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(28/04/2011 17:46:43)
Handicap : Trois entreprises IT s'engagent concrètement
Comme le précisait Guy-Mamou Mani, président du Syntec numérique à l'occasion de la conférence semestrielle du syndicat patronal, les entreprises IT souffrent d'une pénurie d'informaticiens en situation de handicap. Pour faire découvrir leurs métiers aux personnes handicapées, Bouygues Telecom, Cisco Systems, et Steria se sont associés pour lancer les « Rencontres Handicap @ Issy » Organisée en partenariat avec la Mairie d'Issy-les-Moulineaux, Seine Ouest Entreprise & Emploi, les associations Tremplin et l'AFIJ, cette journée, qui s'est déroulée aujourd'hui dans les locaux de Cisco, était ouverte à toutes les personnes en situation de handicap, étudiantes ou en poste, en formation ou en recherche d'emploi. « La Loi du 11 février 2005 sur l'égalité des chances a renforcé l'obligation d'employer 6% de travailleurs handicapés pour les entreprises de plus de 20 salariés », a déclaré d'emblée André Santini, député-maire d'Issy-les-Moulineaux. D'un côté, le taux de chômage des personnes handicapées est deux fois plus important que les personnes valides, de l'autre, les entreprises peinent à trouver les profils qu'elles recherchent. »
Un audit interne chez Cisco
Pour attirer un maximum de candidats, les collaborateurs et managers, avec le support des responsables RH, ont décidé de monter, au cours de cette journée portes ouvertes, des ateliers thématiques sur les métiers opérationnels et fonctionnels propres à leur secteur d'activité.
Dans le cadre de ses activités Diversité & Inclusion, Cisco France a initié une démarche sur le sujet du handicap début 2009. « Nous avons fait appel à un cabinet de conseil spécialisé pour établir un diagnostic interne en sollicitant des collaborateurs Cisco issus de divers corps de métier », a indiqué Caroline Jessen, directrice des ressources humaines. « Suite à cet audit, nous avons constaté que les personnes souffrant de handicap ne souhaitaient pas être reconnues en tant que telles ». Pour Caroline Jessen, dans le monde du travail, les peurs et les préjugés sur le handicap demeurent.
« Le handicap reste trop souvent associé à la contre-performance, alors que des outils technologiques permettent aujourd'hui de favoriser l'accès à l'emploi de ce type de personnes », estime t-elle.
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Cisco a donc décidé de mener plusieurs actions de sensibilisation pour faire évoluer les perceptions sur les travailleurs handicapés, notamment avec la fédération HandiSport. Le groupe travaille depuis 2010 sur un plan d'actions en faveur de l'emploi des personnes en situation de handicap pour faire tomber les a priori et mobiliser ses ressources internes ainsi que des partenaires extérieurs. Le groupe est en relation avec les référents handicap des écoles de commerce et des universités. Des partenariat ont également été menés avec des associations investies sur l'insertion des personnes en situation de handicap pour favoriser les passerelles entre les jeunes et l'entreprise. Cisco participe aussi à des forums étudiants et aux « handicafés » pour permettre aux jeunes diplômés de postuler. Enfin la firme collabore avec les centres de réadaptation et en particulier le CRM (centre de réadaptation de Mulhouse) qui forme des personnes accidentées de la vie aux métiers de l'informatique.
4 engagements clés chez Bouygues Telecom
Bouygues Telecom s'est, pour sa part, engagé depuis de longues années en faveur de l'emploi de travailleurs handicapés. Un 3e accord relatif à l'insertion et au maintien dans l'emploi des travailleurs handicapés a été signé en 2010. Cet accord marque l'engagement de Bouygues Telecom autour de 4 engagements clés : recruter des travailleurs handicapés sur tous les postes de l'entreprise, adapter leurs postes de travail, sensibiliser ses collaborateurs et accroître la sous-traitance avec les entreprises du secteur adapté. Bouygues Telecom a fait le choix d'ouvrir tous ses postes aux collaborateurs handicapés, en privilégiant une logique de compétence et d'emploi pérenne. La société compte 200 travailleurs handicapés au sein de ses 10 établissements français.
