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(28/06/2011 17:38:13)
iCloud: ce qui va changer pour les utilisateurs de MobileMe
Début juin, Apple a annoncé qu'il débrancherait MobileMe en 2012, soit plusieurs mois après avoir mis en route iCloud. Mais jusqu'à la semaine dernière, Apple a laissé les utilisateurs de MobileMe dans le noir, ne sachant pas ce qui serait conservé et transféré vers iCloud et ce qui disparaîtrait. La FAQ d'Apple intitulée « Passage de MobileMe à iCloud » donne quelques réponses.
Sera-t-il encore possible d'accéder à sa messagerie, à son agenda et à ses contacts sur le web ?
La réponse est Oui. A l'automne, quand iCloud sera opérationnel, les utilisateurs pourront continuer d'accéder à leur mail, à leurs agendas et à leurs contacts, trois des applications actuellement disponibles sur MobileMe. Apple a indiqué qu'il donnerait plus de détails sur la manière de migrer le mail, l'agenda et les contacts de MobileMe vers iCloud lorsque ce service sera effectivement en ligne.
Que se passe-t-il avec iDisk et les fichiers stockés sur cet espace ?
iDisk ne migrera pas vers iCloud. Mais Apple ne déconnectera pas le service MobileMe avant le 30 juin 2012. Ce qui laisse aux abonnés un peu plus d'un an de répit : pendant ce temps, ils pourront continuer à télécharger des fichiers depuis et vers l'espace iDisk de 20Go. Avant que MobileMe ne disparaisse, les utilisateurs devront récupérer les fichiers stockés dans iDisk sur leur Mac ou leur PC. Les instructions pour réaliser cette sauvegarde seront disponibles sur le site d'Apple. (...)
Dassault Systèmes va accueillir ses développeurs dans le cloud
Le spécialiste français des univers virtuels en 3D, Dassault Systèmes, consacre deux journées de conférence à sa plateforme V6, les 28 et 29 juin à Paris (*). La première matinée a particulièrement illustré, au fil des démonstrations, la diversité, l'étendue et la puissance des applications que son offre permet de réaliser : entre la visualisation réaliste d'une construction navale fournissant un accès sécurisé à l'ensemble des données techniques et de conception (accès filtré suivant le profil des utilisateurs) et l'exploration d'une pyramide sur le plateau de Gizeh, permettant de suivre la progression d'un robot à travers les galeries. L'offre V6 rassemble les logiciels de conception Catia, de simulation Simulia, de fabrication numérique Delmia, ainsi que la solution de PLM (gestion du cyle de vie des produits) Enovia et les outils de création 3DVia. Un catalogue qui comprend aussi la gamme SolidWorks et s'est enrichi l'an dernier de la technologie de recherche et d'association de contenus d'Exalead, rachetée par le numéro 1 des éditeurs français.
Développer en ligne sur V6
Autour de Dassault Systèmes s'est également constituée une communauté de partenaires développant des solutions s'appuyant sur sa plateforme. Le groupe français dirigé par Bernard Charlès propose pour bâtir ces produits complémentaires d'une architecture unifiée (CAA2, Composition Application Architecture) qui permet d'étendre V6 au moyen de mash-up, en s'appuyant sur des services web, ou en développant. Les entreprises peuvent par ailleurs intégrer V6 avec les différentes briques de leur système d'information (ERP, CRM, SCM...), Dassault Systèmes collaborant là aussi avec de nombreux partenaires fournissant les connecteurs ad-hoc. Le tout s'appuyant sur un bus d'événements qui permet d'exploiter la technologie d'Exalead pour indexer et ainsi mieux comprendre l'ensemble des informations gérées dans l'entreprise, qu'il s'agisse de données provenant d'Enovia ou encore d'applications SAP ou Siebel.
« Nous disposons des composants pour l'intégration horizontale et verticale, mais nous voulons aussi aider nos clients à développer avec V6 en leur fournissant une plateforme de développement dans le cloud, a annoncé ce matin Dominique Florack, vice-président exécutif senior, R&D produits de Dassault Systèmes. Dans quelques jours, nous allons la mettre à disposition afin que nos partenaires puissent développer leurs applications en ligne sans avoir rien à installer en interne ». Sous peu, il sera possible de développer, tester et proposer les applications en ligne et, même, de les monétiser. « C'est le fruit de 18 mois de travail pour préparer V6 pour le cloud », a souligné Dominique Florack.
Ce matin, Dassault Systèmes a également présenté la boutique en ligne 3dStore qui proposera notamment des applications pour la communauté SolidWorks, comme le logiciel de collaboration nFuze, et qui comportera aussi des applications mobiles.
(*) Dassault Systèmes Application Innovation Summit 2011, à la Grande Arche de la Défense. Il s'agit d'une conférence mondiale qui rassemble 500 participants.
Illustration : CAA2, l'architecture proposée par Dassault Systèmes pour composer des applications complémentaires à V6 ou intégrer les solutions de sa plateforme au système d'information de ses clients (source Dassault Systèmes). (...)
1plusV assigne Google et réclame 295 millions d'euros de dommages
1plusV n'est pas inconnu dans le monde judiciaire, car l'éditeur français de plusieurs moteurs de recherche thématique, comme le site ejustice.com a déjà saisi par deux fois la Commission européenne sur les comportements anticoncurrentiels de Google. Aujourd'hui, c'est au tour de la justice française et plus exactement du tribunal de commerce de Paris d'être saisi pour réparation du préjudice. « C'est la suite logique de nos précédentes plaintes auprès de la Direction générale de la concurrence de la Commission » explique Brunon Guillard, PDG et fondateur de 1plusV.
L'éditeur explique ensuite les motifs incriminés « entre 2007 et 2010, pas moins de 30 moteurs de recherche verticaux créés par 1plusV, dont certains avaient un potentiel économique significatif, ont été « déréférencés ». Quelques-uns de ces moteurs de recherche verticaux ont été récemment réindexés par les robots de Google et, ce, sans aucun changement de leur contenu et sans aucune explication. » et d'ajouter que « si le jeu de la concurrence avait pu fonctionner normalement, les 30 moteurs de recherche créés par 1plusV génèreraient aujourd'hui, selon les estimations, plus de 30 millions d'euros de revenus par an ».
La société française évalue donc son préjudice à 295 millions d'euros.
(...)(28/06/2011 16:03:44)USI 2011 : En route vers les prochains modèles économiques
« Il y a cinq ans, le terme de business model n'existait pas », a rappelé Nicolas Kachaner, directeur général du Boston Consulting Group lors de l'Université des SI (USI) qui se déroule aujourd'hui et demain à Paris. « Depuis, ce concept a pris beaucoup de place. Mais il existe encore peu de définition pour expliquer la notion de business model. On peut toutefois la désigner comme la combinaison d'un modèle de valeur et d'un mode opératoire permettant de créer une chaîne de valeur qui se décline autour de différents modèles : le low cost, pratique la plus fréquemment utilisée dans les entreprises, l'évolution d'une vente de produits vers un modèle axé sur les services, la distribution directe des produits, le modèle gratuit, le modèle ouvert et les plate-formes de transaction de type e-commerce ».
Un monde des affaires marqué par la mondialisation
Selon Nicolas Kachaner, la position de leadership sur un marché n'est plus un gage de durabilité. «La valeur durable du leadership a tendance à disparaître, conséquence des trois vagues qui ont secoué récemment le monde des affaires », assure t-il. « D'abord la globalisation, avec l'entrée sur le marché mondial des pays émergents comme le Brésil ou l'Inde, ensuite la redéfinition des secteurs où l'on a vu intervenir des acteurs issus de domaines très différents. A titre d'exemple, dans la téléphonie, un acteur comme Nokia a vite été challengé par des concurrents venus d'ailleurs, comme RIM, Apple ou encore Google ». Les règles du jeu concurrentielle se sont donc déconstruites. Paradoxalement, dans un secteur comme la musique, qui a décru de 7% par an depuis 10 ans, les cinq majors sont toujours là. « Pourquoi ? », s'est alors interrogé le dirigeant. « Parce que l'industrie du disque s'est tournée vers d'autres sources de revenus plus rentables que les ventes de CD, telles que le online, le publishing, les concerts et le sponsoring. Apple a également transformé son modèle économique en créant des services de très grande valeur dans la musique grâce à ses iPod et à iTunes. Napster s'y est essayé en 1997, mais n'a pas réussi à construire un modèle économique rentable ».
