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(28/02/2006 00:00:00)

Professionnalisation : une bouffée d'air financière pour le développement des compétences

Unilog s'empare des périodes de professionnalisation, l'une des mesure clés de la réforme de la formation professionnelle. La SSII a lancé 60 dossiers relatifs à la mise en place de ce dispositif pour ses collaborateurs depuis le début de l'année 2005. Sur les soixante, une cinquantaine a été validée par le fafiec (l'organisme paritaire collecteur de la branche ) qui prend en charge 100% des frais de formation engagés pour chacun. Avec cette opération, Unilog assure donc la formation de cinquante de ses collaborateurs sans peser sur ses budgets de formation. Elle profite par la même occasion des sommes qu'elle a versé au fafiec au titre de sa cotisation légale de 0,5% de sa masse salariale (lire l'encadré ci dessous) et qui servent un fond mutualisé. Avec cinquante dossiers, elles estime qu'elle peut récupérer plus d'un tiers des sommes investies. Et son objectif est de pouvoir profiter d'un montant équivalent à 100% de ses cotisations en 2006, en multipliant le nombre des périodes de professionnalisation. L'enjeu est fort pour y parvenir, il faut mobiliser tant les salariés que les managers et les équipes des ressources humaines sur une vision à moyen terme du développement de compétences de leurs collaborateurs, indispensables pour la bonne conduite des parcours de professionnalisation. Il faut également travailler en collaboration avec le fafiec (l'organisme paritaire collecteur agréé de la branche) afin de maîtriser la partie administrative du dispositif et s'assurer de son soutien financier. « Le dossier était complexe », affirme Jenny Jourdanet, responsable de la formation. « Six mois ont d'ailleurs été nécessaires, ainsi qu'environ un tiers de mon temps et un investissement de nos responsables de ressources humaines pour constituer et faire valider les périodes pilotes ». La SSII a pris en charge le dossier de la professionnalisation en 2005. Elle a organisé des rencontres entre le fafiec et ses responsables des ressources humaines pour que chacun prenne la mesure du travail de l'autre et de son fonctionnement pour une collaboration efficace. Elle a établi des profils type de salariés bénéficiaires du dispositif au regard des critères réglementaires posés et de ses besoins. Elle en a défini trois : les jeunes informaticiens ayant environ un an d'expérience (six mois de stage et six mois d'embauche) qui doivent développer leurs compétences ; les personnes en évolution professionnelle qui ont pour objectif d'évoluer en terme de poste et de prendre de nouvelles responsabilités ; les salariés en reconversion qui changent de métiers par exemple parce que leurs connaissances technologiques initiales correspondent moins aux besoins des clients. Unilog a aussi lancé des périodes de professionnalisation pilote pour ces trois profils. Un exercice qui lui a permis de valider les procédures de constitution des dossiers, d'élaboration des parcours de formation et d'échanges avec le fafiec. La SSII a ensuite communiqué auprès de ses managers en s'appuyant sur son réseau de responsable ressources humaines, pour entrer dans une phase plus industrielle de périodes de professionnalisation. Pour l'heure, il y a encore beaucoup à faire pour que les populations concernées s'approprient le dispositif et pour bien anticiper les formations. La SSII demeure aussi vigilante concernant le respect de ses engagements financiers du fafiec, puisqu'elle s'est beaucoup investi dans le dispositif. Mais les périodes de professionnalisation ont déjà permis de dynamiser la formation chez Unilog. Certaines entités ont mis en place davantage de cursus qu'elles ne l'auraient fait sans professionnalisation. Des formations qui n'entament pas les marges financières Bonne nouvelle pour les salariés, les périodes de professionnalisation amènent une bouffée d'air financière dans les budgets formation des entreprises. Les coûts engendrés par ces temps de formation qui peuvent s'étaler entre 100 à 600 heures sont en effet remboursés par l'organisme paritaire collecteur de la branche, le fafiec, avec des tarifs forfaitaires attractifs (40 ou 50 euros de l'heure). Si les frais engagés par l'entreprise ne dépassent pas ces forfaits, sa dépense est nulle. Mieux, elle y gagne puisqu'elle bénéficie d'un salarié qui a développé ses compétences, sans avoir grevé ses budgets et ses marges. Elle récupère parallèlement et de façon in directe une partie des 0,5% de sa masse salariale qu'elle est tenue d'investir chaque année au titre de la professionnalisation et du DIF (droit individuel à la formation). Ces fond sont versés au fafiec qui les mutualise pour l'ensemble des sociétés de la branche quelque soit leur contribution. Ils les rétrocède aux entreprises sous forme de financements, sur présentation de dossiers relatifs à la mise en place des dispositifs de professionnalisation qu'il reconnaît comme éligible aux critères légaux. (...)

