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(01/09/2011 12:16:42)
iPhone 4S et 5 d'Apple : un point sur les rumeurs
Le site MacPost a présenté des photos des composants de l'écran à cristaux liquides, et le bouton Home. Le média web semble convaincu que ces éléments sont intégrés dans un iPhone 4S à bas coût et non l'iPhone 5.
L'écran LCD est étiqueté avec « N94 EVT1 », selon MacPost, et porte également la date 3 Mars 2011. Le panneau d'affichage et le bouton Home semblent être exactement les mêmes que ceux sur l'iPhone 4, ce qui jette un doute sur les théories assurant que ce bouton serait allongé et supporterait les gestes latéraux.
Et du côté de l'iPhone 5
Sans savoir si il y a aura deux téléphones de présentés, les dernières rumeurs concernant l'iPhone 5 indiquent qu'Apple aurait finalement choisi un écran inférieur à 4 pouces, 3,7 pouces exactement. Certains s'attendaient à voir un écran de 4 voire 4,2 pouces. Une photo apparue sur la version beta de l'application Photo Stream d'Apple montre le design de ce que pourrait être la version 5 (bouton Home allongé, taille d'écran de 3,7 pouces). Autres éléments évoqués par la presse, la coque arrière pourrait être faite de métal et non en verre comme sur l'iPhone 4. La caméra/appareil photo serait dotée d'un capteur 8 millions de pixels.
A la mi-août, les rumeurs concernaient la date de sortie du ou des prochains terminaux mobiles Apple sur l'intégration de la 4G. Plus récemment, le site Cnet a indiqué qu'un prototype de l'iPhone 5 avait encore été oublié dans un bar de San Fransisco à la fin du mois de juillet et que la firme de Cupertino n'a pas réussi à remettre la main dessus.
Il faut maintenant attendre les prochaines rumeurs et surtout la date officielle de la présentation par la firme de Cupertino.
Illustration: Extrapolation du design de l'iPhone 5 depuis l'application Photo Stream
Crédit Photo: D.R
(...)(01/09/2011 12:14:33)La démarche agile influe sur l'organisation au-delà de la DSI
Dix ans après la publication du « Manifeste pour un développement agile des logiciels », à l'initiative d'un groupe de développeurs et de consultants, ces pratiques ont essaimé au-delà de la sphère des développeurs, ainsi que l'ont expliqué les co-auteurs du texte à la conférence Agile 2011, à Salt Lake City. Une évolution qui fait aussi son chemin de ce côté-ci de l'Atlantique. Mathieu Gandin, consultant coach agile chez Octo Technology, confirme que la démarche « agile » entraîne des répercussions au-delà de la DSI. Il rappelle que l'accélération autour des projets agiles s'est opérée vers 2005/2006, alors qu'il n'y en avait jusque-là qu'un nombre restreint. « Les premiers retours d'expérience montrent que la démarche génère des impacts sur toute l'organisation dans laquelle travaillent les personnes impliquées », confirme-t-il. « Les personnes qui travaillent en mode agile cherchent à former une équipe orientée produits alors que nous travaillons généralement dans des organisations découpées par silos : direction métier, DSI, marketing... Dans ce contexte, passer à un projet agile implique de former une équipe avec tous ces acteurs -c'est-à-dire, un représentant des utilisateurs, une maîtrise d'ouvrage, des développeurs, des managers, des architectes, des personnes de la production...-, et de permettre la collaboration entre ces personnes. » Cette réorganisation touche aussi potentiellement la Direction des ressources humaines, explique-t-il, puisque les objectifs de chacun peuvent en être modifiés.
