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(15/04/2011 10:18:04)
Annuels 2010 DL Software : une année contrastée
Les résultats financiers 2010 sont pour le moins contrastés pour l'éditeur DL Software. Le chiffre d'affaires annuel, 44,1 millions d'euros (ME) est en hausse de 12,6%, en tenant compte des rachats, mais en baisse organique de 4,7%. Explication : l'activité dans les laboratoires pharmaceutiques a baissé pour des raisons règlementaires et économiques (regroupements en cours). Les investissements ont donc été reportés, dans un secteur qui représente 40% de l'activité de cet éditeur. La croissance provient de deux sociétés rachetées en 2009 et intégrées en 2010 : Juxta et CIM.
La marge brute est à l'avenant, elle représente 38,4 millions d'euros en 2010, en croissance de 13,7%, mais en baisse de -5,1% sur le plan organique. Le résultat d'exploitation, lui, baisse passant de 6 millions d'euros à 5,7 millions d'euros entre 2009 et 2010. Le résultat courant passe de 5,9 à 5,6 ME.
La direction de DL Software fait remarquer que 50% de la marge provient d'activités récurrentes : offres locatives et maintenance. Le reste vient de prestations de services, de ventes de licences, de ventes de matériels associés. 2011 devrait se situer à l'inverse de 2010, avec un redémarrage prévu au second semestre.
HP et Linagora ensemble sur des offres de support Open Source
Dans le cadre de sa stratégie qui vise à faire de lui un champion du support informatique, HP s'associe à l'éditeur Linagora pour lancer deux offres de support packagées autour des logiciels libres. La première couvre 10 applications parmi lesquelles on trouve BIND, Apache, Php, CVS, My SQL ou encore Samba. Le périmètre de la seconde s'étend à 40 logiciels : ceux couverts par le premier package plus des applications telles que Thunderbird, LemonDAP, SPIP, Postfix, OpenOffice.org.... « Ces packs couvrent environ 80% des besoins des entreprises », estime Alexandre Zapolsky, le fondateur et PDG de Linagora.
Le coeur de cible de ces nouvelles offres de services sont les PME de 150 à 200 personnes jusqu'aux ETI (entreprises de taille intermédiaire) de 2500 collaborateurs, équipées ou non de plates-formes matérielles HP. En y souscrivant, elles bénéficieront d'une prise en compte des incidents dans un délai d'une heure maximum et de la possibilité de passer un nombre d'appels illimités sur l'ensemble des logiciels présents dans les packages. En revanche, les interventions à distance ou sur site sont en option.
Linagora se focalise sur le support de niveau 3
En tant que partenaire de HP, le rôle de l'éditeur spécialisé dans les logiciels libres se cantonnera à la fourniture d'un support de niveau 3 aux clients. En clair, c'est le helpdesk de HP qui se chargera de délivrer du support de niveau 1 à 2 et de commercialiser les packages de services auprès de clients. L'accord n'en reste pas est pas moins intéressant pour Linagora qui sera, bien sûr, rémunéré pour ses services et qui peut désormais espérer toucher des clients qu'il ne pouvait pas prospecter jusqu'ici. « En tant que société dotée d'une force commerciale réduite, nous nous focalisions jusqu'ici sur le support aux grands comptes. Passer par des porte-voix comme HP et son canal de distribution solutionne le problème », se félicite Alexandre Zapolsky. Preuve de l'impact attendu sur l'activité de son centre d'expertise, l'éditeur prévoit le recrutement d'au moins 10 collaborateurs au sein cette structure qui emploie déjà 20 personnes.
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MIX11 : Microsoft montre Mango, la mise à jour de son OS mobile
Microsoft a dévoilé cette semaine les détails de Mango, la prochaine mise à jour de son OS pour smartphones Windows Phone, qui sera lancée à l'automne prochain avec près de 1 500 nouvelles APIs. L'éditeur a également présenté les améliorations prévues sur les outils de développement permettant de créer des applications pour la plateforme. Avec Mango, Microsoft renforce son système d'exploitation mobile dans des domaines tels que les menus déroulants, l'utilisation de la mémoire et l'accès aux données. « Mango inclut maintenant une base de données SQL locale qui permet aux utilisateurs d'enregistrer les données ou d'effectuer des requêtes au sein des applications », a déclaré Scott Guthrie (en photo, à droite), vice-président de la plate-forme de développement .Net, lors de la conférence Mix11 à Las Vegas. Les APIs permettront d'exposer les fonctionnalités du plug-in Silverlight 4 pour afficher des applications Internet.
