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(19/04/2011 12:12:03)
Apple accuse Samsung d'avoir copié sur ses produits
Selon la plainte déposée vendredi dernier à la cour fédérale américaine du District Nord de Californie, Apple reproche à Samsung de s être approprié les technologies, le design et même le packaging de ses produits. Selon lle constructeur calfornien, le Coréen aurait copié les iPad, iPhone et iPod pour concevoir sa ligne basée sous Android, En conséquence, Apple a demandé un procès devant un jury dans le cadre de cette affaire. « Au lieu de poursuivre le développement de ses propres produits, Samsung a choisi de copier la technologie innovante d'Apple, les interfaces distinctives et l'élégance caractéristiques à ses produits de même que leur packaging, en violation avec les sacro-saints droits de la propriété intellectuelle », a indiqué Apple dans sa saisine.
10 chefs d'accusation contre Samsung
L'année dernière, Samsung est devenu le premier grand constructeur d'électronique grand public à rivaliser avec l'Ipad en lançant une tablette. Le groupe coréen est également l'un des plus grands fabricants mondiaux de téléphones mobiles, avec des modèles tournant sous Android. La plainte comporte 10 chefs d'accusation, dont des violation de brevets, du non respect des droits des marques, et d'habillage commercial, de même que des accusations pour cause d'enrichissement non justifié et pour pratiques commerciales déloyales. Apple attaque à la fois Samsung Electronics, Samsung America et Samsung Telecommunications America. L'affaire a été confiée au tribunal du district de San Francisco. Elle sera soumise au juge Laurel Beeler à Oakland, en Californie, où se situe la cour. Un porte-parole de Samsung aux États-Unis a indiqué que la firme ne souhaitait faire aucun commentaire sur ce procès. De son côté, Apple n'a pu être joint pour commenter l'information.
Des copies sur un vaste éventail de terminaux
Les allégations couvrent un large éventail de terminaux mobiles Samsung qui incluent les smartphones sous Android Epic 4G, Captivate, Induge, Nexus S, Galaxy S 4G ainsi que les tablettes Galaxy. Apple a cité la ligne de produits Galaxy de façon nominative dans le cadre de ces accusations. «La copie est tellement omniprésente que les Samsung Galaxy semblent réellement être des produits Apple », peut-on lire dans la plainte. « Ils ont la même forme rectangulaire aux coins arrondis, les mêmes bordures en argent, la même surface plane avec ses bords noirs en haut et en bas, légèrement incurvés à l'arrière, et l'affichage d'icônes colorées carrées et aux angles arrondis. »
Apple souhaite obtenir une injonction pour faire cesser les atteintes présumées de Samsung sur la propriété intellectuelle. Le constructeur demande également des dommages et intérêts, pour « bénéfices injustement perçus » et pour publicité mensongère sur les produits qu'il considère être sources de confusion.
Illustration : La tablette Galaxy Tab de Samsumg (à gauche) et l'iPad d'Apple (à droite) - Crédit : D.R. (...)
Twitter en pourparlers avancés pour racheter TweetDeck
TweetDeck est un concurrent direct des solutions web et mobile développées par Twitter. Si les informations du quotidien économique sont exactes, les dirigeants de ÜberMedia ont dû être surpris, car ils ont eux aussi négocié pour acquérir TweetDeck.
ÜberMedia comprend plusieurs applications comme UberSocial, Twidroyd et UberCurrents. En février dernier, Twitter a suspendu du jour au lendemain trois applications tiers pour mobile détenues par Ubermedia pour avoir prétendument violé ses politiques d'utilisation. Un jour plus tard, le site de microblogging avait rétabli ces trois applications. Selon certaines informations publiées la semaine dernière, ÜberMedia serait en train de développer son propre service de microblogging pour concurrencer directement Twitter.
Citant des sources anonymes, CNN.com a indiqué que l'éditeur cherche à attirer les utilisateurs vers son propre service de microblogging pour répondre aux plaintes fréquentes sur Twitter, telles que les restrictions sur la longueur d'un message et la difficulté d'accès au service pour les nouveaux utilisateurs.
ÜberMedia a refusé de confirmer ou de nier les informations de CNN, ainsi que les informations du Wall Street Journal. Pas de commentaires non plus de la part de Twitter.
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John Wookey, responsable des offres OnDemand, quitte SAP
Ancien collaborateur d'Oracle, John Wookey (en photo) est arrivé chez SAP il y a deux ans et demi pour développer la stratégie « software as a service » en direction des grandes entreprises. Son départ a été annoncé hier par l'éditeur allemand de solutions de gestion. Peter Lorentz, sous la responsabilité duquel il opérait, supervisera la division SaaS pour grandes entreprises jusqu'à la nomination de son remplaçant, a indiqué Jim Denver, porte-parole de SAP.
Vice-président exécutif, responsable de la ligne de produits On Demand, John Wookey quitte l'entreprise pour des raisons personnelles, précise l'éditeur. « Cela ne modifie absolument pas notre engagement sur l'activité on-demand, a affirmé Jim Denver en rappelant que, dans ce domaine, plusieurs étapes avaient déjà été franchies.
Sales On Demand, issu de l'équipe Wookey
C'est un haut profil que SAP avait recruté en novembre 2008, avec John Wookey. Auparavant, celui-ci avait été impliqué au sein d'Oracle dans le démarrage de Fusion Applications (gamme de composants de gestion intégrés notamment accessibles en SaaS), projet de longue haleine qui débouche en ce moment. Chez SAP, il a travaillé sur une série d'applications SaaS destinées à étendre les fonctionnalités du produit de gestion phare, la Business Suite.
L'un des premiers produits à être sorti de l'équipe de John Wookey est l'application de gestion de la relation client (CRM) Sales OnDemand, présentée à l'occasion du Cebit de Hanovre, en mars dernier. D'autres devraient être évoquées lors de la prochaine conférence Sapphire à Orlando, le mois prochain.
L'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, estime que son départ est une « perte importante pour SAP » car il avait su constituer une équipe intéressante, incluant des anciens d'Oracle et de Salesforce.com, et insuffler « le bon esprit de corps pour aller de l'avant ».
Un positionnement clé pour SAP
Pour sa part, Jon Reed, analyste indépendant qui suit SAP de près, considère que John Wookey faisait vraiment partie des cinq personnes les plus importantes au sein de SAP. « Il était très inventif, mais son travail n'était pas réalisé, c'est le problème ». Même si la stratégie SaaS de SAP pour les grandes entreprises ne va pas générer une part importante de revenus cette année, il s'agit d'un positionnement clé pour l'éditeur, un domaine où il se présente autrement que comme un vendeur de logiciels vivant de la maintenance d'applications (installées pour une partie depuis plusieurs années). A noter que les applications SaaS pour les grands clients (Sales OnDemand, notamment) sont hébergées sur la plateforme de Business ByDesign, après avoir commencé leur parcours dans d'autres directions avec d'autres technologies.
Illustration : John Wookey, « vice-président exécutif, Line of Business On Demand » chez SAP à l'occasion du Cebit 2011 (source : SAP) (...)
Le .fr passe le cap des deux millions de noms de domaine
Comme prévu par le quatrième observatoire de l'Afnic publié en novembre dernier, le nombre de noms de domaine a atteint les deux millions début 2011, plus de deux ans après avoir dépassé le million.
L'Afnic prévoit de communiquer ultérieurement le nom du deux millionième domaine enregistré en .fr. Celui du million l'avait été en janvier 2008, tandis que le 1,5 millionième nom de domaine en .fr avait été déposé le 10 septembre 2009, par une compagnie d'artistes en Haute-Savoie.
La croissance enregistrée ces dernières années pour le .fr est en partie liée à l'assouplissement des modalités d'enregistrement des noms de domaines français, ainsi qu'à leur ouverture aux particuliers en juin 2006.
L'extension .fr a été créée le 2 septembre 1986. En Europe, l'extension allemande (.de) demeure la plus populaire avec près de 14 millions de noms de domaine. (...)