Travailler sur l'organisation
« La dynamique d'équipe va être différente, plus large, décrit Mathieu Gandin. Dans ces grandes entreprises, l'enjeu va donc consister à organiser une équipe autour d'un produit plutôt que par pôle d'activité. La façon dont on manage ces équipes ne sera pas la même. On sort donc progressivement du manifeste agile pour arriver à un travail sur l'organisation. Ce sont des choses sur lesquelles il faut travailler en tant que coach agile. Et dans le cas de petits projets au sein d'une grande structure, le coach agile va davantage travailler avec l'équipe sur l'amélioration de ses pratiques. »
Depuis 2001, l'agile est généralement perçu comme un axe d'amélioration. Mais il y a effectivement des entreprises où, en termes d'efficacité, on peut être en dessous de ce qui se faisait avant. Une enquête déjà ancienne, réalisée en 2008 par Scott Ambler, responsable de la méthodologie pour Agile et Lean chez IBM Rational Canada, montrait qu'une forte majorité des répondants (plus de 80%) estimaient que l'approche agile avait amélioré la productivité des équipes de développement, par comparaison avec les approches traditionnelles (amélioré sensiblement selon 60% et un peu selon 22%). En revanche, 13% ne voyaient aucun changement et 5% une productivité moindre.
Les nouvelles approches pour livrer plus vite
« Dans les premiers temps, la démarche agile s'est surtout centrée autour de deux mouvements assez forts, Extreme programming et Scrum, dont les promoteurs ont d'ailleurs participé au Manifeste, rappelle Mathieu Gandin. Aujourd'hui se sont également développées trois autres approches : Software Craftmanship qui met l'accent sur l'amélioration des pratiques de développement, DevOps, qui vise à fluidifier le plus possible le travail entre les développeurs et les exploitants, ainsi que Lean Startup. On peut voir ces évolutions dans les dix ans du manifeste. On a appris à rapprocher toutes les personnes qui vont de la production au développement pour livrer en quelques mois. »
Illustration : Les bonnes pratiques de la modélisation agile, selon Scott W. Ambler (source : site www.agilemodeling.com)
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Lean Startup, notamment, emprunte aux méthodes agiles et au lean management dans le cadre de la réalisation de nouveaux produits dans des conditions d'incertitude assez importantes, explique le consultant coach agile. « On va, par exemple, regarder régulièrement la manière dont les internautes utilisent le produit web pour vérifier si les hypothèses du début étaient bonnes ou pas et éventuellement les modifier. Ici, on va pouvoir s'aider des méthodes issues de l'Extreme Programming pour développer le produit logiciel plus efficacement et utiliser les principes de feedback pour savoir comment l'utilisateur se sert, ou pas, de l'application, afin d'adapter le produit logiciel en fonction de ces résultats. Ce sont des dimensions qui n'étaient pas autant explorées lors de l'écriture de Manifeste Agile. »
Des principes de base quelquefois malmenés
A la conférence Agile 2011, l'un des auteurs du manifeste publié en 2001, a par ailleurs regretté qu'il puisse y avoir quelquefois un manque de respect des principes de base associés au développement agile de logiciels. « Il y a eu un important nivellement par le bas du mode agile lorsqu'il a rattrapé la programmation 'waterfall' [en cascade]», a ainsi estimé Brian Marick. Pour d'autres co-auteurs, comme Ron Jeffries et Martin Fowler, tout le monde veut faire de l'agile et trop peu veulent le faire bien, le deuxième constatant que, parfois, certains se réclamant d'agile n'en font pas en réalité, ce qu'il estime être une conséquence du succès rencontré par ce mouvement.
Interrogé sur cet aspect des choses, le consultant coach agile chez Octo Technology pense que les problèmes liés au manque de respect des principes de base surviennent « lorsque les méthodes agiles sont imposées à une équipe de développement qui n'est pas motivée par ce type de pratiques ». Il juge important, pour l'éviter, que le coach agile puisse travailler suffisamment en amont avec l'équipe de développement, afin d'évaluer ses motivations avant de démarrer son accompagnement vers un changement de méthode.
Illustration : Les bonnes pratiques de la modélisation agile, selon Scott W. Ambler (source : site www.agilemodeling.com)
(...)(01/09/2011 11:46:35)
Une billetterie en mode SaaS pour les bus en Languedoc-Roussillon
Les conseils régionaux sont responsables des politiques locales de transports publics. En Languedoc-Roussillon, il existe dix lignes routières régionales (transports publics par autocars) dont la billetterie était gérée avec une solution en fin de vie opérée par la SNCF. La collectivité a alors cherché à obtenir une solution qu'elle maîtriserait de manière centralisée.
Après appel d'offres, c'est la solution Psibus.net de Jidélec qui a été retenue. Cette solution est proposée en mode SaaS, les responsables de la collectivité pouvant administrer leur service par une interface web et ressortir toutes les informations d'exploitation en temps réel.
Les autocars sont désormais équipés de terminaux mobiles permettant la délivrance et le contrôle de titres de transport communiquant leurs données en temps réel vers le back office. Le déploiement de ces terminaux dans les autocars a été réalisé en une seule journée par Jidélec. Les chauffeurs ont été formés au cours d'une autre journée.
Le coût de la solution n'a pas été communiqué.
La SSII UBI milite pour des centres de télétravail
A Strasbourg, La SSII UBI ne se contente pas du business quotidien, mais veut garder la tête hors de l'eau. Son PDG, Jean Christophe Uhl, anime la commission télétravail du think tank régional Ten4Alsace. « Je m'intéresse depuis des années aux usages, et particulièrement au télétravail qui devrait mailler toute la région Alsace » nous explique-t-il. Il met en pratique cette inclinaison en ouvrant dans ses locaux un centre de télétravail.
« Beaucoup de gens dans le monde du télétravail s'autocensurent, les salariés par rapport à la frontière travail / vie personnelle, les managers qui craignent que le salarié s'occupe des enfants ou regarde la télé ». Il faut donc des lieux dédiés au télétravail, mais à proximité des zones urbaines. La formule est celle d'un abonnement sur plusieurs jours, le salarié venant dans les locaux suivant ses besoins. Autre avantage, une fois dans les lieux, les salariés vont échanger et développer leurs demandes et leurs besoins. Un rapport (révélé par nos confrères d' e-alsace), commandé par la Préfecture de région au cabinet Items, proposait dix recommandations pour encourager le télétravail.
Du speed dating sur l'innovation
Par ailleurs, UBI participe à une nouvelle opération en Alsace, baptisée Démo Alsace. Il s'agit sur un modèle californien, de type speed dating, d'organiser une réunion courte. Elle débute par des démos, 5 ou 6 à chaque fois, sur des innovations. L'assistance est debout, 200 personnes sont attendues. La série de démo se prolonge par des contacts. Une première réunion a lieu le 13 septembre chez UBI, à partir de 18 heures, avec comme innovations : une gestion des accès, du collaboratif, la visiconférence Cisco. « Il faut sortir des démos powerpoint » note avec humour Jean Christophe Uhl.
Résultats Devoteam : un semestre en croissance, mais avec une érosion des marges
La SSII Devoteam a dégagé une marge d'exploitation de 13 millions d'euros (M€) pour le compte du premier semestre de son exercice 2011. Un montant stable comparé à il y a un an mais qui ne représente plus que 4,9% de son chiffre d'affaires contre 5,4% précédemment. « Hors impact ponctuel de Wola Info [Ndlr : une société polonaise rachetée en mai 2010], en perte de un million d'euros sur le semestre, la marge est quasi stable à 5,3% du chiffre d'affaires », précise toutefois le communiqué publié par la société. Le résultat opérationnel recule quant à lui de 7% à 11,7 M€, conséquence de la comptabilisation d'un profit exceptionnel de 4,7 M€ en 2010 sans lequel il aurait été en croissance de plus de 40%. Au final, le résultat net part du groupe ressort à 6,9 M€, soit une baisse de 6% comparé au premier semestre 2010.
