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(10/05/2011 17:02:44)

Computacenter recherche 150 ingénieurs et techniciens

Pour accompagner la croissance de son activité de services informatiques, Computacenter prévoit de recruter 150 ingénieurs et techniciens IT d'ici la fin de l'année. La société de service et de distribution informatique d'origine anglo-saxonne recherche, pour sa filiale française, des profils techniques qui l'aideront à mettre en place des prestations délivrées chez ses clients grands comptes. Les postes à pourvoir sont variés : il s'agit de responsables techniques de comptes, de techniciens de service desk (maintenance et exploitation), d'architectes, d'ingénieurs « packageurs » (c'est-à-dire des profils qui participeront aux projets de maintenance et d'évolution des postes de travail), d'ingénieurs solutions logicielles et de chefs de projets. Des offres concernent également des gestionnaires de parc informatique, des service managers (qui géreront les ressources attribuées à un contrat de services) et des service delivery managers (chargés d'assurer le pilotage des contrats stratégiques de services).

Une cinquantaine de postes à pourvoir lors des Jeudis.com

Dans le même temps, Computacenter recherche une cinquantaine de commerciaux, notamment des ingénieurs d'affaires et des avant-vente spécialisés en logiciels, sécurité, réseaux et infrastructures.

Pour augmenter ses chances de trouver des candidats potentiels, le groupe participera au salon du recrutement Lesjeudis.com, qui aura lieu  le 19 mai prochain au CNIT de Paris-La Défense. Une cinquantaine de postes de tous niveaux y seront proposés. Créé en Grande-Bretagne en 1981, Computacenter est présent au sein de 48 agences en France, en Allemagne et au Benelux, et réunit près de 10 500 collaborateurs. La filiale française, lancée en 1992 et dirigée par Henri Viard, compte près de 1 500 personnes réparties sur le territoire national.

Illustration: les locaux de Computacenter situés à Roissy. Crédit photo: Computacenter.

(...)

(10/05/2011 15:10:42)

Microsoft va racheter Skype pour 8,5 milliards de dollars

(mise à jour) Comme on s'y attendait depuis quelques heures, Steve Ballmer (en photo) et Tony Bates, respectivement PDG de Microsoft et Skype, s'apprêtent à tenir une conférence de presse commune (à 17 heures, heure française). Le groupe créé par Bill Gates a donc bien l'intention de racheter la société qui s'est fait un nom dans la téléphonie sur IP et fut un temps filiale d'eBay : Skype. L'offre de rachat s'élève à 8,5 milliards de dollars.

Les conseils d'administration de deux sociétés se sont mis d'accord sur l'acquisition. Tony Bates sera sous la responsabilité directe de Steve Ballmer, en tant que président de la division Skype de Microsoft, ce qui vient illustrer l'importance de l'opération pour le groupe.

Lorsque la transaction sera réalisée, Microsoft prévoit d'ajouter le support de Skype à ses équipements de jeux, la console Xbox et son capteur Kinect, ainsi qu'à son système d'exploitation mobile Windows Phone. Il permettre aux utilisateurs de Skype de se connecter à ses propres outils de communication Lync et Outlook, ainsi qu'à ses services Xbox Live.

La semaine dernière, on disait que Skype discutait d'une acquisition ou d'un partenariat avec Cisco, Facebook et Google.

Fondée par Niklas Zennström et Janus Friss, le fournisseur de services de voix et vidéo sur IP avait été racheté par eBay en 2005. Après avoir échoué à l'intégrer à ses activités de vente en ligne, ce dernier avait revendu la majorité de ses parts à un consortium d'investissement où l'on retrouvait ses fondateurs et Silver Lake.

Des offres pour les entreprises

Skype s'est fait connaître pour sa capacité à établir des appels gratuits de PC à PC. Plus tard, il a ajouté à ses services les discussions en vidéo et, plus récemment, proposé des logiciels clients pour les smartphones. Microsoft de son côté dispose d'un service PC-téléphone similaire sous le nom de Windows Live Call et il permet des discussions en ligne, via texte, voix et vidéo, avec son service Windows Live Messenger.

Tant Skype que Microsoft dépassent la sphère grand public et s'adressent également aux entreprises avec ces offres de communication. La société de Steve Ballmer possède une solution serveur pour les communications unifiées qui relie les PC à un PBX pour offrir des services de voix sur IP, de la messagerie instantanée et de la vidéoconférence. Auparavant dénommée Communications Server, cette offre s'appelle aujourd'hui Lync, le versant Lync Online se présentant sous la forme d'un service cloud aux fonctionnalités similaires. Quant à Skype Connect, il s'agit d'un service permettant aux entreprises de connecter leur PBX à Skype pour gérer les appels téléphoniques entrants et sortants. Un outil d'administration, Skype Manager, est proposé pour contrôler les coûts des appels.

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(10/05/2011 14:38:44)

Silmo s'appuie sur BlueKiwi pour créer son réseau social

L'association Silmo réunit les fabricants d'optique et organise tous les ans, avec la société Comexposium, le Salon international de l'Optique-Lunetterie, au parc des Expositions de Paris Nord Villepinte. L'événement créé en 1967, accueille chaque année 30 000 visiteurs et un millier d'exposants de 120 nationalités. Pour le prolonger le salon durant l'année et ainsi mieux fédérer sa communauté, Silmo vient de lancer un réseau social baptisé « Link by Silmo ». Ce service permet de nouer des contacts, jusqu'à conclure des partenariats, d'échanger des documents et, bien entendu, d'initier et de participer à des discussions en ligne. La plate-forme est structurée selon les thématiques propres au salon. Son accès est gratuit sur qualification. 

Le service est entièrement géré en mode SaaS (software as a service) par l'éditeur choisi, en l'occurrence BlueKiwi, un spécialiste du réseau social d'entreprise. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. Sur les 30 000 visiteurs habituels, 1% ont activé un profil au démarrage du service. Bien entendu, à terme, l'objectif est d'approcher les 100%.

Illustration - crédit : Silmo (...)

(10/05/2011 14:02:30)

Dell dope les environnements virtualisés avec un serveur lame quadri-sockets

Pour les environnements virtualisés, Dell vient d'annoncer un serveur lame à quatre sockets intégrant jusqu'à 48 coeurs processeurs. « Le PowerEdge M915 exploite des processeurs Opteron 6100 d'AMD qui acceptent jusqu'à 12 coeurs », a indiqué Mike Roberts, chef de produit senior chez Dell. Le nombre élevé de coeurs permet d'augmenter le nombre de machines virtuelles disponibles. Ce serveur lame est aussi capable de faire tourner d'importantes applications de type bases de données. « Grâce à ses débits rapides, le PowerEdge M915 augmente les performances du serveur en environnements virtualisés », a ajouté le chef de produit. Le serveur quadri-sockets de Dell comporte quatre ports Ethernet 10-Gigabits et accepte des cartes adaptatrices pour ajouter des ports réseaux supplémentaires. Selon Dell, l'agrégation de six ports Ethernet 10-Gigabits permet le transfert de données à 120 gigabits/sec.

Sous Windows Server, RHEL ou SLES

Le serveur précharge sur une carte SD interne l'hyperviseur ESXi de VMware, lui-même un élément du logiciel de virtualisation vSphere 4.1 de VMware. Le serveur peut aussi être livré avec les logiciels de virtualisation Hyper-V de Microsoft et XenServer de Citrix. Il accepte jusqu'à 512 Go de mémoire vive et offre 2 To de stockage en interne. Windows Server, Red Hat Enterprise Linux (RHEL) ou Suse Linux Enterprise Server (SLES) de Novell font partie des systèmes d'exploitation proposés en option. Le PowerEdge M915 s'installe dans un châssis M1000e pouvant accueillir jusqu'à huit lames, soit un total de 384 coeurs processeurs. Il sera disponible partout dans le monde à la fin du mois de mai à un prix démarrant à 3 500 dollars.

Ce serveur sera compatible avec les futures puces Opteron d'AMD - nom de code Interlagos - qui pourront intégrer jusqu'à 16 coeurs. AMD devrait commencer à livrer ces puces, construites sur la microarchitecture Bulldozer, à partir du troisième trimestre de cette année. Pour l'instant, Mike Roberts a indiqué que Dell était en train de tester ces nouveaux processeurs, mais a refusé de préciser la date à laquelle le constructeur commercialiserait les serveurs qui les exploiteront.

Illustration : Châssis M1000e - Le PowerEdge M915 s'installe dans un châssis M1000e pouvant accueillir jusqu'à huit lames.
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(10/05/2011 12:40:14)

Avec FlexNetwork, HP revoit à la hausse ses ambitions face à Cisco (MAJ)

À Londres pour les Européens et à Las Vegas pour les autres à l'occasion d'Interop 2011, HP a dévoilé les produits reposant sur une architecture qui tente d'unifier les réseaux des succursales (le campus d'une entreprise) au sein d'un environnement d'exploitation commun et cohérent. Baptisée FlexNetwork, cette architecture virtualisée est un sous-ensemble spécifique au réseau qui rassemble ressources serveur, stockage et réseau. La solution FlexNetwork assure la mise en oeuvre des protocoles nécessaires au bon fonctionnement des périphériques sur réseau tout en apportant une gestion cohérente de la sécurité et des politiques d'accès sur cette infrastructure.

Avec cette offre, HP cherche à bousculer Cisco qui reste encore le leader dans les équipements réseau pour les entreprises. HP prétend toutefois adhérer plus étroitement aux normes et aux spécifications des autres équipementiers, à la différence de Cisco qui s'arcboute sur des solutions propriétaires pour contrer la progression des autres fournisseurs.

Unifier tous les réseaux de l'entreprise

HP fait également valoir que ses concurrents proposent différentes technologies à différents points du réseau de l'entreprise - le campus par rapport aux datacenters, par exemple - ce qui rend difficile et coûteux le déploiement des nouveaux services et applications. HP présente également ses solutions pour aider les entreprises à abandonner l'EIGRP de Cisco au profit d'autres protocoles tels qu'OSPFv2 et v3. 

L'architecture HP FlexNetwork est constituée de plusieurs composants dits unifiés par une couche de gestion commune. Ils comprennent : 

- FlexFabric, qui vise à faire converger le réseau, les serveurs et les ressources de stockage dans le centre de calcul à travers des environnements virtuels et physiques pour préparer le déploiement de modèles cloud computing hybrides,

- FlexCampus, qui est conçu pour réduire la latence et augmenter la sécurité avec un accès unique et une analyse du trafic sur des réseaux câblés et sans fil,

- FlexBranch, qui tente de rassembler dans un seul châssis Flex les meilleurs composants du marché, et ce afin de garantir une ouverture vers les autres fournisseurs,

- FlexManagement, qui assure la gestion dans une seule console de l'architecture FlexNetwork et d'équipements concurrents.

Un réseau trop complexe pour se développer

La firme de Palo Alto  affirme qu'une architecture comme FlexNetwork est devenue nécessaire, car la complexité des réseaux existants ne permet plus de réaliser les mises à niveaux nécessaires en virtualisation, mobilité et multimédia.

En outre, les réseaux d'entreprise ont très souvent été construits comme des entités spécifiques pour répondre aux besoins de certaines applications et usages. Aujourd'hui, avec la virtualisation, HP affirme que le trafic de serveur à serveur dans les centres de calcul a augmenté de 80%, ce qui entraine inévitablement des goulets d'étranglement en performances. La compagnie indique également que 25% du trafic réseau dans les entreprises est accaparé par des données vidéo ou multimédia qui consomment beaucoup de bande passante et posent de nouveaux problèmes de sécurité.

En 2013, il y aura 3 milliards de smartphones dans le monde, et les réseaux locaux sans fil seront les tuyaux préférés pour la connectivité. Ils devront donc offrir des performances égales ou supérieures aux réseaux filaires.

Un commutateur principal et des mises à jour

Pour faire face aux besoins des entreprises, HP propose donc ses équipements FlexNetwork : la série A-10500 (en illustration principale), un commutateur coeur de réseau, et les mises à jour cartes pour les châssis 5400zl et 8200zl, une solution dédiée à la gestion du réseau et un système de prévention des intrusions (IPS). 

