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(27/06/2011 11:09:53)

La vente liée en informatique toujours en débat

Les grands comptes ne se sentent pas a priori concernés par la question de la vente liée ordinateur-logiciels. En général, ils négocient de tels volumes d'achats que les conditions sont spécifiques à leur cas et qu'ils peuvent acheter des PC nus pour y installer des masters obtenus directement auprès d'éditeurs avec des licences particulières (Software Assurance de Microsoft par exemple). Mais cette appréciation est erronée.

Dans un contexte juridique encore fluctuant comme il est mentionné sur le site de nos confrères de Distributique, les petites entreprises, qui ne bénéficient pas de cet effet de volume, sont, elles, au même régime que les particuliers : leurs PC sont achetés avec des logiciels qu'elles n'ont pas choisis mais qu'elles doivent payer tout de même (système d'exploitation, antivirus...). Cela peut constituer un coûteux doublon de licences qu'elles possèdent éventuellement déjà sur d'anciennes machines mises au rebut, licences souvent transférables aux nouvelles machines (sauf dans le cas des licences OEM).

La licence Windows toujours au coeur du débat

Si l'emploi de logiciels libres (notamment du système d'exploitation Linux en lieu et place du Windows imposé en vente liée) reste très marginal, le refus de payer une licence Microsoft Windows lors de l'acquisition d'un ordinateur reste l'origine de la plus grande part des jurisprudences. Les militants de l'initiative Racketiciel sont le plus souvent à l'origine des procédures engagées. Côté entreprises, la contestation vise plutôt à obtenir des rabais de la part des éditeurs ou des distributeurs.

Cependant, la question revient dans l'actualité par le simple fait de l'évolution des comportements et du marché, au delà de la succession des jurisprudences. Et toutes les entreprises sont, de fait, concernées directement (en achetant et payant des logiciels non-choisis) ou indirectement (via leurs collaborateurs ou partenaires). 

Un matériel personnel généralement plus cher

Notamment, la tendance au « bring your own device », c'est à dire à l'emploi par les salariés de leur propre matériel et de leurs propres logiciels pour le compte de leur employeur transfère dans les entreprises la question de la vente liée. Les salariés se font en effet rembourser leurs frais et si ces frais sont plus élevés que nécessaires, l'entreprise subit ainsi un surcoût. Au delà du cas de Microsoft Windows sur les PC, les nouveaux terminaux entrant dans les SI sont autant concernés : smartphones (iOS, Android, Windows...), tablettes...

Plus insidieusement, les salariés sont désormais équipés chez eux d'outils sur lesquels ils s'auto-forment. Les entreprises sont ainsi tentés d'utiliser, donc d'acquérir, les outils auxquels leurs salariés sont habitués mais sans capacité de mise en concurrence ou de choix véritable. Où est, du coup, leur capacité à développer une politique d'achat avec mise en concurrence réelle des éditeurs sur la question du prix mais aussi sur les fonctionnalités ou la sécurité ? (...)

(27/06/2011 12:25:36)

Le Cigref, l'AFAI et l'Ifaci s'accordent sur la gouvernance du SI

Le concept de gouvernance des systèmes d'information a une dizaine d'années en France. Son histoire a récemment rencontré celle de l'audit. Le Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises), l'Afai (Association Française de l'Audit et du Conseil Informatique) et l'Ifaci (Institut de l'Audit Interne) ont réalisé un travail commun de deux ans sur le sujet et viennent de publier un guide d'audit de la gouvernance du SI. Le 23 juin 2011, les trois associations ont présenté les résultats de ce travail à plus d'une centaine de participants à Paris lors du colloque « De la gouvernance du système d'information à la gouvernance de l'entreprise numérique ».

Faire suite à des travaux de l'AMF

Comme l'a rappelé Claude Cargou, président de séance et ancien président du Cigref et de l'AFAI, tout a commencé en 2007 lorsque l'AMF (Autorité des Marchés Financiers) avait voulu créer un cadre de référence pour garantir la transparence de l'audit et du contrôle interne dans les sociétés cotées. Il manquait à ce premier travail une dimension SI alors même que les SI sont au coeur de l'entreprise moderne.