Un diplôme reconnu par la branche chez Steria
De la même façon, Steria n'a pas attendu cette journée du handicap pour se mobiliser. La SSII a créé sa Mission Handicap en 2008. Pour aider les personnes souffrant de handicap à se reconvertir à l'informatique, Steria a également signé début 2010 une convention entre l'Agefiph et l'organisme de formation GTM Ingénierie.« Les candidats acquièrent un socle de connaissances informatiques durant trois mois chez GTM Ingénierie », indique Sylvie Verstraeten, directrice des ressources humaines « Puis ils effectuent, pendant un an, leur formation continue dans nos locaux avant d'obtenir un diplôme de développeur en nouvelles technologies reconnu par la branche Syntec numérique. » Une dizaine de personnes, avec ou sans bagage informatique, ont été formées en partenariat avec l'Agefiph et préparent un diplôme de niveau bac+4 Elles ont toutes été embauchées en contrat de professionnalisation et peuvent ainsi travailler tout en continuant à être formées. Syntec Numérique a d'ailleurs décidé de s'inspirer de ce projet et de le généraliser à tout le secteur dès l'année prochaine. En 2010, 13 employés de Steria ont demandé à être déclarés travailleurs handicapés, contre seulement 1 en 2008.
Cette année encore, la SSII proposera à ses collaborateurs une campagne d'information, avec une pièce de théâtre pour les entités basées en province.
Illustration : André Santini, député-maire d'Issy-les-Moulineaux.et les représentants des entreprises présentes lors des Rencontres Handicap @ Issy. Crédit photo : Ville d'Issy-les-Moulineaux.
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Trimestriels SAP : +15% sur les licences en France
Bon premier trimestre 2011 pour l'éditeur SAP qui a augmenté ses ventes de logiciels de 26%, au niveau mondial, à 583 millions d'euros, par rapport aux trois premiers mois de 2010. Son chiffre d'affaires global a progressé de 21% sur la période, à 3,024 milliards d'euros (en incluant les activités de Sybase), dont 2,327 Md€ pour la partie licences et services associés.
En France, sa filiale affiche une croissance organique de 15% sur les ventes de licences (le chiffre d'affaires n'est pas communiqué) et de 9% au total. Une progression qui, contrairement aux résultats globaux, n'inclut pas Sybase, pointe Nicolas Sekkaki (en photo), directeur général de SAP France, pour souligner la performance réalisée par ses équipes « sur l'ensemble des secteurs et des produits », avec un bémol sur l'industrie et l'offre Business Analytics(*). Sur le trimestre, l'Hexagone se retrouve donc en phase avec les ventes de licences réalisées sur le marché EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), ce dernier affichant une progression de 15% à taux de change courant et de 14% à taux de change constant, sur les trois derniers mois.
Six contrats dépassant le million d'euros
Ce matin, lors de la présentation des résultats trimestriels pour la France, Nicolas Sekkaki a rappelé les restructurations engagées sur l'approche commerciale des clients. Les comptes-clés (key accounts), qui regroupent les sociétés « ayant la volonté de mettre SAP au coeur de leur stratégie de développement », sont désormais au nombre de 44. Ce segment a enregistré une croissance de 21% sur la période. « Nous avons réalisé six affaires supérieures à 1 million d'euros, soit en un trimestre autant que la moitié de l'an dernier », indique le directeur général. Ces contrats ont à la fois porté sur des extensions de périmètre des applications installées (davantage d'utilisateurs), sur de nouveaux modules applicatifs pour de nouveaux usages et, pour certains, il s'agit de « winback » remportés sur Oracle.
Secteur public en poupe pour SAP France
Le secteur public a constitué l'un des points forts de la filiale sur le trimestre écoulé, dans trois domaines plus particulièrement. Le ministère des finances a d'abord confirmé l'extension du nombre d'utilisateurs sur le projet Chorus. SAP a par ailleurs poursuivi son avancée sur le terrain universitaire (pilotage de performances, mais aussi bientôt gestion de la vie scolaire et des étudiants) et dans le monde de la santé avec l'une de ses références majeures, l'AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris).
