Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 4501 à 4510.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(24/03/2011 10:58:03)
Optimisation et automatisation des processus analysées
Décideurs métiers comme responsables IT s'accordent autour de l'intérêt d'optimiser et d'automatiser les processus au sein des organisations, tant publiques que privées. Les processus métier sont ciblés de façon prioritaire par rapport aux processus IT.
Les raisons invoquées sont multiples. On y compte : l'efficacité opérationnelle, la réactivité, la traçabilité, la satisfaction client, etc. L'agilité des organisations est l'un des motifs majeurs invoqués. Mais il ne faudrait pas oublier aussi la capacité à mieux maîtriser les coûts d'une organisation aux processus bien gérés.
Tout cela est d'autant plus vérifié que les processus sont en permanente évolution.
Pour optimiser les processus, les organisations ont recours, bien entendu, à des solutions dédiées de cartographie ou d'automatisation mais aussi à des acteurs de solutions métier. Ainsi, des outils de GED, de GRH, de dématérialisation voire même le PGI sont autant sollicités.
(...)
Cofidis transfère son SAN de Cisco à Brocade
Cofidis spécialiste du crédit à la consommation a choisi de renouveler son SAN avec des équipements d'un nouveau fournisseur. La société Cofidis emploie 1700 collaborateurs sur un site unique à Villeneuve d'Ascq (Nord) pour la vente à distance de crédit à la consommation. En 2008, l'entreprise avait 5,4 millions de clients.
Le réseau SAN de Cofidis était saturé. « Il y avait saturation des points de connexion. Nous ne pouvions plus accueillir ni de nouvelles baies ni de nouveaux serveurs. Notre stockage croît de 30 à 40 % par an, et nous ajoutons de six à dix serveurs par an » décrit Jean-Patrick Lorente, Directeur du Service Infrastructure de Cofidis. Le système d'information de Cofidis représente 180 To de données, et 80 applications tournent sur quatre systèmes d'exploitation différents : Windows Server, VMWare, Linux (Red Hat et Debian) et Unix de HP. Certaines applications sont virtualisées, avec différentes technologies selon leur nature : VMware vSphere, KVM de Red Hat ou HP-UX. Le recours au Cluster est fréquent afin de sécuriser les infrastructures IT.
Lors de l'appel d'offre, le premier objectif était clair : doubler la capacité des points de connexion. Cofidis en a profité pour challenger son équipementier historique, Cisco. Ce sont des commutateurs SAN MDS 9600 de Cisco qui étaient installés. « On aurait pu jouer la sécurité et poursuivre avec cet équipementier, ce qui n'aurait posé aucun souci pour nos équipes qui n'auraient vu aucun changement technologique. Mais nous souhaitions introduire un nouvel acteur dans notre infrastructure » se souvient Jean-Patrick Lorente. le réseau LAN reste essentiellement bâti à partir de commutateurs Série 6500 de Cisco, pour la gestion de VLAN part port.
Trois compétiteurs en lice
Trois sociétés ont répondu à l'appel d'offres. « Par rapport aux deux autres candidats, les équipes de la société que nous avons retenue ont très vite montré non seulement leurs compétences techniques, mais surtout leur capacité à offrir un véritable pilotage du projet de bout en bout. Les deux autres avaient bien l'expertise technique, mais ne proposaient aucune vision projet » casse un peu Jean-Patrick Lorente. La société retenue avait proposé et inclus le suivi du projet sur le long terme dans sa réponse.
Les équipements de commutation SAN mis en place peuvent accueillir jusqu'à 192 ports Fibre Channel. « Nous n'utilisons aujourd'hui qu'une seule carte avec 48 ports - à 8 Gbit/s- mais les possibilités d'évolution sont multiples, un point important pour faire face aux besoins de demain » ajoute le responsable. La fonctionnalité «Virtual Fabric» permet de plus de subdiviser le SAN en plusieurs SANs virtuels, chacun dédié à une application (ou groupes de serveurs.
Le projet a été démarré fin 2009 et s'est achevé en trois mois. « Nous avons mis le SAN en production sans aucune anomalie » ajoute Jean-Patrick Lorente. Le fournisseur retenu est Brocade, numéro un mondial du Fibre Channel et l'intégrateur est Scasicomp. 4 commutateurs SAN DCX4S de Brocade ont été déployés, chacun possédant une carte de connexion Fibre Channel à 48 ports à 8 Gbit/s. Deux bâtiments ont été équipés chacun de deux commutateurs.
« Nous avons doublé la capacité de points de connexion, nous pouvons encore la doubler sans changer d'équipements, simplement en ajoutant des cartes. Nous avons pu changer nos baies de stockage, et nous avons installé une VTL pour la sauvegarde. Enfin, nous pouvons exploiter pleinement la bande passante à 8 Gbit/s, et ainsi être prêts pour nos futurs projets » conclut le responsable des infrastructures.
