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(11/05/2011 11:36:59)
Nouvelle faille, Facebook invite ses membres à changer de mot de passe
Encore une affaire relative à la protection des données personnelles. Cette fois, c'est au tour de Facebook d'avoir laissé filé les informations privées de ses membres. Selon Symantec, des annonceurs publicitaires ont eu accès, par erreur, aux données personnelles des membres du réseau social. La cause : un bug de programmation qui a affecté le site. Les détails de cette affaire, publiés hier sur le site de l'éditeur de logiciels de sécurité, indiquent que le bug aurait pu avoir affecté près de 100 000 applications Facebook depuis des années.
Symantec indique que certaines applications Facebook ont été diffusées par inadvertance auprès des annonceurs via des « tokens » - des séries de chiffres et de lettres pouvant être utilisés par un navigateur pour accéder à des comptes Facebook sur le web. Ces tokens sont comme des autorisations accordées par l'utilisateur pour accéder à des applications Facebook, a précisé le spécialiste de la sécurité dans un billet de blog. Chaque token est associé à un ensemble restreint d'autorisations, comme la lecture du mur, l'accès au profil d'un ami, les messages postés sur le mur, etc.
Des tokens dans les URL de renvoi
Les utilisateurs du réseau social ont l'habitude d'accorder ce type d'accès aux applications Facebook pour pouvoir, par exemple, écrire sur leur mur. Mais, en remettant accidentellement les tokens à d'autres, les développeurs ont donné aux annonceurs et aux sociétés d'analyse en ligne un moyen d'obtenir également ces données.
"Nous estimons qu'au fil des années, des centaines de milliers d'applications ont pu laisser fuiter ces clés d'accès à des tierces parties par inadvertance", a déclaré un responsable de Symantec. "Les tokens ont été diffusés dans les URL de renvoi que les applications Facebook ont transmises aux annonceurs publicitaires et à d'autres", a- t-il ajouté "Cette fuite n'aurait pas dû avoir lieu". Facebook a ouvert son réseau social aux développeurs en 2007 et ces derniers ont été la clé du succès phénoménal du site. Mais les experts en sécurité estiment que ses membres devraient prendre soin de n'autoriser l'accès qu'aux applications Facebook qu'ils veulent vraiment utiliser.
Symantec s'est toutefois montré rassurant, en indiquant qu'il n'était pas certain que quelqu'un ait réalisé que ce problème existait, et qu'il était donc possible que personne n'ait profité du bug pour fouiner dans les données des utilisateurs.
De son côté, Facebook a résolu l'incident, mais Symantec considère que le gros problème pour les utilisateurs, réside dans le fait que ces tokens peuvent encore être en circulation, stockés dans des fichiers log du serveur ou dans d'autres endroits sur le web. L'un de ces tokens va continuer à travailler jusqu'à ce que l'utilisateur modifie son mot de passe Facebook, a prévenu Symantec. C'est pourquoi l'éditeur recommande aux utilisateurs concernés de modifier leurs mots de passe Facebook, afin de « changer la serrure » de leur compte. Le spécialiste de la sécurité a également précisé que le problème n'affectait pas les applications Facebook qui utilisent le système d'authentification OAUTH2.0.
(...)
Exercice d'autosatisfaction pour l'Hadopi
Au regard de ces résultats, l'arsenal répressif (amende de 1500 euros, coupure de l'accés Internet) fait donc son petit effet. Les internautes ont reçu il y a sept mois les premiers mails d'avertissement tandis que les courriers recommandés ont été envoyés en février dernier aux récidivistes. Cette étude montre d'ailleurs que 7% des internautes connaissent dans leur entourage une personne ayant reçu une recommandation de l'Hadopi. 72% d'entre eux déclarent avoir réduit ou arrêté leur téléchargement sur les réseaux peer-to-peer suite à la réception de cette recommandation. Par ailleurs, 37% des internautes déclarent être indifférents au contrôle de l'Hadopi.
Cette enquête intervient deux semaines après la démagogique remise en question de la loi Hadopi 2 par le président de la République, Nicolas Sarkozy, lors dela nomination du Conseil national du Numérique. Une position vite démentie par la suite par l'Elysée.