(28/02/2006 00:00:00)

Prospective : l'informatique est l'un des secteurs les plus créateurs d'emploi mais le moins recruteur

Le papy boom touchera peu les informaticiens par rapport à d'autres domaines professionnels. D'ici à 2015, le secteur informatique sera l'une des professions où les « besoins de recrutement nets » seront les plus faibles. Ces résultats sont les fruits d'une étude menée par la Dep (la direction de l'évaluation et de la prospective du ministère de l'éducation nationale) en vue d'examiner les perspectives de recrutement sectoriels (*) à l'horizon 2015. Elle s'est appuyée pour cela sur une hypothèse de croissance moyenne annuelle du PIB à 2% par an et d'âge moyen de "sortie définitive" de l'emploi à 59 ans. Elle montre que l'informatique fait partie des quatre domaines les plus créateurs d'emploi, avec une moyenne de 11 000 nouveaux emplois par an entre 2002 et 2015 (+2,2%). Mais aussi que ces créations seront le principal « facteur influençant les besoins de recrutement nets », en raison d'un faible nombre de départs à la retraite dans ce domaine (environ 2000 par an, à comparer par exemple avec 54000 dans la gestion/administration et 52 000 dans la fonction publique et les professions juridiques). La DEP estime ainsi qu'environ 131 000 postes seront à pourvoir pour les informaticiens sur la période 2002-2015. Elle est moins optimiste que la Dares qui en comptabilisait 207 000, dans son étude (**). L'informatique apparaît comme le secteur ayant le besoin de recrutement net (10 000 personnes par an) le plus faible avec le domaine « communication, information, spectacles ». Pour estimer l'impact de ces tendances sur le marché de l'emploi, la question est de savoir si ces besoins seront ou non couverts par le système éducatif - ce dernier apparaît en effet dans l'enquête, comme le principal pourvoyeur d'informaticiens-. La Dep doit produire une étude complémentaire sur ce sujet d'ici à deux mois, qui compare les effectifs des grandes écoles et autres formations en informatique, aux besoins de recrutement du secteur. (*) L'étude s'appuie sur la nomenclature de la Dares pour la définition des domaines professionnels. (**) Horizon 2015 : l'impact du départ des générations du baby-boom sur les métiers, copublication du Plan et de la Dares, paru dans la collection Premières Synthèses de la Dares. (...)

(27/02/2006 17:40:37)

Free poursuit FT pour abus de position dominante

Après la commercialisation des forfaits Internet Max et Max2+ par France Télécom en novembre 2005, Free vient de saisir le Conseil de la concurrence. Il reproche à l'opérateur historique un abus de position dominante. Facturées 24,9 E et 29,9 E pour des débits atteignant 8 Mbps et 18 Mbps, les offres de FT proscriraient l'existence d'une réelle concurrence selon Free. Elles seraient en effet vendues moins chères aux consommateurs que le prix de gros auquel le FAI alternatif doit louer ses lignes à FT en zones non dégroupées. Dans l'attente de la décision du Conseil de la concurrence, qui ne devrait pas intervenir avant plusieurs mois, Free a demandé à ce que soient prises des mesures conservatoires visant à suspendre les deux offres de FT. (...)

(27/02/2006 17:39:17)

RIM obtient un sursis pour son service Blackberry

RIM reprend son souffle après la décision du juge Spencer de ne pas statuer immédiatement sur l'arrêt du service Blackberry aux Etats-Unis. Cette décision est l'aboutissement - temporaire - de plus de quatre années de procès pour violation de brevets intenté par la société NTP à l'encontre du prestataire de services canadien. NTP reproche en effet à RIM d'avoir usurpé plusieurs de ses brevets. Après un premier procès perdu par RIM, un accord à l'amiable - 450 M$ de dommages - avait été conclu. Cet accord a rapidement été rompu suite à un rebondissement. Le bureau des brevets américains a invalidé plusieurs des brevets incriminés. Le juge Spencer désire donc prendre le temps de la réflexion et fait part de son étonnement devant le refus de négociation des deux parties. Dans l'immédiat, cette décision permet à RIM de sauver 70 % de son chiffre d'affaires. En effet, plus de trois millions d'américains utilisent la messagerie mobile du canadien. RIM tente de trouver une alternative lui permettant de contourner l'utilisation des brevets mis en cause. Cette solution éviterait un arrêt du service pour les usagers. Le délai accordé par le juge est accueilli avec soulagement... reste à savoir s'il sera suffisamment long pour permettre à RIM de se retourner si la cour se montrait défavorable à son encontre. (...)

(27/02/2006 17:38:45)

MySQL renforce ses équipes de développement

MySQL vient de faire l'acquisition de Netfrastructure, une petite société américaine de développement d'outils et de logiciels serveur pour applications Web. Cette opération permet surtout à l'éditeur suédois de renforcer ses équipes de développement. En effet, avec le rachat de Netfrastructure, MySQL recrute Jim Starkey, fondateur de Netfrastucture mais avant tout architecte de renom pour les gestionnaires de bases de données. Avant Netfrastructure, Jim Starkey a fondé Interbase et développé le SGBDR éponyme. Interbase, racheté depuis par Borland, revendique l'invention des alertes sur évènements, des systèmes de déclenchement automatique d'actions et le support des Blobs. Avec le rachat de Netfrastructure, MySQL met aussi la main sur Ann Harrison, épouse de Jim Starkey et contributrice au développement d'Interbase. MySQL attend de ces nouvelles recrues une aide pour « réaliser les projets que nous n'avons pas encore eu le temps de concrétiser, et apporter de nombreuses idées nouvelles. » Bien que les intéressés s'en défendent, certains observateurs voient dans ce rapprochement un mouvement de protection de MySQL après le récent rachat d'Innobase par Oracle. En son temps, le rachat d'Interbase avait conduit au développement du projet d'architecture de bases de données Firebird, qui doit arriver en version 2.0 dans le courant du premier semestre et auquel Jim Starkey a contribué. Firebird pourrait permettre à MySQL de s'affranchir du moteur InnoDB passé sous la coupe d'Oracle. (...)

(27/02/2006 17:38:03)

BEA boucle 2005 sur un revenu et un bénéfice en hausse

BEA a bouclé son exercice fiscal 2006 sur un chiffre d'affaires en croissance de 11 % par rapport à l'année précédente, à 1,199 Md$. Principaux contributeurs aux revenus du groupe, les services ont généré un CA de 688,3 M$ et progressent de 15 % sur un an. Le revenu des licences s'élève quant à lui à 511,5 M$, soit une croissance de 6 %. Enfin, le résultat net gagne 9 % à 142,7 M$. C'est sur un très bon quatrième trimestre que BEA a clos son année fiscale. L'ensemble des revenus a en effet progressé de 17 %, à 341,4 M$, bien porté par les services dont le CA affiche un taux de croissance comparable et le CA atteint 185,6 M$. Surtout, le groupe se félicite des 18 % de hausse des revenus tirés des licences, s'élevant ainsi à 155,9 M$. "Pour le troisième trimestre consécutif, la croissance des revenus tirés des licences s'est accélérée. Nous pensons que cela devrait continuer au cours du premier trimestre et nous attendons à un taux de croissance à deux chiffres", a expliqué Alfred Chuang, le PDG de BEA. (...)

(27/02/2006 17:37:04)

Jboss ouvre une filiale en Allemagne en rachetant son partenaire Objectone

Quelques semaines après les rumeurs de son rachat par Oracle, Jboss, spécialiste du middleware open source, annonce l'acquisition de la société Objectone, pour un montant non-communiqué. Objectone, partenaire certifié de l'éditeur de longue date, commercialise du services (support ainsi que la maintenance) autour des solutions Jboss pour le marché allemand. Selon les termes de la transaction, Objectone deviendra à terme la filiale allemande de l'éditeur, sous le nom Jboss Deutschland, dès le 1er mars. Elle sera dirigé par Tobias Hartwig, actuel PDG de Objectone. (...)

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