Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 4271 à 4280.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/04/2011 15:44:41)

294 millions de tablettes en 2015 selon Gartner

Comparé à fin 2010, où 17,61 millions de tablettes furent écoulées, le marché s'envolerait ainsi de 1 570 % pour atteindre 294,1 millions d'unité en 2015 selon le cabinet Gartner. Apple aurait encore le monopole à cette échéance avec une part de marché de 47,1% pour le système d'exploitation iOS qui anime l'iPad.

Malgré sa position dominante, l'ardoise d'Apple devra faire face à la concurrence de fabricants dotés d'autres systèmes d'exploitation. Ainsi, iOS pesait 83,9% du marché en 2010. Une proportion qui devrait aller en s'érodant de 68,7% en 2011 à 63,5% en 2012 jusqu'à 47,1% en 2015. Le cabinet d'analyse voit Android s'affirmer comme le principal rival d'Apple avec 38,6% de part de marché en 2015 contre 14,2% en 2010. Fin 2011, le système d'exploitation de Google devrait atteindre 19,9% de part de marché sur le secteur des tablettes. QNX, développé par RIM (Blackberry), devrait atteindre les 10% dans quatre ans.

En 2011, Gartner prévoit un nombre de 69,8 millions de tablettes tactiles écoulées, soit une hausse de 296% par rapport à 2010.

(...)

(11/04/2011 15:18:01)

Patch Tuesday : 64 correctifs dont au moins 1 pour le noyau de Windows 7

Jeudi dernier, Microsoft avait prévenu que sa prochaine mise à jour de sécurité mensuelle comporterait de 17 bulletins corrigeant un nombre record de 64 vulnérabilités, soit 15 de plus que l'édition d'octobre 2010, qui détenait jusque-là le titre. Comme à son habitude, Microsoft n'a pas donné beaucoup détails sur ces futures mises à jour, mais selon Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle Security, le nombre élevé de bulletins critiques affectant Windows - neuf en tout, soit plus de la moitié - signifie probablement qu'au moins l'une d'elle concerne le noyau. 

« Même si nous disposons de peu d'informations sur les correctifs, je pense qu'il y a une forte probabilité qu'un ou plusieurs correctifs concernent le noyau, » a déclaré Andrew Storms. « Les problèmes de kernel sont récents, » a-t-il ajouté. Sur les neuf bulletins critiques de Windows prévus cette semaine, sept concernent Windows XP, neuf Vista et huit Windows 7.

Des attaques ciblant le noyau de Windows 7

Le dernier correctif du noyau de Windows - le coeur du système d'exploitation - par Microsoft date du 8 février. Mais l'éditeur a aussi corrigé des failles dans son kernel chaque mois pair de l'année 2010. Cette tendance devrait se confirmer avec les correctifs prévus cette semaine. Un autre indice sur la nature du prochain Patch Tuesday a été fourni par Aaron Portnoy, responsable de l'équipe de chercheurs en sécurité chez HP TippingPoint. Dans un message publié hier sur Twitter, dans lequel il répondait à l'entreprise de sécurité française Vupen à propos du nombre record de failles que Microsoft doit corriger, celui-ci écrit : « J'en ai entendu parlé par @kernelpool. »

« Kernelpool, » c'est le surnom du chercheur en sécurité norvégien Tarjei Mandt, qui travaille pour Norman ASA, un éditeur de solutions anti-virus dont le siège se trouve dans une banlieue d'Oslo. Celui-ci a fait état de cinq vulnérabilités du noyau patchées par Microsoft il y a deux mois et de plusieurs autres corrigées au cours de l'années 2010.