Un modèle qui se gère comme une activité de R & D
La firme co-fondée par Steve Jobs tire également d'importants revenus sur ses ventes d'équipements. Reste à savoir si l'entreprise saura se renouveler. « On peut également changer de business model en décidant de vendre des services directement au consommateur, comme c'est le cas de Xerox qui ne vend plus de machines mais qui fait payer la page utilisée », considère Nicolas Kachaner. Cela permet de passer de la notion de coût fixe à un coût variable. Le dirigeant du Boston Consulting Group conseille également de ne pas abandonner son business model pour un autre. «Un modèle économique se gère comme une activité de R & D », estime Nicolas Kachaner On doit y mettre des ressources dédiées. Un récent entrant va essayer de cibler un certain segment, c'est alors que vont émerger des business models originaux. Un leader sur un marché peut innover et ne doit pas abandonner son modèle économique, il doit le faire évoluer. Il faut avant tout veiller à innover, à créer de la valeur, comme c'est le cas lorsqu'on procède à une incubation. »
(...)
Un demi-million de l'OS Google Android activés chaque jour
Chaque jour, le système d'exploitation de Google Android est activé sur un demi-million de nouveaux appareils numériques (smartphones, tablettes, TV). Ce chiffre, en constante augmentation chaque semaine, est annoncé par Andy Rubin, qui supervise le développement d'Android, sur son compte Twitter.
Le vice-président de l'ingénierie chez Google précise que ce chiffre croît d'en moyenne 4,4%, semaine après semaine. C'est ainsi que le nombre d'appareils connectés chaque jour est passé en un peu plus d'un mois seulement de 400.000 à 500.000. A titre de comparaison, Apple annonçait 366.000 activations par jour de son iOS en janvier dernier.
Android est un système d'exploitation qui équipe aujourd'hui des smartphones, des tablettes et, depuis cette année, quelques téléviseurs. Un premier modèle d'autoradio fonctionnant sous Android a même été dévoilé au CES en début d'année.
Oracle révèle le prix des Fusion Applications, sans date de sortie
Les Fusion Applications combinent les meilleures fonctions des divers ERP (Enterprise Resource Planning) et CRM (Customer Relationship Management) d'Oracle pour créer une suite disponible sur site ou dans le cloud.
La liste publiée indique les prix des modules Fusion pour les finances, l'approvisionnement, le management de portefeuille de projets (PPM pour Project Portfolio Management), les ressources humaines (HCM pour Human Capital Management), la logistique (SCM pour Supply Chain Management), la relation client (CRM pour Customer Relationship Management), les relations partenaires (PRM pour Partner Relationship Management) et la gouvernance, les risques et la conformité aux réglementation (GRC pour Governance, Risk and Compliance). Dans de nombreux cas, il semble que les Fusion Applications sont vendues au même prix que les modules correspondants à d'autres suites ERP d'Oracle. Par exemple, le prix de la licence utilisateur pour Fusion Financials et E-Business Suite Financials est de 4 595 dollars. Mais le prix de licence de Fusion CRM Base est affiché à 4 910 dollars par utilisateur, contre 3 750 dollars pour une licence Siebel CRM Base.
Des fonctionnalités de BI payantes
Par ailleurs, Oracle a fortement insisté sur le fait que les Fusion Applications disposeraient de fonctionnalités BI (business intelligence) omniprésentes pour accompagner de manière permanente l'expérience utilisateur. Mais il semblerait que ces fonctions doivent être achetées séparément. Plusieurs applications de la liste, qualifiées de « business intelligence transactionnelle », sont tarifées 2 000 dollars par licence et par utilisateur. De plus, il est difficile de comparer l'ensemble des tarifs, étant donné que certains modules utilisés pour les Fusion Applications ont changé de noms, et que d'autres proposent des fonctionnalités entièrement nouvelles.
Se pose également la question de savoir si cette liste de prix est vraiment significative, compte tenu des très fortes remises généralement accordées au moment de la négociation des contrats. Selon Ray Wang, analyste et PDG de Constellation Research, tempère ces affirmations « les clients ne doivent pas compter obtenir de bons prix sur les Fusion Applications. Actuellement, les prix sont plutôt à la hausse. »
Des incertitudes tarifaires
Plus récemment, le PDG d'Oracle a déclaré qu'il s'attendait assez vite à de grosses ventes de Fusion Applications. « Nous pensons que la vente de ces dernières sera génératrice de revenu pour l'entreprise cette année, l'année prochaine et l'année suivante. Cela va nous permettre de prendre une part importante du marché SAP, mais aussi à nos amis et rivaux Salesforce.com, » a t-il déclaré la semaine dernière, lors de la conférence au cours de laquelle ont été communiqués les résultats financiers du quatrième trimestre. (...)(28/06/2011 13:56:29)
Microsoft lance Office 365 en rassurant sur la migration depuis BPOS
Microsoft lance donc son offre de bureautique dans le cloud, Office 365. Les entreprises qui utilisaient BPOS, la solution bureautique en ligne de Microsoft vont être invitées à migrer vers la nouvelle plateforme. Car BPOS repose sur des logiciels un peu vieillissants et ne seront pas compatibles avec la prochaine suite.
Ceci est particulièrement important pour les clients qui mettent en oeuvre des déploiements hybrides et souhaitent que leurs services dans le cloud interagissent et se synchronisent avec les applications sur le poste de travail et sur les serveurs. La firme de Redmond appelle cela le concept de « Software plus Services ». L'éditeur indique qu'il s'agit d'un avantage par rapport à son concurrent Google Apps, mais les clients devront s'assurer préalablement de disposer des versions récentes des logiciels avant de migrer.
Le groupe a publié beaucoup d'informations détaillant les exigences techniques pour la mise en oeuvre d'Office 365, y compris les logiciels et instructions nécessaires pour la synchronisation d'annuaire, des conseils en cas de problèmes et des messages sur les blogs. Il existe aussi un forum de discussion et un portail web spécial pour l'évolution vers Office 365.
Trop d'informations suscitent l'inquiétude
Rebecca Wettemann, analyste de Nucleus Research ,souligne que « cette abondance d'informations sur la migration BPOS vers Office 365 peut être le signe que ce processus peut s'avérer complexe notamment pour les petites entreprises ne disposant pas en interne de compétences IT » et d'ajouter « Office 365 touche par exemple à une application critique qui est la messagerie. En plus de la complexité technique, Rebecca Wettemann se déclare inquiète sur les coûts des mises à jour logicielles requises pour Office 365, et plus particulièrement sur la nécessité d'avoir Office 2007 SP2 ou Office 2010 sur les postes de travail des utilisateurs. Michael Osterman, analyste chez Osterman Research constate qu'Office 365 ne fonctionne pas avec Outlook 2003, or « une base très importante de clients utilisent cette version de l'outil de messagerie ».
Microsoft conteste l'idée que la mise en oeuvre ou la transition vers Office 365 soient compliquées. Les administrateurs BPOS n'auront pas à se soucier du transfert de leur compte. L'éditeur va gérer ce problème dans ses datacenters. La clé est de préparer cette migration explique Frank Romeo, un consultant indépendant et qui a travaillé sur un transfert de plus de 3 000 boîtes de messageries au sein de BPOS pour D& M Holdings, fournisseur d'équipement audio et vidéo. « Il faut absolument que l'Active Directory soit très structuré pour migrer vers Office 365 » et d'ajouter « la bascule se fera probablement en début d'année prochaine ». Microsoft a indiqué que la migration pourrait se faire dans les 12 prochains mois.
Pour mémoire, Office 365 comprend un service messagerie électronique avec Exchange Online, les Office Web Apps ( solution de bureautique en ligne ), un outil de travail collaboratif ( SharePoint Online ) et un service de communications unifiées ( Lync Online ). La version TPE coûtera 5,25 euros par mois et par utilisateur. Le coût pour la version PME sera compris entre 3,60 et 22 euros.
