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(24/03/2011 16:52:19)

L'iPad 2 commercialisé demain en France

Dévoilé par Steve Jobs, le patron d'Apple, début mars à San Francisco, l'iPad 2 sera disponible dès vendredi 25 mars en France. Le lancement est fixé à 17 h dans les cinq Apple Store français (Paris Louvre et Opéra, Vélizy 2, Montpellier et Saint-Laurent du Var) et chez certains revendeurs agréés, ainsi que sur la boutique en ligne de la marque californienne, dès 2 h du matin. Un tiers plus fine que la première version, cette deuxième mouture affiche une épaisseur de 8,8 mm. Elle est également 15% plus légère (590 g), et le contour de l'écran en verre est disponible en blanc ou en noir. Les capteurs photo/vidéo font leur apparition. L'un à l'arrière, pour photographier ou filmer, l'autre en façade, pour les discussions vidéo sur Internet.

L'iPad 2 se veut également deux fois plus rapide, grâce à une puce double coeur (A5). La tablette est également censée offrir de meilleures performances graphiques pour les animations et les vidéos. Autre nouveauté, l'intégration du gyroscope, permettant la gestion de l'orientation et des mouvements de la tablette dans l'espace. Cette fonction est issue de l'iPhone 4, le dernier smartphone en date de la marque. Il est par ailleurs animé par iOS 4.3, la dernière version du système d'exploitation mobile d'Apple.

Et les accessoires aussi

Côté accessoires, l'iPad 2 est fourni, en option (39 euros), avec un port externe HDMI, qui permet par exemple de visualiser la tablette et son contenu sur un téléviseur HD. Des « smart covers » sont également proposées. Ces couvertures aimantées et pliables (de 39 à 69 euros) permettent de protéger l'écran, et servent aussi de béquille pour soutenir la tablette sur une surface plane.Enfin, l'ardoise numérique conserve les mêmes capacités de stockage (16, 32 ou 64 Go) et d'autonomie (10 heures).

En France, la grille des tarifs pour la version WiFi va de 489 euros (16 Go) à 693 euros (64 Go), et de 609 euros (16 Go) à 813 euros (64 Go) pour le modèle doté d'une puce 3G et du WiFi. Par rapport au lancement de la première génération de l'iPad, cela correspond à 10 euros de moins pour la version Wi-Fi, mais 10 de plus pour la version WiFi + 3G.

(...)

(24/03/2011 15:47:04)

Le Parlement européen renforce la protection des e-acheteurs

Modifiant légèrement le projet de loi proposé par la Commission européenne, les députés ont néanmoins annoncé qu'ils finaliseraient leur position à une date ultérieure afin « de parvenir à un accord avec les Etats membres ».Via cette série d'amendements, les élus européen souhaitent avant tout renforcer les droits des consommateurs, notamment en matière d'information, de livraison, de rétractation ou encore de frais de renvoi.

Le Parlement souhaite que les vendeurs informent clairement les acheteurs du prix total des biens et services, avec notamment les coûts « cachés » et frais additionnels. En outre, il sera demandé aux commerçants de fournir « tout bien ou service » aux acheteurs dans les 30 jours suivant la commande à distance. Passé ce délai, les consommateurs pourront annuler leur achat.

Les nouvelles règles adoptées par les députés prévoient également une période de 14 jours de rétractation pour les ventes à distance. Les commerçants devront en outre s'acquitter des frais de renvoi si le prix du bien est supérieur à 40 euros.

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(24/03/2011 15:33:36)

Abandon d'Itanium, la décision d'Oracle passe mal chez HP

Oracle a déclaré en début de semaine qu'il avait décidé « de cesser tout développement de logiciel sur Itanium ». Ce faisant, la firme de Redwood a expliqué avoir eu des discussions avec Intel et a pris en considération les décisions similaires prises par Microsoft et Red Hat, il y a quelques temps. L'éditeur de bases de données a également mis en  exergue le PDG de HP, Leo Apotheker. Ce dernier n'aurait pas fait mention d'Itanium lors de la présentation de la stratégie d'HP au début du mois.

« Nous sommes choqués par la décision d'Oracle qui risque d'engendrer une perte de productivité estimée à des centaines de millions de dollars pour les entreprises et les administrations », a déclaré dans un courriel, Dave Donatelli, vice-président d'HP. Crawford Del Prete, analyste chez IDC, a déclaré que la position de Dave Donatelli est juste, « que vont perdre les clients dans cette affaire » s'interroge-t-il et d'ajouter « Pourquoi Oracle a fait cette déclaration à ce moment-là ». « Si vous êtes un client Itanium, vous devez vous interroger. Qu'est-ce qui se passe, et quelle est la motivation derrière tout cela? Je n'ai pas de réponse à cette question » précise le consultant. HP détient environ 90% du marché Itanium, selon IDC.

Un calendrier serré et Intel en support

Oracle a fait suivre son annonce d'un calendrier de cessation de soutien pour les systèmes Itanium. Dans certains cas, le support technique peut se terminer assez rapidement.  Par exemple, la dernière version de PeopleSoft par Oracle sur Itanium est la 9.1. La société prévoit d'expédier PeopleSoft version 9.2 l'année prochaine. L'actuelle version de la base de données Oracle 11gR2 sera la dernière à soutenir Itanium.  Charles King, analyste chez Pund-IT, a déclaré qu'avec cette décision « les clients qui ont investi sur Itanium et Oracle vont devoir commencer à enquêter sur d'autres options pour maximiser leurs performances. »

Pour sa part, Intel a réaffirmé mercredi le soutien à Itanium et a contesté l'affirmation selon laquelle cette architecture serait « presque en fin de vie. » Dans un communiqué, Paul Otellini, CEO d'Intel, a déclaré la société reste « fermement engagé » envers Itanium et continue à travailler sur les évolutions comme Poulson et Kittson .

Plus tôt ce mois-ci, l'Itanium Solutions Alliance avait publié un livre blanc d'HP et Intel, indiquant que les utilisateurs de serveurs Sparc de Sun qui migrent vers la plate-forme Itanium réalisent 41% d'économies. L'angle d'attaque d'HP est donc de dire qu'Oracle, avec cette décision, souhaite mettre en avant ses serveurs Sparc dont les parts de marché s'effritent.

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(24/03/2011 15:22:02)

Microsoft branche System Center sur le cloud

Selon Microsoft, les additions à la suite System Center 2012, qui devrait sortir plus tard dans l'année, sont nécessaires pour aider les services informatiques à suivre le rythme des demandes au niveau des différents départements de l'entreprise. « Si le service central ne réagit pas assez vite, ceux qui travaillent au niveau des départements ne vont pas les précéder et iront chercher de l'espace sur un site de type Windows Azure s'ils ont besoin d'effectuer un déploiement rapide, » a déclaré Amy Barzdukas, directrice générale de la division Serveur et Outils chez Microsoft, à l'occasion de la conférence Management Summit qui a débuté cette semaine à Las Vegas.

Au coeur de l'offre de cloud privé, System Center Virtual Machine Manager 2012 permettra aux administrateurs de déployer des machines virtuelles, soit sur des serveurs locaux, soit sur des plates-formes hébergées sur Windows Azure. L'administrateur pourra configurer différentes machines virtuelles afin de constituer des ensembles de serveurs dédiés à des tâches spécifiques ou à certains types d'activité. Le logiciel travaille avec des machines virtuelles reposant sur l'hyperviseur maison, Hyper-V, mais également avec ceux de VMware et de Citrix.

Une version bêta disponible pour test

« On peut créer un ensemble de machines virtuelles à partir de solutions standards qui fournissent l'application et les paramètres réseau, et les proposer aux utilisateurs », a déclaré la dirigeante. Microsoft a mis en ligne une version bêta de Virtual Machine Manager, qui peut être testée pendant quelques semaines. Le temps que la version finale arrive. Selon Chris Wolf, vice-président de Gartner Research, le « cloud management » ne consiste plus à simplement créer une machine virtuelle et à la déployer dans une infrastructure de type cloud computing. Les entreprises ont également besoin d'outils pour en automatiser la configuration et les opérations. » CA Technology et HP ne disent pas autre chose, et, ce, depuis plusieurs mois.

Sur les 7,5 millions de serveurs équipés de Windows Server que Microsoft compte livrer en 2012, environ 1,5 million sont destinés à des environnements  « hautement virtualisés », indique Amy Barzdukas. L'autre nouveauté du System Center 2012, c'est le logiciel, nom de code Concero, qui doit contribuer à un meilleur contrôle de l'affectation des ressources au niveau d'un département. Celui-ci permettra au superviseur de choisir pour l'administrateur local un ensemble de serveurs ou d'autres ressources de façon à gérer plus finement la répartition des ressources. « Concero est une sorte de console d'administration, mise à la disposition de l'administrateur au niveau local. Elle lui offre la possibilité de gérer les ressources déléguées par l'administrateur central, » précise-t-elle. « Celle-ci se base sur l'expérience spécifique de l'administrateur local et sa bonne connaissance des besoins de son unité. En fait, elle leur permet de contrôler eux-mêmes l'ensemble de la gestion. »

D'autres améliorations à venir sur System Center

Lors de la conférence Management Summit, Microsoft a également donné des détails sur d'autres améliorations dont profitera la prochaine version de System Center. Notamment, Operations Manager 2012 inclura la technologie de mesure du rendement .Net acquise par Microsoft avec le rachat d'AVIcode. Opalis, une autre technologie, également tombée dans le panier de Microsoft et rebaptisée System Center Orchestrator 2012 après avoir été mise à jour, permet aux utilisateurs d'automatiser le flux entre différents systèmes. 

La mise à jour de Service Manager 2012 permettra aux administrateurs des centres de calcul d'effectuer leurs propres requêtes au coup par coup, de façon à accélérer le processus d'approbation pour l'allocation des ressources Cloud. Une version bêta d'un nouveau service baptisé System Center Advisor (anciennement connu sous le nom de code « Atlanta »), et destiné à la régulation des déploiements de serveurs SQL dans le cloud, est également disponible.

Toujours lors de cette conférence, Microsoft a annoncé que la société de distribution Target a déployé Hyper-V et System Center pour mieux gérer ses serveurs dispersés sur tout le territoire. « En migrant vers cette plate-forme, Target peut désormais réduire de sept à deux le nombre de serveurs utilisés » [sur ses sites] a indiqué Microsoft. Cela a permis de supprimer 8 000 serveurs répartis dans les 1 755  enseignes de la chaine de supermarchés aux États-Unis. Amy Barzdukas a souligné que les serveurs de la société de distribution pouvaient exécuter, dans les machines virtuelles, une application Linux maison, que Target a développé pour gérer l'exploitation des espaces « pharmacie » de ses supermarchés.

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(24/03/2011 14:27:25)

McAfee acquiert Sentrigo, spécialiste de la sécurité des bases de données

L'acquisition intervient un peu moins d'un mois après qu'Intel a finalisé le rachat de McAfee pour 7,6 milliards de dollars. Aucun commentaire sur le montant proposé par McAfee sur Sentrigo n'a été apporté, on sait simplement que l'opération devrait être finalisée en avril prochain.

Sentrigo offre une gamme de produits conçus pour aider à prévenir les attaques sur les bases de données grâce à un suivi d'activité, de prévention d'intrusion, de détection de vulnérabilité et de protection des systèmes non corrigés. Les produits de la société peuvent également aider les clients à satisfaire aux exigences réglementaires et de se conformer à des normes telles que PCI-DSS (Payment Card Industry Data Security Standard) ou HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act).

McAfee était déjà en partenariat avec Sentrigo depuis 201. Le projet d'acquisition permettra donc de renforcer ces échanges et de renforcer le portefeuille de la filiale d'Intel sur ce segment de marché à fort potentiel.

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(24/03/2011 14:24:08)

Free condamné pour des clauses illicites

Les abonnés de Free vont certainement voir dans quelques temps de nouvelles conditions générales de vente apparaître. La raison, une décision du tribunal de Grande Instance de Paris qui vient de décider que certaines clauses étaient illégales.  Saisi par UFC-Que Choisir, la juridiction a répondu sur plusieurs demandes de l'association. Ainsi « les frais d'activation différés », les fameux 96 euros (moins 3 euros par mois d'ancienneté) constituent bien de frais de résiliation. Or, pour l'association cette révision ouvre le droit à contester les facturations déjà opérées ou celles à venir pour les personnes qui résilieraient sur le fondement de la hausse de TVA.

Autre point d'achoppement, les frais perçus pour paiement par chéque ou par carte bancaire, les magistrats ont indiqué qu'aucun opérateur ne peut imposer à ses abonnés d'opter pour le prélèvement automatique, ni d'appliquer des frais sur les autres modes de paiements.

Des clauses et comportements déjà modifiées


Le tribunal s'est aussi prononcé sur des clauses que Free a déjà modifiée. Ainsi, l'opérateur proposait d'office aux nouveaux clients une option baptisée Services Plus (comprenant un antivirus, une aide à l'installation, une assurance et un accès privilégié à la hotline) et facturée 9,99 euros. Le pré-cochage de cette option a été enlevé, mais le tribunal a demandé à Free de préciser que le délai d'engagement de cette option est de 12 mois.

Sur le plan marketing, certaines formulations marketing de l'opérateur ont été retirées avant le jugement. Ainsi, les publicités indiquant « Il a Free, il a tout compris » ne sont plus diffusées. Idem pour le slogan « découvrez les 20 exclusivités de l'offre Free » qui a disparu du site de Free. Enfin, la mention « Bénéficiez des tarifs attractifs vers les autres destinations et mobiles » a été remplacée par « Téléphonez en illimité vers les fixes de 103 destinations ».

Les modifications demandées par le tribunal doivent être réalisées dans les 15 jours sous astreinte de 2000 euros par jour de retard. Free a la possibilité de faire appel de ce jugement.

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(24/03/2011 11:09:45)

Le projet Sierra de la SNCF finalisé

La SNCF a souhaité refondre son SI dédié à la gestion des « roulements de rames et de matériels moteur », le projet Sierra (Système Informatisé d'Elaboration des Roulements de Rames et de mAtériels). Mis en place au bout de 18 mois de travail, Sierra permet à 200 utilisateurs de pointer et minuter le passage des matériels sur les voies. Le pilotage du trafic est ainsi facilité avec une réactivité de l'ordre de la seconde.

L'opérateur ferroviaire a opté pour le développement de Sierra sur la technologie Microsoft .Net. La base de données contient 12,5 Go de données pour 150 millions d'enregistrements. Les équipes de développement ont utilisé Visual Studio Team System et l'outil de travail collaboratif développé par Microsoft (Team Foundation Server) pour terminer le projet dans le temps imparti.

La création du socle technique a été confiée à la SSII Sogeti, filiale à 100% de Capgemini. Le coût du projet n'a pas été communiqué mais 25 ingénieurs de Sogeti y ont été affectés.

Illustration : le TER (crédit : SNCF)

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(24/03/2011 11:18:10)

Annuels Divalto : Retour à une croissance solide en 2010

« Lorsque l'on fait la somme de tous les vents contraires que nous avons affronté, on se dit que Divalto aurait pu prendre le bouillon en 2010 », lance Thierry Meynlé, le président du directoire de l'éditeur de PGI. Mais malgré la perte de son principal partenaire intégrateur, Prodware, le rachat d'une entreprise en difficulté, Idylis, et un contexte économique difficile, le dirigeant présente ce matin les résultats annuels d'une entreprise qui n'a pas sombré. En effet, Divalto a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 11,5 M€, soit une progression de 17% dont 10% de croissance organique si l'on sépare les résultats d'Idylis. L'an dernier, les revenus de cet éditeur de logiciels de gestion en mode SaaS, racheté en mai par Divalto,  ont progressé de 30%. 

Cogesser a remplacé Prodware

La croissance d'Idylis tient notamment au travail réalisé par Divalto pour le doter d'un réseau de ventes indirectes. Jusqu'ici, l'entreprise limitait ses partenariats à la signature de contrats d'apporteurs d'affaires avec des cabinets d'expertise comptable. Ils sont aujourd'hui une soixantaine autour d'Idylis dont les trois quarts étaient déjà là avant l'acquisition. Le plus notable est qu'Idylis se soit entouré d'un réseau de distribution proprement dit grâce au recrutement de 40 revendeurs dont la moitié est issue du réseau de partenaires historiques de Divalto. Pourtant, cette avancée ne contente pas pleinement Thierry Meynlé. « Pour bien mailler le territoire, nous avons besoin d'au moins 300 revendeurs pour les logiciels Idylis », explique-t-il.

De nouveaux projets avec IBM

Le dirigeant de Divalto est en revanche beaucoup plus satisfait du travail réalisé par le réseau de distribution traditionnel des produits Divalto. Notamment parce que le portage du PGI Divalto sur la plate-forme IBM i (ex AS/400) en septembre 2009 a permis à l'éditeur de gagner de nouveaux projets avec les revendeurs IBM. En outre, son partenaire Cogesser est monté en puissance au point d'égaler Prodware qui générait 10% du chiffre d'affaires de Divalto. Globalement, Thierry Meynlé tire une grande satisfaction des résultats de Divalto en 2010 et ne manque pas de faire remarquer que « des concurrents tels que Cegid ou encore Sage France [Ndlr : respectivement +0,4% et +3% de CA en 2010] n'ont pas connu le même dynamisme que Divalto l'an dernier.»

Retour aux bénéfices en février

Certes, mais ces entreprises ont tout de même mieux tiré leurs épingles du jeux que Divalto en termes de bénéfices. Ainsi, bien que le résultat net de l'éditeur ressorte à 2 M€ grâce une réduction d'impôts, son résultat d'exploitation a, en revanche, reculé de 11% à -2,3 M€. Un chiffre à pondérer, puisqu'il intègre le million d'euros de pertes enregistrées par Idylis. « Nous sommes sur la bonne voie avec Idylis dont la situation a été en partie redressée sans tailler dans ses effectifs, indique Thierry Meynlé. Les premiers résultats se font d'ailleurs sentir puisque Idylis a été bénéficiaire pour la première fois au mois de février ».
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