Un kernel renforcé dans Windows 8

De plus, lors de la conférence Black Hat sur la sécurité qui s'est tenue à Washington DC en janvier, Tarjei Mandt avait présenté et publié un document sur les techniques exploitant « le pool du noyau » dans Windows 7. Dans le document, le chercheur norvégien écrit : « En dépit des mesures de sécurité mises en place dans Windows 7, le système est toujours susceptible de subir des attaques génériques de type kernel pool. » Comme l'explique Andrew Storms, « ces pools de noyau sont des blocs mémoire réservés au noyau du système d'exploitation. » Au passage Tarjei Mandt dit que Microsoft finira par fermer ces trous. « La plupart des vecteurs d'attaque identifiés peuvent être bloqués en ajoutant de simples systèmes de contrôle ou en entassant des mesures de protections » déclare le chercheur dans son document. « Il est probable que dans les futures versions de Windows et les Service Packs, le pool du kernel soit renforcé. »

« Les autres correctifs de la colossale mise à jour prévue cette semaine concernent les formats de fichiers Excel et PowerPoint, Internet Explorer, la version en ligne de PowerPoint, Graphics Device Interface GDI+, c'est à dire le composant de rendu graphique de Windows, » a ajouté Andrew Storms. Il est possible que Microsoft corrigera les vulnérabilités d'IE8 dévoilées par un chercheur irlandais le mois dernier, lors du concours annuel de hacking Pwn2Own. Stephen Fewer, d'Harmony Security, était parvenu à enchaîner trois exploits pour pirater IE8. En guise de prix, il avait reçu 15 000 dollars et un ordinateur portable Sony du sponsor HP TippingPoint.

[[page]]

Microsoft a dit que les bugs exploités par le chercheur irlandais dans IE8 avaient été corrigés dans IE9, la dernière version du navigateur de Microsoft disponible depuis le mois dernier. « En fait, je m'attendais plutôt à ce que Microsoft dise, sur le blog du Microsoft Security Response Center MSRC, qu'ils corrigeraient les bugs découverts pendant le Pwn2Own, ce qu'ils n'ont pas fait, » a déclaré le chercheur de nCircle. Celui-ci évoquait le message publié jeudi sur le blog du MSRC, listant certains des correctifs du Patch Tuesday de demain. Selon Andrew Storms, « le mois de juin est probablement plus propice pour livrer les correctifs liés aux vulnérabilités de IE découvertes au Pwn2Own, » rappelant que c'est en juin 2010 que Microsoft avait patché les failles IE exploitées au précédent concours 2010.

Quel que soit le contenu du prochain Patch Tuesday de Microsoft, ce qui est sûr, c'est que ce sera un grand jour pour les administrateurs informatiques. « Comme dit parfois mon fils ... c'est giga-énorme, » a déclaré Andrew Storms. « C'est un mois giga-énorme. Ce sera aussi un moment privilégié pour établir ses priorités. »

(...)

(11/04/2011 15:04:45)

BMC tire parti des performances de DB2v10 sur System z

« Les clients veulent migrer vers la version 10 de DB2 plus rapidement qu'ils ne l'avaient souhaité lors des précédentes évolutions de la base de données, en raison des promesses de réduction de coût faites par IBM », constate Robin Reddick, directeur marketing de BMC pour la gestion de service mainframe en ajoutant que BMC avait fait évoluer 23 de ses applications de gestion de service mainframe pour qu'elles supportent la version 10 de DB2 sur System z9 et z10 (en photo).

Les derniers modèles System z exploitent des co-processeurs zIIPs (Integrated information processor) qui viennent décharger le processeur principal de certains traitements, ce qui permet aux clients de réduire le coût au Mips (million instructions par seconde) des systèmes. Lorsqu'IBM a lancé DB2 10 pour z/OS l'an dernier, il a annoncé qu'en migrant vers cette version, les clients verraient une amélioration automatique des performances, de l'ordre de 10%, grâce à l'utilisation de ces co-processeurs. Selon lui, il était même possible d'obtenir des gains supérieurs si le client procédait à des réglages fins du système. Dans ce domaine, Robin Reddick, indique que les solutions BMC qui tirent parti des co-processeurs zIIP aideront à réaliser ces ajustements.

