapidement sous la barre des 300 à 500mW, ce qui placerait ses puces x86 en concurrence directe avec les puces Xscale à base de jeu d'instruction ARM. Il est à noter qu'AMD affiche des ambitions similaires avec ses puces Geode et pourrait aussi parvenir à des résultats proches avec ses puces Efficeon, issues des développements de Transmeta. Terminons en signalant que la cession des puces PXA ne signifie pas un abandon total de la technologie Xscale par Intel. Le fondeur continuera à utiliser la technologie pour ses puces de communication et ses processeurs réseaux (gamme IXP), mais aussi pour ses processeurs de stockage (gamme IOP). Il entend aussi conserver sa licence d'architecture ARM, qui en fait l'un des quelques grands fondeurs ayant l'autorisation de modifier les architectures de références d'ARM. (...)
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