Le A10500 dispose de 128 ports 10 Gigabit Ethernet et offre un temps de latence de 3 microsecondes, ce qui représente, selon HP, une densité supérieure de 270% densité et un temps de latence inférieur de 75% à l'équipement Cisco Catalyst 6500. Pour grands réseaux, quatre commutateurs A10500  peuvent être regroupés en un seul switch virtuel offrant 320 ports Ethernet 10G. Le A10500  supporte une bande passante maximale de  11Tbps et traite jusqu'à 1,9 milliard de paquets par seconde. Si ce commutateur pourra accueillir un peu plus tard des cartes 100G Ethernet, HP a prévu de faire quelques démonstrations sur le salon Interop avec des cartes 40G Ethernet. Dernière caractéristique, le support du Trill pour améliorer les connexions dans les datacenters.

Des cartes pour faire évoluer les châssis

En entrée de gamme à la plate-forme FlexNetwork, HP propose des évolutions de ses équipements E5400 et E8200, avec une mise à jour des cartes, qui offriraient selon le fournisseur, une meilleure gestion de l'énergie (Energy Efficiente Ethernet), une latence inférieure de 90% et un débit 600% plus élevé que le Cisco Catalyst 4500. Ces switchs prennent en charge jusqu'à 288 cartes Gigabit Ethernet par châssis, avec un temps de latence de 3 microsecondes. 

Pour les équipements sans fil FlexNetwork, HP a dévoilé les points d'accès E-MSM460 et E-MSM466 802.11n. La compagnie californienne affirme que ces produits supportent jusqu'à 15 flux vidéo HD par point d'accès et viennent concurrencer les boitiers Cisco 1140 et 3500 APS. [[page]]
Pour la supervision de ces équipements, HP met en avant Intelligent Management Center (IMC) 5, une console unique capable d'administrer tous les produits maison et plus de 2 600 périphériques réseau commercialisés par 35 vendeurs, dont 1 000 d'origine Cisco.

IMC v5 est capable de découvrir les VM, les commutateurs virtuels et leurs interrelations avec le réseau physique, souligne HP. Et une prochaine version 5.1 d'IMC ajoutera la synchronisation des liens réseau avec les serveurs lames HP. Ceci afin de permettre l'installation automatique d'un serveur suivant un profil précis pour établir plus rapidement certains services de provisionnement cloud. « Un bouton pour faire du cloud » selon HP. Le support d'Huper-V devrait également être de la partie.

Également issue du rachat de 3Com, la plate-forme de sécurisation FlexNetwork repose sur l'appliance TippingPoint IPS S6100N. Ce dernier est conçu comme un dispositif de sécurité unique pour les environnements physiques, virtuels et clouds, et propose une capacité d'inspection approfondie en augmentation de 60% par rapport aux précédents équipements de HP, soit jusqu'à 16 Gbps. Une équipe de 20 personnes en Californie scrutent les failles des équipementiers (Cisco, Juniper, Brocade...) pour proposer des patchs virtuels pouvant colmater les vulnérabilités en attendant une mise à jour. Pas moins de 350 failles pour Cisco par exemple annonce Marius Haas, directeur général de l'activité networks de HP.

Une bataille relancée

Le commutateur principal A10500 est attendu au second semestre 2011 à un tarif commençant à 38 000 dollars. L'IMC 5.0 sera disponible en juin au prix de 6 995 dollars. IMC 5.1 devrait être disponible d'ici la fin de l'année. Enfin l'appliance de sécurité TippingPoint S6100N est commercialisée à partir de 209 995 dollars.

Un dernier mot sur la digestion de 3Com qui va progressivement disparaître comme marque alors que la firme issue du joint-venture entre 3Com et Huawei, H3C, va continuer son activité en Chine où HP est l'équipementier numéro 1 sur la marché pour les entreprises. Suite au rachat de 3Com, HP Network totalise aujourd'hui 5 800 employés dans le monde dont 2 400 en R&D. Dans ce domaine, 2 450 brevets ont été déposés dans le monde par la firme de Palo Alto. Fort de ses propositions, Dave Donatelli, directeur général de l'activité infrastructures de HP, se fait fort de proposer des datacenters complètement libérés de Cisco. La bataille entre les deux compagnies californiennes, exacerbée l'année dernière par les remarques assassines de John Chambers, est repartie de plus belle. Reste que HP n'est pas le seul à se positionner sur ce créneau, Brocade vient de dévoiler ses solutions et son programme baptisé CloudFlex, Juniper en fera de même à la fin du mois à l'occasion de Juniper Summit à Barcelone les 25 et 26 mai prochains. (...)

(10/05/2011 12:23:48)

Mondial Assistance gère 7 500 prestataires en mode SaaS

Mondial Assistance assure des prestations d'assistance en s'appuyant sur un réseau de 7500 prestataires partenaires opérant dans 150 métiers différents. Ces partenaires étant au coeur de son activité, leur gestion est stratégique pour l'entreprise. Il s'agissait donc d'améliorer cette gestion tant sur les aspects contractuels, tarifaires et comptables que sur la qualité et la richesse des prestations délivrées. La DSI et le service achat du groupe ont donc choisi de mettre en place un outil en mode SaaS (software as a service) sur Force.com et utilisant Sales Cloud de Salesforce.com. Les produits ont été intégrés et adaptés aux besoins par AVS Consulting. Ainsi, 70 utilisateurs pilotent avec un outil unique les 7500 prestataires dans les différents services (juridique, achats...). La plate-forme est notamment connectée au système Mira qui permet de commander aux prestataires des missions.

Un projet déployé par 5 personnes sur 9 mois

Le projet a été mis en oeuvre en neuf mois par une équipe de cinq personnes (235 jours/homme). Le fait que l'application soit en mode SaaS a permis ensuite un déploiement rapide à travers le monde. Le coût exact du projet n'a pas été dévoilé. L'ouverture en production a eu lieu en novembre 2010.
Au bout de trois mois d'exploitation, les 70 utilisateurs ont bien adopté l'outil. Ils ont pu constater une augmentation de la qualité de l'information, une amélioration du pilotage opérationnel des prestataires, une harmonisation des processus de gestion et une personnalisation accrue de la relation avec les principaux partenaires.

Une version 2 de projet, nommé « Athéna », est en préparation. Elle sera interfacée avec la GED de Mondial Assistance pour faciliter la gestion des contrats.µ

Illustration : D.R. (...)

(10/05/2011 12:17:30)

Athena lance WebSure une solution qui traque les failles des sites web

Athena Global Services entend franchir une étape supplémentaire dans l'audit de vulnérabilité. « Il n'y a pas de site sans faille, le web c'est vraiment du gâteau pour les hackers et toutes les menaces possibles », explique Thierry Cossavella, le CEO du VAD (distributeur à valeur ajoutée). Athena lance donc sur le marché une nouvelle solution, capable d'auditer les sites existants et d'aider les développeurs à créer des sites moins vulnérables. Cette solution, WebSure, appartient à Athena, le moteur et les mises à jour étant d'Acunetix, son  partenaire de longue date.

Une analyse réalisée en français et en anglais

WebSure comprend trois déclinaisons, une pour les PME (WebSure audit), une pour les revendeurs (WebSure indeep audit), une pour les webagencies (WebSure webagencies). La solution est en mode SaaS (software as a service), très accessible en termes de prix. Le scan on line revient à 500 euros avec deux rapports envoyés, l'un en français pour la direction de l'entreprise, l'autre en anglais destiné aux développeurs pour leur indiquer les corrections à effectuer. Pour les web agencies, la solution revient à 50 euros par mois, pour un engagement sur dix audits. Dans ce cas pas de rapport d'expertise, mais la liste complète des failles pour les développeurs.

WebSure est donc lancé comme toujours chez Athena entièrement en indirect. Au-delà de son réseau de spécialistes de la sécurité, le distributeur devrait intéresser des web agencies. Il annonce d'autres nouveautés : la mise en service de Eset version desktop Linux Nod 32, une version bêta pour Android, un système de sécurité pour smartphone et, surtout, la version 5 bêta d'Eset Nod32.

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