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(08/09/2011 11:21:14)
Smartphones, Apple passera devant Nokia dés cette année
Le marché mondial des smartphones devrait progresser de 60% cette année par rapport à 2010 et atteindre les 462 millions d'appareils, selon une étude de Digitimes. Apple pourrait d'autre part devenir leader du segment avec 86,4 millions de smartphones vendus (+82%) contre 74,4 millions pour son concurrent Nokia en net déclin. Les trois plus gros fournisseurs - Apple, Nokia et Samsung - pourraient s'accaparer 72% du marché.
En termes de croissance, les gagnants devraient être les fabricants chinois avec des ventes en progression annuelle de plus de 400% pour Huawei et de plus de 300% pour ZTE. Selon Digitimes, les deux équipementiers profitent de l'essor d'Android, de leur relation avec les opérateurs mobiles chinois et de leurs prix très concurrentiels.
ICTJournal.ch
La suppression de Hadopi et la taxe de 1 euro de Martine Aubry critiquées
En début de semaine, Martine Aubry a rencontré les journalistes dans le cadre des primaires du Parti Socialiste en vue d'élire le candidat à l'élection présidentielle. En parlant d'Internet, le maire de Lille, est revenu sur la loi Hadopi dont elle souhaite l'abrogation. Pour la remplacer, elle veut mettre en place une contribution d'un euro sur les forfaits Internet. « Au lieu d'interdire [le téléchargement], on travaille sur l'idée de prélever un euro sur l'abonnement mensuel à internet pour financer les droits d'auteur ainsi que l'aide à la création » a expliqué la première secrétaire du PS. Ce prélèvement toucherait tous les internautes y compris ceux qui ne téléchargent pas. Le fonds ainsi récupéré s'adresserait en priorité à l'industrie musicale.
Imprécision et opposition
La proposition de Martine Aubry a été analysée par le SNEP (Syndicat National de l'édition Phonographique) cet été selon le site Electronlibre. Le syndicat avait alors indiqué que « même amendée, cette proposition est totalement déconnectée des réalités économiques des industries culturelles dans notre pays. Elle aurait de graves répercussions sur la diversité culturelle, l'emploi et l'innovation » et d'ajouter à l'attention de la candidate « il ne faut pas confondre le nombre d'internautes et celui des foyers abonnés à Internet ».
Du côté de l'UMP, la député des Alpes-Maritimes, Muriel Marland-Militello défend la loi Hadopi mais n'aborde pas son volet répressif bien connu des internautes : « la dépénalisation du piratage est justement l'un des fondements des lois Hadopi qui mettent en oeuvre la pédagogie en lieu et place de la sanction pénale. » On ne comprend pas très bien ou est la dépénalisation de Hadopi puisque la sanction est devenue administrative et expéditive. La députée tente maladroitement d'ironiser sur la taxe d'un euro : « Madame Aubry considère-t-elle que les internautes sont naïfs au point de croire l'ineptie que l'équivalent de l'achat d'un titre de musique par mois pourrait financer la création artistique ? ». Elle qualifie ce prélèvement de « casse du siècle », alors que les socialistes, à l'exception notable de Jack Lang, ont toujours indiquaient qu'ils abrogeraient Hadopi pour la remplacer par une licence globale.
Novedia Nantes passe dans le giron de Devoteam
Déjà bien implanté dans l'Ouest de la France, le groupe Devoteam y poursuit son expansion. Le premier septembre, la SSII a réalisé l'acquisition de l'agence nantaise de Novedia, une société spécialisée dans le conseil et la réalisation d'applications web et mobiles. Sous peu, la vingtaine de salariés de cette structure rejoindra les 200 collaborateurs de Devoteam basés à La Chapelle-sur-Erdre, près du Chef-lieu de la Loire-Atlantique.
Affichant un portefeuille d'une soixantaine de clients récurrents, Novedia Nantes réalise un chiffre d'affaires d'environ 1,5 M€. L'agence est dotée d'une équipe de développeurs aux compétences très pointues qui délivre des prestations d'assistance technique autour de Java et de la BI ainsi que des services de développement d'applications au forfait. Bien qu'elle propose également des prestations autour de l'applicatif au niveau national, Devoteam est en revanche bien moins avancée sur ce plan dans l'Ouest. Pour preuve, cette activité qui représente environ un quart du chiffre d'affaires du groupe ne génère que 5% de ses revenus dans l'Ouest. Les 95% restant sont issus de la fourniture de services autour de l'architecture, le métier historique de Devoteam.
Rattraper le retard de Devoteam Ouest dans l'applicatif
« Le rachat de Novedia Nantes traduit au niveau local la volonté du groupe de développer son chiffre d'affaires globale autour de l'applicatif, explique Laurent Payen, le directeur des régions de la SSII. Outre le fait que nous disposions désormais d'une équipe d'experts en la matière, nous avons également confié à une personne la responsabilité de développer cette activité dans l'Ouest. » La personne en question est Anne Hugolin, une collaboratrice issue des rangs de Novedia Nantes.
Reste encore à savoir quelles prestations seront immédiatement proposées par Devoteam Ouest dans le domaine de l'applicatif. Deux possibilités existent : continuer de pousser en priorité les services développés par Novedia Nantes ou lui associer dès le départ le catalogue de services développé par Devoteam. « Nous ne voudrions pas que le fait d'imposer directement l'offre de Devoteam nuise à l'exploitation du savoir-faire des équipes de Novedia Nantes, précise Laurent Payen. Si notre choix devrait être de temporiser, cela n'irait toutefois pas au-delà d'une période d'un an. »
A eux deux, Devoteam Ouest et Novedia Nantes représentent un chiffre d'affaires de 15 M€ environ. Pour le faire croître, l'agence de la SSII va notamment s'atteler à se faire référencer dans les services achats des entreprises qui centralisent à Paris leur référencement fournisseurs.
Illustration : Laurent Payen, directeur des régions Devoteam, crédit photo D.R.
Semestriels Computacenter : Retour aux bénéfices en France
Le premier semestre 2011 est à marquer d'une pierre blanche pour la filiale française du groupe de distribution britannique. Pour la première fois depuis des années, l'entreprise a enregistré un bénéfice opérationnel positif à 200 K€, à comparer à une perte qui atteignant 1,4 M€ l'an dernier. La consolidation des comptes de son homologue Top Info, racheté en février dernier, explique ce retour dans le vert. Sans son apport, Computacenter France aurait affiché une perte opérationnelle de 0,4 M€, ce qui constitue déjà en soi un redressement notable de sa situation. Pour ne rien gâcher, le chiffre d'affaires du revendeur est en hausse de 33,7% à 248 M€ dans l'Hexagone. La encore, l'entrée de Top Info dans le giron du groupe a pesé lourd puisque sa participation aux revenus issus de la vente de produits en France s'élève à 34,7 M€ sur un total de 214,5 M€ (+39,4% sur un an). L'activité services a dégagé quant à elle un chiffre d'affaires en hausse de 17,6%.
Forte hausse de l'activité en Allemagne, baisse Outre-Manche
En Allemagne (où les résultats de l'activité au Luxembourg sont désormais consolidés), l'activité du groupe Computacenter a également connu une belle envolée avec un chiffre d'affaires de 660 M€, soit une progression de 27% sur un an. Une croissance soutenue par la progression des ventes de services (+9,9%) et surtout par les ventes de produits qui se sont envolées de 36,8%. En termes de revenus, la filiale allemande est ainsi devenue la plus importante du groupe devant le Royaume-Uni au premier semestre 2011. Elle reste toutefois seconde en termes de résultat opérationnel (9,5 M€ contre 3,4 M€ au premier semestre 2010).
C'est en effet toujours Computacenter UK qui occupe la première place sur ce point avec 19 M€ de bénéficies opérationnels contre 20,6 M€ au premier semestre 2010. Une belle performance quand on sait que son chiffre d'affaires a reculé de 16% à 622 M€. Une baisse d'activité qui s'explique par la chute de 22,6% des ventes de produits et une croissance de seulement 0,7% pour les services.
Un centre de services BI/MDM chez Sanofi Pasteur
Filiale vaccins du groupe Sanofi, Sanofi-Pasteur administre plus de 120 applications et gère plus de 30 projets informatiques par an. Pour améliorer la productivité, et la réactivité des équipes ainsi que pour mutualiser des coûts et accroître le niveau de service, l'industriel a souhaité mettre en oeuvre un centre de services unique pour assurer à la fois la maintenance applicative et la gestion des nouveaux projets, pour l'ensemble des technologies employées en business intelligence (BI) et en gestion des données de référence (MDM, master data management).
Le centre de services comprend une vingtaine de personnes et des référents par domaines. Ceux-ci gèrent les projets courants et peuvent faire appel à la sous-traitance pour les projets importants. Cette sous-traitance ainsi que l'assistance à la mise en place du centre de services ont été confiées à la SSII Business et Décision.
Crédit D.R. (...)
En France, 26% des ordinateurs équipés de logiciels piratés
Comme tous les ans, le BSA remet son rapport sur l'état du piratage logicielle dans le monde. C'est sans surprise dans les pays en voie de développement que les proportions de programmes piratés sont les plus importantes. Le parc chinois recèle ainsi 86% d'ordinateurs concernés, juste devant le Nigéria (81%) et le Vietnam (76%). L'étude démontre par ailleurs que la majorité des "pirates" de ces pays ignore qu'il s'agit de pratiques illégales. La France, elle, compterait selon BSA 26% d'ordinateurs plus ou moins équipés en logiciels piratés. Ce score monte à 34% pour les Etats-Unis.
Robert Holleyman, PDG de BSA, explique que "des centaines de millions de voleurs se sont appropriés l'équivalent de 59 Mds$ en logiciels l'an passé [...] Il est désormais évident que pour faire baisser ce chiffre, il va falloir éduquer les internautes sur ce qui est légal ou pas, tout en renforçant les lois sur la propriété intellectuelle." Ce qui est regrettable, c'est que très souvent, il est possible d'utiliser des logiciels Open Source en lieu et place d'applications commerciales. Mais faute d'informations ou simplement de curiosité, les utilisateurs préférent utiliser chez eux les mêmes logiciels que dans leur entreprise mais sans acquitter de licence.
Cette étude, réalisée par Ipsos pour le compte de BSA, a été menée auprès d'environ 15 000 utilisateurs de PC dans 32 pays.
Crédit photo : Drewfitz/shutterstock.com
HP dévoile son cloud public en version bêta
Après plusieurs mois de réflexion, HP dévoile enfin son offre de cloud public avec une offre IaaS en version bêta, nommée HP Cloud Services. Celle-ci comprendra, Cloud Compute et Cloud Object Storage, qui fournira des ressources de calcul et de stockage depuis les datacenters d'HP. Le constructeur va utiliser l'ensemble des outils OpenStack pour ces services. HP a en effet rejoint le projet OpenStack en juillet dernier. Pour la période en bêta, HP ne facturera pas les deux services. Par contre en version finale, les clients seront facturés sur un mode pay-as-you-go.
HP souhaite fournir ces services pour un large éventail d'utilisateurs potentiels, y compris les développeurs, les éditeurs de logiciels indépendants et les entreprises. La société affirme que l'utilisateur peut disposer des ressources en quelques minutes. Le service de stockage peut être utilisé pour sauvegarder des informations, du contenu statique sur le web, ou pour stocker de grands ensembles de données, soit pour une consommation privée ou publique. Les utilisateurs peuvent également télécharger rapidement des machines virtuelles sur le cloud de HP pour utiliser des ressources informatiques. Sur ces deux services, les clients peuvent gérer leur travail grâce à un portail web et des API basées sur REST (Representational State Transfer).
Elargir l'expérimentation
HP a déjà testé les services avec quelques utilisateurs et monte à présent en puissance pour réaliser des expérimentations supplémentaires. La société signale que, lors de la version bêta, les clients ne devraient pas déployer de services de production. HP n'a pas révélé le tarif envisagé pour ses services, ni quand ils seront disponibles à grande échelle. La société rejoindrait alors d'autres vendeurs de IaaS, comme Amazon, IBM, Microsoft et Rackspace.
Cette offre n'est pas la première incursion de HP dans le pay-as-you-go. En 2005, le constructeur avait lancé un projet pour le calcul et les applications, appelé Infrastructure Provisioning Service et Application Provisioning Service
Pour utiliser ce cloud, les utilisateurs peuvent s'inscrire sur le site de Hewlett-Packard. Les utilisateurs recevront des factures factices, mais ils ne seront pas débités. Pour cette phase de test , HP offrira tout de même un support par téléphone, chat, web et courriel.
Université d'été 2011 : Les outils de la DSI présentés aux décideurs
Trois jours pour transmettre aux porteurs de projets, qu'ils interviennent à un niveau stratégique, tactique ou opérationnel, un état de l'art sur les méthodes, pratiques et technologies qui peuvent contribuer à la réussite de leurs objectifs de transformation. Pour sa deuxième année, l'Université d'été organisée par le cabinet Daylight Group, avec l'ENSIIE et l'IAE de Lille, propose en douze sessions, du 12 au 14 septembre, un concentré des fondamentaux à l'oeuvre dans les directions des systèmes d'information, expliqués par des experts de ces sujets et des hommes du métier. Le programme couvre l'essentiel des modèles utilisés. En partant de référentiels, normes ou méthodes tels que CMMi, ITIL / ISO 20 000, CobiT / Val IT, PMBok, Prince 2 ou eSCM, qui rassemblent les meilleures pratiques autour du développement logiciel, du système d'information et de sa gouvernance, de la gestion de projets ou des relations clients/fournisseurs. Jusqu'aux méthodes de programmation agiles Scrum et XP (Extreme programming).