CA en hausse de 12%
Malgré l'effritement de ses marges, Devoteam reste une entreprise en croissance. Sur le semestre, son chiffre d'affaires a progressé de 12% à 268,5 M€. Une hausse à la fois soutenue par son pôle Technology Consulting, dont les revenus ont progressé de 8,8% (+3,5% en organique) à 220 M€, et surtout son pôle Business Consulting qui a généré un chiffre d'affaires de 48 M€ en croissance de 28% (+16,7% en organique).
Pour l'ensemble de l'exercice 2011, Devoteam maintient son objectif de chiffre d'affaires de 530 M€. Elle réitère également sa prévision d'une marge d'exploitation de 6%, précisant toutefois que « les incertitudes liées à l'environnement actuel la rendent plus difficile à réaliser. »
SCC se développe dans l'interactivité et le multimédia
La nouvelle activité, interactivité et multimédia, est logée au sein de la division «convergence». Elle est animée par Cédric Dervaux passé par Hypcom Technologies, un grossiste, et Smart Technologies, fabricant de TBI (tableaux blancs interactifs). L'idée pour SCC est d'être pro-actif sur des marchés émergents. Ceux du collaboratif autour de supports comme les TBI, les tablettes, les smartphones et même la téléphonie fixe. SCC vise l'équipement des salles de conférence et des auditoriums. Les clients appartiendront à deux segments, celui de l'éducation nationale et celui des entreprises. SCC s'appuie d'abord sur l'offre Cisco DMS, digital media system pour l'affichage dynamique sur écran.
Par ailleurs, trois business unit de SCC France changent de titulaire. Olivier Frerebeau devient le responsable de la bu «convergence». Il a un parcours très orienté chanel : Alium, APC, 3Com, Westcongroup. SCC indique trois objectifs pour le nouveau responsable : chiffre d'affaires, qualité de service et positionnement. Stéphan Cottet, venu de Epson, devient responsable de la bu Managed print services. Anne Morin, venue de Télindus, devient responsable de la bu Cisco UCS Oracle HW (et des offre de cloud computing associées).
Le premier de ces nouveaux responsables pallie un départ, les deux autres arrivent suite à des évolutions internes.
DreamForce 2011 : Cap sur l'entreprise collaborative
A l'occasion de la neuvième édition de DreamForce à San Francisco, événement également appelé Cloud 9, tout le quartier du Moscone Center est aux couleurs de Salesforce.com. Les organisateurs de la grande messe du cloud computing attendent pas moins de 42 000 visiteurs, selon les organisateurs, à la grande satisfaction de Marc Benioff, le très en verve CEO de Salesforce.com, qui poursuit toujours l'ambition d'éclipser Microsoft, mais surtout Oracle et son bouillonnant CEO, Larry Ellison. Oracle qu'il qualifie volontiers de faux fournisseur de cloud (voir illustration ci-dessous). Début octobre, à l'occasion d'Oracle OpenWorld et de JavaOne, toujours à SF, on verra bien si la compagnie de Redwood Shores restera sans répondre.
Véritable bête de scène, Marc Benioff a tenté de convaincre son auditoire de l'urgence de passer à l'heure du social networking dans les entreprises avec sa longue démonstration sur la « social revolution » et particulièrement de son application professionnelle la « social entreprise ». C'est le thème clef de cette manifestation.
Marc Benioff, CEO de SalesForce.com, durant son 1er keynote à San Francisco
Internet à l'heure de la révolution sociale
« Les cultures changent ; après les récentes révolutions, avez-vous entendu les manifestants crier ou écrire sur les murs merci Microsoft ou merci IBM. Non, c'était merci Facebook. Nous entrons dans une ère nouvelle. Nous voyons que c'est plus important que ce qu'il y avait avant. Nous sommes à l'ère de la social révolution. » Pour le dirigeant, la question posée aux utilisateurs est de savoir comment les entreprises vont franchir le fossé entre réseaux sociaux et monde du travail. « L'industrie change très vite et nous devons évoluer encore plus rapidement. » Voilà pourquoi Salesforce.com poursuit sa politique de mise à jour régulière et annonce l'arrivée de la release Winter 12 qui introduit de nombreux changements dans Chatter, l'outil collaboratif de l'éditeur californien. En plus des fonctionnalités classiques de réseau social comme les profils utilisateurs, la mise à jour du statut, l'information en temps réel et le partage de fichiers, Chatter proposera dès octobre 2011 une API de connexion pour ouvrir le système et s'intégrer par exemple à SharePoint. Les autres améliorations portent sur l'indication de présence des utilisateurs, le chat et le partage d'écran. La technologie utilisée est issue de l'acquisition par Salesforce.com du fournisseur de solution de collaboration DimDim.
Selon un responsable de Salesforce, 100 000 entreprises environ utilisent « activement » Chatter aujourd'hui. Impossible par contre de connaître le pourcentage réel d'employés au sein des entreprises utilisant régulièrement cet outil. Ce service est gratuit pour les clients de SalesForce.com qui peuvent également d'inviter à collaborer avec eux des personnes extérieures à leur entreprise en mettant en place des groupes privés. Les utilisateurs externes ne peuvent voir que les documents attachés à leur groupe et sont clairement étiquetés comme une personne extérieure.
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L'autre révolution que prépare activement Marc Benioff est l'explosion du nombre de terminaux mobiles dans le monde. « Pas moins de 16 milliards de smartphones et de tablettes sont attendus en 2013 », souligne le dirigeant. Après la version mobile de Chatter pour mobiles et tablettes animés par iOS et Android, l'éditeur mise sur le HTML5 pour proposer une nouvelle génération de logiciels dans le cloud. Baptisée Touch.Salesforce.com, cette plateforme permettra par exemple de supporter toutes les fonctionnalités de mouvements par gestes d'un iPad dans une page HTML5. Les interactions entre toutes les applications de SalesForce.com (CRM, Chatter, base de données) seront bien sûr possibles. « Avec cette solution, il ne sera plus nécessaire de télécharger et de mettre à jour les applications pour bénéficier d'un environnement de travail parfaitement fonctionnel. Les utilisateurs peuvent accéder à toutes les données, et toutes les personnalisations qu'ils ont faites dans Salesforce.com », a indiqué Al Falcione, vice-président du marketing produit. « Les applications personnalisées construites sur la plateforme Force.com travailleront avec ce nouveau service.
Touch.Salesforce.com sera disponible au début de l'année prochaine. Le prix de ce service n'a pas été défini, mais comme tous les produits de la maison, il sera calculé sur le nombre d'utilisateurs.
L'entreprise doit devenir un hub social
Une bonne partie du keynote de Marc Benioff était également dédiée à l'entreprise collaborative. Il s'agit tout simplement pour les entreprises de créer un réseau social avec leurs partenaires et leurs clients. Cette composante se traduit par la création de profils de « social clients » qui rejoint le métier de base de l'éditeur, le CRM (c'est-à-dire la gestion de la relation client). Traditionnellement, les entreprises collectent de nombreuses données sur leurs clients : nom et adresse e-mail par exemple, mais les sites de réseaux sociaux comme Facebook et Twitter recèlent énormément d'informations sur ces clients et pas seulement du texte, l'analyse des photos est également très instructive. Des données qui permettent selon l'éditeur « d'engager et de maintenir une relation plus profonde ».
Salesforce.com travaille également avec de nombreuses entreprises sur le développement de réseaux sociaux internes très sophistiqués. Chez Toyota avec MyToyota par exemple qui fournit un tableau de bord personnalisé aux utilisateurs de Prius sur le niveau de charge de leur véhicule, les parcours effectués, le temps d'utilisation..
Dans le cadre de la promotion de cette entreprise collaborative, l'éditeur offre désormais un accord de licence globale qui inclut l'accès à Salesforce Sales Cloud, Salesforce Service Cloud, Salesforce Chatter, Salesforce Radian6, Force.com, et Heroku Database.com. La tarification dépendra de la taille de l'entreprise.
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