BNP Paribas mise sur CA pour gérer ses projets informatiques
BNP Paribas Personal Investors, spécialiste du conseil financier et du courtage en ligne du groupe BNP Paribas, est présent en Allemagne, France, Espagne, Luxembourg, Inde et Singapour. Ses équipes informatiques sont uniquement en France, Allemagne et Inde. L'entreprise souhaitait améliorer la gestion de ses projets IT en arbitrant au mieux les allocations de ressources internes et externes dont elle dispose, cela en toute transparence vis-à-vis des différentes maîtrises d'ouvrage.
Pour atteindre cet objectif, l'établissement a choisi de déployer un nouvel outil de gestion de son portefeuille de projets informatiques. En l'occurrence, il a choisi Clarity PPM (Project & Portfolio Management) de CA.
Une intégration progressive
Dans un premier temps, seuls les 120 membres des équipes de développement européennes ont été équipés avant que l'outil soit étendu aux 90 administrateurs du datacenter et enfin aux responsables de maîtrise d'ouvrage. Depuis 2010, l'outil est également déployé en Inde. Aujourd'hui, la solution a 340 utilisateurs dans le groupe.
Le principe est désormais de pouvoir arbitrer les priorités en termes de projets en fonction des ressources disponibles. Une fois un projet décidé, le gestionnaire concerné peut gérer ses équipes en fonction de ces ressources disponibles et des procédures CMMI 3. L'outil permet également d'extraire des données pour réaliser des rapports ponctuels d'activité.
Surtout, les équipes partagent grâce à cet outil unique des indicateurs communs et connus qui peuvent être suivis en direct par chacun. Toutes les personnes impliquées avancent donc dans la même direction et les prises de décisions sont éclairées par des arguments objectifs, partagés et reconnus comme valides, en toute transparence.
Le coût du projet n'a pas été révélé.
PAC constate une reprise prudente pour les SSII et intégrateurs
Pendant la crise, au cours de ces deux dernières années, les entreprises clientes ont imposé un régime draconien à leurs prestataires, en particulier aux SSII. Les directions achats imposant jusqu'à 20 à 30% de baisse sur les prestations en services et conseils informatiques. Tout l'enjeu, aujourd'hui, est de savoir si les prix repartiront suffisamment fort pour au moins rattraper ces baisses drastiques.
Apparemment, le climat se détend, avait indiqué récemment le Syntec Numérique, après avoir interrogé la plupart des SSII et des intégrateurs. Mais ils restent prudents. Les prix repartent à la hausse, mais cette reprise est légère, hétérogène suivant les secteurs, les entreprises, les profils et les postes concernés. En clair, cette hausse, quand il y a augmentation, est difficile à localiser et loin de compenser les baisses des deux années précédentes.
Le cabinet Pierre Audoin Consultants publie la 7ème édition de son Observatoire des Prix (prestations de services informatiques). Elle confirme et précise le très léger début de détente observé sur les prix pratiqués dans les prestations de services informatiques en étudiant le TJM (Taux journalier moyen) sur une trentaine de profils. Certains restent très bas, comme la maintenance, d'autres semblent portés par une hausse plus réelle des prix : sécurité, ingénieur d'études Cobol dans certains secteurs industriels, ingénieurs d'études SAP, spécialistes logiciels embarqués ou applications mobiles.
Vitale pour les SSII
Cette possible hausse des prix est vitale pour les SSII. Laminées durant la crise, elles veulent retrouver des marges. Les baisses de prix leur ont imposé des efforts drastiques sur leurs coûts de fonctionnement. Certaines d'entre elles pratiquent encore des prestations à perte pour remporter ou conserver un marché. Elles ne retrouvent pas encore le « juste prix » souhaité pour la qualité de leurs prestations.
« Peut être devraient-elles communiquer différemment, sur des projets plus globaux ou des projets innovants », suggère Simon Philibert auteur de l'étude chez Pierre Audoin. « La vision TJM est la vision des acheteurs, une vue à très court terme qui rend difficilement compte du travail des SSII ».
Guy Mamou-Mani et son équipe ont engagé une démarche pour en discuter avec les représentants du Medef, faire reconnaître leur métier, la qualité de leurs prestations et aboutir, à terme à la revalorisation des prix pratiqués. La sortie de crise est donc loin d'entraîner un rattrapage pour les SSII. Même si elles font état de nombreux projets d'embauche, ils se font sur des profils juniors, qui correspondent mieux aux tarifs encore pratiqués. Un profil confirmé, 3 à 5 ans d'expérience, est encore jugé trop cher.
Commerce spécialisé : Cegid accompagne ses clients « retail » à l'international
C'est à Lisbonne que l'éditeur français Cegid a réuni début avril, sur sa conférence Retail Connections 2011, les utilisateurs et partenaires métiers de ses solutions adaptées au monde de la vente au détail et des enseignes commercialisant leurs produits au travers de chaînes de boutiques. L'un des thèmes principaux du rendez-vous annuel a porté sur « la révolution vécue actuellement par le secteur, comparable à celle connue dans les années soixante avec l'arrivée des hypermarchés », souligne Tania Oakey, directrice marketing retail international chez Cegid. « Le commerce cross-channel ou omni-channel regroupe les magasins, le web, les mobiles et les réseaux sociaux. Ce sont autant de canaux qui doivent être intégrés, avec les clients au centre ». Auparavant, chaque canal travaillait de façon autonome. Ils sont maintenant intégrés et communiquent. Un client peut commander en ligne sur le site web, ajouter un produit à sa commande à partir de son mobile puis retourner ensuite dans le magasin. « C'est l'un des sujets qui prédominait sur la conférence, précise la directrice marketing. Toutes les enseignes sont en train d'étudier le cross-channel et le commerce en ligne. Ce ne sont pas des canaux concurrents mais complémentaires. On s'est aperçu que les clients qui intervenaient sur plusieurs canaux dépensaient davantage qu'un client mono-canal », observe-t-elle.
L'historique des achats prend en compte les différents canaux utilisés par le client (cliquer ici pour agrandir l'image)
S'adapter aux spécificités des différents pays
Parallèlement, l'optimisation de la chaîne d'approvisionnement (supply chain) reste l'une des problématiques principales pour les professionnels du retail : « les prévisions, l'assortiment, les budgets d'achats, l'optimisation des ressources humaines en magasin sont de véritables enjeux aujourd'hui pour les enseignes », rappelle Tania Oakey. Elle pointe également l'importance prise par l'internationalisation, tout à la fois des supply chains, des réseaux de magasins et des systèmes d'information. « C'est un axe clé de notre stratégie, précise-t-elle. Nous nous devons d'accompagner les clients dans le monde entier. Nous devons non seulement être aux côtés des enseignes françaises qui s'installent par exemple en Amérique du Sud, aux Etats-Unis ou sur un autre continent, mais également travailler directement avec les enseignes implantées dans différents pays. » Cela signifie que les produits doivent disposer de la richesse fonctionnelle requise par ces utilisateurs, mais aussi intégrer les spécificités locales, métiers, règlementaires ou fiscales. Au Japon, par exemple, les utilisateurs sont très avancés en matière de CRM. Aux Etats-Unis, les logiciels doivent prendre en compte les différentes taxes par Etat. Le service associé doit être assuré sept jours sur sept. « Cela représente des investissements importants pour Cegid », indique Tania Oakey. Mais il est vrai que l'activité retail pèse presque un cinquième des revenus de l'éditeur français. En 2010, elle a généré 45 millions d'euros (soit 18% du chiffre d'affaires total de Cegid) et dopé les ventes réalisées par la société hors de l'Hexagone (+35% sur l'exercice).
Une carte à jouer à l'international
Ces dernières années, cette activité a notamment progressé par croissance externe avec le rachat d'AS Infor (pilotage de magasins) puis de l'éditeur VCS Timeless. Ce dernier avait beaucoup travaillé sur l'axe de l'internationalisation. Cegid aussi. Outre l'Europe du Sud, il avait notamment pris pied en Chine et en Amérique du Nord. « Cela nous a permis de créer une synergie car VCS Timeless avait installé des filiales là où Cegid n'était pas encore présent. Aujourd'hui, nous proposons une véritable expertise sur l'internationalisation des enseignes en les accompagnant sur la partie amont, sur la supply chain, sur la construction de l'offre, sur la gestion commerciale et sur les magasins avec prise en compte du cross-channel, énumère Tania Oakey. Nous avons vu que nous avions une carte à jouer dans ce domaine car dans les différents pays où nous intervenions, nous ne nous retrouvions jamais face aux mêmes concurrents. » Ces enseignes cherchent généralement à mettre les solutions en oeuvre de manière rapide. « Cela peut prendre de trois à neuf ou dix mois selon la taille de l'entreprise, les briques de notre solution qu'elles ont choisies, le nombre de magasins et la gestion du changement mise en place ».
C'est un sujet qui a été particulièrement abordé lors de Retail Connections 2011, à Lisbonne. Parmi les clients, « le fabricant japonais de chaussures de sport Asics qui a beaucoup développé son activité retail nous a choisi pour notre expertise internationale et métier, ainsi que pour notre solution en mode SaaS. Nous pouvions l'accompagner en Asie et en Europe. Asics ouvre un peu partout dans le monde contrairement à d'autres enseignes qui ont commencé par se développer d'abord dans leur pays », explique la directrice marketing.
La base installée de Cegid sur ses offres retail compte un millier d'enseignes (parmi lesquelles Naf Naf, Caroll, Lafuma, Lin Vosges, Salsa, groupe Royer, Yves Rocher ou Lacoste), rassemblant 20 000 points de vente dans 70 pays. Les solutions couvrent de façon modulaire la chaîne complète du retail, depuis les approvisionnements jusqu'à la gestion des points de vente. Elles sont disponibles en 25 langues et peuvent s'interfacer avec d'autres solutions du marché. (...)
Le marché des semi-conducteurs en pleine forme en 2010 selon Gartner
Plusieurs facteurs expliquent cette forte croissance, selon Peter Middleton, analyste chez Gartner. Le secteur est reparti à la hausse avec une demande non attribuée, une récession économique qui freinait les investissements et donc le besoin de reconstituer les stocks. Le marché a commencé son ascension au second semestre 2009, « cela a continué presque frénétiquement au 1er semestre 2010 » commente le Gartner, avec une demande partie en flèche et des prix également en augmentation.
Côté constructeurs, Intel reste en tête pour la 19ème année consécutive, avec 14% des parts de marché, Samsung est deuxième avec 9,4%, mais en croissance de 58,3%. Les suivants se tiennent à quelques décimales : Toshiba 4,1 %, Texas 4%, STM 3,5%, Renesas 3,4%, Hynix 3,3, Micron 2,7%, Qualcomm 2,4%, Broadcom 2,2%.
Intel fléchit
Intel perd des points, il était à 14,6% de parts de marché en 2009. Samsung, en revanche, a connu une forte croissance avec le marché de la DRAM et celui des mémoires flash Nand. Les mémoires représentent environ 80% de ses ventes expliquant ses bonnes performances. Sur la troisième marche du podium, on trouve Toshiba avec une augmentation de son activité dans les mémoires flash Nand pour les mobiles. Toutefois, son activité dans l'Asic a diminué avec la baisse du marché des jeux vidéo. Le Gartner souligne également la performance de la société Broadcom qui s'est hissée à la dixième place.
Dans cet exercice de distribution des prix, le Gartner possède un instrument particulier, son indice RIP qui mesure les plus grands écarts à la hausse ou la baisse par rapport aux attentes. Quatre fournisseurs se développent mieux que prévu, 10% au-dessus de la prévision : Broadcom, Marvell, Samsung Electronics et NXP. Inversement, quatre autres ont manqué les attentes du marché de plus de 10% : Rohm, Renesas Electronics, Nvidia et MediaTek.
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