Des sessions sont également consacrées à la Business Intelligence et au cloud computing, respectivement animées par Louis Naugès, PDG de Revevol, et Fernando Iafrate, Senior manager BI chez Disney (*). La session sur le cloud computing abordera notamment la bureautique 2.0 et les applications en mode SaaS (software as a service). Celle consacrée à la Business Intelligence comportera un focus sur le Yield Management et l'optimisation des performances opérationnelles.
Les pièges à éviter et des cas pratiques
« Pour chaque session, nous demandons à l'expert de présenter le référentiel ou la méthode en question, ses conditions de mise en oeuvre, les pièges à éviter, et de le positionner par rapport au corpus global de modèles, le tout illustré par un cas pratique », détaille Fadi El Gemayel, PDG du cabinet de conseil en ingénierie organisationnelle Daylight Group. « L'objectif, en termes de pédagogie, ce n'est pas de sortir de ces sessions avec un savoir-faire opérationnel, mais de donner au chef de projet ou au décideur stratégique les moyens de discerner et de comprendre dans quel cas ces différents outils peuvent être utiles à son entreprise ou à son projet », ajoute-t-il. « Ce sont des sessions de culture générale sur lesquelles nous avons mis un point d'honneur à recruter ceux qui nous semblaient vraiment être les meilleurs dans leur discipline, un processus de relecture des supports par un comité technique ayant par ailleurs été mis en place pour s'assurer que la personne qui vient assister à une demi-journée en tire une véritable valeur ajoutée. » Les notes attribuées aux sessions sont affichées instantanément à leur issue. L'édition 2010 a recueilli un taux de satisfaction de 90%.
L'édition 2011 se clôt le mercredi à 19 heures sur une table ronde, ouverte au grand public, sur le thème « Projets, organisation et SI, au coeur de la compétitivité française ». Cette discussion réunira, aux côtés du PDG de Daylight Group, le directeur du Pole de recherche en économie et gestion de l'Ecole Polytechnique, Pierre-Jean Benghozi, ainsi que Francis Massé Secrétaire Général de la DGAC, Michel Volle, président du groupe de travail « Informatisation » de l'Institut Montaigne.
Un observatoire des projets
Que ce soit au niveau de l'échelon politique ou de l'échelon stratégique, les décideurs manquent de vision sur ce qu'ils peuvent faire avec l'organisation et les systèmes d'information, constate le PDG de Daylight. « Et s'ils ont des idées, ils ont des difficultés pour mener les projets de transformation, ce qui conduit à des taux d'échec qui sont inacceptables. On reste prisonnier d'un cadre où les systèmes d'information sont considérés comme un problème d'informaticiens. On est très loin de ce qu'on pourrait faire. »
Fadi El Gemayel rappelle qu'il existe toujours un cloisonnement entre quatre catégories d'intervenants : les politiques, les décideurs « au sens stratégique du terme », les praticiens qui ont le savoir-faire sur le terrain et les scientifiques. « Ce sont des populations qui se parlent très peu. Eventuellement deux à deux, mais jamais toutes en même temps. Cela pose un véritable problème à l'échelle de l'économie française », estime-t-il. Les projets de transformation, à composante SI et organisation, sont un levier de compétitivité française qui est très peu pris en compte. On compte très peu d'entreprises ou d'administrations qui ont de véritables directions de l'organisation avec une vraie stratégie pour déployer les processus et être performant. »
Pour disposer de données plus précises, le cabinet de conseil a lancé un « observatoire des projets ». A partir d'un questionnaire, adressé à des décideurs en SI d'entreprises privées et publiques de plus de 250 salariés, il permettra d'étudier le niveau de réussite et de maîtrise de ces projets et de faire le lien avec les moyens, l'organisation et les méthodologies déployés en regard. « Les premiers résultats dont on dispose montrent que trop de projets échouent parce que l'on ne met pas les moyens pour les faire réussir », expose Fadi El Gemayel. Les résultats complets de cet observatoire seront communiqués à la fin de l'année par Daylight.
(*) Pour consulter le programme des sessions et s'inscrire : http://www.universite-des-projets.org.
(*) L'Université d'été 2011 est organisée par Daylight Group, en partenariat avec l'ENSIIE, école d'ingénieurs spécialisée en informatique, l'IAE de Lille, CIO-Online et Le Monde Informatique. Elle prévoit d'accueillir une trentaine de participants.
Illustration : Fadi El Gemayel, PDG de Daylight (crédit : D.R.)
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