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(30/03/2011 11:57:21)

Devoteam recrute plus de 1 500 ingénieurs et consultants

La SSII Devoteam (4 664 collaborateurs dans le monde) annonce le recrutement de 1 600 ingénieurs dans le monde. Les candidats devront être issus de grandes écoles ou d'universités. Parmi ces prévisions d'embauches, près de 900 postes concernent la France. Les jeunes diplômés tiennent une place importante puisqu'ils représentent un peu plus d'un tiers des recrutements. Les profils recherchés concernent l'ensemble des lignes métier de la société de services (Consulting, Solutions et Expertise), dans des fonctions opérationnelles et de support. Ils se répartissent de la façon suivante : s'agissant de la division conseil  (30% des intentions d'embauche), les postes à pourvoir couvrent un vaste champ d'activités : management des datacenters, Green IT, marketing, vente et relation Client, sourcing, gouvernance des organisations,  collaboration et communication, risque et conformité,  mobilité et  poste de travail.  Des offres sont également destinées aux architectes d'entreprise, aux ingénieurs télécoms, ainsi qu'aux directeurs et chefs de projet.

70% des embauches pour la division Solutions et Expertise

Pour accompagner la croissance de sa division Solutions et Expertise (70% des prévisions d'embauche)   la SSII recrute des profils tout aussi variés : il s'agit d'ingénieurs de production, d'experts des systèmes Unix, des réseaux et de la sécurité, de spécialistes de Citrix, d'Exchange et des postes de travail.  Devoteam entend aussi intégrer des architectes et des chefs de projet d'infrastructure, des experts du management de service, des ingénieurs billing, des ingénieurs stockage/ sauvegarde, et des directeurs de projet   Les architectes applicatif et ingénieurs d'études et développement J2EE et.NET peuvent également postuler.

(...)

(30/03/2011 11:18:48)

WWDC d'Apple entre retard de l'iPhone 5 et tickets au marché noir

La Worldwide Developers Conference (WWDC) d'Apple est l'évènement central du calendrier de tous les fanatiques du Mac. C'est la première fois qu'il affiche complet si rapidement. En 2010, la WWDC avait clos ses guichets en huit jours. En 2009, il avait fallu un mois pour écouler tous les billets. Ce succès est tel que les tickets, vendus 1599 dollars, se revendent le triple sur les sites d'enchères comme ebay (les annonces ont été depuis supprimé du site d'enchères). Il faut dire que le teasing sur cet évènement, l'avènement de l'ère Post-PC promis par Steve Jobs a de quoi interpeller. Sauf que les rumeurs pointent aussi le retard probable de la sortie de l'iPhone 5.

Depuis l'introduction de l'iPhone en 2007, Apple a sorti chaque année la nouvelle génération de son mobile en juin ou en juillet aux Etats-Unis, dans la foulée de la WWDC. Mais il se murmure que le nouvel iPhone arrivera plus tard cette année. "Cette année, nous dévoilerons le futur d'iOS et de Mac OS", a déclaré le 28 mars Philip Schiller, vice-président du marketing d'Apple, suggérant que l'accent sera mis sur les systèmes d'exploitation du Mac, de l'iPad et de l'iPhone plutôt que sur de nouvelles machines. 

Cet infléchissement de la stratégie de la société n'est pas sans surprendre les observateurs, qui s'attendaient à ce qu'Apple ne dévie pas du rythme de sortie établi. La question est maintenant de savoir ce que cela signifie pour Apple et ses clients. Dan Frommer, du site Business Insider, indique que repousser la sortie de l'iPhone 5 pourrait être bénéfique pour la société autant que pour les "clients potentiels de l'iPhone, les fans d'Apple et les investisseurs" et d'ajouter "Si Apple tient à creuser l'écart sur ses poursuivants, il lui faudra tôt ou tard proposer une mise à jour assez importante pour bluffer les imitateurs", indique Dan Frommer en faisant allusion aux nombreux rivaux Android qui apparaissent chaque jour sur le marché du smartphone. "C'est peut-être pour ça qu'ils ont besoin d'autant de temps."

Attendre pour avoir un meilleur produit

Le site d'info high-tech Venture Beat est de cet avis: sortir l'iPhone 5 en août ou septembre permettrait à Apple de "profiter des avantages des nouveaux chipsets LTE, plus petits et plus efficaces". Autrement dit, l'iPhone nouvelle génération pourrait être compatible avec les réseaux 4G LTE. "L'iPhone 4 Verizon vient de sortir, en proposant l'iPhone 5 seulement quatre mois plus tard Apple se mettrait à dos des millions de clients Verizon", avance le magazine en ligne Fast Company. 

"Attendre quelques mois de plus pour un nouveau mobile, ça n'a l'air de rien. Mais la gamme Apple est très restreinte, et comme c'est l'une des firmes de high-tech les plus importantes du monde, il suffit qu'un de ses produits change pour que les répercussions se fassent sentir dans tout le secteur", ajoute Fast Company. 

La Worldwide Developers Conference se tiendra du 6 au 10 juin au complexe d'exposition Moscone West, à San Francisco. (...)

(30/03/2011 11:21:57)

Au coeur de la Silicon Valley : Petit détour en Floride chez Datacore (Part 1)

Fondée en 1998 et bien connue pour ses solutions de virtualisation de stockage, Datacore, qui réalise aujourd'hui un chiffre d'affaires de 50 millions de dollars environ n'est plus vraiment une start-up avec 600 employés dans le monde. L'esprit reste toutefois toujours axé sur l'innovation et sur le développement technologique comme nous l'a confirmé la rencontre avec le lumineux Ziya Aral (voir illustration ci-dessous), chairman et co-fondateur de la compagnie avec George S. Teixeira et John Bocskor.

À l'origine de plusieurs brevets clefs dans l'industrie IT, Ziya Aral est toujours en charge des développements technologiques de la compagnie avec récemment la publication d'un livre blanc sur une architecture de stockage dédiée au déploiement de plusieurs centaines de postes de travail virtualisés (voir PDF).  L'ambition de ce projet était de fournir une solution performante pouvant supporter d'importantes contraintes. «  Nous ne sommes pas dans le business VDI mais dans celui du stockage », tient à préciser le charismatique chairman de la société, « mais nous sommes la clef de la concentration. Des centaines de machines virtuelles sont une charge énorme pour le stockage ». Dans cette configuration, il est devenu très important de réduire la latence et d'accélérer les échanges entre les différents hosts. « Nous ne vendons pas de VDI mais une architecture pour accélérer le VDI qui réduit de 32 dollars environ par poste de travail le coût d'acquisition du matériel. Cette plate-forme dédiée à la VDI repose sur la solution de virtualisation  SANMelody, l'hyperviseur Hyper-V et une paire de serveurs équipés de Windows Server 2008, capables de supporter jusqu'à 220 VD (virtual desktop). Mais Datacore peut aller plus loin avec une configuration Star (en étoile)  supportant plusieurs centaines de VD.

Avec une solution de ce type, Datacore se positionne comme un fournisseur de software  pour l'infrastructure et pas seulement pour le stockage. « Les solutions de stockage de classe entreprise sont très couteuses, souligne George S. Teixeira (voir ci-dessus), le CEO de la compagnie, «  et nous apportons cette technologie aux PME-PMI à un coût avantageux. » Selon une récente étude IDC publiée en 2011, parmi les freins au développement de la virtualisation de serveurs, les clients mettent en avant le surcoût lié au stockage. Datacore se fait fort de maitriser ces coûts avec son architecture virtualisée qui peut travailler au-dessus des principaux systèmes de stockage (Hitachi, EMC, IBM...). « Le matériel peut aller et venir, mais notre couche applicative reste et l'automatisation des principales tâches d'administration s'allége avec notre solution SANSymphony-V release 8 », précise le CEO de la compagnie.

Un marché qui évolue très vite

Ziya Aral, le directeur technique de la compagnie, reste toutefois circonspect face aux tendances du marché, « nous sommes une compagnie technologique, mais le monde change tous les six mois. Il n'est pas possible de travailler de manière scientifique si tout change tous les six mois. Le marché ne doit pas devenir conservateur, mais la stabilité est nécessaire ». Datacore ne propose par exemple pas encore de gestion des données de type multitiers comme chez 3Par ou EMC, « le tiring et les SSD sont difficiles à concilier en temps réel », nous proposons bientôt une progression par semaine  et une fonction de politique d'usages sera disponible ce trimestre, indique Ziya Aral.

Avec le vent en poupe, Datacore, qui n'est pas coté en bourse, suscite l'intérêt de plusieurs investisseurs du marché. Ziya Aral nous a ainsi bien volontiers avoué avoir refusé une offre de 500 millions de dollars pour le rachat de la compagnie. « La vente ou une introduction en bourse ne sont pas encore à l'ordre du jour, mais si quelqu'un vient avec une meilleure offre nous aviserons », précise George S. Teixeira. « Mais pour l'instant nous restons indépendants et comptons bien prendre avantage de cet état ».

Aujourd'hui, la compagnie américaine réalise 70% de son chiffre d'affaires à l'international et 30% seulement aux États-Unis. Dans bien des compagnies IT US, c'est exactement l'inverse.

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(30/03/2011 11:18:26)

Regain de fusions-acquisitions en 2010 selon IDC

Selon IDC, 2010 a connu plus de 1 900 accords de fusions et acquisitions dans le secteur IT. Ils représentent une valeur totale de 200 milliards de dollars. Ces opérations se sont concentrées dans le domaine applicatif, 586 dans les applications d'entreprise, 421 dans les applications internet. Il y a eu également 219 opérations dans les infrastructures, essentiellement dans la sécurité et le stockage.

Sept des dix plus grandes transactions se sont produits dans les télécoms : acquisition de CenturyLink par Qwest pour 22,4 milliards de dollars et d'América Móvil par le même pour 21 milliards de dollars. Intel a lâché  7,7 milliards de dollars pour l'acquisition de McAfee et SAP s'est payé Sybase pour 5,8 milliards de dollars.

Google entreprise la plus active


Les entreprises les plus actives ont été Google, qui a fait 27 opérations en 2010, suivi par AOL et Facebook avec 9 chacune. Parmi les principaux fournisseurs IT, Cisco, Dell, HP, IBM, Intel, Oracle, VMware ont affiché un regain d'appétit pour les acquisitions.

« La confiance renouvelée accompagnant la reprise des dépenses informatiques a contribué à faire de 2010 un revirement pour les fusions et acquisitions », a déclaré Dan Yachin, directeur de recherche sur les technologies émergentes chez IDC. 2011 sera une autre année très active sur ce sujet, en particulier pour les domaines tels que la convergence des infrastructures, celle des contenus mobiles, la création de services et la facilitation, l'analyse de données (et de l'infrastructure de soutien) et l'informatique diffuse.

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(30/03/2011 11:19:25)

Du matériel dédié et localisé désormais disponible dans le cloud d'Amazon

Elastic Compute Cloud (EC2) d'Amazon utilise la virtualisation, basée sur une version personnalisée de l'hyperviseur Xen, pour faire tourner plusieurs OS et des applications clients sur une seule machine physique. Mais, ce mode de gestion de l'infrastructure informatique ne convient pas à tous les utilisateurs, notamment ceux qui doivent respecter des restrictions réglementaires ou autres nécessitant un isolement physique, comme le fait remarquer le communiqué publié sur le blog d'Amazon. Celui-ci indique par ailleurs que la mise à disposition d'instances dédiées ou Dedicated instances vise à répondre à ces besoins.

Les instances feront partie du service Cloud Privé Virtuel (VPC) d'Amazon, récemment mis à jour pour bénéficier de meilleures fonctions réseau. Au moment de la configuration du VPC, les administrateurs peuvent mettre en place soit un cloud privé composé uniquement d'instances dédiés ou bien un cloud comprenant un mélange d'instances classiques et dédiées, selon les exigences de l'application, indique Amazon. Les utilisateurs n'ont aucun contrôle sur la manière dont sont gérées les instances dédiées, à savoir si elles tourneront sur un même matériel ou si elles seront réparties sur plusieurs machines. Mais Amazon a déclaré faire en sorte de privilégier la répartition afin de réduire les effets que pourrait entraîner une éventuelle défaillance matérielle.

Un léger surcoût


Le prix pour bénéficier d'instances dédiées comprend deux types de frais : un tarif horaire « par instance » et une « taxe par région ». Les frais liés à la localisation sont de 10 dollars de l'heure quel que soit le nombre d'instances en cours d'exécution par une entreprise dans la dite région. Les frais d'utilisation dépendent de la région où l'instance est en cours d'utilisation, son niveau de performance et le système d'exploitation impliqué. Par exemple, une instance de grande taille pour faire tourner Suse Enterprise Linux en Caroline du Nord coûte 0,54 dollar de l'heure.

Les utilisateurs d'AWS peuvent également choisir un règlement unique pour chaque instance, en contractant un abonnement sur un ou trois ans. En retour, ils peuvent bénéficier d'une réduction sur le taux horaire. Les entreprises qui ont besoin d'instances régulières ne payent alors que les frais d'usage, ce qui est légèrement moins onéreux que le tarif payé par les utilisateurs d'instances dédiées. Ces derniers ont également plus de liberté pour choisir les instances et la région dans laquelle ils souhaitent opérer. Selon le blog d'Amazon, les frais liés à la localisation se justifient par le fait que l'entreprise ne sera pas en mesure d'utiliser le matériel dédié de manière aussi rationnelle.

Selon Niklas Zandelin, PDG de la société de recherche en marketing Exido, le fait de permettre aux entreprises de faire tourner des applications sur du matériel dédié peut aller à l'encontre de l'idée que l'on se fait des services cloud et de la virtualisation. « Pour Amazon cependant, c'est un moyen de mettre ses services à la portée d'un plus grand nombre d'entreprises, » a t-il expliqué. Pour la plupart des entreprises, le déplacement d'une activité vers le cloud est toujours un processus évolutif. En leur permettant d'utiliser un matériel dédié, Amazon pourrait attirer et engager les clients plus tôt dans ce processus.

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(29/03/2011 17:26:50)

Ruée sur le Developer Garage monté par Facebook à la Cantine

Lieu sympathique s'il en est, dans l'univers IT parisien, que la Cantine du Passage des Panoramas, mais un peu exigu ce matin pour recevoir le public attiré par le Developer Garage organisé par Facebook à Paris et retransmis comme il se doit en direct sur le réseau social. Une matinée lancée par Julien Codorniou, directeur des partenariats de la société de Mark Zuckerberg pour la France et le Bénélux, depuis le mois de février. Il y a encore peu, il occupait des fonctions équivalentes chez Microsoft France, après avoir passé près de deux ans au siège de Redmond pour piloter le lancement mondial du programme BizSpark visant à repérer les start-up à fort potentiel. Désormais, sa mission consiste à nouer des partenariats stratégiques entre Facebook et les grands acteurs de l'e-commerce, des médias, de la mobilité et du jeu. A ce poste, il se voit aussi confier le développement européen de l'écosystème de la société.

Gagner de l'argent avec Facebook

Ce matin, après un rapide retour sur la plateforme Facebook et ses concepts devant un auditoire déjà très averti, plusieurs responsables, ingénieurs et designers sont revenus sur les notions de Social Design et Social Channels (social plugins, open graph protocol, distribution via Dialogs...), avant d'aborder des points plus précis tels que l'authentification dans Canvas, le SSO, Graph API ou Insights API, ainsi que la fatidique question pour laquelle tout le monde, sans doute, avait fait le déplacement : « Comment gagner de l'argent avec Facebook ». Au passage, Douglas Purdy, responsable des relations avec les développeurs, a informé qu'il recrutait pour étoffer ses équipes, engagées notamment dans le support technique au développement : « Nous voyons vraiment Facebook comme la prochaine plateforme ». On n'en attendait pas moins de lui.

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