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(15/09/2011 10:47:00)
Les fondeurs se préparent à l'arrivée de Windows 8
La prochaine version du système d'exploitation de Microsoft, Windows 8, n'est pas encore sortie - ce sera probablement pour l'automne 2012 - que les fabricants high-tech annoncent déjà la compatibilité de leurs futurs produits. Ericsson, spécialisé notamment dans la connexion avec ou sans fil à internet, et AMD, principal concurrent d'Intel sur le marché des processeurs pour PC, annoncent opportunément des innovations allant dans ce sens, et tout particulièrement pour notebooks et tablettes tactiles.
Le suédois annonce pour commencer que les produits de connexion à Internet, avec ou sans fil, mis sur le marché à l'avenir par divers fabricants n'auront plus besoin de pilotes - programmes qui assurent le bon fonctionnement d'un périphérique (imprimante, circuit modem 3G, clé USB, etc.) - pour être reconnu par Win 8. Un protocole spécifique a été imaginé par Ericsson, et bien évidemment en collaboration avec Microsoft, pour faciliter la connexion d'un produit communicant, qu'il soit installé par le fabricant ou par l'utilisateur.
AMD pour sa part a créé un pilote rendant tous ses produits compatibles avec Windows 8. le fondeur de Sunnyvale fournit notamment des processeurs et cartes graphiques pour des constructeurs de PC portables ou de bureau et de tablettes tactiles.
Crédit photo : ATI (...)(15/09/2011 10:27:06)IDF 2011 : Intel veut Android sur sa plate-forme processeur pour smartphones
Lors de l'Intel Developer Forum (à SF du 13 au 15 septembre), Google et le fondeur de Santa Clara ont déclaré vouloir collaborer pour permettre au système d'exploitation mobile Android de fonctionner sur des appareils dotés de puces x86. Le CEO d'Intel Paul Ottelini a promis que les premiers smartphones munis de la prochaine puce Atom Medfield seront lancés au premier semestre 2012.
Une annonce qui intervient alors qu'Intel connaît beaucoup de difficultés à pénétrer un secteur des smartphones dominé par ARM. Des problèmes encore exacerbés par l'abandon par Nokia de leur projet d'OS commun MeeGo. D'autre part, si le patron d'Intel a exhibé un smartphone doté d'une puce Intel, beaucoup s'étonnent qu'il n'ait été fait mention d'aucun fabricant de smartphones. Ce qui pourrait trahir un manque d'intérêt de la part des équipementiers pour les puces Atom.
Crédit photo : D.R.ICRJournal.ch (...)(15/09/2011 10:10:37)
Keynectis pour dématérialiser les dossiers de la Mutualité Française
La Fédération Nationale de la Mutualité Française (FNMF) fédère 600 mutuelles de santé qui protègent à elles toutes 38 millions de personnes. Parmi ses missions, elle facilite leur activité. C'est dans ce cadre que la FNMF s'est intéressée à une solution pour mutualiser la dématérialisation des dossiers de conventionnement Sesam-Vitale.
Ces dossiers permettent à des professionnels de santé d'adopter les téléprocédures de remboursement, avec gestion du tiers-payant, avec l'ensemble des mutuelles de la FNMF en une seule opération, ce qui accroît le nombre de ces conventionnements. De plus, la dématérialisation en elle-même est génératrice d'économies (échanges postaux, traitement, archivage...). Traiter une convention pour des téléprocédures avec un dossier papier non-pré-rempli pouvait sembler pour le moins paradoxal.
10 ans de traces conservés
Cependant, cette dématérialisation supposait d'identifier le professionnel sollicitant un conventionnement grâce à sa carte CPS (qui intègre un certificat de signature électronique) et pas par un autre moyen mais sans impact sur le poste de travail de ce professionnel (intégration à des applications, installation d'un logiciel en local, etc.).
La FNMF a finalement opté pour l'offre K.Websign de Keynectis, intégrée au site de la FNMF. Ce prestataire conserve durant dix ans les traces des signatures électroniques. Sur les mille conventions conclues chaque mois, l'objectif (déjà dépassé) était d'atteindre les 75% de dématérialisation. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Une SSO mondiale se met en place chez Mazars
Présent dans 61 pays avec 13 000 spécialistes de l'audit, du conseil et de services comptables, fiscaux et juridiques, Mazars souhaitait mettre en oeuvre des solutions informatiques mutualisées au niveau mondial pour optimiser ses coûts d'administration et éviter les erreurs humaines. C'est le but du projet CGM (Core Group Model). Celui-ci comporte tout d'abord un PGI basé sur la solution de l'éditeur Oracle.
Pour commencer, la GRH a été mise en oeuvre au travers de ce PGI, en France (2300 collaborateurs, 35 bureaux), aux Pays-Bas et au Royaume Uni. Celle-ci comporte bien entendu la gestion des effectifs. L'idée était d'y adjoindre une véritable gestion des identités et des accès avant de multiplier les applications, destinées à toutes utiliser cette gestion unique des identités des utilisateurs. Auparavant, les SI de chaque pays étaient totalement différents. En France, il y avait une véritable gestion de type SSO. A l'inverse, l'entité des Pays-Bas utilisait une simple gestion d'identité et celle du Royaume Uni une gestion manuelle.
Rationaliser les SI de chaque filiale
Après des études de faisabilité et en tenant compte de l'expérience des Pays-Bas sur ses produits, le groupe Mazars a choisi deux solutions de l'éditeur Novell : Novell Identity Manager (gestion d'identité) et Novell Access Manager (SSO). Le tout a été intégré au SI par Kernel Networks. La gestion d'identité a été mise en oeuvre dans une seule base pour les trois premiers pays de déploiement. L'un des aspects important était la capacité des produits choisis à s'intégrer aisément au PGI d'Oracle, Business Suite 12, et à se synchroniser avec Microsoft Active Directory. IBM Cognos Business Suite, Microsoft Sharepoint et les systèmes de facturation utilisent d'ores et déjà la nouvelle SSO. Le coût du projet n'a pas été spécifié.
Illustration principale : En jaune et en orange, les pays où Mazars possèdent une filiale ou un bureau. (...)
Pour moderniser l'Etat, Valérie Pécresse met en avant l'innovation
« Trop longtemps, l'immuabilité a été vue comme consubstantielle à l'administration » a fustigé Valérie Pécresse, ministre du Budget et de la Réforme de l'Etat, en ouvrant la session de clôture du Carrefour Adm'innov organisé par la Direction Générale de la Modernisation de l'Etat (DGME) à Bercy le 14 septembre 2011. La ministre du Budget et de la Réforme de l'Etat a poursuivi : « Ce temps est révolu. L'innovation est le creuset de la modernisation de l'Etat. Mais, au delà de la nécessaire volonté politique, la réforme de l'Etat ne peut se faire que par l'envie des acteurs publics. L'innovation vient du terrain. »
De fait, le Carrefour Adm'innov visait à présenter une quarantaine d'initiatives venues des administrations elles-mêmes. La centaine de participants était invitée à rencontrer les innovateurs et à tirer des leçons pour leurs propres pratiques ou bien à utiliser l'innovation présentée. Il s'agissait bien d'innovations, souvent procédurales ou méthodologiques, pas d'inventions technologiques. Dans la plupart des cas, les outils employés, souvent informatiques, étaient triviaux sur le plan technique.
Au delà de cette première journée, la ministre a annoncé l'ouverture -déjà réalisée dans les faits- du portail Adm'innov. Cet outil participatif vis à récolter des idées venant des fonctionnaires « de base » et ensuite à recueillir les avis des autres agents publics. La démarche va donc bien au delà d'une nouvelle « boîte à idées » pour se rapprocher des « réunions qualité » dans les divers avatars de la méthode Toyota, comme la méthode Lean.
Priorité aux initiatives de terrain
« Aujourd'hui, comme hier dans mes précédentes fonctions en instituant l'autonomie des universités, je crois à l'autonomie des acteurs, je réclame qu'on leur fasse confiance » a martelé Valérie Pécresse. L'objectif reste ce qui, justement, a toujours fait peur dans la fonction publique, à savoir la remise en cause des process existants.
La démarche de la ministre n'est cependant pas une rupture par rapport à de multiples initiatives, depuis des années, notamment avec la naissance de l'e-administration sous le gouvernement de Lionel Jospin. Mais, selon les dires de Valérie Pécresse, une étape nouvelle est franchie. « Il ne s'agit pas de créer une nouvelle situation immuable mais au contraire d'instituer une culture du changement permanent pour coller aux besoins eux-mêmes changeant de la population » a insisté la ministre.