A noter que Google a profité de ce lancement pour attaquer son concurrent. Sur le blog de Google entreprise, l'éditeur a dressé un tableau de comparaison tarifaire entre les Google Apps et Office 365. Le titre est malin "365 raisons d'aller vers les Google Apps".
(...)(28/06/2011 12:22:18)Trophées CIO 2011 : les résultats des meilleurs pratiques
Pour consulter le palmarès des Trophées CIO, rendez-vous à cette adresse :
https://www.cio-online.com/actualites/lire-trophees-cio-2011%C2%A0-les-meilleures-pratiques-mises-en-avant-3696.html (...)
Sega laisse également filer les données de ses clients
L'entreprise japonaise a confirmé dimanche que des hackers sont parvenus à déjouer ses systèmes de sécurité pour s'infiltrer dans le site de sa filiale londonienne, Sega Europe Ltd., et accéder à des informations données confidentielles. La société, basée à Tokyo, qui est connue pour ses nombreux hits vidéoludiques, comme Sonic the Hedgehog et Super Monkey Ball, a indiqué que les pirates ont accédé aux données de tous ses membres inscrits, au nombre de 1 290 755. Ces données concernent les utilisateurs d'Europe et d'Amérique du Nord et incluent leurs noms, dates de naissance, adresses e-mail et mots de passe cryptés. L'entreprise a indiqué que les coordonnées des cartes bancaires des membres n'avaient pas été volées.
"Nous regrettons profondément avoir invité une telle situation à se produire", indique un communiqué de presse de l'entreprise. "Nous allons faire du renforcement de la sécurité notre priorité et redoubler d'efforts pour regagner la confiance de nos clients." L'attaque a été repérée jeudi dernier. Elle visait le site Sega Pass, dont l'objectif principal est de fournir des infos sur les derniers produits de la marque. Le site a été fermé immédiatement après que l'attaque a été confirmée et tous les mots de passe des utilisateurs ont été réinitialisés.
C'est le dernier cas en date d'une série d'attaques informatiques similaires dont ont été victimes le développeur Square Enix, mais aussi Nintendo et Sony. Début mai, Sony a annoncé la reprise progressive des services du PlayStation Network, suite à une attaque qui a compromis une centaine de millions de comptes d'utilisateurs, d'après les estimations. Sony a répliqué avec de nouvelles mesures de sécurité et en promettant de traquer sans relâche les pirates. L'entreprise a collaboré avec les polices du Royaume-Uni, d'Australie et de Hong Kong pour essayer de les retrouver. Pour apaiser les utilisateurs mécontents, Sony a proposé quelques jeux gratuits et des morceaux de musique à télécharger, pour souhaiter compenser l'arrêt de son réseau payant.
Les supercalculateurs de Bull ont leur club
Lors du salon iSC11 (International Supercomputing Conference) à Hambourg, un groupe international d'utilisateurs de solutions de calcul parallèle scientifique et technique fournies par Bull a créé un club, le BuX. Les sept fondateurs sont : Atomic Weapons Establishment (Royaume Uni), Barcelona Supercomputing Center (Espagne), CEA (Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives, France), le Jülich Research Center (Forschungszentrum Jülich, Allemagne), le GENCI (Grand Equipement National de Calcul Intensif, France), le centre régional de recherche de l'Université de Cologne (Regionales Rechenzentrum der Universität zu Köln, Allemagne) et l'Université RWTH d'Aix la Chapelle (Rheinisch-Westfälische Technische Hochschule Aachen, Allemagne).
A l'image de tous les autres clubs d'utilisateurs, le BuX visera à partager des expériences et des pratiques, à remonter à Bull les attentes de ses clients, à faciliter les relations entre des experts Bull et les utilisateurs lors d'événements dédiés et enfin à assurer une veille technologique visant à guider la roadmap des produits.
Bien que le BuX soit une structure indépendante du constructeur, celui-ci met à disposition sur son site un formulaire de contact pour les utilisateurs intéressés.
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