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(13/09/2011 09:56:25)

Deutsche Telekom prépare ses prochains services connectés

Dans son forum T-Gallery, sorte de show-room sur les usages connectés de demain, Deutsche Telekom présente différents prototypes conçus avec des partenaires. Ils illustrent des solutions et des services à exploiter, à la maison et au bureau, ou en se déplaçant. Certains sont déjà disponibles comme DeutschlandLAN, l'offre de téléphonie unifiée sur IP pour PME. D'autres ne le seront pas avant deux ou trois ans telle l'interface interactive mêlant reconnaissance vocale personnalisée et gestuelle pour sélectionner une vidéo à la demande. D'autres sont plus inattendus. Ainsi, cette porte de réfrigérateur qui joue les panneau d'affichage en recevant les SMS de la famille. Sa surface invite aussi les enfants au dessin.

L'espace d'exposition T-Gallery a été inauguré en février 2010 à Bonn, au siège social de l'opérateur de télécommunications allemand. S'il n'est pas ouvert au public, il reçoit néanmoins quelques milliers de visiteurs chaque année, concepteurs, responsables produits, chercheurs ou clients, voire concurrents. Une petite équipe de dix personnes s'y est investie, issues de différentes entités du groupe allemand, à laquelle se sont joints seize partenaires. Ces derniers ont apporté leur contribution sur des technologies telles que les fonctions de contrôle par gestes, la reconnaissance intuitive de la voix, la recherche sémantique, ou encore l'utilisation de matériaux novateurs : plastique qui s'auto-régénère, laque à base d'eau, cuir injectable, feuille électroluminescente qui peut évoluer vers un affichage flexible.

Ecran panoramique et vidéoconférence

Deutsche Telekom pousse ses pions vers des marchés pouvant générer de nouvelles sources de revenus. Il tire parti de l'infrastructure de réseau qu'il a déployée et des capacités de traitement, de stockage et de diffusion du cloud computing. Dans sa ligne de mire : la maison reliée au cloud, la voiture connectée, un meilleur contrôle de la consommation d'énergie grâce à des compteurs intelligents, la e-santé et la distribution de contenus multimédias.

La T-Gallery s'ouvre sur un espace bordé d'un écran panoramique où défilent des milliers d'images figurant autant de contenus multimédias (films, morceaux de musique, photos...). Deutsche Telekom montre comment faciliter, à partir d'un terminal mobile ou d'une autre interface, la gestion des fichiers stockés en ligne ou des services numériques proposés à la demande. On contrôle à distance sa set top box pour enregistrer une émission. Des services qui tablent sur la capacité d'accéder à tout moment à une connexion haut débit.

Au fil de la T-Gallery, on découvre une vitre murale, support de vidéoconférence, qui affiche en regard un agenda partagé et des fichiers. Ces derniers sont ramenés par les participants depuis le cloud via leurs terminaux mobiles respectifs. Chacun rejoint la discussion par le canal qu'il choisit, Skype ou autre. « C'est le genre de services que nous voulons proposer sur notre cloud », explique l'opérateur.

Suivre sa courbe de poids

A l'espace « e-health », divers équipements permettent de surveiller et de repérer des anomalies dans un état de santé via des capteurs adaptés : détecter une chute, suivre une grossesse à risque, une courbe de poids (la balance transmet l'information au smartphone par bluetooth) ou le taux de sucre d'une personne diabétique. Au passage, les données peuvent être stockées sur un dossier médical dans le cloud.

Pour les applications de sécurité, Deutsche Telekom dispose, avec le Simko (un modèle HTC) d'un smartphone équipé d'un dispositif de chiffrement. L'opérateur travaille aussi sur des solutions de paiement mobile qui arriveront l'an prochain. La technologie NFC (near field communication) peut aussi servir à ouvrir la porte de sa maison ou à démarrer un véhicule de location avec la clé électronique adressée sur le téléphone. Dans le train, l'accès en libre service à un écran, flanqué d'un socle pour recevoir un smartphone, connecte le possesseur du terminal à ses données dans le cloud.

Un certain nombre de ces services sont d'abord destinés au marché allemand. Mais certains devraient être aussi disponibles dans d'autres pays.