Parmi les produits pour DB2 que l'éditeur a mis à jour figurent System Performance, Database Administration, Database Performance, Recovery Management et SQL Performance. Ce dernier identifie les requêtes SQL qui surconsomment les ressources et il a justement été réécrit pour fonctionner avec les zIIP. « Parmi les outils qu'un client peut avoir, les produits d'optimisation sont typiquement ceux qui font le plus appel au CPU », souligne Robin Reddick. En déplaçant le logiciel vers le processeur zIIP, les clients peuvent l'exploiter sans monopoliser les ressources du processeur principal.

Un datawarehouse sur DB2 10 au Florida Hospital

Le groupe hospitalier Florida Hospital est au nombre des clients susceptibles de tirer profit de ce nouveau jeu d'outils. Son système d'information rassemble 42 applications médicales et de back-office prenant appui sur une instance de DB2 exploitée sur un mainframe IBM. La base de données reçoit près de 400 millions d'accès chaque jour. L'établissement va passer à DB2 version 10 et l'utilisera en premier lieu pour une application de datawarehouse. DB2 supporte le mode « time-based data » (enregistrement périodique des données), ce qui permettra à l'hôpital d'interroger le datawarehouse à tout moment. « Nous pourrons obtenir des réponses [sur les données enregistrées] au jour le jour], ce qui nous ne pouvions pas faire auparavant », explique Bob Goodman, administrateur senior de la base de données de l'hôpital.

L'établissement va également déployer différentes mises à jour de produits BMC, parmi lesquelles le logiciel de monitoring MainView pour DB2 qui facilitera la résolution des problèmes sur le datawarehouse. Ce dernier va répondre à de nombreuses requêtes dynamiques, ou bien à des requêtes uniques qui n'ont pas encore été optimisées pour un usage répété. « MainView donne la possibilité de se tourner vers Dynamic SQL », ajoute Bob Goodman. Il explique que contrairement à d'autres outils de monitoring qu'il a utilisés par le passé, MainView propose de conserver un historique des appels SQL et des chemins qu'ils ont empruntés dans le système. « Avec MainView, nous pouvons revenir à une connexion pour l'examiner. Cela constitue pour nous une aide à la productivité. Nous avions l'habitude de faire la chasse aux dysfonctionnements. Maintenant, nous pouvons voir où se situe le problème. »

Illustration : le mainframe z10 (crédit photo : IBM) (...)

(11/04/2011 14:29:16)

Dell va investir 1 milliard pour construire 10 datacenters

A mesure que le marché des services de cloud computing se développe, les fournisseurs de solutions informatiques investissent pour développer des offres de ce type. Dell a ainsi déclaré cette semaine qu'elle prévoit de dépenser 1 milliard de dollars en 2011 pour construire 10 datacenters automatisés dans le monde et fournir des services cloud computing aux entreprises. Un investissement conséquent, IBM pour sa part a dépensé 300 millions de dollars depuis 2009 pour renforcer ses datacenters avec notamment la création d'un nouveau centre de calcul dédié au cloud à Singapour pour un montant de 36 millions de dollars. Plus près de nous, la première tranche du programme d'extension du datacenter d'IBM à Clichy va bientôt entrer en service.

Les chiffres publiés cette semaine par Gartner soulignent la nécessité de construire des services cloud computing, notamment pour proposer des plates-formes IaaS, ce qui implique de rassembler des ressources virtualisées en serveurs, stockage et réseau auxquelles les clients pourront se ravitailler. Gartner s'attend à ce que le  marché mondial de l'IaaS passe de 3,7 milliards de dollars en 2011 à 10,5 milliards en 2014. « Le marché des services Cloud  est encore très fragmenté et il est encore accessible à tout le monde », a déclaré Matt Eastwood, analyste chez IDC.

Des systèmes automatisés privés pour les clients

Aujourd'hui, Dell fournit des bureaux virtuels et des services d'hébergement. Avec cette nouvelle offre, la société pourra également proposer de l'IaaS, ainsi que des services pour aider ses clients à déployer et à gérer ces environnements. Dell proposera de nouveaux produits - des systèmes pré-dimensionnés, testés et validés - qui permettront aux clients de créer en interne des clouds ​​privés. Selon les analystes, avec cette offre, Dell est susceptible de mettre l'accent sur les petites et moyennes entreprises.

Au sujet de Dell, Matt Eastwood estime que la firme n'avait pas d'autre choix que d'aller dans cette direction. « Si Dell ne prenait pas ce chemin, ils risquaient fort d'avoir des conversations difficiles avec leurs clients, car ils ne seraient pas en mesure de fournir ce que leurs clients leur demandent de faire » , a-t-il ajouté.

(...)

(11/04/2011 12:28:07)

Capacités mobiles et HTML5 avec Adobe CS 5.5

Attendue en mai prochain, la Creative Suite 5.5 d'Adobe inclut l'outil de design web maison, Dreamweaver, et est désormais compatible avec les bibliothèques JavaScript jQuery pour créer des widgets en HTML5 et en JavaScript pour différents appareils. Surtout, c'est Dreamweaver CS 5.5 qui offre une interface visuelle supportant les capacités du HTML5. « Dreamweaver concentre l'ensemble des apports du HTML5, » a déclaré David Burkett, responsable du pôle Creative Solutions chez Adobe.

Quant au nouveau kit de développement logiciel Photoshop Touch SDK d'Adobe, il permet d'ajouter des fonctions tactiles et mobiles à Photoshop. Celui-ci offre donc aux développeurs la possibilité de créer des applications pour tablettes tactiles que ce soit sous Android de Google, Playbook de RIM, ou sous l'iOS d'Apple. Le SDK a déjà servi à créer trois nouvelles applications pour iPad, destinées à améliorer la façon de travailler avec Photoshop : Adobe Color Lava pour Photoshop, Adobe Eazel pour Photoshop, Adobe Nav pour Workshop. Avec ces applications, les utilisateurs peuvent créer des gammes de couleurs personnalisées ou de petits échantillons, ou encore peindre et contrôler les palettes d'outils de Photoshop depuis l'écran de la tablette.

Un support OS mobiles étendues

InDesign CS 5.5 améliore aussi certaines capacités pour e-book, déjà présentes dans la version précédente. Il apporte notamment un meilleur contrôle sur l'exportation des CSS et sur la résolution de l'image. Adobe fait remarquer que les applications peuvent tourner sous Android, le système Tablet OS de BlackBerry, l'iOS d'Apple, et d'autres plates-formes, grâce aux capacités HTML de Dreamweaver, de Flash et d'InDesign. Il est également possible d'exporter du contenu vidéo au format Flash et des applications Internet riches depuis Flash et InDesign. Adobe fournit aussi un outil distinct pour convertir ces applications Flash afin de les faire tourner sous l'iOS d'Apple.

Toutes ces capacités existaient déjà dans la version précédente 5.0 de la Suite CS. La version Creative Suite Production Premium Suite 5.5 d'Adobe, plutôt destinée aux professionnels du son et de la vidéo, apporte quant à elle des améliorations du workflow et du montage son. Le moteur vidéo Adobe Mercury Playback Engine, qui avait été introduit avec Adobe Première Pro CS 5.0, est désormais compatible avec une gamme de puces élargie, ce qui lui ouvre l'accès à davantage d'ordinateurs portables et à plus de cartes graphiques.

Adobe n'a pas dit combien coûterait la mise à jour pour les utilisateurs existants. L'éditeur a également informé qu'il proposerait des outils via une option d'abonnement. Les principaux outils de la Suite Creative - Photoshop, Illustrator, Flash Pro, Dreamweaver, Première, Acrobat Pro, et InDesign - sont disponibles séparément, ou inclus dans différentes suites.

(...)

(11/04/2011 11:46:16)

AXC et Yellowstone Software viennent renforcer les actifs de Dimo Gestion

Créée en 1995, par six associés, la société Dimo Gestion est issue de l'agence Rhône-Alpes de Cerg Finance(*), éditeur en gestion de trésorerie. Quinze ans plus tard, l'entreprise réalise 20 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) et compte deux activités, l'édition et l'intégration, dans le secteur de la gestion financière d'entreprise. Avec les rachats d' AXC et de Yellowstone Software, Dimo Gestion affiche ses ambitions à l'international.

AXC est un éditeur  réalisant 1 ME de CA, avec une spécialité : la gestion des notes de frais, mais dans le secteur public. De taille trop petite pour se développer la société s'est vendue à Dimo Gestion qui complète ainsi son activité de gestion des notes de frais, où il édite le logiciel Notilus.  Les équipes d'AXC rejoignent celles de Dimo Gestion à Courbevoie en région parisienne, dans le pôle CRM.

Création d'une filiale spécialisée en SaaS

Yellowstone présente un autre profil, la société est dans le CRM et le Saas. Dimo Gestion, qui a repris ce fonds de commerce, en profite pour créer une filiale, spécialisée en Saas : Dimo Apps, avec l'activité CRM de l'ex Yellowstone et celle développée par Dimo Gestion depuis 2003. D'autres développements sont en cours. Dimo Apps ce sera du Saas vertical, dans trois secteurs : le SRM, Supply relationship management, l'hôtellerie, les organismes  collecteurs de la taxe d'apprentissage. L'activité Saas devant représenter 20 % de celle de Dimo Gestion en 2015.

Ces rachats et cette création de filiale marquent une étape dans le développement de Dimo Gestion. La société veut se développer davantage à l'International. Elle y accompagne ses clients en gestion de notes de frais en adaptant ses produits dans la langue et la législation locale. Parfois, Dimo Gestion crée une implantation, comme en Tunisie ou à Madrid. Elle recherche également des distributeurs à l'international.


[[page]]

En France, Dimo Gestion a adopté un modèle mixte  de distribution en direct et en indirect. L'éditeur raisonne suivant chaque affaire. Une quinzaine de partenaires l'accompagnent. Le 21 mars dernier, était organisé le 1er Dimo partner meeting, destiné aux partenaires français et internationaux en indirect. Se tenait également, le lendemain,  le 10 ème Dimo Forum, ouvert aux clients et partenaires, avec plus de 950 participants.

La société est organisée en b.u : BI, CRM, Finance, GMAO (Gestion de la maintenance assisté par ordinateur), Dématérialisation et processus, Gestion, voyages et notes de frais. Chacune d'elles travaille sur les produits édités en propre ou ceux distribués. L'édition c'est d'abord une niche de marché, les notes de frais d'entreprise, où Dimo Gestion détient une place prépondérante en  France et en Europe, avec son logiciel Notilus. Dimo Gestion a lancé un outil de GMAO avec les rachats de CIRIS et d'Ithec. Troisième produit en édition, Geck  destiné aux interfaces ERP. La distribution c'est plusieurs partenariats, comme ceux noués avec  Sage et Cognos.

La société s'est dotée d'un plan de développement pour l'horizon 2015. « L'objectif est d'atteindre les 40 ME de CA, souligne Guillaume Mulliez, P-dg de l'entreprise, tout en restant indépendant, ce qui est notre marque de fabrique ». Les 6 associés de départ ont aujourd'hui 9, rejoints par 15 managers. Un fonds interne, alimenté par 130 salariés est également actionnaire. On retrouve l'ADN des Mulliez : esprit d'entreprise et association des salariés au capital.

(*) Créée en 1983, la société Cerg Finance fut pionnière dans la gestion de trésorerie (cash management) en France, en 1998 elle rejoint XRT, le tout est racheté par Sage fin 2007.

(...)