Les données se chargent plus rapidement dans Mango. Alors que Windows Phone 7 se fige lorsqu'il charge de nouvelles informations, « Mango réagit immédiatement, même si les données ne sont pas entièrement arrivées », a t-il expliqué. Un collecteur d'informations permet de charger progressivement les données en mémoire sans stopper l'application. Ainsi, celle-ci démarre beaucoup plus rapidement et interagit de façon plus fluide, en particulier avec les jeux.
Une quinzaine de langues supplémentaires et des fonctions HTML5
« Mango s'appuiera sur la nouvelle version du navigateur Internet Explorer 9, qui inclut un moteur de navigation haute performance », a pour sa part indiqué Joe Belfiore (en photo, à gauche), vice président, responsable programme Windows Phone. La mise à niveau de l'OS pour smartphones comportera 16 langues supplémentaires, parmi lesquelles des langues asiatiques, et disposera de fonctions de recherche améliorées. Mango exploitera également des fonctionnalités HTML5, comme la lecture de fichiers audio en tâche de fond pendant la navigation, et d'applications natives optimisées dans des domaines comme l'intégration des données. « Il y a beaucoup de choses que nous réalisons dans cette mise à jour pour que vous puissiez mieux intégrer vos applications, les données, les services et les capteurs sur le téléphone», a ajouté le responsable du programme Windows Phone. Les capacités multitâches permettent par ailleurs de passer plus rapidement d'une application à l'autre. La façon dont le code s'exécute est gérée de façon à améliorer la durée de vie de la batterie. Enfin, un menu (jump list) aide les utilisateurs à accéder directement à l'application qui les intéresse.
Silverlight 5 disponible en version bêta
Les outils de développement Windows Phone pour développer des applications Mango seront disponibles gratuitement à partir du mois prochain. Ils proposeront des capacités d'émulation améliorées incluant et la simulation de la localisation. Des outils de mesure des performances permettront aux développeurs d'identifier certains problèmes. « Ils vous dirigent vers la portion de code à corriger », explique Scott Guthrie. En outre, une capacité d'allocation de mémoire trace les objets en fonction de la quantité de mémoire qui leur est allouée.
Comme prévu, Microsoft a également annoncé la sortie de la version bêta du plug in Silverlight 5, Le support de Silverlight 5 dans Microsoft Visual Studio et Expression Studio Tools est également disponible. La version 5, qui devrait atteindre l'étape de la livraison aux fournisseurs OEM cette année, proposera des fonctionnalités qui amélioreront la qualité vidéo et intégrera une interface basée sur les outils XNA pour visualiser de la 3D dans les applications. La version bêta de Silverlight 5 est disponible sur le site Web de Silverlight.
Illustration : de gauche à droite, sur MIX11 (à Las Vegas), Joe Belfiore, vice président, responsable du programme Windows Phone et Scott Guthrie, vice-président de la plate-forme de développement .Net. (...)
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(...)(14/04/2011 15:48:28)De 10 à 50% des applications obsolètes dans les entreprises, selon Capgemini
Les entreprises ont du ménage à faire dans leurs applications. Une enquête réalisée par Capgemini avec HP, auprès d'une centaine de DSI et responsables IT de haut niveau, fait apparaître que 60% d'entre eux estiment gérer davantage d'applications que nécessaire au bon fonctionnement de leur entreprise. Or, toutes consomment des ressources qui pourraient être utilisées différemment pour le développement de l'entreprise et consacrées en particulier à l'innovation, pointe la SSII. En fait, les responsables IT consultés ne sont guère que 4% à juger que tous les systèmes informatiques qui ont été mis en place leur sont indispensables. Globalement, ils sont jusqu'à 85% à penser que leur portefeuille applicatif doit être rationalisé. Pour autant, le retrait des applications obsolètes ne semble pas figurer dans la liste de leurs priorités, même si près d'un tiers d'entre eux pense que 1 à 10% de leurs applications devraient être arrêtées (« décommissionnées ») et qu'une moitié évalue plutôt cette proportion entre 11% et 50%.
Les entreprises interrogées sont de différentes tailles, à partir de 1 000 jusqu'à 100 000 employés. 37% d'entre elles sont américaines et 63% européennes (situées en France, Allemagne, Grande-Bretagne, Espagne et Benelux). Comme on pouvait s'y attendre, Capgemini souligne dans son rapport que la perception du nombre adéquat d'applications par rapport à l'activité varie de façon significative suivant la taille de l'entreprise. Ainsi les trois-quart des celles comptant moins de 1 000 employés disent exploiter exactement le nombre d'applications qu'il leur faut. Dans ce segment, elles sont même 23 % de plus à juger qu'elles n'en ont pas suffisamment pour soutenir leur activité. Cette différence de ressenti s'explique aisément par la taille du portefeuille : dans 84% des cas, les structures de moindre taille gèrent moins de cinquante applications, alors que les plus grandes en ont jusqu'à 10 000.
Peu de synergie entre développement et maintenance
Comme on l'imagine assez bien, l'état de lieux recueilli par Capgemini montre que la situation est loin d'être simple. 56% des entreprises sondées estiment notamment que plus de la moitié de leurs applications sont personnalisées, ce qui en complexifie la gestion. Quant au constat porté sur la synergie existant entre les équipes de développement et de maintenance, il pourrait être plus optimiste. Seulement 13% des responsables IT considèrent que ces équipes travaillent de concert, tandis que 48% pensent plutôt que celles qui bâtissent les applications et celles qui les maintiennent ne sont en phase que 50% du temps, voire moins souvent. « Nous avons typiquement des problèmes d'alignement avec les applications qui sont importées lors des acquisitions et des fusions, explique par exemple le directeur des services web d'un éditeur américain. Il arrive que les équipes de développement n'aient pas la pleine maîtrise de ses systèmes. Par conséquent, à chaque fois qu'il y a des problèmes avec la livraison des applications ou avec leurs performances, les équipes de maintenance et de développement s'accusent l'une l'autre. »
Illustration : "Quelle est, selon vous, la proportion des applications exploitées dans votre entreprise qui pourraient être arrêtées ?". Le rapport "Applications Landscape" de Capgemini et HP montre que de nombreuses applications pourraient être mises sur la touche. [[page]]La complexité vient aussi du fait que les applications les plus anciennes deviennent obsolètes et difficiles à maintenir et à intégrer avec les nouvelles infrastructures IT. Les entreprises continuent à supporter des applications qui ne leur apportent plus vraiment la valeur attendue et ne prennent pas en compte les processus métier couramment exploités. Par ailleurs, si la majorité d'entre elles ont bien une politique d'archivage des données, en réalité, la plupart conservent les données au-delà de la date fixée par crainte de déroger aux exigences de conservation légales ou pratiquées dans leur secteur d'activité. Dans son rapport, Capgemini cite notamment Pascal Bataille, architecte d'entreprise chez Alcatel-Lucent, en France : « Lorsqu'Alcatel a fusionné avec Lucent, nous avons hérité d'un paysage IT dans lequel la plupart des applications étaient dupliquées ou existaient à plusieurs endroits, conséquences d'acquisitions successives. Nous avons d'abord dû les connecter et les maintenir pour supporter tous nos utilisateurs et toutes les spécificités métiers. Cela a pris du temps de se mettre en ligne avec la politique généralement appliquée dans ces situations, consistant à évaluer les applications, à la fois techniquement et par rapport à la stratégie du nouveau groupe, afin de déterminer quelles seraient celles qui seraient abandonnées. »
L'effort de rationalisation peut se solder par un échec
Capgemini liste les freins à l'évolution de ce patrimoine. Ce sont en fait toujours les mêmes : coût du retrait des applications périmées, absence de retour sur investissement immédiat, résistance culturelle au changement, mais aussi, différences régionales et la difficulté à trouver des développeurs capables de récupérer les données gérées dans les applications supprimées. Enfin, pour certains responsables IT, la suppression des applications obsolète n'est pas considérée comme une priorité. Ils préfèrent donc concentrer leurs efforts sur d'autres domaines.
Dans son rapport, la SSII liste quelques rationalisations réussies, mais mentionne également deux échecs dont l'un dans un groupe de 5 000 personnes qui a décidé en 2003 de remplacer son système principal par une application plus actuelle. Sept ans plus tard, le système est toujours là. L'envergure de l'application et le volume de données stockés, combiné avec l'absence d'une stratégie claire concernant l'archivage et le retrait d'applications, a conduit à l'abandon du projet. « En l'absence de véritable stratégie sur la façon d'arrêter les différents éléments et migrer les données vers le nouveau système, cela n'a tout simplement pas été réalisé », explique le directeur des systèmes de production de la société en question.
(...)(14/04/2011 15:20:28)Paiement sans contact : un vrai succès à Nice
En seulement dix mois, quelque 200 000 habitants de l'agglomération niçoise ont reçu une Carte Bleue Visa dotée de la fonctionnalité sans contact en remplacement de leur carte traditionnelle ou un téléphone portable équipé de la technologie en question. Le succès est également palpable du côté des commerçants. Ces derniers, regroupant des boulangeries, des cafés, des kiosques à journaux, des pharmacies et des supermarchés, sont désormais plus de 1 500 à être équipés d'un terminal acceptant les paiements sans contact.
"Ces premiers résultats sont extrêmement encourageants pour l'avenir du paiement sans contact. Les Niçois ont accueilli très favorablement ce nouveau système de paiement, jugé pratique, simple d'utilisation, rapide et sûr. Il faut maintenant poursuivre l'équipement des commerçants, continuer d'informer les clients et les inciter à utiliser ce nouveau service intégré à leur carte de paiement ou à leur téléphone portable", explique Charlotte Desbons, directrice du marketing de Visa Europe France.
La paiement sans contact permet notamment de valider un ticket de bus ou de régler des achats en utilisant simplement son téléphone portable.
(...)(14/04/2011 15:10:00)Chute des ventes de PC : l'impact des tablettes se ressent partout dans le monde
Selon Gartner, 84,3 millions de PC ont été livrés dans le monde de janvier à mars derniers contre 85,2 millions au premier trimestre 2010. Le recul global s'élève à 1,1% et prend en compte les ordinateurs destinés à un usage personnel et professionnel. Le monde de l'entreprise sauve d'ailleurs les résultats du PC, affirme le cabinet d'études. ce dernier note que malgré des prix bas, les consommateurs semblent avoir préféré les tablettes, surtout avec la sortie de l'iPad 2 en février dernier. Ceux qui n'ont pas encore sauté le pas étudieraient la meilleure alternative entre PC et ardoise.
La marque chinoise Levono a tiré son épingle du jeu par sa politique de prix agressive. Le constructeur a enregistré une hausse de ses commandes de 16,6% en premier trimestre 2011. Toshiba a aussi vu ses ventes grimper, de 5,3%. Avec 14,8 millions d'exemplaires écoulés, HP domine les ventes avec des résultats toutefois en baisse de 3,4%. Acer, spécialisé dans les notebooks, devenus fragiles face aux tablettes, enregistre la plus importante baisse (-12,2%).
Les commandes de PC aux Etats-Unis ont enregistré un déclin de 6,1%, expliqué là encore par le bon accueil des tablettes sur ce marché. Dans la zone EMEA, qui regroupe l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique, la chute atteint 2,8% alors que le marché n'avait pas enregistré de recul depuis le troisième trimestre 2009. D'après Gartner, la faute vient là encore des tablettes, surtout en Europe de l'Ouest. Dans une étude publiée le 11 avril dernier, le cabinet d'analyse prévoyait une hausse de 1.570% des ventes de tablettes dans le monde d'ici 2015.
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