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(20/04/2011 12:33:28)
L'App Store change discrètement son algorithme de classement d'applis
Le site Inside Mobile Apps, qui a suivi ces fluctuations, indique que le classement accorde désormais moins d'importance au nombre de téléchargements d'une application pour déterminer à quel niveau elle apparaîtra dans la boutique d'Apple. Les analystes de Flurry, qui fournissent des statistiques pour les app des développeurs, ont constaté plusieurs changements dans le classement de la catégorie Top Free la semaine dernière. Bien qu'on ne connaisse pas encore clairement la nature des règles appliquées par Apple, il apparaît que des facteurs comme l'utilisation effective d'une application, influent davantage sur le classement, prenant le pas sur le simple décompte du nombre brut de téléchargements.
Toujours selon le rapport, l'une des applications qui bénéficie le plus de ces ajustements, est l'application Facebook, qui semblait coincée entre la 10e et la 20e place dans la catégorie Top Free.Tout d'un coup, celle-ci est remontée vers le haut, ce qui prouve d'une certaine manière que l'utilisation active d'une application influe directement sur son classement.
Des risques pour les jeunes applis
Comme le souligne Inside Mobile Apps, la médaille a aussi son revers. D'un côté, le nouveau système de classement devrait favoriser la production de meilleures applications, incitant les développeurs à créer des applications de qualité que les gens souhaiteront utiliser. Cependant, en installant des applications avec une large base d'utilisateurs, à la tête du classement, il sera plus difficile à de nouvelles applications de percer, peu importe leur qualité, car elles ne figureront pas en tête de liste.
Une enquête publiée ce mois-ci sur le site Business Insider laisse penser que Google a récemment pris des mesures similaires sur l'Android Market. Selon le site, la boutique de Google établirait un ratio qui prendrait en compte le nombre d'utilisateurs actifs par jour et par mois pour une application donnée. Reste que, ni Google ni Apple ne semblent disposés à révéler précisément la manière dont ils classent les applications dans leurs boutiques respectives, laissant les développeurs jouer aux devinettes.
Note de conjoncture Apec 2011 : Embellie de l'emploi IT confirmée
Les entreprises IT interrogées par l'Apec, dans le cadre de son panel annuel, avaient formulé des prévisions de recrutements plutôt optimistes. Les résultats du baromètre trimestriel publié aujourd'hui par l'association confirment les prévisions annuelles livrées début 2011. La note de conjoncture montre en effet que la situation est toujours favorable dans l'Informatique : 90% des employeurs de la high-tech ont recruté au premier trimestre 2011, soit une hausse de 8 points par rapport à l'an passé. Les prévisions d'embauche se maintiennent également au-dessus des 80%. Ainsi, 86% des entreprises prévoient de recruter au second trimestre 2011, en hausse de 4 points par rapport au même trimestre l'année dernière.
Accompagner le développement des entreprises
L'informatique se distingue aussi par une forte augmentation des volumes d'embauches par rapport à l'année dernière. Les deux tiers des entreprises informatiques qui recrutent déclarent des volumes de recrutement plus élevés que l'an passé à la même période. 77% des entreprises de la high-tech citent le développement de l'activité comme motif principal de recrutement. Ce qui témoigne, selon l'Apec, d'un fort dynamisme sur ces segments importants pourvoyeurs d'emplois cadres. Les perspectives de recrutement de jeunes diplômés sont particulièrement favorables dans l'Informatique et l'Ingénierie-R&D, où plus de la moitié des entreprises qui recrutent ciblent ce profil de cadres.
L'augmentation du volume des offres d'emploi cadre par secteur est toujours forte dans le domaine des « activités informatiques » (22% des offres, soit un peu plus de 28 300 postes). Celui-ci enregistre au premier trimestre 2011 une hausse de 56%, toutefois légèrement ralentie par rapport à celle du trimestre précédent (+ 64%). La croissance du nombre de postes à pourvoir par fonction, cette fois, ralentit légèrement : + 67% au premier trimestre 2011, après + 76% au quatrième trimestre 2010. Cette décrue concerne tous les domaines de l'informatique, hormis la maîtrise d'ouvrage et fonctionnel dont la publication des offres a plus que doublé par rapport au premier trimestre 2010.
28 candidatures pour une offre
Dans l'informatique, une offre peut attirer en moyenne 28 candidatures, ce qui est relativement peu élevé. L'Apec note qu'en période d'embellie, les candidats préfèrent être approchés via des CVthèques que de répondre à des offres d'emploi. La situation actuelle du marché de l'emploi cadre ne se tend pas au point de rallonger les délais de recrutement, néanmoins les entreprises sont plus nombreuses ce trimestre à déclarer avoir eu des difficultés à trouver des candidatures adéquates. Dans l'IT, 72% des recrutements sont jugés complexes à réaliser.
Méthodologie : le baromètre trimestriel de recrutement cadre réalisé par l'Apec permet de connaître l'évolution du climat chez les recruteurs à partir de l'interrogation d'un panel de 750 entreprises de plus de 100 salariés représentatives du secteur privé.
(...)
Avec IPSx, Sourcefire veut rendre la prévention d'intrusion accessible à tous
Selon Cyrille Badeau, directeur régional Europe du Sud de Sourcefire, « ce produit permettra de démocratiser une technologie encore considérée comme exclusivement réservée aux grandes entreprises disposant d'équipes de sécurité expérimentées, et non accessible aux entreprises de petite ou de moyenne taille ». En substance, l'IPSx, est une version allégée du système Snort qui a fait la renommée de l'entreprise, une sorte de « Snort light en boîte.»
Le produit s'adresse aux PME qui ne seraient normalement pas tentées d'acquérir un système de prévention contre les intrusions. L'idée qui a motivé cette offre est bien fondée : les systèmes IPS ont été inventés pour répondre aux besoins des grandes entreprises qui souhaitent détecter les tentatives de piratage qui se produisent dans les réseaux et donc au-delà du rayon d'action des pare-feu protégeant du monde extérieur. Le problème est que les petits réseaux et les PME n'ont pas le personnel de sécurité formé pour configurer ou savoir utiliser une telle application et encore moins trouver les ressources considérables nécessaires pour la financer.
Une boîte pré-configurée
IPSx résout en partie ce problème en proposant des fonctionnalités conçues pour les grands réseaux sous forme de règles pré-définies pour détecter les alertes IPS en utilisant sa base utilisateurs Snort très pointue. Plus besoin ici de gestion des politiques avancée, ni d'édition de règles Snort ou de gestion de la charge de travail, ni encore d'évaluations de l'impact. Dans sa version light, Sourcefire a conservé les rapports essentiels et les alertes, a maintenu la politique d'actions pré-définies, et le système de détection des intrusions que l'on trouve dans des produits plus chers vendus par l'éditeur.
Face aux alertes, les administrateurs disposent d'une interface plus simple qui les redirige vers la documentation en ligne où ils trouvent le détail de ce qui s'est passé et comment le système de détection a traité la menace. D'après SourceFire, l'interface est tellement simple qu'un technicien du pare-feu peut mettre l'IPSx en fonction en moins de 30 minutes. « La technologie d'IPS a été conçue pour fournir le meilleur niveau de sécurité que peut attendre une équipe d'analystes en sécurité, » a déclaré Leon Ward, Field Marketing Manager chez Sourcefire, lequel a expliqué que l'entreprise avait l'ambition d'étendre son activité au-delà de ce secteur. « L'IPSx fait de nous de grands agitateurs, » a t-il ajouté.
Par ailleurs, la société a également annoncé une nouvelle série d'appliance qui vise à résoudre un autre problème de l'IPS, à savoir la difficulté de faire du peering sur un réseau sans augmenter la latence. Les Appliances de la série 8000 comportent une technologie d'accélération appelée FirePower, laquelle offrira une protection IPS en temps réel de 20Gbits/s, selon l'entreprise.
Une orientation audacieuse
Malgré sa réputation et le bien-fondé de son système Snort, Sourcefire pourrait quand même avoir du mal à généraliser l'IPS pour tous. Les administrateurs des services informatiques des PME ne verront pas forcément l'intérêt d'investir dans une technologie qui révèle des problèmes de sécurité dans le réseau interne, alors que d'autres sont convaincus que l'IPS n'est jamais suffisamment simple pour être confié à un personnel non expérimenté. La notion d'entrée de gamme dans l'IPS est également très relative, puisque le prix du kit de démarrage IPSx250 s'élève à 18 245 dollars, capteur inclus. Ce tarif passe à 35 245 dollars pour la version IPSx1000. Même les PME de taille importante ne jugerons pas cette dépense comme prioritaire.
Pendant ce temps, d'autres constructeurs et éditeurs essaient de proposer de l'IPS aux PME sous forme de systèmes de gestion unifiée des menaces (UTM) pour le back door, censés réunir un ensemble de technologies de sécurité dans un seul package. De ce point de vue, l'IPSx de Sourcefire propose une perspective tout à fait différente de la «boîte magique» tout en un.
Disponible à partir de début mai en même temps que la série 8000, l'IPSx se décline en trois modes fonction du débit - 250Mbt/s, 500Mbt/s,1Gbt/s - et comporte chacun une console de gestion distincte.
