Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 3341 à 3350.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(27/06/2011 17:33:37)

Intrusion chez Citigroup : 2,7 millions de dollars de pertes pour l'instant

Le vol des données de ses clients revient cher à Citigroup. La banque a pour l'instant confirmé que 3 400 clients avaient subi des pertes sur leur compte bancaire pour un montant total estimé 2,7 millions de dollars. Elle a ajouté que ses clients n'étaient pas responsables des pertes. L'établissement financier a indiqué que si des pirates avaient pu accéder à plus de 360 000 comptes bancaires de clients américains, les hackers ne sont pas parvenus à entrer dans le  système principal de gestion des cartes de crédit. Ils ont réussi à obtenir des numéros, des noms de même que d'autres informations sur ses clients en se connectant sur l'espace compte bancaire en ligne.

77 millions de dollars de pertes à terme

Citigroup a pris connaissance du vol de ses données le 10 mai dernier et a commencé à avertir ses clients le 3 juin. Le groupe  bancaire a précisé que d'autres données sensibles, telles que les numéros de sécurité sociale, dates de naissance et codes de sécurité des cartes CVV (Card Verification Value) utilisés pour effectuer des transactions en ligne, n'avaient pas été dérobées.

En plus des pertes liées à la fraude, Citigroup va de voir payer des frais concernant la notification à ses clients et la réédition des cartes de crédit des 360 000 comptes concernés. Le Ponemon Institute a estimé le coût moyen du piratage à 214 dollars par donnée compromise. À terme, la brèche pourrait coûter 77 millions de dollars à la banque américaine.

 

 

(...)

(27/06/2011 16:17:46)

Après 50 jours de «chaos», le groupe de hackers LulzSec se dissout

« Notre campagne de 50 jours est arrivée à son terme, et nous allons maintenant prendre le large, laissant derrière nous - nous l'espérons - l'inspiration, la peur, le déni, la joie, l'approbation, la désapprobation, la moquerie, la gêne, la bienveillance, la jalousie, la haine, et peut-être même l'amour, » a déclaré le groupe dans un billet posté sur le site Pastebin. « Au minimum, nous espérons que notre action aura eu un impact, ne serait que microscopique, sur quelqu'un, quelque part, » continue le communiqué. Cette déclaration d'auto dissolution, postée samedi dernier par le groupe, est intervenue trois jours après la livraison par LulzSec de sa dernière prise, des documents internes, volés au Département de la Sécurité Publique de l'Arizona, et quatre jours après l'arrestation par la police britannique d'un homme qui serait affilié au groupe.

Ces dernières semaines, le groupe LulzSec avait mené un certain nombre d'actions contre plusieurs sites Web et réseaux informatiques, visant notamment ceux de la CIA, l'Agence centrale de renseignement américaine, du Sénat américain, de l'Agence britannique SOCA (Serious Organised Crime Agency), ceux du gouvernement brésilien et du géant de l'énergie Petrobras, entre autres. Mardi dernier, la police britannique a annoncé qu'elle avait arrêté un jeune homme de 19 ans qui, selon elle, serait membre du groupe. Selon LulzSec, celui-ci avait dirigé un de ses serveurs relais IRC, mais n'était pas un des responsables du groupe. Samedi, peu après la mise en ligne du dernier communiqué du groupe, Sabu, un hacker qui pourrait être un des leaders du groupe, a démenti que la dissolution de LulzSec résultait de l'arrestation d'un de ses membres présumé ou de désaccords internes. « Vous trouverez les réponses à vos questions dans le communiqué », écrit-il dans un message Twitter. « Il n'y a eu qu'une seule arrestation, celle de Ryan, et il ne fait pas partie de Lulzsec, » précise-t-il.

LulzSec a mené une campagne de cyber-attaques « juste parce que le groupe en était capable, » explique-t-il. « Uniquement pour amuser les autres, de manière désintéressée - la vanité, la célébrité, la reconnaissance, tout cela ne représente rien, face à ceux que nous aimons. Juste un peu d'amusement et d'anarchie à l'état brut. »

(...)

(27/06/2011 16:06:57)

Monster professionnalise la recherche d'emploi sur Facebook

Monster dévoile aujourd'hui BeKnown, une application qui permet aux membres de Facebook de se constituer leur propre réseau professionnel en ligne. En s'appuyant sur ce service disponible en 19 langues différentes, les utilisateurs du célèbre réseau social peuvent gérer leur profil et importer des données depuis une seule et même plate-forme. La solution identifie qui de leurs contacts sont liés à une entreprise, et les informe sur les offres d'emploi qui peuvent les intéresser. Les postulants ont également la possibilité de pouvoir séparer leur sphère personnelle de leurs activités professionnelles.  

Accéder à 700 millions de profils en ligne

De leur côté, les employeurs peuvent accéder à un vaste vivier de ressources sur Facebook, dont le nombre total de membres est estimé à 700 millions, et ainsi, étendre leur visibilité et la portée de leurs offres d'emploi. Beknown permet aussi aux recruteurs d'augmenter les possibilités d'atteindre les candidats dits passifs via la fonction de références sociales « SRP » (Social Referral Program).  A l'instar de la cooptation, celle-ci encourage les utilisateurs à faire connaître des offres d'emploi  et transforme les réseaux de recruteurs et d'employés en sources de recommandations. Le service est gratuit pour les candidats et également pour les recruteurs.

(...)

(27/06/2011 14:48:56)

Gestion de terminaux mobiles : «Comment garder la main», selon Gartner

La multiplication du nombre d'OS mobiles donne à elle seule une idée des changements nécessaires dans les entreprises. Aujourd'hui, les services informatiques sont non seulement confrontés à plusieurs systèmes d'exploitation mobiles, mais ils doivent aussi faire face aux modifications, à des moments variables, que subissent les différents OS. Les développeurs livrent rarement les nouvelles versions de leurs logiciels pour tous les appareils au même moment. Alors, dans ce contexte, que peuvent faire les responsables informatiques pour rester sereins ? 


Plate-forme MDM de Sybase

Lors d'une réunion interactive sur le web, l'analyste de Gartner, Phillip Redman, a suggéré que l'une des solutions pouvait être d'investir dans les logiciels de gestion de terminaux mobiles ou Mobile Device Management (MDM). Au début de sa présentation, l'analyste a fait valoir que de nombreuses entreprises avec lesquelles il s'était entretenu récemment avaient permis la connexion de plusieurs types d'appareils sur leurs réseaux, sans vraiment disposer de plan global pour les gérer tous. « La complexité des dispositifs et des plates-formes met en évidence la nécessité d'avoir un meilleur contrôle sur le parc mobile, » a-t-il déclaré. « Le BlackBerry Enterprise Service fonctionnait correctement avec un type d'appareils, un type de système d'exploitation et un nombre limité d'applications... Mais peu d'entreprises sont restées cantonnées aux BlackBerry de RIM, et beaucoup ont commencé à assurer le support d'autres dispositifs. »

Un chiffre d'affaires de 200 millions en 2010

Selon Phillip Redman, le secteur de la gestion de terminaux mobiles est devenu une industrie qui affichait un chiffre d'affaires de 200 millions de dollars en 2010. Celui-ci fait remarquer que plusieurs entreprises, notamment Sybase, Good Technology, MobileIron, AirWatch, Zenprise, Symantec et RIM, ont des offres solides sur le marché du MDM. Celui-ci a également comparé l'administration de terminaux mobiles à la gestion des dépenses de télécommunications (TEM) : ces deux secteurs ont ceci en commun qu'ils permettent tous deux aux services informatiques d'avoir le contrôle sur l'utilisation que font les salariés d'une l'entreprise des communications, et d'adapter leur propre politique. Beaucoup de clients MDM peuvent être téléchargés directement depuis les boutiques d'applications en ligne comme l'Android Market et l'App Store d'Apple. Le salarié peut alors se connecter à une plate-forme MDM centrale installée en back-end par le service informatique de son entreprise.

Crédit photo D.R.

[[page]]

Toujours selon l'analyste de Gartner, en fonction de la puissance du logiciel MDM, les services informatiques peuvent disposer d'une quantité d'options plus ou moins grande pour les aider à sécuriser les appareils mobiles sur des plateformes multiples, notamment des fonctions d'effacement des données à distance, le verrouillage à distance, l'activation d'un accès par mot de passe, le cryptage, l'authentification, la mise en place d'un pare-feu, un antivirus et le VPN mobile. Un bon logiciel de gestion de terminaux mobiles devrait aussi permettre aux services informatiques de surveiller si les utilisateurs n'installent que des logiciels autorisés, à mettre en oeuvre des systèmes de sauvegarde et de restauration des données et à effectuer la mise à jour - l'application de patchs - des logiciels présents sur les terminaux. Selon Phillip Redman, un bon MDM devrait aider les départements informatiques à segmenter l'accès aux données, pour déterminer que tel groupe d'utilisateurs peut accéder à tels types de données, de réseaux et d'applications, en fonction de leurs rôles et de leurs responsabilités au sein de l'entreprise. 

À l'inverse, le département informatique pourrait adopter une politique « ouverte » pour certains utilisateurs et leur laisser la responsabilité quasi totale de la gestion du terminal. Entre ces deux extrêmes, l'analyste estime que les services informatiques des entreprises doivent pouvoir partager la responsabilité de la gestion des terminaux, le département s'engageant par exemple à assurer le support pour l'email, le PIM ou le gestionnaire d'informations personnelles, la navigation web et la téléphonie, mais interdire le téléchargement d'applications tierces sans autorisation. Cela permettrait aux utilisateurs d'opter pour une plus grande variété de plateformes et d'appareils sans exposer le réseau de l'entreprise.

Selon l'analyste, les entreprises ne doivent pas considérer les logiciels de gestions de terminaux mobiles comme une solution qui leur permettra d'économiser de l'argent, mais plutôt comme un outil capable de faire en sorte que la multiplicité des plates-formes n'entrave pas la performance globale du réseau. « Pour l'instant, on ne voit pas beaucoup de retours sur investissement potentiel sur le MDM. Cela ressemble plus à une police d'assurance, » a déclaré Philip Redman. «Sans doute que vous n'aurez pas à l'utiliser très souvent. Mais, si vous l'utilisez, le MDM s'avérera vraiment très important. »

(...)

(27/06/2011 14:35:18)

Les services numériques génèrent plus de revenus que le matériel

Le cabinet d'études Gartner détaille les résultats de 2010, divisés en trois segments distincts : les abonnements à des services, le hardware et les contenus. La part la plus importante de ces dépenses (62%) revient à l'ensemble des abonnements souscrits : forfaits voix et data mobiles, jeux, packs TV, etc. Vient ensuite le marché des équipements numériques (à hauteur de 28%), qui englobe les dépenses en ordinateurs, téléphones, TV, consoles de jeux, etc. Enfin, les 10% restants sont consacrés aux contenus, en tous genres : services cloud, vidéos, jeux, musique, ebooks, logiciels et applications mobiles...

Si Gartner estime à 2 000 milliards de dollars le marché de l'information et du loisir numérique, ce chiffre devrait progresser pour atteindre 2 100 milliards cette année et atteindre 2 800 milliards à l'horizon 2015. Selon cette étude, les trois principaux vecteurs de développement de cette économie dans les années à venir pourraient être le très haut débit mobile, les services de géolocalisation et les systèmes d'exploitation qui en sont le moteur.

(...)

(27/06/2011 13:24:47)

Gérald Karsenti nouveau PDG de HP France

Jusqu'alors directeur général de l'entité services au sein de HP France, Gérald Karsenti a été nommé PDG de la filiale française de la firme de Palo Alto. Il a rejoint HP en 2007, d'abord comme « dg » des ventes entreprises et, depuis septembre 2010, comme « dg » des services aux entreprises, en charge de la transformation et de l'infogérance.

Avant HP, Gérald Karsenti a eu une longue carrière chez Cap (18 mois comme président d'une filiale et « dga » de Sogeti) et surtout chez IBM, où il a passé la bagatelle de 18 années, terminant au poste de vice-président du software groupe France.  Chez « big blue », il a évolué en France mais aussi en EMEA (2 ans), à New York (3 ans) comme vice-président channel et SMB, en Russie (1 an) au Japon (6 mois). Il remplace à ce poste Yves de Talhouët, promu en mai dernier senior vice président de l'entité entreprises et directeur général de HP EMEA. Ces dernières semaines, HP France nous avait indiqué rechercher une personnalité externe pour prendre le poste de PDG. La nomination de Gérald Karsenti est un signe fort de l'importance accrue du monde des services dans la stratégie de développement de HP.

Gérald Karsenti et diplômé de Sciences Po Paris, de HEC, d'Oxford, il est titulaire d'un master en finance. Professeur affilié à HEC, il a publié plusieurs ouvrages : « Le Business model des services » (avec Wolfgang Ulaga), Le modèle 4x4, méthode globale de conduite de changement, Le business model des services.

Les services sont bien le fil conducteur de la carrière de Gérald Karsenti et de ses différents ouvrages. Pour en savoir plus, nous vous invitons à visiter le blog personnel de Gérald Karsenti : http://geraldkarsenti.blogspot.com/

Crédit photo : D.R.

(...)

(27/06/2011 12:24:24)

CA modernise ses logiciels d'administration de mainframes

Avec les dernières mises à jour qu'il livre sur ses logiciels d'administration pour les mainframes, CA Technologies cherche à répondre aux principales demandes des informaticiens intervenant sur ces systèmes. « J'ai rencontré des centaines de clients en un an pour leur demander quels étaient les problèmes qu'ils rencontraient », explique Dayton Semerjian (en photo), directeur général de l'activité mainframe de CA Technologies. Il énumère les trois points qui lui ont été régulièrement répétés : premièrement, le contrôle des coûts, deuxièmement, le maintien des compétences, alors que partent à la retraite les personnes qui s'occupaient jusqu'alors de ces grands systèmes, et troisièmement, l'agilité accrue des mainframes.

Les mises à jour apportées par CA couvrent ces trois catégories de préoccupations, assure Dayton Semerjian. Au total, 84 programmes ont évolué sur les 234 que rassemble l'offre CA pour les mainframes.

Parmi les outils concernés figure Mainframe Software Manager (MSM), conçu pour rationaliser le processus d'installation des autres logiciels de CA. Sa nouvelle édition simplifie sensiblement les opérations de configuration. Dans bien des cas, configurer un logiciel sur un mainframe peut prendre une journée, voire plus, rappelle Dayton Semerjian. Avec la dernière version de MSM, gratuite pour les clients CA sous contrat, cette tâche peut être réduite à moins d'une heure. « Nous avons procédé à un benchmark interne. Nous avons demandé à un spécialiste de ces environnements d'installer dix applications. Sans utiliser MSM, cela lui a pris six heures et demi et avec MSM, moins d'une heure ».

Endevor : une interface basée sur l'IDE Eclipse

Autre outil mis à jour, Endevor (Environment for developers and operations) Software Change Manager qui permet de gérer le code source des applications. Il dispose d'une interface rajeunie, basée sur l'environnement de développement intégré Eclipse. « Pendant des années, les programmeurs se sont interfacés avec Endevor en utilisant un écran vert. Ils peuvent maintenant utiliser Eclipse, à la fois pour développer, mais aussi pour gérer l'application elle-même », explique Mark Combs, vice-président de l'activité mainframes chez CA.

L'outil Sysview Performance Management surveille les performances des autres applications mainframe. Désormais, il déporte davantage de traitements vers le moteur spécialisé zIIP, ce co-processeur qu'IBM a mis à disposition sur ses derniers Z series. Celui-ci permet aux entreprises de réaliser des économies parce que son usage n'est pas facturé par IBM sur ses contrats à l'usage des mainframes. La mise à jour de Sysview utilise 40% de temps CPU en moins. Puisque  la facturation sur le mainframe est d'abord effectuée sur la capacité d'utilisation, on voit immédiatement l'intérêt sur le terrain du contrôle des coûts, souligne Mark Combs. 

CA utilise aussi le co-processeur pour réduire les temps de processeur sur son logiciel de gestion de la base de données, IDMS (Integrated Database Management System). La nouvelle version déporte 50% de ses traitements vers le zIIP. Elle dispose également de davantage d'outils d'ajustement automatique et de reporting statistique.

Quoique les mainframes soient souvent considérés comme une technologie ancienne, il conserve une présence forte dans de nombreuses entreprises. Dayton Semerjian voit dans ces systèmes une façon de déployer un cloud privé. CA estime que le marché total pour les produits et services mainframe progresse jusqu'à 11,4 milliards de dollars en 2014 (contre 10,6 milliards de dollars en 2010).

Illustration : Dayton Semerjian, directeur général de l'activité mainframe de CA Technologies (crédit : CA) (...)

(27/06/2011 11:20:08)

Google arrête ses services Health et PowerMeter

Google a annoncé vendredi qu'il allait fermer deux services en ligne, Health, lié au domaine de la  santé, et PowerMeter, se rapportant à la gestion de la consommation d'énergie, car ils n'avaient pas n'avaient pas obtenu le succès escompté. Limité aux résidents des Etats-Unis, Health ouvrait aux patients un espace de stockage pour leurs données médicales. Ces informations pouvaient ensuite être partagées avec les médecins de leur choix en stipulant, pour chaque praticien, le niveau de confidentialité de leur accès. Le service avait été lancé en version à la mi-2008, environ six mois après que Microsoft ait dévoilé une offre similaire appelée HealthVault. Les sceptiques se demandaient à la fois si Google pourrait sécuriser les nombreux partenariats dont il avait besoin pour faire fonctionner le projet, et si les utilisateurs seraient enclins à confier des données de santé sensibles.

Des services similaires proposés par Microsoft

« Maintenant, après quelques années d'expérience, nous reconnaissons que Google Health n'a pas obtenu les répercussions importantes que nous espérions »,  ont déclaré les dirigeants de l'éditeur dans un billet de blog. Bien que certaines personnes soucieuses de leur santé et d'autres connaissant bien la technologie aient adopté le service, la firme a échoué sur on usage d'une façon généralisée. Google Health fonctionnera jusqu' au 1er janvier 2012. Ses utilisateurs pourront télécharger leurs données de santé pendant une année  dans différents formats, y compris des fichiers XML qui pourront être importés dans d'autres services, y compris dans HealthVault de Microsoft.

Google va également stopper, le 16 septembre prochain, PowerMeter, son service de gestion de la consommation d'énergie. Microsoft a lui aussi développé Hohm, un outil qui permet aux personnes de diminuer leur empreinte énergétique dans leurs maisons.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >