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(03/05/2006 12:11:42)
La Cnil sévère sur le décret relatif aux données de connexion
La Cnil, le gardien des données personnelles, monte au créneau contre le décret d'application de la loi du 15 novembre 2001 sur la rétention des données de connexion. Paru le 26 mars au Journal officiel, le décret fixe à un an la durée pendant laquelle les FAI et opérateurs devront conserver les données de communication de leurs abonnés. La Commission nationale de l'informatique et des libertés estime que ce texte manque de précision : "en se contentant d'énumérer cinq catégories générales de données, (le décret d'application) ne permet par aux opérateurs de mesurer précisément l'obligation qui leur est faire de conserver certaines données en dérogation au principe général prévoyant l'effacement ou l'anonymisation posé par la loi". La Cnil avait pourtant mis en garde le gouvernement avant la publication du décret : en novembre 2005, elle lui rappelait que son futur texte devrait déterminer exactement la nature des données devant être conservées. "Cette proposition n'a pas été retenue", constate le garant de libertés individuelles. (...)
(03/05/2006 12:12:13)RIM cible d'une nouvelle procédure pour violation de brevet
A peine son conflit réglé avec NTP, RIM se voit de nouveau attaqué pour violation de brevet. Cette fois c'est la société Visto qui se lance à l'assaut du Canadien et l'accuse de contrefaire quatre de ses brevets. Visto vient de remporter une victoire juridique sur le même thème contre Seven Networks. Cela lui a rapporté 3,6 M$. Forte de cette victoire, l'entreprise californienne se dit parfaitement prête à affronter une nouvelle bataille. Pour l'heure, RIM rejette les prétentions de Visto et réfléchit à une contre-attaque pour violation de ses propres brevets. Néanmoins, Visto se dit prêt à négocier un arrangement à l'amiable : son PDG, M. Bogosian reconnaît qu'il est avant tout un "homme d'affaire". Quelle que soit la suite donnée à cette affaire, RIM affirme que ses clients n'en souffriront pas. (...)
(03/05/2006 12:12:43)Le statut de société coopérative sied aux informaticiens d'Alma
Essaimage, création de filiales à l'étranger (Italie, Allemagne), diversification de l'activité, prise de participation puis fusion sur la base d'expertises complémentaires... A l'actif des 26 années d'existence de la PME grenobloise Alma, la centaine d'emplois générés dans le développement et l'édition de logiciels pointus (optimisation de processus industriels, intranet et travail collaboratif, infrastructure sécurité/réseaux, etc) illustre le bien-fondé de la gestion participative dans ce secteur. Dès l'origine, la poignée de chercheurs mathématiciens et informaticiens de l'université de Grenoble réunis par Jean-Pierre Uhry, pour concrétiser un transfert de technologie (algorithmes et logiciels d'optimisation et d'ordonnancement), avait opté pour le statut de société coopérative de production (Scop). Tous associés. La formule a bien vécu. Aujourd'hui, la Scop Alma compte 64 salariés-associés qui détiennent plus de 51% du capital. L'exercice 2004/2005 se solde par un chiffre d'affaires de 7 millions d'euros, dont le tiers à l'export, avec un résultat net de 834 000 euros. Selon le principe "une personne = une voix", quel que soit la part du capital détenu, en tant qu'associés majoritaires, tous participent aux orientations de l'entreprise et aux décisions concernant les investissements et le partage des bénéfices. A la différence de sociétés où l'accès à la position d'associé relève de "conditions techniques particulière" (statut cadre, promotion au mérite, apport en capital), cette possibilité de devenir associé est ouverte à toute nouvelle recrue, après un an de présence, sans que cela soit une obligation. Certaines équipes essaimées, tout comme les filiales étrangères, ne relèvent pas de ce statut. Pas de sectarisme. Mais le comportement participatif prôné par le statut de Scop a clairement joué dans le ralliement du personnel de la société partenaire Sapex, éditeur/intégrateur de logiciel de CFAO (conception/fabrication), intégrée au groupe et devenue aujourd'hui Alma-Sapex avec une activité de CAO-PLM (Product Life Management, logiciel de gestion du cycle de vie). (...)
(03/05/2006 12:10:54)Ça tourne pour Sogeti
20% d'ingénieurs débutants, 80% d'expérimentés... Pour satisfaire cette répartition des 1800 embauches prévues en France pour 2006, sur un total de 3100 planifiées dans le monde, le groupe Sogeti mise sur sa réputation de "SSII de proximité". Au programme des chargés de recrutement, la participation aux forums des écoles et aux salons pour le contact direct (à Paris, Nantes, Toulouse, en mai et juin). Un site web centralise les candidatures (une moyenne de 4000 par mois, selon le DRH, Dominique Duflo). Mais pour chacune des agences qui compte de 80 à 100 personnes, le recrutement tient compte de l'autonomie de gestion et de la répartition matricielle des troupes, par région, par secteur économique et par métier. Avec 600 recrues prévues pour chacune des trois branches -conseil high tech/R&D externalisée, intégration de systèmes, infogérance/administration de systèmes-, cette campagne 2006 correspond à l'objectif de croissance (de 8 à 10%) du groupe. Pour autant, l'an dernier déjà, la campagne de recrutement en France visait 1600 embauches (2800 dans le monde). Et en 2004, de même, suite au rapprochement opérationnel de Sogeti et Transiciel, la barre était fixée à 1500 recrutements. Ce que ne reflète qu'en partie la progression des effectifs du groupe dans l'Hexagone: 8700 à mi-2005, 9000 en avril 2006. Certes, le turnover est reparti à la hausse, pour Sogeti comme pour l'ensemble des SSII. Mais il faut aussi compter avec la difficulté à faire correspondre les CV et les postes ouverts... en clientèle. D'autant que dans la description des expertises recherchées (architectures à base de serveurs d'application, direction de projet, EAI, sécurité, assistance à la maîtrise d'ouvrage, intégration d'ERP, management technique et conseil en infogérance), se retrouvent les profils unanimement prisés par les SSII. Difficile à concilier avec un recrutement en masse. (...)
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