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(19/04/2011 17:38:34)

Avamar 6.0 se marie un peu plus avec Data Domain

Avamar 6.0 peut effectuer une sauvegarde centralisée des machines virtuelles, en utilisant l'API vStorage de VMware, vers des appliances Data Domain sans avoir à exécuter cette tâche VM par VM. « Vous bénéficiez de la déduplication d'Avamar et de Data Domain au sein d'une application unique de gestion de sauvegarde», a déclaré Rob Emsley, directeur du marketing produit et d'ajouter « nous avons beaucoup de clients qui utilisent les deux solutions. Cette meilleure intégration consolidera les solutions de sauvegarde autour d'Avamar qui pourront être utilisées par l'entreprise sur l'ensemble de ces métiers ».

La récente version d'Avamar prend également en charge le suivi de la modification des blocs, qui prend en compte les changements incrémentaux sur les fichiers sauvegardés. Cela implique que si un administrateur doit effectuer une restauration des données, seules les informations modifiées sont nécessaires. « Cela réduit la quantité de données qui doit être traitée et apporte une plus grande rapidité dans la restauration complète  des fichiers », précise Rob Emsley.

Andrew Grech, DSI de Corporate Express, une société néerlandaise de fournitures de bureau, a testé une version beta d'Avamar 6.0 et a constaté les avantages sur sa capacité de sauvegarde en combinant  Avamar avec Data Domain. « Si nous pouvons consolider d'autres types de sauvegarde, comme Oracle et Exchange [intégré dans la technologie DD Boost de Data Domain] , en utilisant Avamar et Data Domain, cela nous éviterait de travailler sur des scripts spécifiques et de bénéficier de ce même niveau de simplicité » analyse le responsable. Il complète son propos en soulignant que la restauration des données est  facile et n'a pas nécessité de transformation ou d'évolution de l'infrastructure du groupe Corporte Express.

Des fonctionnalités supplémentaires

Avamar 6.0 ajoute également la sauvegarde au niveau de l'image, en utilisant un « serveur proxy virtuel », ce qui signifie qu'il crée une couche d'abstraction entre les machines virtuelles et les serveurs de backup. Cette procédure apporte une plus grande flexibilité pour les serveurs de sauvegarde qui peuvent organiser des pools de backup selon les configurations des VM.

EMC comprend aussi une option baptisée « flexible image recovery » dans la dernière version d'Avamar. Cette fonctionnalité donne aux administrateurs informatiques  la possibilité de remplacer une VM avec des données corrompues par une image sauvegardée.

(...)

(19/04/2011 17:03:15)

Samsung vend ses disques durs à Seagate pour 1,4 Md de dollars

Ainsi que pressenti, le Coréen Samsung Electronics se sépare de sa division disques durs. C'est l'Américain Seagate Technology qui la reprend pour 1,375 milliard de dollars, dans le cadre d'un accord qui devrait créer de solides liens entre les deux sociétés, ont déclaré ces dernières aujourd'hui. La transaction a pour objectif de renforcer la position de Seagate en tant que deuxième fabricant mondial de disques durs derrière Western Digital. Ce dernier ayant annoncé il y a moins d'un mois l'acquisition d'Hitachi GST (pour 4,3 milliards de dollars). Si ces deux opérations de rachat sont menées à leur terme, le marché des disques durs ne comportera plus que trois acteurs à la fin de cette année, le troisième étant Toshiba.

Echanges de bons procédés entre Seagate et Samsung

La moitié de la somme convenue pour le rachat sera versée en numéraire à Samsung, le reste portant sur l'équivalent en titres Seagate. Un représentant du premier sera également nommé au conseil d'administration du second. Les deux sociétés vont par ailleurs étendre leurs accords de licences croisés et collaborer sur le développement de systèmes de stockage d'entreprise. Samsung fournira des composants de mémoire flash qui seront utilisés dans les disques SSD (solid-state) de Seagate. A l'inverse, ce dernier équipera de disques durs les PC, portables et produits électroniques de Samsung.

Le constructeur américain pense que cette opération lui facilitera l'accès à une clientèle chinoise potentielle, ainsi qu'aux marchés de l'Asie du Sud Est. Elle lui procurera aussi une solide source d'approvisionnement en mémoires flash pour sa gamme de SSD qui s'élargit. Ces accords devraient aussi accélérer les cycles de développement pour les deux sociétés, estime Seagate. 

Hier, le Wall Street Journal avait fait état d'une possible transaction entre les deux fabricants.

Illustration : Le disque dur G3 à interface USB 2.0 de Samsung, un modèle 3,5 pouces de 2 To
(crédit photo : Samsung)
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(19/04/2011 16:16:49)

La signature électronique d'un zip zappée par la justice

Voilà une jurisprudence récemment publiée qui va faire hurler plus d'un spécialiste de la signature électronique et plus d'une entreprise répondant de manière dématérialisée à un appel d'offres dans le cadre d'un marché public. Le tribunal administratif de Toulouse a, dans le cadre d'un litige opposant le CNRS et le cabinet MC2I, jugé que, en l'état actuel du Droit, la signature électronique devait être apposée sur chaque document transmis dans le cadre d'une réponse à un appel d'offres. Signer numériquement un conteneur zip intégrant tous les documents de réponse n'est donc pas valable, pratique qu'avait suivi MC2I.

Signer « en bloc » l'ensemble des documents contenus dans un conteneur zip est pourtant plus rapide et plus simple. Lorsque de très nombreux documents sont envoyés, ce qui peut arriver dans une réponse à un marché public, la pratique est moins fastidieuse qu'une signature individuelle de chaque document. De plus, tous les formats de documents ne supportent pas nativement une signature électronique et devoir signer chacun implique, dans la pratique, de tout transmettre en format PDF et de rejeter les formats de type image par exemple.

Une prévention ministérielle


Sur le plan technique, la signature électronique, garantissant l'intégrité du tout, un conteneur zip en l'occurrence, assure nécessairement l'intégrité de chaque partie de ce tout, donc chaque fichier contenu dans le conteneur zip. Mais la signature veille aussi à garantir l'approbation du signataire. De ce fait, il faut certifier que ce dernier a bien approuvé chaque document et pas seulement leur regroupement dans un conteneur. Le ministère de l'Economie a d'ailleurs rappelé ce point dans un communiqué en juillet dernier.

Le tribunal a donc estimé que la décision du CNRS d'écarter la réponse de MC2I à son appel d'offres était fondée. De plus, s'il pouvait demander une retransmission signée convenablement par MC2I, le CNRS n'y était nullement obligé.

Le raisonnement du tribunal ne reposant que sur une interprétation de l'article 1316-4 du Code Civil, cette jurisprudence peut être étendue à tous les échanges du domaine privé.

(...)

(19/04/2011 13:20:03)

Microsoft a ouvert une « marketplace» avec la bêta d'Office 365

Avec l'élargissement du programme de test d'Office 365, sa suite collaborative et de communication dans le cloud, Microsoft a presque doublé le nombre de pays concernés par la version bêta de l'offre en ligne. Celle-ci peut désormais être testée par les utilisateurs de 38 pays avec une interface disponible en 17 langues. L'éditeur de Redmond a également ouvert un catalogue d'applications et de services, baptisé Office 365 Marketplace. La place s'est ouverte hier sur une centaine d'applications et 400 services professionnels proposés par des développeurs et des partenaires.

Office 365 donne accès aux versions hébergées de SharePoint, Exchange et Lync, ainsi qu'aux Office Web Apps. En s'ouvrant à de nouveaux pays, le programme bêta vient de franchir une étape significative. Il s'adresse maintenant à des centaines de milliers d'entreprises ou d'administrations ayant des millions d'utilisateurs, souligne Betsy Webb, directrice générale de la division Online Services de Microsoft. « C'est une véritable rampe d'accès vers la disponibilité générale des services qui sera effective au cours de cette année ». Jusqu'à maintenant, environ 70% des participants au programme bêta étaient de petites entreprises. Microsoft leur propose de partager leurs expériences dans le cadre d'un concours, « Ready for Work ». Cinq gagnants recevront des outils marketing d'une valeur de 50 000 dollars, la gratuité d'Office 365 pendant un an et, en prime, un cadre de l'équipe Microsoft qui travaillera une journée pour les entreprises lauréates.

Si la place de marché Office 365 propose bien un catalogue de produits et services, les transactions en revanche s'opèrent sur les sites des partenaires, dans le cas où les utilisateurs décideraient d'acheter une application ou de s'engager sur une prestation, a expliqué Betsy Webb.

Version 2010 de SharePoint

Pour les entreprises ayant moins de 25 employés, Office 365 sera facturé à partir de 5,25 euros par utilisateur et par mois. Pour les plus grandes entreprises, l'offre démarre à 9 euros pour Exchange, SharePoint et Lync Online, et de 22,75 euros pour la version la plus complète incluant un abonnement mensuel à Office Professionnel Plus 2010. Pour ces grands clients, Microsoft propose par ailleurs une option de base comportant seulement l'e-mail à destination des employés qui n'auraient pas besoin d'autres logiciels (à partir de 1,75 euros par personne et par mois).
A terme, Office 365 devrait inclure l'offre de gestion de la relation client Dynamics CRM Online. Microsoft prépare aussi une version d'Office 365 pour l'éducation, sous la forme d'une mise à jour à la suite de collaboration et de communication hébergée Live@edu.

Alors que les applications de l'actuel service BPOS (Business Productivity Online Suite) sont basées sur les versions 2007 d'Exchange, SharePoint et Office Communications Server, les composants d'Office 365 reposent sur les éditions 2010 de ces logiciels. L'offre Lync a pris la suite d'Office Communications Server.

Avec l'arrivée d'Office 365, la concurrence va encore monter d'un cran, entre Microsoft et la Google Apps suite, mais aussi avec les autres acteurs du marché, IBM/Lotus ou encore, surtout aux Etats-Unis, Cisco, Novell, Jive, Socialtext et Box.net.

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