En 2009, l'Afai et le Cigref avaient donc déjà organisé un premier colloque, issu de deux années de collaboration, pour présenter un guide de l'audit du système d'information. Deux ans plus tard, les mêmes, rejoints par l'Ifaci, présentent un prolongement de ce premier travail qui vise cette fois à auditer la gouvernance du SI.

12 vecteurs pour guider l'auditeur

Ce guide n'est pas un référentiel de maturité complexe, comme Cobit avec ses plus de 10 000 items. Il se présente sous la forme d'un certain nombre de pratiques réunies en 12 vecteurs (voir ci-dessous), l'auditeur gardant la liberté d'estimer le niveau de maturité de chaque critère définissant chaque pratique. Le travail des trois associations est donc à la fois plus flexible et plus adaptable à chaque entreprise.

Il ne faut en effet pas oublier, comme cela a été martelé à de nombreuses reprises durant la journée, que la gouvernance du SI ne signifie rien sans qu'on la rattache à la gouvernance de l'entreprise, dont elle n'est finalement qu'un miroir.

Illustration colloque du Cigref (crédit : B.L.) (...)

(15/06/2011 17:11:41)

Trophées CIO 2011 : Les meilleures pratiques en management IT

Dans la foulée de la Matinée Stratégique « soutenir les nouveaux modèles économiques des entreprises », CIO mettront en avant les meilleures pratiques des managers IT mises en oeuvre au cours de l'année écoulée en remettant les Trophées CIO 2011. La manifestation aura lieu au Pavillon Dauphine, Porte Dauphine à Paris, le mardi 28 juin 2011 à partir de 8 h 30 pour la Matinée Stratégique « soutenir les nouveaux modèles économiques des entreprises » et à 11 h30 pour la remise des Trophées.

Des professionnels désignent les meilleures pratiques des professionnels

Sélectionnées par un jury associant des DSI, des spécialistes du recrutement par approche directe, des consultants en organisation et des journalistes, ces meilleures pratiques peuvent en effet utilement inspirer tous les homologues des lauréats.

Le jury a ainsi réuni Pascal Buffard, Directeur général d'Axa Group Solutions ; Georges Epinette, DG de la Stime et DSI du Groupement des Mousquetaires ; Michel Foulon, DSI du Courrier au sein du groupe La Poste ; Jean-Marc Lagoutte, DSI du groupe Danone, Caroline Apffel, Partner chez Heidrick & Struggles ; Carine Guillemette, DG de Now Consulting ; Antoine Gourevitch, Directeur Associé du BCG et Michel Jaubert, Directeur associé chez AT Kearney.

Le Trophée de l'Excellence Opérationnelle est destiné au DSI, ou au manager IT, qui a délivré le bon service à la bonne qualité, à la bonne personne, au bon moment et au bon prix.

Le Trophée de l'Innovateur récompense celui qui a délivré un projet usant de manière inédite d'une (éventuellement nouvelle) technologie IT pour créer de la valeur métier.

Le Trophée du Stratège distingue celui qui a élaboré une vision du SI pour bâtir l'entreprise numérique des années à venir.

Le Trophée de la Valeur Métier met en avant celui qui a permis la transformation des processus métier pour délivrer toujours plus de valeur ajoutée (au moindre coût, avec la plus grande flexibilité, etc.).

Enfin, le Grand Prix permet de récompenser celui qui réunit au mieux toutes les qualités requises pour les autres Trophées.

Chaque lauréat s'exprimera à cette occasion sur le plus gros défi relevé, les enseignements à tirer des projets menés et sur les prochains défis.

Une matinée aussi consacrée à l'innovation

Cette mise en lumière des meilleurs projets réussis en 2011 et des managers qui les ont menés sera l'occasion de se projeter dans le futur et des nouveaux services proposés par les entreprises à l'heure du numérique. La conférence débutera à 8 h 30 par les interventions des meilleurs experts et dirigeants d'entreprise en matière d'usage des nouvelles technologies issues d'internet, des réseaux sociaux, du Cloud et de la mobilité, afin de créer de nouveaux services à destination des entreprises ou des particuliers.

La révolution des nouveaux services à l'heure du numérique, réunira ainsi :

- Albert Asséraf, directeur de la stratégie, du marketing et des études de JCDecaux,

- Philippe Bourquin, directeur des projets innovation et développement chez France Télévisions,

- Philippe Delaide, Directeur Général de Kiala France,

- Jean Gondé, CTO de Lagardère,

- Antoine Jove, DGA de BCA Expertise,

- Cédric Naux, Directeur Développement Numérique de Bayard Jeunesse et Milan Jeunesse,

- Pascal Thomas, directeur du marketing Audience de PagesJaunes (...)

(09/06/2011 16:54:28)

USI 2011 : des technologies et des hommes

Placée sous le signe de l'informatique qui transforme nos sociétés, la quatrième édition de l'USI 2011 aligne en deux jours une cinquantaine de présentations, articulées autour de quatre thématiques : Autrement, Techniquement, Humainement, Prochainement.

Autrement, car la première journée propose une plongée au sein de problématiques qui montent en puissance. Elle débute notamment par deux sessions consacrées à DevOps, mouvement qui vise à améliorer la qualité des développements. Les sessions techniques de l'après-midi abordent des sujets très diversifiés : la fin des bases de données relationnelles, la rencontre d'OLAP et du CEP, les nouveaux middlewares orientés message (tels que RabbitMQ), les techniques d'accélération GPU, la prolifération des identités numériques ou, encore, les aspects juridiques du cloud.

Les impacts sociétaux de la IT

La deuxième matinée de l'USI 2011 est axée sur les facteurs humains et c'est le philosophe Michel Serres qui l'ouvrira (déjà présent en 2008 sur la première édition de l'USI). A sa suite, les intervenants aborderont les « transitions agiles », d'abord dans le domaine du développement (déployer l'agile à large échelle), mais aussi en explorant le concept du lean start-up, de l'offshore « qui fonctionne » et du modèle métier. Les impacts sociétaux de l'IT seront balisés avec, par exemple, une analyse du consultant en RH Benjamin Chaminade sur les opportunités de la diversité culturelle pour l'entreprise. En fin de matinée, la parole reviendra de nouveau à un philosophe, André Comte-Sponville, avec un exposé portant sur le sens du travail.

Enfin, la dernière séquence de sessions projettera les participants vers demain et les mises en oeuvre en devenir des technologies numériques : les tendances web vues de la Silicon Valley, les interfaces cérébrales, l'évolution de l'informatique dans une perspective cosmogénétique (par Jean-Michel Truong) ou l'interconnexion des objets (présentée par rafi Haladjian, le fondateur de Violet et créateur du Nabaztag).

Organisée par Octo Technology, l'USI 2011 se tiendra le mardi 28 et mercredi 29 juin à Paris, au Pavillon d'Armenonville (Bois de Boulogne, 16e). Les conférences seront également retransmises en streaming vidéo sur www.universite-du-si.com le mardi 28 juin à partir de 8 h 40

Illustration : Les philosophes André Comte-Sponville (à gauche) et Michel Serres (à droite) interviendront sur l'USI 2011. (...)

(24/06/2011 16:46:38)

RecapIT : L'art du changement sous toutes ses coutures

Semaine de transition pour le monde de l'IT. L'Icann, organe de régulation des adresses Internet a décidé de bousculer les schémas traditionnels en autorisant des nouveaux suffixes pour le web. Changement aussi du côté du classement des supercalculateurs, le Japon avec le K reprend la tête devant la Chine. Mais il y a des évolutions qui ne sont pas acceptées, comme par exemple celle de la Fondation Mozilla de ne plus émettre de correctif de sécurité sur Firefox 4 lancé il y a 3 mois, incitant les gens à évoluer sur Firefox 5. Certaines entreprises n'apprécient pas ce changement forcé, surtout quand elles sont obligées de modifier leurs applications. Microsoft en a profité pour expliquer à ces entreprises mécontentes qu'elles pouvaient toujours migrer vers Internet Explorer.

La firme de Redmond devrait lancer la semaine prochaine son offre Office 365, mais il devra se méfier des risques de pannes au regard de celle intervenue pendant quelques heures sur le service BPOS. Parfois la transformation prend du temps comme le montre une étude sur la migration vers Windows 7, les entreprises restent encore majoritairement sous XP.

Un moyen plus radical de faire changer le comportement est de passer par la justice, Oracle a ainsi diligenté un expert dans son litige avec Google sur la violation de brevets Java et réclamé jusqu'à 6,1 milliards de dollars. Il semble que la firme dirigée par Larry Ellison ait subi un premier revers de la part de la justice américaine qui a invalidé certains de ses brevets Java.

(...)

(24/06/2011 16:11:29)

Red Hat met à jour sa plate-forme de messagerie « real time » pour le Cloud

« La version 2 apporte plusieurs fonctionnalités et améliore de manière significative les performances d'administration dans tous les domaines, » a déclaré Scott Crenshaw, vice-président et directeur général du Cloud Business chez Red Hat, au cours d'une présentation retransmise sur le web. Enterprise MRG 2.0 (Messaging, Real Time et Grid) inclus des pilotes pour la dernière version 10Gbit Ethernet, et intègre le noyau Linux « temps réel » dans la dernière version 6.1 de Red Hat Enterprise Linux (RHEL).

La pile de technologies MRG a été une conçue pour faire fonctionner une messagerie à haut débit, avec une faible latence, sur plusieurs serveurs, dans des secteurs d'activité sensibles comme les bourses ou les studios d'animation. Par exemple, les studios DreamWorks utilisent le MRG (prononcer MERGE) dans le processus d'animation de ses films. En plus de la faible latence et sa capacité à gérer des charges de travail à haut débit, Red Hat a également fait de MRG une composante clef de son offre Platform-as-a-Service (PaaS) OpenShift, dévoilée en mai.  « Nous sommes très emballés par OpenShift, et nous pensons qu'elle va devenir une plate-forme de premier plan et engendrer de nouvelles solutions Open Source, plus optimisées pour fonctionner dans le Cloud», a déclaré Ron Tolido, CTO de Cap Gemini, lors de la présentation.

« Avec un noyau « real time », on peut avoir des temps de réponse prévisibles, » a renchéri Scott Crenshaw. « Avec une application traditionnelle, on veut toujours tirer le maximum de performance, sans se préoccuper du temps de réponse. Mais pour certaines applications, il est vraiment nécessaire d'avoir un temps de réponse prévisible déterminé. On doit savoir que la transaction se produira en 1/100e de milliseconde, par exemple, » a t-il expliqué.

Prise en charge de pilotes avancés

Pour améliorer le débit du réseau, le MRG élargit l'Infiniband du RDMA (Remote Direct Memory Access) existant en incluant un nouvel ensemble de pilotes pour iWARP 10Gbit Ethernet. Selon Red Hat, ces nouveaux pilotes augmentent le débit de 100 % comparé à celui fourni par les connexions Ethernet et Infiniband actuelles. L'intégration du noyau « real time » de Linux dans la dernière version de RHEL permettra aux utilisateurs de profiter de tous les avantages de ce système d'exploitation. Le pack comprend également d'autres améliorations, notamment l'outil de planification présent dans le logiciel de gestion du réseau est désormais capable de réaliser 100 actions par seconde.

« C'est vraiment important, parce que si l'on veut travailler à l'échelle du Cloud, il faut pouvoir offrir des performances hautement modulables, » a encore déclaré le vice-président du Cloud Business. « Actuellement, il n'existe rien de comparable sur le marché, » a-t-il ajouté. Les outils de diagnostic ont également été améliorés. Une nouvelle série d'API (application programming interfaces) ont été ajoutées pour automatiser la gestion des tâches, y compris la capacité d'éteindre les serveurs quand ils ne sont pas utilisés, afin d'économiser de l'énergie.

En plus de MRG 2.0, Red Hat a également annoncé d'autres nouveautés au cours de la webcast. En particulier, la prochaine version de son serveur d'application, JBoss 7.0, sera prête et livrée en juillet. « Ce sera la première version à inclure le support complet pour Java Enterprise Edition 6.0, » comme l'a déclaré Ashesh Badani, senior directeur en charge de JBoss chez Red Hat. L'entreprise a également lancé un programme de formation pour apprendre à créer des clouds privés avec son logiciel Red Hat Cloud Architecture.

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(24/06/2011 15:11:08)

Dailymotion réfléchit à une offre payante à la mode Netflix

"On est en train de travailler sur une offre cinéma. On pense aussi à une offre de séries télé, très attendue de la part de nos internautes" déclare Cédric Tournay, PDG de Dailymotion. Aucune thématique n'est toutefois mise à l'écart et d'autres solutions pourraient très bien concerner également le sport, les programmes jeunesse ou encore les documentaires.

Le site compte s'appuyer sur son actionnaire Orange (entré à hauteur de 49% dans son capital en janvier dernier) pour lancer un tel service d'ici à la fin de cette année. Une offre d'abonnement en streaming serait alors une première en France. Aux Etats-Unis, des solutions de ce genre existent déjà, à l'image de Netflix.

Jusqu'à présent Dailymotion ne gagne de l'argent qu'avec la publicité. Toutefois son succès ne se dément pas avec plus de 110 millions de visiteurs uniques par mois. C'est la deuxième plateforme de vidéos la plus populaire au monde, derrière YouTube.

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(24/06/2011 15:01:39)

Structure 2011 : Bromium veut repenser la sécurité dans le cloud

Simon Crosby a créé  Bromium (dont il est le CTO) avec Guarav Banga, ancien CTO et vice-président senior chez Phoenix Technologies (PDG de la start-up). Ian Pratt, président de Xen.org et co-fondateur de XenSource est en charge de la partie produit. La société a été présentée rapidement mardi à la conférence Structure Gigaom à San Francisco. « Bromium a des plans pour utiliser un hyperviseur pour fournir aux serveurs et aux clients une protection continue contre les malware », a indiqué Simon Crosby et d'ajouter « nous pensons avoir trouvé un moyen de permettre à un hyperviseur de protéger en mode continu des parties de code exécutable ».

Les entreprises sont préoccupées par la sécurité du cloud computing, mais la menace ne réside pas dans le nuage, précise le fondateur. La grande majorité des attaques sur les cloud privés d'entreprises ​​se déroulent à partir de clients non sécurisés. L'accès aux ressources sur le cloud depuis n'importe où et sur une variété consistante de terminaux, nécessite une autre approche de la sécurité.

Une solution encore bien secrète

Bloquer l'usage des PC obère l'expérience utilisateur. On peut se tourner vers la virtualisation du poste de travail pour avoir plus de sécurité, mais cette option laisse encore certaines vulnérabilités comme les mails avec des pièces jointes, souligne le responsable technique. La technologie proposée par Bromium sécurisera les applications dans le cloud et les bureaux virtuels ainsi que les terminaux des utilisateurs, selon une diapositive montrée par le fondateur lors de la conférence Structure. Cette solution fonctionnera  sur différents type de processeurs, y compris x86 et ARM, et sera optimisée pour les appareils mobiles.

Selon un communiqué de presse, Bromium a levé 9,2 millions de dollars auprès de capitaux-risqueurs et devrait présenter son produit avant la fin de cette année. La société est basée à Cupertino, en Californie, et à Cambridge au Royaume-Uni.

 

Illustration: Simon Crosby

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