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« L'autre secteur qui nous a ravi ce trimestre, c'est celui de la finance/assurance sur lequel SAP est devenu incontournable », n'hésite pas à affirmer Nicolas Sekkaki. Sur ce terrain comme sur bien d'autres, l'éditeur a mis à l'oeuvre la fameuse « co-innovation » qu'il prône avec ses clients. Ensemble ils développent des fonctions qui permettront aux entreprises de faire la différence avec leurs concurrents. Le dirigeant de SAP France cite le cas de PostBank avec lequel un configurateur de produits a été réalisé. Autre exemple de co-innovation, dans l'agro-alimentaire cette fois, avec Danone, sur la traçabilité de l'empreinte carbone de chaque article.
Co-innovation, la propriété intellectuelle reste chez SAP
Sur ces opérations de co-innovation qui contribuent à apporter un avantage concurrentiel au client, quid de la propriété intellectuelle ? « Elle appartient à SAP », clarifie sans hésitation Nicolas Sekkaki. Sur les 10% du co-développement qui permettent à nos clients de se différencier, ils nous demandent de garder 12 à 18 mois d'avance » [avant que les innovations soient intégrées aux applications métiers s'adressant à tous les autres clients].
A propos du marché de la banque, Nicolas Sekkaki tient à rappeler que l'offre de SAP a évolué entre 2000 et 2003 vers une architecture orientée services, ce qui permet aux clients de ne choisir que certaines briques et de les intégrer avec leurs applications métiers internes. « C'est ce que nous avons fait à la Société Générale » qui a engagé un plan de refonte de sa filière financière avec l'objectif d'avoir une vision globale sur l'ensemble de ses filiales. « Nous avons signé au premier trimestre le démarrage de ce projet ».
(*) Sur le secteur de l'industrie et les produits de Business Analytics, SAP France enregistre une baisse à deux chiffres sur ses ventes.
Illustration : Nicolas Sekkaki, directeur général de SAP France.
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De plus en plus d'utilisateurs d'Internet mobile
La progression de l'Internet mobile dans les usages des Français est à relier au nombre croissant de smartphones en circulation. Ces terminaux multimédia équipent désormais 31,4% des possesseurs de téléphones portables. La mobilité internaute ne semble pas réservée aux utilisateurs de smartphones toutefois. Ainsi, 37% des 43,5 millions de propriétaires de portables consultent la Toile. Une large majorité des mobinautes n'hésitent pas à se connecter (94,1%). Près de la moitié d'entre eux (48,5%) ont au moins utiliser une application au cours de la période janvier-mars 2011.
Google passage obligé
Renforcé par sa position de leader de la recherche Web et à l'expansion des terminaux Android, Google domine largement le secteur de l'Internet via mobile avec 11,52 millions de visites uniques enregistrées au premier trimestre 2011. Facebook suit de près avec 11,11 millions. Orange occupe le troisième rang devant YouTube et SFR avec respectivement 9,25, 7,89 et 7,50 millions de visites uniques. iTunes, la plateforme de contenus d'Apple, termine sixième.
Médiamétrie réalise l'étude L'audience de l'Internet mobile en France grâce à la collecte exhaustive et anonyme des connexions des téléphones mobiles des opérateurs historiques, SFR, Orange et Bouygues.
Selon AppSec, la notation d'Oracle sur ses failles minimise le standard CVSS
« Oracle minimise le risque de ses vulnérabilités, » a expliqué Alex Rothacker, directeur de la recherche sur la sécurité chez AppSec. « En conséquence, les entreprises qui se fient aux taux de vulnérabilité communiqués par Oracle pour programmer les mises à jour système peuvent être amenées à retarder de manière inappropriée l'application de certains correctifs critiques, » a-t-il expliqué. Tous les trois mois, Oracle livre des patchs, seuls ou en bundle, destinés à corriger des vulnérabilités récemment découvertes dans ses produits logiciels. L'éditeur note la gravité des vulnérabilités selon la norme Common Vulnerability Scoring System (CVSS) en cours dans l'industrie.
La préoccupation essentielle d'AppSec tourne autour de la notation unique ajoutée par Oracle dans sa grille CVSS, et nommée Partial +. Normalement, l'échelle du CVSS s'échelonne entre 1 et 10 pour rendre compte de manière globale de la gravité d'une vulnérabilité. Le score correspond lui-même à la moyenne d'un ensemble de notes qui permettent d'évaluer différents aspects de la gravité d'une vulnérabilité. Dans ces sous-évaluations, la notation du CVSS prend notamment en compte les dégâts que pourraient causer des logiciels malveillants du fait de cette vulnérabilité. Si tel logiciel malveillant, appelé « exploit informatique», ne peut endommager que l'application attaquée, alors il peut en général être affecté d'une note Partielle. Mais si l'exploit peut commettre des dommages sur le système sous-jacent, alors la vulnérabilité devrait bénéficier d'une note Complète, laquelle rend compte de davantage de facteurs de risque.
Une notation détournée
« Dans sa notation, Oracle n'utilise presque jamais l'échelle Complète, » a déclaré Alex Rothacker. « La plupart du temps, l'éditeur utilise sa propre notation Partial +, ce qui, dans les évaluations d'Oracle, équivaut à une note Partielle, » a-t-il ajouté. Dans certains cas, Oracle utilise la notation Partial + pour une vulnérabilité de la base de données, qui, selon le chercheur, équivaut à une vulnérabilité au niveau du système. « En réalité, si la base de données d'Oracle se trouve installée sur un serveur, vous n'exécuterez pas SharePoint sur le même serveur. Vous disposez d'un serveur de base de données dédié, » explique encore Alex Rothacker. Oracle reconnait que certains utilisateurs peuvent vouloir recalculer les notes CVSS si un logiciel de leur environnement récolte un Partial +. Dans un récent message publié sur un blog, Eric Maurice, patron sécurité d'Oracle, a déclaré que l'éditeur reconnaissait que certaines entreprises choisissaient de « gonfler discrètement le score de base quand celui-ci était affecté d'une note Partial+ par Oracle. » Les responsables d'Oracle n'ont pas voulu faire de commentaires à ce sujet.
Des évaluations indispensables aux entreprises
De nombreuses entreprises se fient aux évaluations CVSS afin de décider quels correctifs appliquer en priorité. En entreprise, l'application d'un patch sur un logiciel donné doit être accompagné de nombreux tests pour s'assurer que le logiciel fonctionne correctement dans son environnement une fois la mise à jour effectuée. « Il est très difficile pour une entreprise de patcher tous ses systèmes. Elle donne priorité à tel ou tel correctif, selon le niveau de gravité. Elle appliquera les patchs corrigeant les vulnérabilités vraiment les plus critiques en premier, » a encore déclaré Alex Rothacker. Selon lui, un Partial+ peut avoir un certain impact, dans le cas par exemple de deux vulnérabilités presque identiques, identifiées dans la pile réseau de la base de données d'Oracle par un chercheur de l'AppSec. A l'une des vulnérabilités, « Oracle a attribué une note de 5 dans l'échelle CVSS et pour l'autre, une note plus sévère de 7,8, toujours selon l'échelle CVSS, alors que les deux vulnérabilités différent l'une de l'autre d'un seul octet, » a expliqué le chercheur en sécurité Esteban Martinez Fayo, dans un blog. La principale différence entre les deux notes s'explique par le fait que celle de rang inférieur en terme de gravité a reçu une note Partial + tandis que l'autre a reçu une note Complète.
Crédit photo : D.R.
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Bien sûr, AppSec a intérêt à ce que les responsables de la sécurité réévaluent les avis publiés par Oracle. La société propose un logiciel d'audit et de conformité pour vérifier la sécurité des bases de données, et propose même sa propre notation pour requalifier la gravité des vulnérabilités de la base de données d'Oracle. Mais la société connait parfaitement les vulnérabilités d'Oracle : ses chercheurs ont trouvé quatre des six vulnérabilités de la base de données d'Oracle, corrigées par le dernier patch de la dernière mise à jour.
D'autres analystes s'inquiètent des pratiques d'Oracle
AppSec n'est pas la seule à s'interroger sur la notation unique Partial+ établie par Oracle. « En créant la note Partial +, Oracle a en effet créé son propre système de mesure, » a déclaré Adrian Lane, directeur de la technologie et analyste pour la société de recherche en sécurité Securosis. L'analyste, qui a également abordé la question dans un post récent, fait remarquer que le CVSS ne fournit peut-être qu'une estimation de la gravité de la vulnérabilité, mais il sert encore de référence aux administrateurs. « En changeant la base d'évaluation du CVSS, Oracle a porté atteinte à l'unité de mesure standard, » a-t-il déclaré. Adrian Lane estime, comme Alex Rothacker, qu'une vulnérabilité qui affecte toutes les tables d'une base de données doit être considérée comme une vulnérabilité au niveau du système. « Si la vulnérabilité affecte seulement quelques tables, alors elle devrait être considérée comme une vulnérabilité partielle, mais si elle touche la base de données toute entière, un exploit pourrait perturber toute la plateforme, et devrait de ce fait être qualifié par une note Complète, » estime-t-il également.
(...)(28/04/2011 16:16:14)RIM achète Tungle pour améliorer les fonctionnalités d'agenda de ses appareils
Tungle.me, montrée pour la première fois lors du Newtech de Montréal en 2008 et aperçue également en 2009, est une application de planification hébergée dans le cloud qui permet de partager ses calendriers entre collègues et amis, et de planifier des réunions selon les disponibilités de chacun. Tungle permet aux utilisateurs de smartphone de se synchroniser avec plusieurs agendas différents, dont Outlook, Google Agenda, iCal d'Apple et Entourage pour Mac.
Dans le blog du site annonçant la transaction, le PDG de Tungle, Marc Gingras, se dit « heureux » de voir son entreprise rejoindre un « acteur dominant » du marché du smartphone et de la tablette tactile. Il rassure également les utilisateurs du logiciel en affirmant que la mission principale de l'entreprise ne changera pas suite à son acquisition par RIM. « Notre objectif pour Tungle reste le même : faire en sorte qu'il s'intègre à vos activités quotidiennes et être omniprésent dans les applications que vous utilisez déjà, » écrit-il. « Quand vous pensez planification, Tungle répond présent. D'autant qu'aujourd'hui, toute l'équipe de Tungle va rejoindre les rangs de RIM. »
Des achats pour rattraper son retard
RIM a connu une frénésie d'achats au cours des deux dernières années dans le but de renforcer ses appareils mobiles pour rivaliser avec l'iPhone et d'autres smartphones populaires tournant sous Android. En 2009, par exemple, RIM a acquis l'éditeur du navigateur Open Source Torch Mobile, spécialisé dans le développement de navigateurs Internet mobiles, d'agrégateurs RSS et de plates-formes de widgets. L'an dernier, le Canadien avait également acheté Cellmania, une entreprise qui fournit des infrastructures back-end aux boutiques d'applications mobiles en ligne. Le constructeur de smartphones avait également acquis Viigo, un développeur de logiciels spécialisé dans la diffusion de contenus de type actualités, météo et cours de la bourse à des dispositifs sans fil, et The Astonishing Tribe, une société suédoise réputée pour ses interfaces utilisateur pour smartphone et tablettes.
Une part de marché à la baisse pour RIM
L'année dernière, RIM a vu sa part du marché des smartphones diminuer de manière constante, à mesure que le constructeur doit faire face à la concurrence accrue d'Android, d'Apple et de Windows Phone 7 de Microsoft. Selon les données publiées par le cabinet d'étude Canalys, la part du Canadien sur le marché mondial du smartphone est passée de 20% fin 2009 à 14,4% à la fin de 2010, alors que le nombre total d'appareils RIM livrés sur cette période a augmenté de 10,7 à 14,6 millions d'unités entre le quatrième trimestre 2009 et le quatrième trimestre 2010.
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