Illustration : écran panoramique de la T-Gallery (crédit : Deutsche Telekom)

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(13/09/2011 11:27:03)

IBM fait évoluer sa solution de web analytique

IBM a décidé de renforcer sa suite d'analyse des comportements web et d'optimisation du marketing en ligne issue des récentes acquisitions de Coremetrics et d'Unica.
Selon le constructeur, Web Analytics et Digital Marketing Optimization optimiseront les campagnes marketing en ligne sur l'ensemble des canaux digitaux et mobiles. Grâce à un dépistage web plus approfondi, les entreprises pourront mesurer plus précisément l'appétence des visiteurs avec les produits et services disponibles en ligne, de définir quelles sont les campagnes marketing à lancer et d'élaborer des offres personnalisées en temps réel. Ainsi, elles comprendront plus rapidement les préférences et les tendances d'achat de leurs clients sur l'ensemble des médias numériques :  sites web, réseaux sociaux, téléphones mobiles et tablettes numériques.

Segmenter les données issues de différents canaux

La suite logicielle d'IBM automatise les campagnes marketing en réalisant une segmentation pointue basée sur les données issues de différents canaux, et notamment de sources de données offline. Elle fournit des recommandations en temps réel sur les produits à pousser pour l'ensemble des canaux Internet, sur les bannières,  les réseaux sociaux, les terminaux mobiles et l'e-mail.  Des tests comparent les termes de requête afin de déterminer les termes les plus efficaces et les publicités associées, tandis que des indicateurs dressent un aperçu des performances clés en matière de meilleures pratiques, ainsi que des benchmarks métier correspondants. Enfin, la solution fournit une analyse approfondie de la durée de l'interaction qu'entretiennent les clients avec une marque, ainsi que du moment précis où chaque programme marketing est le plus efficace.

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(12/09/2011 17:17:00)

Une agence pour gérer les systèmes d'informations de l'EU

Baptisé agence européenne pour la gestion opérationnelle des systèmes d'information à grande échelle, cet organisme sera responsable de la supervision d'une très vaste quantité de données sensibles. Trois bases de données sont aujourd'hui concernées : le futur système d'information Schengen de deuxième génération ou SIS II (base de données commune qui facilite l'échange d'informations sur les individus entre les forces de police nationales), le système d'information sur les visas ou VIS (une base de données qui permet aux États membres d'entrer, de mettre à jour et de consulter les visas et les informations biométriques associées, par voie électronique) et le système "Eurodac" (un système informatique permettant de comparer les empreintes digitales des demandeurs d'asile et des immigrants illégaux). L'agence sera aussi responsable de la gestion de tous les autres systèmes d'information qui pourraient être mis au point à l'avenir dans l'espace européen de sécurité et de justice.

Compte tenu de la sensibilité des informations stockées dans ces bases de données, les experts ont averti que la sécurité devrait être irréprochable pour éviter que de grandes quantités d'informations soient détournées par les cybercriminels. Plus tôt cette année, une attaque contre la Commission européenne a perturbé le système de messagerie, tandis qu'une intrusion sur le système communautaire d'échange de quotas de CO2 a vu au moins 30 millions d'euros de quotas d'émissions volés. 

Cette nouvelle agence sera également chargée de la gestion des systèmes d'informations qui pourraient être développés à l'avenir. Toutefois, chaque intégration d'un nouveau système devra faire l'objet d'une décision spécifique du Conseil et du Parlement européen. Selon le planning présenté par le Conseil de l'Europe, l'objectif visé est que l'agence commence à travailler au cours de l'été 2012. L'agence aura son siège à Tallinn, Estonie. Les tâches liées au développement et à la gestion opérationnelle seront réalisées à Strasbourg (France). Un site de secours sera installé à Sankt Johann im Pongau (Autriche)

 

 

 

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(12/09/2011 17:06:02)

Amazon proposerait un service e-book illimité avec sa tablette

Le mystère plane toujours sur la future tablette d'Amazon, mais les rumeurs vont bon train. L'idée pour Amazon serait de coupler sa future tablette, dite « low-cost », avec un abonnement mensuel de quelques dollars permettant aux utilisateurs d'obtenir un accès illimité à une bibliothèque, mise en place en collaboration avec ses partenaires. Le Wall Street Journal ignore en revanche combien d'éditeurs sont prêt à se lancer dans l'aventure.

Amazon doit lancer en novembre sa toute première tablette, vraisemblablement davantage une évolution de son fameux Kindle qu'un clone de l'iPad. Elle est régulièrement annoncée pour un prix inférieur à 300 dollars.

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(12/09/2011 16:59:20)

HP créé une division sur la sécurité regroupant ses différentes acquisitions

L'heure est à la consolidation des différentes acquisitions en matière de sécurité pour HP. Ce dernier a en effet décidé de regrouper les solutions de Fortify, ArcSight et Tipping Point, issu du rachat de 3Com, au sein d'une même division baptisée ESP (Entreprise Security Product). Elle sera dirigée par Tom Reilly, ancien PDG d'ArcSight et la partie opérationnelle sera assurée par John M Jack, ex-PDG de Fortify.

Philippe Roux, responsable marketing solutions d'entreprises chez HP explique : « nous passons de l'âge de pierre à l'âge de fer en consolidant nos produits de sécurité et nous les adaptons à la stratégie de l'entreprise instant-on ». Cette dernière comprend aussi bien la protection des machines choisies par les collaborateurs, au développement des réseaux sociaux, mais aussi à l'utilisation du cloud pour des besoins spécifiques et chroniques. « La gestion du risque se fait de manière continue et par conséquent nous nous adaptons à cela » précise Gael Barrez, responsable marketing produit chez Fortify France.

Une intégration en douceur


Du côté des produits, il ne faut pas s'attendre à une révolution. Il n'y aura pas pour l'instant « de changement de nom sur les différentes solutions » indique Philippe Roux. Seul prémisse de cette unification, la plateforme HP Security Intelligence and Risk Management, qui se veut une console unique de gestion de risque et de défense adaptative. Elle permet d'assurer « la sécurité à 360° » ajoute Gael Barrez, en référence au produit Fortify 360. Cette plateforme se reposera sur l'expertise du Digital Vaccine Labs ou DVLabs d'HP qui recense les menaces informatiques.

Au sein de cette plateforme, on retrouvera plusieurs solutions que HP a fait évoluer. Ainsi, ArcSight Express arrive en version 3, fournissant des capacités de corrélation, de gestion de log et de surveillance des utilisateurs. La suite Fortify Software Security Center, solution de test de la sécurité applicative se met au « on demand » pour gérer un volume de plus en plus important d'applications.

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(12/09/2011 16:29:26)

Samsung prépare une tablette sous Windows 8

Une tablette tournant sous Windows 8 - sur plate-forme ARM - serait pour Samsung une alternative pratique, au moment où le constructeur doit faire face à de lourdes attaques juridiques liées à l'utilisation d'Android dans ses tablettes Galaxy Tab. Cette tablette sous Windows serait une première pour Samsung, bien que le constructeur a déjà vendu des ordinateurs portables tournant sous le système d'exploitation de Microsoft. La semaine dernière, un tribunal allemand a aussi estimé que Samsung ne pouvait pas vendre sa Galaxy Tab 10,1 en Allemagne parce que son design était trop proche de l'iPad 2.

Apple a déposé un certain nombre de plaintes pour violation de la propriété industrielle et intellectuelle dans différents pays contre Samsung et contre d'autres constructeurs de tablettes et de smartphones tournant sous Android. Ces derniers mois, Samsung a également poursuivi Apple en justice au sujet de brevets liés à la technologie sans fil que l'entreprise californienne utiliserait dans les iPad et les iPhone. Au total, les experts ont recensé au moins 19 affaires judiciaires confrontant les deux entreprises dans neuf pays, dont une plainte déposée par Apple en avril devant un tribunal californien où la prochaine audience est prévue en octobre.

Echapper aux poursuites à répétition d'Apple

Samsung a déjà fait savoir qu'elle ferait appel de la décision rendue par le tribunal allemand. Cependant, en choisissant un autre OS, comme Windows 8, le constructeur pourrait sans doute mettre en place une alternative rapide pour vendre ses tablettes. Les experts juridiques font remarquer que ce changement d'orientation dans les choix technologiques prendrait beaucoup moins de temps que d'aller de procès en procès devant plusieurs tribunaux pour se battre sur chaque dossier, ou d'entamer de longues tractations avec Apple sur les droits de licence. D'autant que, au final, ces batailles juridiques pourraient se traduire par une augmentation du coût des produits pour Samsung.

Selon Jack Gold, analyste spécialisé dans les technologies chez J. Gold Associates, si Samsung livrait une tablette sous Windows 8, cela lui permettrait seulement d'éviter les poursuites en relation avec Android. Celui-ci fait remarquer que Samsung est un grand constructeur, qui a supporté depuis longtemps un grand nombre de systèmes d'exploitation et les a intégrés dans divers produits, même si, à ce jour, Samsung n'a construit que des tablettes sous Android. « Samsung supporte presque tous les OS. Donc cette tablette sous Windows 8 ne constituerait pas un choix exotique pour le constructeur, » a estimé Jack Gold. Celui-ci fait aussi remarquer que Samsung produit déjà des smartphones et des ordinateurs portables tournant sur différentes versions de Windows. «Une tablette sous Windows viendrait prolonger la ligne de portables du constructeur, et attirerait dans le même temps les utilisateurs qui souhaitent rester sous Windows, et en particulier les utilisateurs professionnels qui veulent avoir accès aux mêmes applications », a ajouté l'analyste.

Après les Windows Phones, les Windows tablettes

Samsung, comme d'autres, a déjà produit des smartphones - sur base ARM - animés par Windows Phone 7, même si Windows 8 sera très différent. « Le constructeur a même été l'un des premiers à essuyer les plâtres avec une « malheureuse tablette PC sous Windows, » Ultra-Mobile PC, ou UMPC, apparue sur le marché il y a quelques années, » a rappelé Jack Gold. Historiquement, Samsung a été un des premiers acteurs à sortir de nouveaux terminaux et de nouveaux facteurs de forme, et a déjà travaillé en étroite collaboration avec Microsoft et Intel. Il continuera à le faire désormais, » a déclaré l'analyste.

Crédit photo : D.R.

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(12/09/2011 16:18:02)

Trading algorithmique : Des robots traders prêts à supplanter l'homme

« Au Royaume-Uni, environ un tiers des transactions sont confiées à des ordinateurs qui exécutent des commandes définies par des algorithmes complexes, » fait valoir l'enquête Foresight, réalisée pour le gouvernement britannique, dans un document de travail publié avant le week-end. Néanmoins, cette proportion est significativement inférieure à celle observée des États-Unis, où les trois quarts des échanges d'actions sont exécutés par des ordinateurs. Londres reste aujourd'hui encore la principale place financière en Europe, loin devant Paris et Francfort. Les mutations au London Stock Exchange sont donc susceptibles d'influencer toutes les bourses en Europe comme l'a fait le « Big Bang » en 1986.

L'étude Foresight, menée par Dame Clara Furse, ancien directeur général de la Bourse de Londres, le London Stock Exchange, fait valoir que le trading algorithmique a des avantages, mais présente aussi des risques importants. Selon le rapport, il n'existe pas de « preuve directe » que ce type de trading accroit en lui-même la volatilité des marchés. Mais dans des circonstances particulières, peut se produire une série d'événements ayant des « interactions et des effets non souhaités » et susceptibles de causer de graves dommages.

Des effets secondaires imprévisibles

Parmi ces évènements, il y a les boucles de rétroaction à effet de renforcement, où de petits changements, résultant peut-être de retards dans l'acheminement des données ou de la prise en compte de nouveaux événements, provoquent un retour sur eux-mêmes et entraînent un changement beaucoup plus grand, qui va à nouveau agir sur lui-même. Un autre événement, la normalisation de la déviance, est plus psychologique : des événements inattendus et risqués sont perçus comme de plus en plus normaux, jusqu'à ce que le krach boursier se produise. Bien que limité en capital, le trading algorithmique repose sur des systèmes à ultrafaible latence - installés très prés des bourses - , et présente des risques en terme de liquidité. De plus, du fait d'une meilleure prévisibilité des flux d'ordres, il expose également le marché à des risques de manipulation.

L'étude reconnaît néanmoins que, grâce à ce mode de négociation électronique, la liquidité s'est améliorée, les coûts de transaction sont plus faibles, et l'efficacité du marché est généralement meilleure. Le document explique aussi que les progrès technologiques dans le domaine de l'extraction des informations vont générer plus de demandes pour le trading haute fréquence, mais l'augmentation du nombre d'acteurs va en limiter la rentabilité. En outre, « les systèmes sont de plus en plus «intelligents», et ne favorisent pas la nécessité du développement humain. « Les futurs robots traders seront capables de s'adapter et d'apprendre et pourront se passer en grande partie de l'homme, » indique le rapport. « Dans l'avenir, sur les grandes places financières, on n'aura besoin de beaucoup moins de traders « humains ». »

Mieux réglementer ces pratiques

Le professeur Sir John Beddington, conseiller scientifique pour le gouvernement, écrit dans l'introduction du document: « Alors que la prévalence du trading électronique n'est pas contestée, il existe des points de vue divers quant aux risques et aux avantages qu'il apporte aujourd'hui, et sur la manière dont il pourrait se développer à l'avenir. Mieux comprendre ces enjeux est essentiel, car ils affectent la bonne marche des services financiers et des économies toujours plus vastes, servies par ces systèmes. Les changements, de plus en plus rapides, dans le fonctionnement des marchés financiers, signifient que, dans ce domaine, la prospective est essentielle, d'autant plus s'il devient nécessaire de mettre en place un cadre réglementaire conséquent. »

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