Cette étude a été réalisée en ligne du 23 mars au 1er avril 2011 auprès de 1.500 internautes représentatifs d'internautes français âgés de 15 ans et plus.
(...)(11/05/2011 10:59:00)Les tablettes gagnent des lecteurs
La consommation de textes numériques est désormais au même niveau que celle de l'écrit imprimé, mais cela ne signifie pas que le livre numérique et les textes virtuels vont remplacer de sitôt la littérature écrite. "Beaucoup s'inquiètent de voir les médias numériques cannibaliser les médias imprimés, du fait de la baisse généralisée des ventes de journaux et de l'apparition de services d'informations entièrement en ligne dans de nombreux pays, mais notre étude montre que les contenus en ligne ne sont pas perçus comme des remplaçants directs à l'imprimé par les consommateurs", a expliqué Nick Ingelbrecht, directeur de recherche chez Gartner. Et d'ajouter, "parfois on se trouve face à un phénomène plus compliqué qu'une substitution pure et simple du print par le numérique".
Avantage aux tablettes
De nombreux sondés ont rapporté préférer les écrans des tablettes et des liseuses aux textes imprimés, mais les utilisateurs d'ordinateurs portables n'étaient pas du même avis. 47% des utilisateurs d'ordinateurs portables ont expliqué trouver plus difficile la lecture sur écran que sur papier, tandis que 33% des propriétaires d'ordinateurs portables trouvent l'expérience de lecture comparable.
L'âge est un facteur décisif des préférences de lecture. Plus de jeunes lecteurs préfèrent lire sur écran que de personnes âgées de 40 à 45 ans. Les hommes sondés sont un peu plus à l'aise avec la lecture numérique que les femmes.
(...)(11/05/2011 09:34:13)Pourquoi Ozitem rachète Owentis
En 20 ans d'existence, Ozitem n'a jamais fait parler d'elle. Cette SSII classique, basée sur l'ingénierie et le conseil, aux deux tiers dans le secteur bancaire, vient de faire sa première acquisition : Owentis. Une autre SSII qui possède trois activités complémentaires : réseau, sécurité, hébergement. Owentis, à l'inverse d'Ozitem est à 90% dans l'industrie, à 10% dans la banque. Les deux entreprises sont rentables, Ozitem réalisant un peu plus de 18 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, Owentis un peu moins de 6 ME.
Une acquisition réalisée de manière très pacifique. Sans volonté farouche de croissance externe, le recours a des cabinets spécialisés n'ayant rien donné, Laurent Soulie, le PDG fondateur d'Ozitem a laissé faire le relationnel. En clientèle, ses équipes ont rencontré celles de Owentis, après plusieurs épisodes, le contact aboutit à un accord de rachat. « On s'est rencontrés, on s'est reconnus, on s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue, on s'est retrouvés » dit joliment Laurent Soulie.
Ne faut pas casser la dynamique
Les structures d'Owentis sont conservées, en particulier tout le front office, « Il ne faut pas casser la dynamique » de chacune des entreprises » souligne Laurent Soulie. Les référencements de Ozitem seront ouverts aux équipes d'Owentis. Le rapprochement et la rentabilité du nouvel ensemble occuperont l'année 2011.
Cette croissance externe ne correspond pas à un plan strictement défini, « il fallait le faire, c'était dans notre dynamique, nous avions franchi un palier, celui des 200 collaborateurs, un rachat nous permettait de passer les 300, une vraie dynamique entrepreneuriale nous tire vers l'avant » commente Laurent Soulie. « Les clients attendent ce type de démarche, même les directions achats sont attentives à notre parcours et à nos ambitions ».
Illustration principale : Répartition de l'activité d'Ozitem
Trimestriels Atos Origin : CA en recul de 0,2%
La SSII Atos Origin publie à son tour les résultats financiers de son 1er trimestre fiscal. Contrairement à la plupart de ses consoeurs, Atos affiche un trimestre en baisse de 0,2% à 1,228 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Par secteur d'activité, l'infogérance (449 ME de CA) baisse de 1%, l'intégration de systèmes (438 ME) baise de 3,2%, les services transactionnels (254 ME) bondissent de 5,7%, le conseil (45 ME) chute lourdement de 20,8%, le BPO Médical (42 ME) progresse de 1,9%.
Par pays, la France (281 ME) baisse de 2,6%, le Royaume-Uni (224 ME) progresse de 1,7%, le Bénélux (220 ME) baisse de 5,7%, l'Allemagne (121 ME) baisse de 2,1%, l'Espagne (75 ME) baisse de 6,9%.
La communication d'Atos met en évidence la réduction de l'endettement à 115 ME, un carnet de commande en hausse de 3% (à 7,5 milliards d'euros), la progression du programme TOP (qui permet de réduire les coûts de structure et d'améliorer l'efficacité), la perspective de l'intégration de SIS (branche informatique de Siemens) après le 1er juillet prochain.
Crédit photo : D.R. (...)
Annuels Avenir Télécom 2010 : CA en légére baisse
Avenir Télécom publie ses résultats annuels 2010, son exercice fiscal se terminant fin mars. Le chiffre d'affaires (CA) se monte (à taux de change constant) à 563 millions d'euros (ME) en baisse de 1,3%. L'essentiel de cette baisse s'est faite au 1er trimestre de l'exercice, donc sur la période avril-juin de 2010, avec une chute de 14,2%, le troisième trimestre fiscal (donc le 4ème calendaire) se concluant par une petite baisse de 0,8%. L'activité est en hausse sur ce début d'année, janvier-mars, de 5,2%.
C'est l'indirect qui permet à Avenir Telecom de retrouver un peu de croissance. Par indirect, Avenir entend les distributeurs professionnels : chaînes de magasins spécialisés, grande distribution, groupes internationaux de négoce en produits d'électronique grand public, commerçants indépendants. Cette activité historique est redynamisée et représente aujourd'hui 52,5% du chiffre d'affaires. Elle progresse de 9,3% sur l'année.
La distribution en direct, celle des magasins (comme Internity en France) subit la baisse de la consommation en Europe et les préférences des consommateurs en faveur, soit d'offres prépayées, soit d'offres tarifaires à bas prix.
Par pays, la France qui représente 58,3% du CA a réalisé une « forte croissance » au 4ème trimestre fiscal, les autres implantations étant (Espagne, Royaume-Uni, Portugal, Bulgarie, Roumanie) étant plus contrastées.
Crédit photo : D.R.
SkySQL s'implante chez Virgin Mobile
Le prestataire de maintenance alternatif pour la base de données open-source MySQL s'est constitué suite au rachat de la base de données libre par Sun, lui-même absorbé par Oracle. La communauté des utilisateurs s'était émue des évolutions du service proposé par ces entreprises. Le caractère open-source de MySQL a rendu possible la mise en place d'un tel support alternatif, évidemment moins onéreux.
Les conditions exactes consenties à Virgin Mobile n'ont pas été rendues publiques mais SkySQL a indiqué qu'il s'agissait d'une offre forfaitisée de son catalogue, très légèrement modifiée.
Un SGBD libre et un support alternatif pour le coeur de métier
Virgin Mobile utilise, depuis son lancement, des bases de données MySQL pour délivrer tous ses services mobiles texte, e-mail données et web. D'une manière générale, cet opérateur a fondé les applicatifs au coeur de son métier sur l'architecture LAMP (Linux, Apache, MySQL, PHP/Perl/Python), essentiellement pour baisser les coûts par rapport aux technologies propriétaires équivalentes.
Celles-ci doivent bien sûr bénéficier d'une haute disponibilité et d'un support 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Philippe Maugest, secrétaire général de Virgin Mobile France explique : « nous garantissons la continuité de nos investissements : SkySQL est en effet capable de fournir le support technique de haute qualité dont nous avons besoin, avec une équipe d'experts MySQL que nous connaissons déjà. »
EMC World 2011 : Accélérer l'adoption du cloud
Paul Maritz, CEO de VMware a été le premier intervenant de ce deuxième jour de l'EMC World 2011 à Las Vegas. Pas d'annonces de la part de la société, mais une vision où il faut repenser l'IT et surtout les différentes couches de l'informatique traditionnelle. Très orienté vers le cloud hybride comme l'avait indiqué la veille Joe Tucci, Paul Maritz a décliné les propositions de VMware sur l'ensemble des briques (sécurité avec Vshield, commutation avec Vswitch, automatisation et design avec vCloud Director) qui composent cet environnement. Tous les composants sont là pour rassurer et accompagner les indécis vers le cloud. Il a indiqué « les mentalités doivent changer et ont changé dans l'IT » et d'ajouter que les prochains travaux de VMware porteront sur l'accompagnement de l'ère post PC et plus particulièrement autour du smartphone. « Les entreprises n'auront plus à payer un téléphone pour leurs employés, mais ils « virtualiseront » le smartphone de ceux-ci ». Cette virtualisation devra s'accompagner de la mise en place de règles de sécurité et d'usage particulier. « On doit être capable dans sa vie privée d'installer une version pirate d'Angry Birds sans se soucier de savoir si mes contacts professionnels risquent d'être transmis par le jeu » schématise le dirigeant de VMware.
Vplex Geo, la fédération de stockage distant prend de la distance
Retour au stockage avec VPlex, la solution d'EMC pour gérer les données sur de longues distances. Elle fédère un ensemble de service de stockage distant au sein d'une même entité de stockage virtuel. En 2010, Pat Gelsinger avait fait la démonstration d'un transfert de quelques machines virtuelles (26) sur une distance relativement faible, d'Hopkinton à Boston, VPlex local et Metro étaient nés. Aujourd'hui, la capacité a augmenté, plus de 2600 machines virtuelles ont été transférées entre Hopkinton et Las-Vegas (soit près de 2700 miles). Brian Gallagher, président de la division Storage a présenté Vplex Geo qui est une solution active/active, c'est-à-dire que la réplication des données se fait en quasi temps-réel. « Nous avons besoin d'un temps de latence inférieur à 50 millisecondes ». EMC a donc noué des partenariats pour l'accélération WAN avec les solutions de Silver Peak, Ciena, Brocade pour optimiser la gestion de la bande passante pour les applications. Brian Gallagher a aussi précisé que « VPlex Geo peut-être le trait d'union entre le cloud des fournisseurs de services et le datacenter des entreprises, il s'agit d'un facilitateur pour aller vers le cloud hybride » et d'ajouter que VPlex Global devrait s'affranchir de la distance en étant disponible sur l'ensemble du globe.
Quelques plus pour VNx et VMax
Si les annonces produits ont déjà été faites il y a quelques semaines, EMC a apporté quelques fonctionnalités supplémentaires sur son offre de stockage. Ainsi sur la partie haut de gamme, Symmetrix VMax va supporter nativement le FCoE (Fiber Channel Over Ethernet) et ainsi se connecter à terme aux infrastructures convergentes. D'autres fonctionnalités comme Federated Live Migration améliore la déplacement des applications d'un ancien système Symmetrix sur des solutions VMax. Enfin en matière de sécurité, EMC se repose sur l'expertise de RSA et propose Data Protection Manager pour sécuriser les données au sein de Symmetrix VMax. Toutes ces fonctionnalités seront disponibles à partir du mois de juin 2011.
Du côté des offres VNx, on notera l'apparition d'un connecteur pour l'appliance Google Search. Cette évolution devrait améliorer l'indexation des données au sein des sous-systèmes de stockage. Cela doit répondre à la problématique soulevée par Joe Tucci, le « déluge de data ». Pour Rich Napolitano, président de la division Stockage Unifié d'EMC « ce partenariat accélère la recherche des données au lieu de prendre des heures, il suffit des quelques secondes. La solution est dynamique, VNx envoie des alertes à l'appliance de Google qui indexe les modifications des données ». Par ailleurs, les baies VNx vont intégrer la Cloud Tiering Appliance, solution capable de déplacer des données obsolètes ou celles inutilisés vers un volume de stockage de bas niveau (dans le cloud par exemple).
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