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(22/06/2011 15:22:18)
IBM déploie des appliances analytiques Netezza haute capacité
Cette appliance haute capacité (jusqu'à 10 Po de traitement en quelques minutes) est destinée aux secteurs des banques, des télécommunications et à toutes autres entreprises générant toujours plus de données et qui souhaitent mieux en comprendre la nature, soit pour en tirer un avantage concurrentiel, soit pour améliorer ses services ou encore pour profiter de nouvelles opportunités commerciales.
Comparées à des produits concurrents, en particulier l'Exadata d'Oracle, les appliances de Netezza, qui seront proposées en plusieurs configurations, se positionnent comme des systèmes plus économiques et plus faciles à installer. « Kelley Blue Book (KBB), un client de Netezza, doit évaluer la nouvelle appliance, » a déclaré Dan Ingle, vice-président et spécialiste des questions analytiques de cette entreprise qui informe les consommateurs sur les prix des véhicules neufs et d'occasion aux acheteurs potentiels. A l'heure actuelle, les statisticiens de KBB utilisent une machine Netezza TwinFin 6 avec un logiciel analytique de SAS Institute pour mouliner des quantités énormes de données relatives aux prix, un travail rendu encore plus complexe du fait que les données sur l'automobile ne sont « pas du tout standardisées », comme l'a précisé le vice-président.
Economie et simplicité
Les prix des véhicules proviennent en effet d'une grande variété de sources, « une grande partie des données étant même tirées de transactions aux enchères, », a-t-il déclaré. « Or, pour faire une analyse des prix et des prévisions pertinentes pour un véhicule donné, il faut plus que l'année, la marque et le modèle, » a-t-il encore déclaré. Les données provenant des ventes aux enchères peuvent ne pas tenir compte d'options et autres variantes qu'une voiture particulière peut offrir et susceptibles d'affecter le prix du marché. « C'est le cas, en particulier, des camionnettes, dont la configuration varie très fortement d'un modèle à l'autre, et des détails cruciaux, comme la longueur, ne sont pas inclus dans le VIN (Vehicle Identification Number), » a-t-il expliqué.
KBB s'intéresse également aux grandes quantités de données générées par les visiteurs de ses sites internet. L'an dernier, AutoTrader.com a racheté KBB. « A eux deux, ces sites drainent plus de deux acheteurs d'automobiles en ligne sur trois, » selon Dan Ingle. « La majorité de ces données de visite résident désormais dans le système Adobe Omniture de KBB, » a t-il ajouté. « KBB voudrait décortiquer ces informations afin de trouver de nouvelles façon de les monétiser, mais prévoit qu'elle aura besoin de plus de place, ce que lui apportera l'appliance de Netezza, » a déclaré le vice-président de la division. « Sans doute, au cours de l'année qui vient, nous allons dépasser les capacités de TwinFin. Mais nous ferons en sorte de ne pas être débordé, » a déclaré Dan Ingle.
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KBB a migré vers Netezza après être passé par la pile BI (business intelligence) de Microsoft. « KBB a aussi évalué Exadata d'Oracle avant de s'installer sur Netezza, » a ajouté le vice-président. « Comparativement, les performances d'Exadata étaient similaires à celles offertes par Netezza, mais cette solution l'a emporté en raison de son faible coût et de sa facilité d'installation et de maintenance, » a t-il déclaré. « Le battage médiatique fait autour de la simplicité de l'utilisation de la solution de Netezza s'est avéré juste. Nous ne mobilisons même pas la moitié du temps d'un salarié à temps plein pour administrer l'appliance,» a déclaré Dan Ingle.
Un marché concurrentiel
Alors que Netezza donne semble-t-il entière satisfaction à ses clients, l'éditeur doit se battre pour imposer ses produits dans un marché toujours plus concurrentiel, face aux solutions similaires vendues par Oracle, EMC,Teradata et Hewlett-Packard, qui a récemment acheté le fournisseur d'entreposage de données Vertica. Jim Baum, le PDG de Netezza, en a convenu lors d'une interview au cours de laquelle il n'a pu s'empêcher d'égratigner HP en particulier. « La pression concurrentielle est très forte, » a-t-il déclaré. « Mais j'ai franchement l'impression que HP a complètement loupé le coche dans le domaine du data warehouse et de l'analytique. »
Selon lui, le rachat de Vertica est « intéressant, » mais « HP n'a pas d'identité assez forte en tant qu'éditeur de logiciels analytiques, » a t-il ajouté. « Ce n'est pas comme dire : j'ai une base de données. Je peux associer cette offre avec un hardware. Et voici l'appliance en question. Ce n'est pas aussi simple que ça. »
Alors que « jour après jour » Netezza est en concurrence avec Oracle, Exadata « fonctionne bien pour certaines charges de travail, mais pas les charges de travail analytiques que nous ciblons, » a t-il estimé. « Cela dit, Oracle représente une force concurrentielle avec laquelle il faut compter, il n'y a aucun doute à ce sujet. Le fait d'être maintenant dans le giron d'IBM est un grand avantage, » a ajouté Jim Baum. « Nous avons beaucoup plus de poids derrière nous.
Oracle s'offre Fatwire Software, éditeur de solutions de gestion des sites web
Oracle a annoncé mardi qu'il avait conclu un accord pour acquérir Fatwire Software, un éditeur de logiciels d'optimisation des sites web pour un montant non encore communiqué. Grâce aux logiciels de Fatwire Software, les décideurs peuvent modifier, analyser et optimiser le contenu et le design des sites web. Ces solutions permettent également de créer une segmentation des clients pour délivrer des messages ciblés, Ainsi, des interactions peuvent être effectuées entre les clients en ligne dans différents points de contacts, magasins, boutiques en ligne, centres de contact, canaux mobiles et réseaux sociaux.
Plus de 300 clients dans le monde
En novembre dernier, Oracle avait acquis Art Technology Group, un spécialiste du e-commerce en déclarant que la convergence croissante entre le commerce traditionnel et Internet appelait à une plate-forme technologique unifiée qui relie ensemble tous les canaux.
Fatwire Software, dont le siège est situé à Mineola, dans l'état de New York, compte Barclays, Best Buy, Cisco, Ford et Pfizer parmi ses clients. Plus de 300 entreprises mondiales dans les services financiers, la santé, les médias et les industries de détail utilisent ses logiciels pour optimiser leurs sites web. Les deux entreprises possèdent des clients communs à travers de multiples industries.
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La SNCF mise sur le social commerce avec Facebook (MAJ)
Voyages-sncf suit la montée du social commerce. Yves Tyrode, directeur général, a annoncé, mardi 21 juin, que l'entreprise allait désormais utiliser Facebook pour distribuer et proposer de nouveaux services aux internautes. Cette application collaborative baptisée « Petits voyages entre amis » sera disponible à partir de septembre 2011.
Cette application permet de créer son propre voyage ou de s'inscrire à un voyage proposé par voyages-sncf.com. Le client qui organise son voyage peut sélectionner plusieurs horaires et plusieurs prix à proposer à ses amis. En revanche, l'achat des billets de trains ne pourra pas être réalisé avec la monnaie virtuelle de Facebook, les « Facebook credits ». L'achat sera finalisé directement sur le site de voyages-sncf.com. Toutes ces informations seront ensuite visibles sur la page Facebook dédiée à ce voyage.
Pour Yves Thyrode, il s'agit d'un formidable canal de distribution pour voyages-sncf.com. Il espère accroitre significativement sa visibilité et son nombre de clients. Cet optimisme s'explique par les statistiques issues du partage par les clients des informations relatives à leurs voyages sur Facebook. « Un post sur un mur Facebook, engendre 2,1 visites additionnelles sur voyages-sncf.com » se félicite le directeur général.
Un partenariat sécurisé
Preuve que le partenariat est stratégique, Facebook était présent en la personne de Julien Codorniou, directeur des partenariats chez Facebook. Quel est l'intérêt de Facebook dans cette démarche ? Il s'agit d'accroître la fréquentation de sa plate-forme de réseau social et de rendre son usage naturel pour tout type d'action, en proposant aux internautes d'accéder à de nouveaux services, ici la vente de billets de trains. Côté SNCF, c'est « une acquisition gratuite de clients pour voyages-sncf.com » affirme Julien Codorniou.
Pour le directeur des partenariats, il s'agit d'un exemple typique de la capacité de Facebook à générer des « leads » (contacts) qualifiés pour ses partenaires, ici voyages-sncf.com. Il souligne également que ces données sont anonymes et ne font donc pas l'objet d'un ciblage commercial.
Dans le même temps, voyages-sncf.com va commencer progressivement à utiliser le protocole 3-D Secure pour les paiements sur internet. Conscient que ce protocole peut être plus contraignant pour ses clients, voyages-sncf.com proposera des alternatives de paiement.
Taleo acquiert Jobpartners pour 26 millions d'euros
L'éditeur de solutions de GRH en mode SaaS Taleo s'est offert Jobpartners, spécialiste de la gestion des ressources humaines et du recrutement pour environ 38 millions de dollars, soit 26 millions d'euros. Grâce à cette acquisition, Taleo bénéficiera d'une plus grande présence auprès des clients européens et deviendra l'un des principaux fournisseurs de gestion des talents SaaS de la région. Outre le fait d'accroître ses capacités de vente et de support au niveau local, Taleo tirera également profit du centre de développement de Jobpartners, situé en Europe de l'Est.
Des solutions disponibles dans une cinquantaine de pays
Jobpartners fournit des solutions de gestion des talents à des multinationales telles que Carrefour, Deutsche Post DHL, Nationwide, Nike EMEA, Rabobank et Xerox. Ses applications sont disponibles dans plus de 50 pays, s'adressent à tous les secteurs d'activité et sont proposées dans 28 langues.
Le conseil d'administration de Jobpartners a donné le feu vert à cette acquisition, qui devrait être finalisée dans le trimestre qui se termine le 30 septembre 2011 selon les conditions de clôture d'usage.
Pour l'exercice 2011, l'acquisition de Jobpartners devrait accroître le chiffre d'affaires PCGR (norme comptable canadienne) de Taleo de 2 à 3 millions de dollars et son chiffre d'affaires non PCGR de 5 à 6 millions de dollars.
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Le club des utilisateurs francophones de SAP se met en ordre de bataille
« En un an, l'USF [Utilisateurs Francophones de SAP], est passé de club des grands utilisateurs du PGI de SAP au club de tous les utilisateurs francophones de toutes les solutions SAP, notamment en fusionnant avec le club des utilisateurs BO » s'est réjoui Claude Molly-Mitton, président de cette association. Le bilan 2010-2011 est, il est vrai, particulièrement riche en initiatives : livre blanc pour guider les négociations avec l'éditeur (voir ci-dessous), programme d'influence internationale initié par le Sugen (club international des dirigeants de clubs d'utilisateurs), et bien entendu convention nationale en octobre 2011.
Cette dernière aura lieu à Strasbourg les 5 et 6 octobre sur le thème générique de la prévention et de l'appréhension des risques dans l'entreprise et le rôle du SI dans cela. Géographiquement proche du siège historique de SAP en Allemagne et au coeur de l'Europe, cette convention sera largement ouverte à l'international avec, pour la première fois, un parcours en Anglais (avec traduction simultanée) de 8 ateliers animés par des clubs d'utilisateurs européens. Cette convention abritera 66 stands de partenaires-sponsors, dont un village BO. Plusieurs intervenants ouvriront la convention à des sujets connexes à la seule informatique : Alain Juillet (ex-haut fonctionnaire à l'Intelligence Economique, aujourd'hui président du CDSE, le club des directeur de la sécurité d'entreprise), l'alpiniste Catherine Destivelle... En tout, il sera proposé aux participants deux matinées de plénières et 80 ateliers de retours d'expériences (dont 10 gérés par SAP qui présentera notamment le seul client « In Memory » français, Casino).
Une influence à court, moyen et long terme
Mais l'USF a aussi un autre sujet de satisfaction : l'aboutissement du programme d'influence voulu par le Sugen. Il s'agit pour les clubs d'utilisateurs, dans le cadre d'un partenariat avec SAP, d'avoir enfin voix au chapitre sur l'évolution à court (améliorations quotidiennes des produits), moyen (innovation) et long (concepts stratégiques) termes des offres de l'éditeur.
Cela se traduira notamment par un accès généralisé aux roadmaps avec la capacité à les critiquer. Pour les demandes d'évolutions à court terme, un portail collaboratif va être mis en place pour remplacer l'ancienne procédure des « development requests » : les clubs nationaux auront pour tâche de trier les demandes des utilisateurs, de les créer sur le portail et, après discussion interne, de les prioriser. Le risque évident de cette nouvelle procédure est que la transparence accrue pour les utilisateurs se paye en délais supplémentaires. Ce point sera bien sûr un objet particulier d'attention pour l'USF. SAP devrait communiquer sous peu les modalités du lancement de ce portail.
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