(11/04/2011 11:32:38)

Selon le Gartner, l'IaaS est encore immature

Un gros potentiel, mais encore un faible impact, telle est, en résumé, l'analyse que fait le cabinet Gartner du marché du cloud Iaas. Ce marché devrait passer de 3,7 à 10,5 milliards de dollars entre 2011 et 2014. Mais aucun service en particulier, ni aucun fournisseur ne semble encore le tirer vers l'avant.

« Nous ne sommes qu'au début du cycle d'adoption du cloud IasS », note Lydia Leong, vice-président recherche chez Gartner. « Ce marché est en évolution rapide sur 10 à 20 ans, les 5 prochaines années représenteront une opportunité importante pour les fournisseurs qui ont intérêt à poser des fondations pour l'avenir ».

Un contrôle partiel de l'infrastructure

Le client, rappelle le Gartner, ne gère ni ne contrôle l'infrastructure cloud sous-jacente, mais exerce un contrôle sur les systèmes d'exploitation, le stockage et les applications déployées. Autre rappel : l'IaaS peut être internalisé ou bien exercé par un prestataire externe. L'infrastructure sous-jacente pouvant être hébergée dans les centres de données internes d'une entreprise ou dans un centre de données externe. Cette infrastructure sous-jacente peut être dédiée à un seul client ("nuage privé"), partagée entre un consortium de clients («nuage communauté»), ou partagée avec la clientèle d'un fournisseur en général («nuage public»). 

En fait, souligne le Gartner, le marché et les technologies associées sont immatures, les clients ont actuellement tendance à opter principalement pour des décisions tactiques plutôt que pour du long terme. Les fournisseurs de services doivent donc travailler dur pour s'assurer de conserver ces clients » conclut Lydia Leong. Elle ajoute que, pour comprendre l'évolution du marché, les fournisseurs doivent d'abord comprendre ce que les clients potentiels ont l'intention de faire avec l'IaaS. Ils doivent aussi se rendre compte que les clients ne sont souvent pas pleinement conscients de leurs besoins. 

(...)

(11/04/2011 11:26:45)

Best'ware suit ses clients passant au SaaS

Avec son approche baptisée « Cloud By Best'Ware », Best'Ware fait le pari que ceux qui en bénéficieront viendront ensuite acheter chez lui les briques technologiques dont ils ont besoin. Le grossiste spécialisé dans les produits HP et IBM propose ainsi à sa clientèle historique de VARS et de SSII des séminaires de formation sur deux jours qui peuvent être suivis dans un cadre inter ou intra entreprise(s). Ces séminaires sont animés par la société Lemon Operations, un spécialiste des réseaux de distribution. Ils sont payants mais Best'Ware a négocié avec cette société que les clients qu'il lui apporte bénéficient d'une remise de 50%.

Le grossiste n'en tire aucune marge. Deux sessions inter entreprises réunissant 12 partenaires ont déjà eu lieu ainsi que quatre sessions en version intra entreprise. « A l'issue de ces formations, les gens vont choisir leur modèle. Une petite partie d'entre eux bâtira son datacenter en puisant dans notre catalogue. D'autres ne voudront pas acquérir de savoir-faire spécifique et nous les mettrons alors en relation avec un hébergeur local qui achètera pour leur compte le matériel qu'il va accueillir. D'autres, enfin, choisiront un modèle mixte en constituant eux-mêmes leur infrastructure cloud qu'il vont confier à un hébergeur avec qui nous pouvons, encore une fois, les mettre en relation », explique Joël Pera.

Une aide juridique pour boucler les contrats SaaS

Best'Ware positionne également l'aide à apporter aux VARS et SSII sur le plan juridique. Il a ainsi négocié des tarifs avec un cabinet d'avocats pour aider ces clients à formaliser les contrats qu'ils proposeront aux entreprise pour la fourniture de services dans le nuage. « Quand un prestataire est le seul à fournir un service à une entreprise, la recherche de responsabilités est simple. Dans le domaine du cloud computing, l'hébergeur devient également un intervenant. D'où l'importance d'un contrat qui définisse les relations entre les différentes parties en prenant en compte le cadre général de la législation et la spécificité de l'offre portée par un VAR ou une SSII», justifie Joël Pera. 

Depuis un an, outre sa clientèle traditionnelle, Best'Ware cible également les éditeurs de logiciels indépendants (ISV) grâce aux offres en OEM d'IBM Software qui leur permet d'intégrer ses technologies dans leurs propres offres applicatives. Depuis peu, il commence également à adresser les hébergeurs qui s'approvisionnent traditionnellement en direct auprès des fournisseurs. Comme l'explique Joel Pera, « l'arrivée du cloud crée des besoins chez les ISV qui cherchent à faire passer leurs applications en mode SaaS. Les hébergeurs, eux, se mettent en quête de solutions d'infogérance pour le cloud.»

Une équipe renforcée

Pour Best'Ware, si les VARS, les SSII, les éditeurs et les hébergeurs ont des besoins différents ils ont également besoin les uns des autres pour évoluer vers le cloud. D'où l'idée du grossiste de se positionner comme un intermédiaire entre ces différentes populations et de créer un cercle vertueux qui lui permettrait à la fois de maintenir ses positions sur le marché des VARS et des SSII tout en renforçant sa présence auprès des « 2500 » ISV français et « 600 à 700 » hébergeurs locaux.

Pour joindre le geste à la parole, Best'Ware s'est constitué une équipe dédiée au cloud computing en embauchant notamment cinq  collaborateurs. On trouve parmi ces recrues des spécialistes de l'applicatif, des datacenter et des logiciels d'administration.
(...)

(11/04/2011 10:50:56)

Pour uniformiser sa gestion d'ateliers, Faurecia choisit SAP

Faurecia est un équipementier automobile qui s'est largement constitué par de nombreuses acquisitions. Il disposait, de ce fait, de très nombreux SI. A partir de 2007, il a engagé une démarche de rationalisation et d'uniformisation tant des outils que des procédures, basée sur SAP. Le déploiement de ce modèle est prévu pour durer jusqu'en 2015 et se réalise usine par usine. Il a intégré depuis 2009 un module de gestion d'atelier, basé sur SAP MII (Manufacturing Integration Intelligence), qui est aujourd'hui installé dans toute nouvelle usine équipée de SAP.

Faurecia est aujourd'hui implanté mondialement et ne réalise plus que 16% de son chiffre d'affaires, en forte croissance, en France. Il revendique également la deuxième place des déposants de brevets en France.

Aucun retard possible

Il fournit les constructeurs automobiles en juste à temps et juste en séquence en sièges, pièces de carrosserie, tableaux de bords, etc. . Une usine à proximité de celle d'un constructeur peut ainsi être amenée à produire et livrer un siège automobile en deux heures à partir de la commande ferme. « Il existe plus de 10 000 combinaisons possibles pour fabriquer certains sièges et détenir un stock dans ces conditions est évidemment impossible » mentionne Bertrand Eteneau, DSI de Faurecia (en illustration principale). Une erreur sur l'ordre de délivrance des modèles ou un retard de livraison sont sévèrement sanctionnés par de lourdes pénalités pouvant se chiffrer en dizaines de milliers d'euros.

La rigueur de la gestion des ateliers est, de ce fait, absolument vitale. La transformation et l'uniformisation des procédures en la matière s'est appuyée sur le déploiement de SAP MII. Cet outil s'interface d'un côté avec le PGI SAP ECC (pour la gestion administrative, financière et de production), de l'autre avec toutes les machines-outils et équipements des ateliers tant pour les piloter que pour remonter la réalité des événements (fabrications, livraisons...) et des indicateurs tels que les indicateurs de qualité. De plus, il permet de se connecter à une communauté en ligne pour se benchmarker.

Une instance mondiale, une exécution locale

Or Faurecia possède une seule instance mondiale du PGI SAP dans le cadre de son uniformisation des procédures administratives et financières tandis que les usines ne peuvent pas se permettre un arrêt même temporaire. A cela s'ajoute l'obligation d'effectuer des arrêts de maintenance sur l'instance mondiale de SAP. « Le seul jour où le SI central pourrait effectivement s'arrêter si tout reposait sur lui, c'est, chaque année, le dimanche de la semaine du nouvel an chinois » soupire Bertrand Eteneau. En effet, il existe des usines dans le monde entier, avec des horaires et des jours fériés partout différents, sans oublier les décalages horaires.

A cela s'ajoute la difficulté de disposer de connexions réseaux convenables et toujours opérationnelles entre chaque usine et les serveurs du siège alors même que les usines sont parfois implantés dans des emplacements très isolés dans des pays en voie de développement.

[[page]]

La seule solution était donc d'instancier SAP MII localement, sur des serveurs et dans des bases de données propres à chaque usine, et de le connecter au PGI SAP. Bertrand Eteneau se réjouit : « nous avons prouvé qu'on pouvait arrêter plusieurs heures le SI central sans arrêter la production, SAP MII se resynchronisant lorsque la connexion est rétablie. »

De plus, SAP MII a été paramétré pour qu'une erreur administrative ne bloque pas la production. Par exemple, une absence de coût standard d'un produit ne doit pas empêcher le chargement d'un camion avec les produits à livrer d'urgence. Il peut y avoir également des flux physiques différents des flux prévus. Toutes les erreurs de ce type sont stockées et traitées dans un deuxième temps sans jamais impacter la production en flux tendu.

Par contre, les processus sont gérés uniquement en central. Il est impossible de créer des éléments ou des procédures au niveau des usines.

Une ergonomie simple

Comme MII gère les ateliers, ses utilisateurs sont eux aussi en atelier. Son ergonomie a donc été adaptée en conséquence. « SAP MII est une boite à outils qu'il convient de paramétrer pour couvrir les besoins exacts de l'entreprise » mentionne Aymeric de l'Hermuzière, directeur de projet chez SAP Consulting.

SAP MII est en cours d'implémentation depuis 2009. Il a fallu trois mois pour passer du concept au prototype sur une usine en Tchéquie et huit mois pour arriver à la pré-série. Les métiers ont bien sûr contribué à la définition de l'outil au travers de key-users mais, une fois l'outil défini, l'implémentation se fait sans latitude par chaque usine. Actuellement, le déploiement est industrialisé.

Faurecia a refusé de communiquer le budget du projet.
(...)

(11/04/2011 10:34:55)

21 millions d'abonnés à Facebook en France

Au classement européen des accrocs à Facebook, les Français se placent derrière l'Angleterre qui totalise près de 29 millions d'internautes connectés au réseau social. Avec 21 millions d'utilisateurs, la France se place devant l'Italie (18,4 millions), l'Allemagne (16,2 millions), l'Espagne (12,9 millions) ou la Suède dont 4,1 millions d'habitants se rendent régulièrement sur le site.

Au niveau mondial, la France arrive en huitième place largement devancé par les Etats-Unis. Plus de 152 millions d'Américains, soit plus de la moitié de la population, sont sur Facebook. Les Indonésiens parviennent en deuxième place avec 35 millions d'utilisateurs, devant les Britanniques. Suivent dans le classement la Turquie (26,4 millions), les Philippines, les Mexique et l'Inde qui comptent chacun 22 millions d'adeptes.

Les Indonésiens se hissent au premier rang des utilisateurs de Facebook les plus jeunes de la planète avec une moyenne d'âge de 23 ans. Les Canadiens sont à l'inverse les plus âgés avec une moyenne de 32 ans. En France, les accrocs du réseau social ont en moyenne 29 ans, contre 30 ans aux Etats-Unis ou 31 en Angleterre.

L'étude d'iCrossing a été réalisée à partir des données Facebook de mars dernier

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >