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(18/04/2011 11:58:15)
Oracle ne vendra plus Open Office et rend le projet à la communauté
Edward Screven, l'architecte en chef d'Oracle a indiqué « compte tenu de l'intérêt important du public pour des applications de productivité personnelle gratuite et de l'évolution rapide des technologies de l'informatique personnelle, nous croyons que le projet OpenOffice.org sera mieux géré par une association qui se consacrera à répondre à cette demande sur une base non-commerciale ». Il a également ajouté que l'éditeur allait « commencer à travailler sans délai avec les membres de la communauté afin de prolonger le succès d'Open Office » et prévoit de continuer « à supporter des standards comme le format ODF (Open Document Format), » a t-il déclaré. Le responsable d'Oracle a aussi confirmé l'engagement de la société dans d'autres technologies Open Source. « Nous continuerons à nous concentrer sur Linux et MySQL, car ces deux produits ont été largement adoptés, que ce soit par des entreprises ou des organisations gouvernementales, » a-t-il précisé.
Cette décision laisse entendre que l'éditeur a eu des difficultés à vendre suffisamment de licences Open Office depuis qu'il a acquis Sun Microsystems, lequel commercialisait le logiciel sous le nom de Star Office. Apparemment, cette annonce est à effet immédiat : sur le site web d'Oracle, un certain nombre de liens en rapport avec Open Office ne sont plus actifs depuis vendredi. Même si Oracle n'a rien précisé en ce sens, l'avenir de son produit Cloud Office récemment annoncé semble également compromis. Les liens vers Cloud Office sont également inactifs.
Méfiance et incertitudes
Il est par ailleurs difficile de savoir si la décision de l'éditeur aura une incidence sur les ramifications du code source d'OpenOffice.org, notamment sur LibreOffice de la Document Foundation, une alternative à Open Office créé l'an dernier par des partisans de la version open source, inquiets des intentions d'Oracle au sujet de la suite bureautique. Auparavant, la Document Foundation, supportée par Google et Red Hat notamment, avait demandé à Oracle de se joindre à l'association et de lui céder la propriété de la marque OpenOffice.org.
Selon Michael Coté, analyste chez RedMonk, la décision de l'éditeur est « à double tranchant, » a t-il estimé. « D'une part, les gens les plus paranos de la communauté, ont intérêt à voir Oracle abandonner les projets Open Source auxquels ils tiennent de peur qu'Oracle ne soit trop tentée d'en faire des produits commerciaux ou de les verrouiller davantage plutôt que de les ouvrir, » a t-il déclaré. Mais les tensions apparues entre la firme de Redwood et les membres de la communauté sur d'autres projets libres « ont rendu ces mêmes personnes méfiantes à l'égard de tout ce que pourrait entreprendre Oracle dans le domaine de l'open source, » a t-il ajouté. « Sur ce point, les gens voudront savoir comment l'organisation se mettra en place, quels en seront les responsables, comment elle sera financée, comment seront cédées les licences et les marques, etc... » a déclaré Michael Coté.
Les fabricants de tablettes sous Android cherchent à baisser leur prix
Pour attirer les acheteurs tentés par une tablette numérique, les fabricants concurrents d'Apple fixent pour leurs produits des prix de départ situés au-dessous de celui de l'iPad, ce dernier démarrant à 499 dollars. On voit ainsi chez ViewSonic, Asustek et Acer des tablettes équipées d'écrans 10,1 pouces proposées entre 279 et 449 dollars. Ces terminaux, dotés de processeurs ARM double-coeur, exploitent différentes versions de l'OS Android de Google et offrent le support de Flash.
C'est en avril de l'an dernier qu'Apple a lancé l'iPad et donné le ton sur ce marché avec un prix agressif. Les premières tablettes sous Android, telles que la Galaxy Tab, de Samsung, qui ont débuté leur commercialisation par la suite ont été comparativement jugées un peu chères pour ce qu'elles proposaient. La baisse de la tarification des nouvelles tablettes semble illustrer un réajustement du marché, estime Roger Kay, président du cabinet d'études Endpoint Technologies Associates.
Sur Amazon.com, on trouve maintenant la GTablet de ViewSonic au prix de 279,99 dollars alors qu'elle était originellement tarifée à 499 dollars. L'Iconia A500 Tab d'Acer démarrera à 449 dollars d'ici la fin du mois (499 euros en France). Le prix de départ de la prochaine Eee Pad Tranformer d'Asus a été présenté à 399,99 dollars sur le site de l'enseigne spécialisée Best Buy, mais cette page a depuis été supprimée.
L'iPad détenait 73% du marché fin 2010
Selon une étude d'IDC, sur les 10,1 millions de tablettes livrées au quatrième trimestre de 2010, Apple s'est octroyé une part de marché de 73%. Derrière lui se trouvait la Galaxy Tab de Samsung, avec 17%. Des fabricants locaux se partageaient le reste des ventes. Apple domine ce secteur parce que le prix de l'iPad est agressif, tout autant que sa conception et ses fonctionnalités, considère Roger Kay. Par comparaison, les prix élevés et l'absence d'une offre logicielle associée ont rendu les tablettes Android moins attractives. « Le système Android ne dispose pas de l'écosystème global et uni que s'est constitué Apple », ajoute le consultant d'Endpoint Technologies Associates.
La Galaxy Tab de Samsung, qui offre un écran 7 pouces, a été d'abord mise en vente, à la fin de l'année dernière, par l'intermédiaire de Verizon à partir de 600 dollars, sans abonnement, ce qui a été jugé bien trop cher. Ce mois-ci, l'opérateur américain a baissé le prix à 500 dollars.
Cela dit, tous les fabricants de tablettes Android n'ont pas modifié leur politique de prix. Motorola continue à proposer sa Xoom à partir de 599 dollars. Les acquéreurs peuvent se procurer des tablettes Android pour un prix inférieur auprès des opérateurs de téléphonie mobile, mais ils doivent généralement s'engager sur un abonnement de deux ans. Roger Kay fait valoir que l'attention des acheteurs est volatile et que ceux-ci pourraient reporter leur intérêt sur les tablettes Android si celles-ci sont moins coûteuses. Il reste à voir si ces terminaux vont effectivement bousculer la domination d'Apple sur ce marché.
En mars, Apple a débuté la commercialisation de l'iPad 2. En ce moment, on constate une attente de deux à trois semaines sur les commandes en ligne de cette deuxième version de la tablette d'Apple.
Illustration : la GTablet de ViewSonic (crédit : D.R.) (...)(18/04/2011 11:32:41)Samsung se désengagerait des disques durs
Samsung songerait sérieusement à se désengager des disques durs. C'est ce qu'indique le Wall Street Journal sur son site Internet. Le quotidien précise que l'entreprise coréenne espère retirer 1,5 milliard de dollars de cette cession, même si un accord sous le milliard de dollars est aussi envisagé. Parmi les prétendants, Seagate arrive en tête. Ce dernier veut rester dans la course après le rachat le mois dernier par Western Digital de l'activité disque dur d'Hitachi pour 4,3 milliars de dollars.
La raison de cette procédure de cession est aussi à chercher dans la mutation du marché. De plus en plus d'ordinateurs et de tablettes fonctionnent sous mémoire flash. L'activité disque dur va donc baisser et se concentrer. Samsung veut anticiper cette évolution et investir dans des secteurs plus prometteurs notamment les SSD. Apple vient d'ailleurs de préférer Samsung à Toshiba sur ce sujet.
(...)(18/04/2011 11:07:32)Adobe colmate une faille zero day dans son player Flash
Adobe avait reconnu cette faille en indiquant que des kits d'attaques étaient déjà en circulation. L'éditeur avait promis de corriger la faille avec une mise à jour d'urgence. Ce patch est le deuxième en moins de quatre semaines. La version de Flash Player 10.2.159.1 est disponible pour Windows, Mac, Linux et Solaris. On notera l'absence d'Android dans cette liste, le système d'exploitation mobile de Google qui gère également Flash. Un correctif spécifique sera délivré au plus tard la semaine du 25 avril, a déclaré Adobe.
L'éditeur doit dans la même semaine corriger Acrobat et Reader, outils pour la création et la lecture de PDF. La vulnérabilité trouvée dans Flash existe aussi dans Reader et de manière plus avancée dans Acrobat car le code peut s'immiscer dans des documents PDF. Les premières attaques se sont basées sur des pièces jointes Word malveillantes. Les pirates ont élargi leur campagne afin d'inclure des fichiers Excel corrompus, selon Mila Parkour, le chercheur indépendant en sécurité qui a signalé la faille dans Flash. Elle a suivi les attaques pendant plus d'une semaine et a publié des informations à leur sujet sur son blog Contagio Malware Dump. Elle a ainsi montré que les premiers documents Word portaient sur les lois antitrust chinoises ou sur le programme d'armement nucléaire japonais. Peu après, les documents étaient plus terre à terre en portant sur des plans de réorganisation de l'entreprise ou sur une mise à jour des listes de contacts professionnels.
Une origine chinoise ?
La spécialiste en sécurité a également réussi à tracer le serveur d'envoi des messages. Celui-ci est enregistré en Chine. Elle a par ailleurs constaté que certains des documents Word et Excel malveillants avait été initialement conçus en chinois.
Google a mis à jour son navigateur Chrome qui inclut une copie de Flash Player. Ce téléchargement rectifie non seulement le bug Adobe, mais aussi un trio de vulnérabilités critiques dans la technologie d'accélération matérielle au sein du navigateur. Comme Internet Explorer et Firefox, Chrome utilisent le processeur graphique (GPU) pour traiter certaines tâches. La firme de Mountain View considère habituellement comme « critiques » les failles que les attaquants pourraient utiliser pour contourner la « sandbox » du navigateur.
Les utilisateurs d'autres navigateurs peuvent télécharger la version corrigée de Flash Player à partir du site d'Adobe.
LCL mise sur Informatica pour la traçabilité de ses données
LCL opère un réseau bancaire avec 15 000 salariés et s'adressant autant au particulier qu'à l'entreprise ou au professionnel. Les personnels d'agences utilisent toute la journée des applicatifs métiers dont la performance est un facteur essentiel de productivité et de qualité de service rendu.
Afin de contrôler cette performance, LCL souhaitait pouvoir suivre aisément les multiples données déjà disponibles comme les fichiers de traces sur les serveurs. Or les environnements informatiques sont extrêmement variés et les données par conséquent très hétérogènes.
Pour consolider et traiter ces données afin de décider de mesures correctives pertinentes et nécessaires (redirection ponctuelle de ressources, achat de serveurs, croissance de la bande passante, etc.), LCL a choisi l'outil d'agrégation proposé par Informatica. La solution a été implémentée en deux mois et offre une vision globale de la performance des applications.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Un analyste anticipe un CA trimestriel d'Apple à 24,42 milliards de dollars
Pour l'analyste de la banque, les revenus du fabricant devraient s'établir à 24,42 milliards de dollars à comparer aux 23,83 milliards de dollars prévus initialement. Cette mise au point se justifie par le fait que les ventes d'iPhone devraient non plus atteindre 16,6 millions mais 18,4 millions d'unités dans le monde d'ici la fin du mois.
A contrario, l'analyste de la banque américaine a revu à la baisse ses prévisions de vente d'iPad qui passent à 5,4 millions d'unités contre 6 millions jusqu'ici. Les ventes de la tablette d'Apple feraient les frais de délais de livraisons trop longs plutôt que d'un essoufflement de la demande. En revanche, sur l'ensemble de l'année fiscale 2011 d'Apple, les ventes d'iPad devraient dépasser les 29,1 millions d'unités prévues en début d'exercice pour atteindre 31,3 millions d'unités.
Un effet tsunami sur les marges
Quant aux ventes de Mac, elles devraient être aussi légèrement plus élevées que prévues à 3,89 millions d'unités contre les 3,82 millions d'unités initialement attendues. Enfin, les ventes d'iPod devraient continuer de décliner à cause de la cannibalisation du baladeur numérique par l'iPhone et l'iPad.
Ces prévisions qui dépeignent un avenir radieux pour Apple sont quelque peu assombries par le fait que l'analyste de JP Morgan anticipe une baisse de la marge brute d'Apple à court ou moyen terme à cause de l'impact de la catastrophe japonaise sur la chaîne de production du fabricant.
En attendant, on saura le 20 avril si l'analyste de la banque américaine a vu juste.
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