Les ados européens très accros des réseaux sociaux
Plus des trois-quarts des adolescents européens âgés de 13 à 16 ans (77%) déclarent posséder un profil sur des sites de réseaux sociaux, selon une étude réalisée pour la Commission européenne, publiée par le réseau EUKidsOnline, lundi 18 avril. L'enquête rapporte également que 38% des 9-12 ans avouent également posséder ce type de profil sur la Toile, malgré leur jeune âge. Concernant cette tranche d'âge, les chiffres varient fortement d'un Etat membre de l'Union européenne à un autre. Ainsi, ils ne sont que 25% à avoir un profil sur des sites de réseaux sociaux en France, contre 70% aux Pays-Bas.
Autre constat inquiétant, un quart des petits européens disposant d'un profil sur ce type de sites affirment que leur profil est ouvert au public. En outre, 20% d'entre eux précisent que leur profil public met en avant leur numéro de téléphone et/ou leur adresse. « Un nombre croissant d'enfants sont présents sur les sites de réseaux sociaux, mais bon nombre ne prennent pas les précautions nécessaires pour se protéger en ligne. Ces enfants s'exposent ainsi à des actes malveillants, et se rendent vulnérables face aux harceleurs et aux séducteurs", explique Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne chargée de la stratégie numérique.
A noter, la Commission européenne s'apprête à réaliser une analyse sur l'application des principes de l'Union européenne pour des réseaux sociaux plus sûrs.
Cette enquête porte sur 25 000 jeunes originaires de 25 pays européens, dont la France, l'Allemagne, l'Espagne, les Pays-Bas, l'Italie ou encore la Finlande.
(...)(20/04/2011 09:55:27)L'Ordre des Experts Comptables d'Orléans mise sur une GED flexible
Le bureau d'Orléans de l'Ordre des Experts Comptables dispose de deux salariés permanents et de bénévoles élus parmi les Experts Comptables. Or ceux-ci changent bien sûr régulièrement en plus d'avoir des activités professionnelles prenantes. Comme tous ses homologues en France, ce bureau intervient dans des dossiers variés et importants nécessitant à la fois un important traitement de documents et une haute confidentialité : litiges, exercice illégal de la profession d'Expert-Comptable, contrôle qualité, formation continue...
Depuis plusieurs années, le bureau dématérialisait massivement les documents afin d'en faciliter le stockage et le traitement. Mais il restait à soulager le travail important de reprographie et de tri préalable à chaque réunion du bureau régional ainsi que le travail similaire à effectuer après la réunion pour en acter les décisions.
Afin de faciliter tous ces travaux, ce bureau, après ceux de Niort, Dijon, Strasbourg et Lyon, a choisi d'opter pour une GED simple d'emploi, celle proposée par Novaxel. « Une de nos particularités tient au fait que nos utilisateurs sont par définition de passage, ce sont nos membres qui tiennent à honorer leurs réunions mais surtout à ne pas perdre de temps » souligne Florence Jambut, salariée de ce bureau de l'Ordre.
La grande facilité de la solution était donc un critère essentiel afin de limiter la formation à l'usage de l'outil. Selon Florence Jambut, le gain de temps est aussi considérable, pouvant atteindre par exemple 50% sur la gestion des formations.
A terme, la comptabilité du bureau sera également partagée via l'outil.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Illustration : une des deux permanentes de l'Ordre, Florence Jambut.
Crédit Photo : Novaxel
(...)(20/04/2011 09:44:12)Des directions informatiques régionales créées pour le Ministère des Finances
Neuf directions informatiques régionales viennent d'être créées avec effet au 1er septembre 2011 pour regrouper la direction des centres informatiques du Ministère des Finances. L'organisation remplacée datait d'arrêtés du 24 juillet 2000. Bien que régionales, ces directions adoptent le statut de « services à compétence nationale ». Elles sont bien sûr rattachées hiérarchiquement au chef du service des systèmes d'information de la direction générale des finances publiques, le DSI de Bercy.
Chaque direction est dotée de deux (région Nord avec Lille et Amiens) à sept centres (région Paris Champagne avec Bobigny, Châlons-en-Champagne, Montreuil, Nemours, Noisiel, Paris et Reims). Dans chaque région, un centre est qualifié de siège.
Le pilotage de l'informatique métier de Bercy reste entre les mains de ce métier, incarné par le directeur général des finances publiques. Chaque direction régionale aura à la fois des missions d'assistance aux utilisateurs, de production et de développements d'applicatifs. Elle aura également en charge la production et l'expédition de documents papier, et par conséquent l'ensemble de la chaîne de traitement de l'information.
L'industrie européenne du logiciel a besoin d'un marché unique et du SaaS selon IDC
Premier constat dressé par le cabinet d'études, l'industrie européenne du logiciel est concentrée sur certains pays, les trois grands évidemment (Allemagne, Royaume-Uni, France) mais aussi les pays nordiques et le Bénélux. Les ISV sont issus de ces zones géographiques. Or, une industrie du logiciel nécessite un grand marché intérieur afin de réaliser des économies d'échelle, réduire les coûts unitaires, et donc, accroître la compétitivité. Les pays disposant de grands clients internationaux et de cultures d'exportation favorisent une industrie du logiciel forte.
IDC note ensuite que l'industrie européenne du logiciel est centrée sur les applications et non pas sur les outils de développement ou sur les logiciels d'infrastructure systèmes. Dans les applications de base, comme le SCM ou le CRM, les ISV européennes comptaient plus de 20% du marché mondial en 2009. Dans le middleware en revanche, leurs parts de marché se situaient à moins de 5% pour les logiciels d'infrastructure ou de gestion de l'information. Par contre, localement, les acteurs européens détiennent des positions fortes du fait de leur maîtrise de la législation et des habitudes commerciales, de leur pratique de la langue et des devises locales.
Le SaaS : un baromètre essentiel
IDC s'est également penché sur les acteurs du SaaS. Ce segment croît cinq fois plus vite chaque année que la moyenne du marché européen du logiciel. « Le groupe des acteurs du SaaS est aujourd'hui un baromètre essentiel de l'avenir de l'industrie du logiciel en Europe » souligne IDC qui a analysé 174 spécialistes européens du SaaS. Comme le reste de cette industrie, il est surtout tourné vers les applications.
« La majorité des fournisseurs de SaaS dans notre échantillon avait des revenus annuels de 3 millions de dollars ou moins, de sorte qu'ils s'agit essentiellement de petits éditeurs de logiciels », a déclaré Bo Lykkegaard, directeur de recherche chez IDC. « L'avantage c'est qu'ils appartiennent au monde des start-up et que beaucoup d'entre eux sont susceptibles de connaître une forte croissance au cours des années à venir. Toutefois, il faudra attendre au-delà de notre horizon habituel de cinq ans avant que les acteurs du SaaS représentent une proportion importante parmi les 100 premiers éditeurs de logiciels européens. »
L'intercommunalité et IT, des ambitions sans méthodes
Depuis 2004, l'Adcf (Assemblée des communautés de France) publie un baromètre annuel sur la progression des TIC chez ses adhérents. Le cabinet spécialisé Ocalia, et pour la dernière édition Orange, apportent leur collaboration. Outre l'aspect quantitatif propre à toute étude, ce baromètre analyse 40 réalisations et livre plusieurs appréciations sur l'évolution des projets, leurs contenus et les méthodes engagées.
Premier constat, 76% des communautés disposent d'un site internet, 25% d'un extranet ou d'un intranet. 69% des exécutifs souhaitaient, lors de leur dernier renouvellement en 2008, donner une priorité plus importante au numérique. Les projets numériques répondent à plusieurs besoins exprimés par les responsables des communautés : l'accès à distance (43%) qui devance les questions de la gestion interne (42%), de l'éducation (38%), du tourisme (33%), du développement économique (28%). Si l'accès à distance vient en tête, c'est par la dématérialisation des services. Il s'agit avant tout des procédures administratives, même si le paiement à distance fait son apparition et concernait 4% des communautés en 2010.
Dématérialiser pour dématérialiser ne mène à rien
Toutefois, préviennent plusieurs responsables, dématérialiser ne va pas sans équiper en haut débit les populations et les acteurs locaux. Le haut débit est la clé de plusieurs dossiers. Autre facette du sujet, dématérialiser pour dématérialiser ne mène à rien, dans le cadre d'un service public, il faut le faire pour évacuer des tâches administratives, mais continuer à organiser la rencontre entre les populations et les services publics, donc à bien démarquer les services en ligne des services en face-à-face.
Parallèlement, en interne, les communautés développent des intranet et des extranet. Ils se font essentiellement dans les grandes communautés pour des fonctions comme : le partage d'information, la gestion RH, celle des équipements, l'archivage documentaire, l'urbanisme, l'animation interne. Toutefois, observe l'étude, l'utilisation de ces services par les agents est décevante, insuffisamment associés en amont, ils perçoivent mal la nécessité de ces outils.
L'étude balaye ensuite l'aspect économique. Les trois quarts des communautés disposent d'un site, parfois de plusieurs, pour développer leur attractivité. Les gestionnaires de ces sites estiment disposer de trop peu de temps, pour les alimenter. Ils déplorent aussi le chevauchement des sites dédiés au même sujet sur des collectivités trop proches : communautés et villes membres en particulier. Là encore, le sujet de la fibre optique revient avec insistance. Un grand chantier qui mérite des études et des initiatives à part.
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