En plus du portail participatif, un Prix Interministériel de l'Innovation sera là pour stimuler les troupes. Mis en oeuvre par la DGME, il sera remis pour la première fois au premier trimestre 2012, juste avant les élections présidentielles. Par ailleurs, quatre « communautés » sont instituées et organiseront des réunions régulières autour chacune d'une thématique : l'écoute des usagers, l'innovation des agents, les nouvelles technologies et la mise en réseau (au sens humain du mot).
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Les initiatives mises en avant à l'occasion du Carrefour Adm'innov étaient assez diverses. Il pouvait s'agir de « simples » sites web collectant des informations de sources diverses pour un meilleur service aux usagers (site mon-enfant.fr, répertoire « qui fait quoi »...). Certaines relevaient de procédures modernisées, par exemple avec la création de démarches en ligne. Parfois même, aucun outil technique n'était véritablement mis en place (comme avec une simple procédure de coordination des équipes sanitaires et sociales pour préparer une sortie d'hôpital pour les personnes âgées).
Modéliser des trajectoires de tir en 3D pour une expertise judiciaire
Malgré tout, il arrive que certaines initiatives ont une base technique. Par exemple, l'outil Tipi vise à offrir aux collectivités locales un terminal de paiement pour cartes bancaires en ligne mais respectant le droit public. Il en est de même pour le célèbre Gallica, la médiathèque en ligne. La douane a, de la même façon, conçu un outil d'information pour les voyageurs sous forme d'application pour smartphone. Le plus impressionnant reste probablement l'outil de modélisation en 3D d'une trajectoire de tir dans le cas d'expertises judiciaires après un crime.
Parfois, l'outil technique est trivial mais est au centre d'une réforme procédurale. Ainsi, une procédure claire et précise d'utilisation de la fonction de fusion de photographies (photomerge) dans le logiciel Photoshop permet de « redresser » des empreintes digitales sur des supports courbes en prenant des photographies sous des angles différents tout en garantissant leur utilisation dans une procédure judiciaire. De la même façon, un bon usage des tablettes et des formulaires interactifs va faciliter le recensement agricole.
Certaines des initiatives présentées étaient assez anciennes (le portail Jedeclare.com par exemple). Il restera à juger de l'efficacité de l'initiative ministérielle au delà de l'effet d'annonce. (...)
Windows 8 se dévoile encore un peu plus
A la veille de l'ouverture de la Build Professional Developers Conference de Microsoft à Anaheim, en Californie, l'éditeur a montré aux journalistes et aux analystes, la version bêta de la prochaine génération de son système d'exploitation Windows 8 (voir encadré page 2 pour trouver les liens de téléchargement). L'éditeur avait déjà rendu public un certain nombre de fonctionnalités de cet OS sur son blog et lors de précédentes manifestations. Néanmoins, cette présentation a permis de voir comment les différents éléments travaillaient ensemble.
Pour Steven Sinofsky, président de la division Windows, le prochain système d'exploitation est une « refonte audacieuse » de Windows. L'expérience utilisateur du futur OS sera fondamentalement différente de celle de toutes les versions précédentes. Notamment, les utilisateurs ne percevront plus l'écran comme un « bureau ». Ils n'y trouveront pas non plus de menus dans lesquels ils auront à chercher les fonctions d'une application. Ce changement a été possible grâce à la nouvelle interface utilisateur, appelée Metro, où l'on retrouve beaucoup de l'interface créée par Microsoft pour Windows Mobile 7 avec ses applications accessibles via des tuiles tactiles.
Icône et Tuile, une subtile différence
Selon Microsoft, la distinction entre tuile et icône est subtile mais importante. « Les tuiles sont plus expressives que les icônes, » a expliqué Jensen Harris, directeur du management des programmes pour Windows. « Auparavant, les icônes représentaient des applications. » Les tuiles « live » peuvent être mises à jour avec de nouvelles informations. Ainsi, une application météo peut afficher la météo en temps réel, un client de messagerie peut indiquer le nombre de nouveaux emails arrivés. Les tuiles peuvent aussi être organisées en groupes pour faciliter l'accès aux applications. Jensen Harris a ainsi montré comment les utilisateurs pouvaient agréger les différentes applications ensemble, par jeux, sites de réseaux sociaux, sites utilisés dans le cadre professionnel et ainsi de suite.
Grâce au multitouch, l'utilisateur peut zoomer en élargissant pour voir tous les groupes, ou zoomer en se rapprochant pour n'en voir qu'une partie, un processus connu sous le terme de « zoom sémantique. » Comme les tuiles, les groupes peuvent être déplacés. Les applications peuvent également être retrouvées grâce à une fonction de recherche.
Des limitations pour ARM
Le bureau traditionnel de Windows reste présent dans l'OS, surtout dans le cas d'applications de précision, comme les appelle Steven Sinofsky, c'est à dire celles dont l'usage demande une action plus précise de la souris. Notamment, Adobe Photoshop et le Gestionnaire de tâches de Microsoft font toutes deux parti de cette catégorie. L'interface desktop devient « juste une autre application. » Cependant, « les applications de bureau traditionnelles ne seront pas capables de fonctionner sur des machines à base de processeur ARM, » a précisé Steven Sinofsky lors d'une séance de questions-réponses.
« Dans la mesure où ces applications ne pourront pas profiter de fonctionnalités avancées propres au processeur ARM, comme la capacité d'ajuster la consommation d'énergie quand elles ne sont pas actives, il serait peu judicieux de fournir un moyen d'exécuter de telles applications sur ces machines à base de processeurs ARM, » a t-il déclaré. Néanmoins, les applications basées sur Metro pourront fonctionner indifféremment sur des machines x86 ou ARM. L'interface de Métro intègre dans un même système les commandes propres à chaque plate-forme matérielle.
Pour créer des applications Métro, les développeurs peuvent utiliser soit le framework XAML, ou un ensemble de standards web, comme le HTML5, le CSS et JavaScript. « Les applications seront elles-mêmes « immersives », en ce sens qu'elles pourront occuper tout l'écran, » a déclaré Jensen Harris. « Le bureau chromé qui encadre les applications traditionnelles a été supprimé, » a t-il ajouté. En glissant le doigt vers le bas, l'utilisateur aura accès à la liste de fonctions de l'application dans la moitié inférieure de l'écran. Les utilisateurs pourront également accéder à un ensemble d'utilitaires communs, disponibles pour les applications Metro, en faisant glisser leur doigt vers la gauche. Ils verront alors se dérouler un ruban comportant un certain nombre d'icônes, que Jensen Harris appelle « Charms ».Charms contient des fonctions communes à toutes les applications, comme le « Partage » (Sharing), la recherche (Research) ou la commande des périphériques, les imprimantes par exemple.
Illustration principale : Microsoft a présenté un prototype de tablette Samsung équipée de Windows 8
Crédit photo : Agence IDG News Service
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Microsoft fournira une interface aux développeurs Metro afin que leurs applications puissent interagir avec ces utilitaires. Par exemple, avec la fonction « Partage » de Charm, le directeur du management des programmes a montré comment partager une page web avec un contact grâce à un site de réseau social comme Facebook. L'utilisateur déroule le ruban pour accéder à « Partage ». Là, il trouve la liste des applications dont le contenu peut être partagé. « Chaque application a ses propres jeux de configurations - des contrats - lui permettant d'accepter des données partagées, et permettre à d'autres applications d'envoyer des données, » a t-il précisé.
Sécurisation multiple et orientation cloud
L'authentification de l'utilisateur peut se faire de différentes manières : par mot de passe classique, par un identifiant entièrement numérique, ou à l'aide d'un mot de passe « image ». Dans ce dernier cas, l'utilisateur doit, dans une image familière - la photo d'un proche par exemple - tracer avec le doigt des lignes imaginaires entre différentes parties du visage, un peu comme un puzzle à points. L'accès à la machine lui sera accordé s'il effectue la bonne séquence de mouvements.
Le Cloud va également jouer un rôle dominant dans le prochain OS. Chris Jones, le vice-président Corporate de Microsoft a montré comment le système pouvait communiquer avec les services Live et SkyDrive de Microsoft. Windows 8 sera capable d'unifier des données hébergées dans le Cloud et émanant de différentes sources. Le client de messagerie sera capable de gérer les messages de clients multiples, et l'application Calendrier pourra afficher plusieurs Calendriers en une vue unique. La liste de contacts pourra combiner les contacts de multiples services.
Le client de messagerie instantanée pourra également s'associer à de multiples services. SkyDrive offrira un moyen de synchroniser les informations entre plusieurs appareils. Les photos, par exemple, pourront être téléchargées automatiquement à partir d'un téléphone ou d'un appareil photo numérique et être partagées avec d'autres. Les utilisateurs pourront même utiliser SkyDrive pour accéder à des données sur un ordinateur distant. (...)
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