Le prix de gros des appels mobiles va baisser fortement
C'est un calendrier de baisse programmée des coûts des appels mobiles sur 18 mois à compter du 1er juillet prochain que vient d'enclencher l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms. Le tarif actuel de 3 centimes d'euro/minute devrait passer à 0,8 centime le 1er janvier 2013, soit presqu'une division par 4. Dans le détail, à la suite de la consultation publique menée du 22 décembre 2010 au 31 janvier 2011 concernant le modèle technico-économique des coûts de réseau d'un opérateur mobile métropolitain, l'Arcep met en consultation publique son projet de décision d'encadrement tarifaire des terminaisons d'appel vocal mobile des opérateurs Orange France, SFR et Bouygues Telecom pour la période du 1er juillet 2011 au 31 décembre 2013.
Dans sa décision n° 2010-1149 du 2 novembre 2010, l'Autorité avait décidé de poursuivre pour trois ans la régulation de la terminaison d'appel mobile. Cette décision précisait les plafonds tarifaires que devaient respecter les opérateurs mobiles sur la période allant du 1er janvier au 30 juin 2011 : 3 centimes d'euro/minute pour Orange France et SFR et 3,4 centimes d'euro/minute pour Bouygues Telecom. La même décision annonçait que l'Arcep fixerait dans une décision ultérieure les plafonds tarifaires applicables pour le reste de la période de trois ans.
Aboutir à 0,8 centimes d'euros et fin de la régulation asymétrique
Cette décision précisait également que, au plus tard au 1er janvier 2013, conformément à la recommandation de la Commission européenne, les plafonds tarifaires seraient symétriques et établis au niveau des coûts incrémentaux d'un opérateur générique efficace. Le niveau cible pour l'Arcep est de 0,8 centimes d'euro/minute pour le 1er janvier 2013. Il y aura une baisse progressive vers la cible sur les 18 prochains mois. Dans ce cadre, l'Autorité propose une baisse des tarifs de terminaison d'appel mobile en trois phases :
- une première baisse à un niveau de 2 centimes d'euro/minute, à partir du 1er juillet 2011 pour six mois,
- une deuxième baisse à un niveau de 1,5 centimes d'euro/minute, à partir du 1er janvier 2012 pour six mois
- une troisième baisse à un niveau de 1 centime d'euro/minute, à partir du 1er juillet 2012 pour six mois.
Ces trois phases permettront notamment aux opérateurs de s'adapter au niveau cible de 0,8 centimes d'euro/minute, qui sera applicable à partir du 1er janvier 2013.
L'Arcep estime que les volumes d'appels du fixe vers le mobile devraient très nettement croître dans les années et même les mois à venir. L'Autorité estime donc justifié et proportionné de fixer des tarifs symétriques pour les trois acteurs dès le 1er juillet 2011. Il n'y aura donc plus de distinction entre Bouygues Telecom et les autres opérateurs.
Cette proposition est conforme à la recommandation de la Commission européenne. L'Autorité précise que cette décision de régulation ne concerne pas l'opérateur Free Mobile, dans la mesure où celui-ci n'a pas encore ouvert commercialement ses services. Le projet de décision de l'Arcep est notifié à la Commission européenne et soumis à consultation publique jusqu'au 26 avril 2011. Une fois ces deux étapes franchies, l'Autorité pourra adopter sa décision définitive.
Des SSD plus convaincants chez Seagate
Seagate a annoncé la sortie de cinq solutions de stockage professionnel qui comprennent à la fois des SSD et des disques durs milieu et haut de gamme. Ces mises à jour bienvenues renforcent à la fois les performances et la capacité de ces périphériques de stockage. Seagate a ainsi augmenté - de 16 à 64 Mo - la quantité de mémoire cache sur l'ensemble de ses disques durs, pour accroitre les performances de chaque modèle. Tous ces nouveaux disques sont en outre livrés avec une option d'auto-cryptage AES-256 bits (Auto-Lock).
À l'exception du Constellation ES.2 (3 To) au format 3,5 pouces, tous les autres disques sont au format 2,5 pouces. « Nous sommes clairement sur une normalisation du format 2,5 pouces notamment avec l'interface SAS. Avec ce choix nous pouvons contribuer à réduire les coûts de fonctionnement des fabricants [de systèmes de stockage] et accroître leur efficacité », a expliqué John Shirley, directeur produits SSD chez Seagate.
Des produits mieux adaptés au marché
Après une première famille SSD Pulsar guère convaincante et pas vraiment destinée à faire du volume - de l'aveu même du constructeur - Seagate revient avec plus d'ambition avec ses séries Pulsar.2 (mémoire flash MLC) et Pulsar XT.2 (SLC). Ces produits sont en fait issus d'un partenariat technologique annoncé en aout dernier avec Samsung, le plus grand producteur mondial de mémoire flash NAND. Ces SSD Pulsar 2 reposent donc sur des composants NAND Samsung gravés en 32 nanomètres (nm) et des contrôleurs Seagate comme ce dernier tient à le préciser.
Le modèle haut de gamme, le Pulsar XT.2, embarque des composants SLC (single-level cel) qui offrent une durée de vie 10 fois supérieure aux modèles équipés de MLC (multi-level cel). La compagnie offre donc, pour la première fois, une garantie de 5 ans sur ses SSD d'une capacité de 100, 200 ou 400 Go livrables avec une interface SAS (Serial-Attached SCSI) et offrant un débit de 6Gbit/s. Mais ce qui distingue vraiment cette ligne Pulsar, c'est son endurance qui repose sur un algorithme de détection et de correction d'erreurs.
Seagate avance que sa série Pulsar XT.2 peut supporter jusqu'à 35 cycles d'écriture complets tous les jours pendant cinq ans, ce qui revient à stocker 25 pétaoctets de données pendant la durée de vie du SSD. Le XT.2 Pulsar est jusqu'à 50% plus rapide que son prédécesseur et bénéficie d'un taux de lecture / écriture aléatoire de 48 000 et 22 000 E / S par seconde,. Il offre une vitesse de lecture / écriture séquentielle de 360 Mo/s et 300 Mo/s, avec un temps de réponse d'environ 10 millisecondes.
Un SSD MLC 800 Go
Seagate propose également un SSD de plus grande capacité (jusqu'à 800 Go) , le Pulsar.2 qui repose sur des composants mémoire flash NAND de type MLC capable de stocker deux bits de données par cellule contre un seul bit pour les SLC. Une capacité de stockage plus grande donc, mais une durée de vie inférieure. Ainsi, si le Pulsar.2 est proposé avec 100, 200, 400 ou 800 Go, la garantie se limite ici à trois ans.
Selon John Shirley, le Pulsar.2 est le premier SSD sur base MLC construit pour un usage professionnel par «un fournisseur de classe entreprise. » Il est livré au choix avec une interface SATA 3.0 ou SAS (6 Gbit/s). Le modèle SAS sera un peu plus cher, car il dispose de deux contrôleurs. En cas de panne du premier, le second prend le relais. Et avec la mise à jour de l'algorithme de détection et de correction d'erreurs, Seagate annonce avoir réduit de 0,55 à 0,44% le taux de produits subissant une panne durant une année (AFR ou Average Failure Rate) pour 100 unités.
[[page]]
Curieusement, Seagate ne nous a pas fourni d'évaluation des performances de son Pulsar.2. Le constructeur doit encore travailler sur le firmware pour arriver à sortir des chiffres en cohérence avec la concurrence. Et comme les produits ne sont pas encore disponibles, nous ne sommes pas en mesure de corroborer les résultats du Pulsar XT.2 ou de tester le Pulsar.2 !
Un 15 000 tr/min au MTBF amélioré
Sur le front des disques durs, Seagate introduit deux modèles de classe entreprise, les Savvio 15.000 et 10.000 tr / min. Le constructeur a ici simplement augmenté les capacités de ses produits pour serveurs et baies de stockage. Le nouveau 15K.3 est disponible en 146 et 300 Go, ce qui double la capacité de son prédécesseur, le 15K.2.
Le 15K.3 est livré avec une interface SAS 6Gbit/s, et bénéficie lui aussi d'une mise à jour de son logiciel de correction d'erreurs pour améliorer son AFR qui passe ici aussi de 0,55 à 0,44%. En d'autres termes, le Savvio 15K.3 passe à un MTBF de deux millions d'heures par rapport au 15K.qui plafonnait à 1,6 million d'heures. Selon Seagate, le 15K.3 offre un taux de transfert soutenu de 201 Mo/sec contre 161 pour le 15K.2. Un domaine dans lequel le Savvio 15K.3 ne fait pas mieux que son prédécesseur c'est la consommation d'énergie : 7,9 watts contre 7,2 watts pour le 15K.2.
Seagate a également renforcé la capacité de son unité de stockage moyenne gamme, le Savvio 10K.5, qui est maintenant disponible avec des capacités allant de 300 à
900 Go. Son prédécesseur, le 10K.4, n'offrait quant à lui que 450 à 600Go. Comme le
Savvio 15K.3, le 10K.5 est aussi livré avec un contrôleur SAS avec 6 Gbit/s. Seagate, propose également une interface Fibre Channel pour ce disque dur. « La raison pour laquelle nous avons gardé l'interface Fibre Channel, c'est parce que nous avons encore une poignée de [fabricants de systèmes] qui utilisent le Fibre Channel. Maintenir l'interface les aide à passer sur le SAS », nous a déclaré Emily Ford, directeur produit HDD chez Seagate. Le taux de pannes moyen de ce disque dur est identique à celui du Savvio 15K.3. Le 10K.5 offre un taux de transfert moyen soutenu de 168 Mo/s alors que le 10K.4 plafonnait à 141 Mo/s. Et ceci pour une même consommation électrique (8,4 watts).
Pour conclure, Seagate propose un disque dur haute capacité à 7200 tr/min : le Constellation ES.2 avec un maximum de 3 To. Le constructeur le destine aux bibliothèques de bandes virtuelles et et aux solutions d'archivage ne ligne. Ce disque dur dispose d'un outil baptisé « RAID rebuild » capable de vérifier l'intégrité des données en cas de panne. Comme tous les disques de grande capacité, le Constellation a cinq plateaux dotés de deux têtes lecture / écriture : soit un total de 10 têtes lecture / écriture par disque. Donc, si une lecture / écriture échoue, le lecteur essaie automatiquement d'utiliser la seconde tête.
Consommation en légére baisse
Le Constellation ES.2 est livrable avec une interface SATA 3.0 ou SAS. Au chapitre performances, il monte à 155 Mo/sec en débit soutenu. En dehors de la capacité, l'autre grand changement sur le disque est une baisse de la consommation électrique qui passe de 8 à 7,4 watts. Mais contrairement aux disques durs précédents, le Constellation affiche un taux de pannes de 0,74% soit un MTBF de 1,2 million d'heures.
Seagate prévoit de livrer le Savvio 10K.5 avant la fin du mois. Le Constellation ES.2 sera disponible début du mois prochain et le Savvio 15K.3 est prévu pour le deuxième trimestre tout comme les deux Pulsar.
CTIA Wireless : le sans fil se décline en sans câble
Energizer, un des plus grands fabricants de piles au monde, s'intéresse à la technologie de recharge de téléphones portables, et présentera au salon professionnel CTIA Wireless un chargeur à induction muni de la technologie Qi (prononcé "chi") et d'un adaptateur USB Micro/Mini qui adhère au dos de n'importe quel téléphone pour le rendre compatible. Ce type de chargeurs sans fil permet à l'utilisateur de simplement poser son appareil sur la plate-forme de recharge sans avoir à le brancher. Ainsi, plusieurs appareils peuvent être rechargés en même temps.
Contrairement à d'autres grandes marques comme Powermat, le chargeur à induction d'Energizer utilise une norme récemment appelée Qi, reconnue par le Wireless Power Consortium (WPC), qui réunit un grand nombre de fabricants de terminaux et de téléphones mobiles à travers le monde. Des entreprises comme Nokia, HTC, LG, Samsung et Sony Ericsson ont commencé à commercialiser des appareils compatibles avec la technologie Qi. En janvier dernier, LG a présenté son premier téléphone compatible Qi tournant sous Android, le Revolution. De plus, le 22 mars, LG a annoncé qu'il allait lancer son propre chargeur sans fil, le LG WCP-700, qu'il présentera au salon CTIA Wireless. Ce chargeur permet de recharger son smartphone sans connexion extérieure en 2 heures environ.
Une extension à d'autres supports
Au salon Security Show de Tokyo début mars, Panasonic a présenté une table de recharge solaire adaptée à la technologie Qi. La Solar Table sans fil sera disponible sur le marché japonais fin 2011.
Par ailleurs, Samsung a présenté début mars son téléviseur SyncMaster C27A750, de 27 pouces, permettant aux utilisateurs de se connecter à n'importe quel appareil Ultra-Wide Band sans recourir à des câbles.
Le salon CTIA Wireless présentera aussi un stand animé par Screenovate. L'entreprise créatrice de logiciels Screenovate profitera du salon pour montrer sa nouvelle technologie sans fil, adaptée aux téléphones munis de processeurs Snapdragon tournant sous Android, qui permet aux utilisateurs de connecter leur smartphone à une Smart TV, à un écran de voiture ou à un moniteur de PC sans passer par des câbles.
(...)(23/03/2011 16:09:53)L'iPhone 5 aurait un écran 4 pouces
Les rumeurs continuent sur l'iPhone 5. Après la coque en métal, le processeur A5, un journal chinois citant une source proche du manufacturier Foxconn, a indiqué que la taille de l'écran serait revue à la hausse. De 3,5 pouces, il passerait à 4 pouces. Cette évolution permettrait de profiter un peu plus de l'écran Retina qui affiche une résolution de 326 dpi. Il reste à savoir si le confort visuel apporté ne se fera pas au détriment du poids du terminal. Des questions peuvent se poser aussi sur la prise en compte de ce changement par les applications existantes. Il est probable que d'autres rumeurs arriveront progressivement avant début juin, date de la keynote d'Apple sur l'iPhone.
(...)| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |