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(20/05/2011 10:04:12)
Ricoh France a un nouveau DSI, Gérard Bommenel
Il a débuté sa carrière dans le secteur des TIC, chez Unisys, avant de rejoindre Accenture, en tant que consultant. Il a ensuite rejoint le groupe PPG où il a évolué en France et en Europe à divers postes de directeur de projet, directeur des études et DSI. Ricoh indique avoir été séduit chez lui par sa capacité à gérer des grands projets, notamment autour de la plate-forme Oracle.
Au delà du rôle opérationnel quotidien de tout DSI, pour assurer efficacité, efficience et sécurité du SI, tant vis-à-vis de l'interne qu'au bénéfice des clients, Gérard Bommenel sera notamment en charge du projet Share qui consiste à harmoniser les SI des entités européennes du groupe Ricoh. Les infrastructures seront notamment standardisées.
Crédit photo : D.R. (...)(20/05/2011 09:59:18)
1 internaute sur 10 surfe avec un terminal Apple
Aidés par la sortie de l'iPad 2 en mars dernier, les systèmes d'exploitation de la marque à la pomme sont à l'origine de 9,7% du trafic des sites web en avril, selon les résultats de l'étude AT Internet publiés jeudi 19 mai. En l'espace d'une année, les produits Apple ont gagné 2,9 points, tentant de grappiller un peu plus de place sur Microsoft, leader avec 88,4% de parts de visite.
Désormais, en Europe, près d'une visite sur Internet sur dix se réalise depuis un système d'exploitation Apple, type Mac OS X ou iOS (pour iPhone, iPod et iPad). La marque à la pomme s'impose clairement comme le challenger le plus sérieux de Microsoft qui parvient à rassembler 88,4% des visites.
Une progression régulière
Les parts de visite d'Apple ont en effet progressé de 1,6 point depuis novembre dernier, tandis que celles de Microsoft sont moins dynamiques (+0,7 point). Malgré l'essor de Windows 7 qui parvient à s'octroyer 28,8% des parts de visite, Windows XP et Windows Vista sont à la peine, avec respectivement 42,1% (-6,4 points) et 16,4% (-2,7 points) de parts de visite.
Très loin derrière, le système d'exploitation Linux ne génère que 0,9% des visites sur la Toile et celui de Google est anecdotique avec 0,5% de parts de visite. Cette étude a été réalisée du 1er au 30 avril 2011 sur 15 563 sites Internet dans 23 pays européens, dont la France.
(...)(20/05/2011 09:55:12)Amazon vend plus d'ebooks que de livres
Amazon précise que les ventes de livres Kindle ont pour la première fois dépassé les ventes d'ouvrages imprimés en juillet dernier. Le géant américain indique également que depuis le 1er avril 2011, 105 ebooks Kindle ont été vendus lorsque 100 livres imprimés ont été commandés. Autre constat, Amazon.com a commercialisé trois fois plus de livres Kindle depuis début 2011 qu'au cours de la même période en 2010.
"Les clients optent désormais plus souvent pour les livres Kindle que pour les livres imprimés. Nous avions de grands espoirs que cela se produise un jour, mais nous n'avions jamais imaginé que cela pourrait arriver aussi rapidement", explique Jeff Bezos, fondateur et PDG d'Amazon.com.
Amazon a restreint le prix de son nouveau Kindle à 114 dollars (environ 80 euros) depuis mai 2011. Cette baisse de prix est essentiellement liée à l'introduction de la publicité sur la liseuse électronique. Auparavant, le Kindle était commercialisé à 139 dollars (environ 97 euros).
Lancé fin 2007 aux Etats-Unis, le Kindle d'Amazon est une tablette électronique entièrement dédiée à la lecture de livres et de journaux. Elle est disponible dans une centaine de pays dont la France depuis octobre 2009.
Sapphire 2011 : Avec ASE, SAP s'attaque à la base de données d'Oracle
Dans les mois qui viennent, SAP aura achevé le portage de son application ERP (enterprise resource planning) pour la base de données Adaptive Server Enterprise (ASE) de Sybase. Cette solution offrira aux clients qui tournent actuellement sous Oracle et autres plateformes, une meilleure alternative en terme de coût. C'est ce qu'a annoncé l'éditeur allemand lors de la conférence Sapphire qui se tient cette semaine à Orlando.
Sybase ASE occupe une toute petite part du marché de la base de données, détenu en grande partie par Oracle, IBM et Microsoft. A une exception près : ASE est largement utilisée par les institutions financières. Ce que ne manque pas de souligner SAP dans un communiqué diffusé auprès de sa clientèle : « Les clients ERP auront désormais accès à la même base de données que celle utilisée par Wall Street. » SAP ajoute que « les prochaines versions de SAP ERP seront certifiées « prêtes à installer » avec les versions de Sybase ASE. »
En outre, le cycle de vie de Sybase ASE sera « parfaitement synchronisé avec les politiques de maintenance de SAP pour simplifier les mises à jour et la planification des déploiements. » La combinaison de ASE avec SAP permettra aux clients de traiter avec une entreprise unique dont l'objectif essentiel sera « d'optimiser le fonctionnement des opérations professionnelles et de proposer des licences et des contrats de maintenance à des conditions attractives, » a poursuivi l'éditeur allemand.
Une intégration soignée pour gagner en performances
Même si ce type d'estimations est difficile à établir, compte tenu des remises importantes souvent accordées sur le prix dans les négociations de contrats logiciels, ce que les clients gagneront en choisissant ASE à la place d'Oracle n'est pas très précis. D'autant que, on ne sait pas comment Oracle pourrait réagir en termes de prix ou d'avantages client, si SAP parvenait à siphonner une partie importante des recettes résultant de la vente de sa base de données.
« Quoi qu'il en soit, des tests récents indiquent un meilleur rapport « prix-performance » pour l'exécution de l'ERP de SAP sur ASE à la place de bases de données concurrentes, » a déclaré dans une interview John Chen, le PDG de Sybase, une entreprise dirigée désormais comme une filiale indépendante de SAP. « Les ingénieurs de Sybase procèdent encore à certains réglages système, et les avantages pourraient être plus importants, » a ajouté le PDG de Sybase.
Deux bases de données chez SAP
Un autre élément qui manque de clarté, c'est la manière dont vont coexister ASE et la base de données in-memory HANA de SAP au fil du temps. Ce produit, plus récent que ASE, était, jusqu'à présent, principalement destiné aux charges de travail analytiques, mais pourrait tout aussi bien être positionné sur les systèmes transactionnels. Selon John Chen, « la probabilité d'assister à des frictions entre les deux produits est faible. D'une part, il faudra un certain temps avant que HANA soit prête pour répondre aux demandes des gros clients SAP en matière de système transactionnel, et l'ASE dispose d'une base installée saine que SAP pourra « servir correctement. »
La question est aussi de savoir comment SAP va réussir à attirer vers elles des vendeurs non-ASE vers la plate-forme. Typiquement, les migrations de base de données ne sont pas une mince affaire, ce dont convient volontiers le PDG de Sybase. « Ce n'est pas la chose la plus facile à accomplir. Les migrations demandent beaucoup d'implication et d'investissement. » Selon lui, « tout dépend de la façon dont les applications compatibles avec la base de données originale ont été écrites. » « S'il n'y a pas de multi-threading, et un minimum de déclencheurs, alors, techniquement, il faudra migrer, compiler et exécuter. »
L'entreprise est « très déterminée à rendre le processus de migration plus facile, » a déclaré John Chen. « Nous avons déjà deux pilotes pour effectuer les migrations, et une demi-douzaine d'autres sous le coude, » a-t-il ajouté. « Les entreprises concernées sont très importantes. Pas dans le premier quart, mais dans le premier tiers du classement mondial, » a-t-il précisé. « Cependant, les plus grandes opportunités pour l'ASE se trouvent dans de nouveaux projets, ceux pour lesquels les clients choisiront le produit de SAP plutôt que celui d'Oracle ou d'autres produits, et non pas les migrations, » a-t-il estimé.
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Pendant ce temps, SAP cherche également à profiter de la récente décision d'Oracle d'arrêter le développement de logiciels pour les puces Itanium d'Intel. Les serveurs Integrity de Hewlett-Packard tournent sur des puces Itanium et exécutent son OS HP-UX. SAP s'est engagé à long terme pour HP-UX, tant pour ses applications professionnelles que pour l'ASE. De plus, Red Hat est prêt à offrir à ses clients la possibilité d'exécuter le logiciel SAP avec ASE sur son OS RHEL (Red Hat Enterprise Linux), comme l'a indiqué l'entreprise.
Plus avant, SAP prévoit de certifier Sybase ASE pour les autres produits de son portefeuille, dont CRM (customer relationship management), NetWeaver Portal et NetWeaver Business Warehouse. L'annonce de Sybase ASE, qui met l'accent sur la réduction des coûts opérationnels pour les clients, se démarque du marketing de SAP autour de la mobilité, de l'informatique in-memory et du SaaS (Software as a Service).
Des packs pour Business Suite 7
Dans une autre annonce, plutôt destinée à sa base installée, SAP a informé de la disponibilité d'un « Enhancement Pack » Innovations 2010 pour les utilisateurs de la Business Suite 7. Les packs d'amélioration (EHP) des ERP SAP sont censés offrir aux clients de nouvelles fonctionnalités sans les difficultés d'une mise à niveau complète. Mais, dans la pratique, le processus d'application des packs demande du travail. Le nouveau pack comprend plus de 300 fonctionnalités supplémentaires. « SAP prévoit d'augmenter le rythme de livraison des packs EHP, a indiqué Jim Hagemann Snabe co-CEO de l'entreprise lors d'une keynote. « Nous pensons pouvoir livrer un nouveau pack tous les trois mois, » a-t-il ajouté.
(...)(19/05/2011 15:13:12)ARM s'active pour développer un écosystème logiciel pour serveurs
Selon des responsables de la firme britannique, ARM Holdings recherche l'appui d'éditeurs de logiciels en vue d'installer ses processeurs basse consommation dans des serveurs. Actuellement en effet, la plupart des logiciels tournant sur serveurs sont conçus pour fonctionner avec des puces x86 d'Intel ou d'AMD. Pour les rendre exécutables sur des serveurs à base de processeurs ARM, il est indispensable de réécrire ces logiciels, les architectures ARM et x86 utilisant des codes d'instructions différents. « ARM a mis sur pied une équipe spéciale pour développer le secteur du serveur.
Leur mission consiste aussi à inciter les éditeurs de logiciels de virtualisation et les vendeurs de systèmes d'exploitation pour serveur, à écrire des applications pour leurs processeurs, » a déclaré James McNiven, vice-président de Software Alliances, au cours d'une conférence diffusée sur le net. Acteur dominant sur le marché des terminaux mobiles, avec une architecture processeur qu'il développe et vend sous licence, ARM est quasiment absent du marché des serveurs. Mais, alors que de plus en plus de serveurs sont connectés à Internet, ARM pense qu'il y a là une opportunité pour placer ses puces dans des machines chargées d'exécuter des tâches pour le web, comme la recherche et les opérations relatives au réseautage social.
Des puces bien adaptées aux exigences web
Au cours de cette journée de conférence consacrée à la stratégie de l'entreprise, les responsables d'ARM ont fait valoir que les processeurs du designer étaient rapides et plus économes en énergie pour ce type de travail que les puces serveur classiques comme les Xeon d'Intel ou les Opteron d'AMD. « Nous pensons que le serveur est une bonne opportunité pour ARM. Nous voulons mettre à profit l'expérience acquise depuis de nombreuses années, pendant lesquelles nous avons travaillé avec plusieurs écosystèmes différents, et l'appliquer à l'écosystème des serveurs, » a encore déclaré le vice-président de Software Alliances. Sur le marché du serveur, ARM est relativement novice par rapport à Intel et à AMD, dont on retrouve les processeurs dans tous les datacenters existants.
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Mais il y a deux ans, ARM a commencé à lorgner du côté du marché des serveurs, affectant une équipe de marketing et du personnel en recherche et développement pour évaluer les opportunités du secteur. Il y a un an, l'entreprise a construit, avec le fabricant de puces Marvell, dont certains processeurs sont à base d'architecture ARM, un prototype de serveur web. En novembre dernier, Marvell a annoncé une puce serveur quad-core cadencée à 1,6 GHz, justement basée sur l'architecture ARM. « Depuis 18 mois environ, nous avons installé une partie du site ARM.com sur ce serveur pour récolter une série d'informations essentielles et mieux comprendre comment fonctionnait le marché, » a déclaré James McNiven. En août dernier, ARM a investi dans la start-up Smooth-Stone qui conçoit des serveurs basse consommation. L'entreprise, rebaptisée Calxeda, a annoncé un serveur basse énergie à base de processeur ARM, mais son produit n'est pas encore disponible.
Le nerf de la guerre sera bien le logiciel
Reste que les serveurs ne sont utilisables que s'il existe des logiciels capables de fonctionner avec ses puces, de sorte que ARM se préoccupe aussi du développement d'un écosystème logiciel compatible avec l'architecture de ses processeurs. Le designer propose pour cela des outils de développement et travaille avec des développeurs externes pour écrire des logiciels adaptés. En septembre de l'année dernière, ARM avait présenté un premier processeur Cortex-A15 susceptible d'être intégré dans des serveurs. Selon James McNiven, ARM cherche à travailler avec des éditeurs de logiciels de virtualisation pour créer des applications capables de tirer parti des fonctionnalités de son processeur.
Alors que le marché s'ouvre davantage, ARM envisage également de collaborer avec certains éditeurs pour développer des systèmes d'exploitation pour serveur et optimiser des runtimes de type Java capables de tourner de manière efficace sur des processeurs ARM dans des environnements serveur. « Le fondeur voudrait réutiliser le code existant, celui écrit pour les appareils mobiles, pour créer son écosystème logiciel pour serveur, » a indiqué le vice-président de Software Alliances. Cela permettrait aussi aux entreprises de réduire leurs coûts de développement de logiciels.
Microsoft et Google travaillent déjà pour ARM
Selon James McNiven, « ARM a pu réutiliser le code mobile sur son serveur interne, et des logiciels, comme les navigateurs internet ou les piles réseau, peuvent être facilement portés sur différents types d'appareils. » ARM a refusé de nommer les éditeurs de logiciels avec lesquels elle avait travaillé. Mais on sait que la société a collaboré avec succès avec Google, Apple et Microsoft dans le cadre du développement des systèmes d'exploitation mobiles Android, iOS et Windows Phone 7. Le prochain système d'exploitation de Microsoft, Windows 8, fonctionnera également avec les processeurs ARM, et Google a annoncé qu'elle développait une version de Chrome OS exécutable par les puces ARM.
Mais ARM doit aussi faire face à des défis dans le domaine du hardware pour être présent sur le marché des serveurs. De type 32 bits (32 bits pour ses instructions), son processeur Cortex-A15 ne supporte pas plus de 4 Go en mémoire physique (2 To environ en 64 bits). Pour Warren East, CEO d'ARM, ce n'est pas un handicap : « les processeurs ARM peuvent déjà intéresser une grande partie du marché des serveurs, puisque de nombreuses applications exécutées sur les serveurs cloud tournent encore en 32 bits. »
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